Mittheilungen des historische« Vereines für Krain im Jlätj und April 1863. Redigirt von dem Secretär und Geschäftsleiter, k. k. Finanz-Concipisten August Dimitz. Inhalt: Geschichtliches aus dem Archive des Stadtmagistrates in Laibach, von A. Dimitz. — Eine Triglav-Besteigung im I. 1808. — Monats - Versammlungen. — Miscellanea, von A. Dimitz. — Verzeichniß der Erwerbungen. Geschichtliches ans dem Archive des Stadtmagi-jtrates in Laibach. Polizei-Rapporte aus den letzten Tagen der französischen Herrschaft in Jllyrien. In den Acten des Laibacher Stadtmagistratcs befinden sich die regelmäßig halbmonatlich vom Polizei-Commissär K. an den damaligen Maire der Stadt Laibach, Baron Codelli, erstatteten Rapporte, welche an und für sich weniger historisches Interesse erregen würden, wenn sie nicht vom Maire selbst in der Nebenspalte in's Französische übertragen und zugleich mit seinen eigenen, weiter reichenden Beobachtungen vermehrt wären, welche besonders in der letzten Zeit der französischen Herrschaft charakteristisch sind, daher wir dieselben als einen kleinen Beitrag zu einer künftigen Geschichte dieser denkwürdigen Epoche hier folgen lassen. 1. Rapport vom 1. —15. April 1813. Mr. F Intendant! Pour les derniers 14 jours rien n’a occupe mon attention particuliere au sujet de Police si ce n’ est la Stagnation cntiere dans le Commerce et principalement celui du produit de fer, qui en resulte de la gene reci-proque des reglemens des Douanes enlre la France et 1’ Autriche et de la prohibition de la part de la derniere Cour, d’ exporter dans 1’ lllyrie le fer cru. En outre la rarcte du dernier est aussi presque general; une suite naturelle de V operation de nos finances qui fait rentier tout P argent par des fortes Contributions et l’Enregi-strement, qui n’ est pas proportionne au peu des res-sources que ces pauvres provinces oni, de se procurer de moyens de' gagner de l’argent pour en verser de nouveau dans les caisses publiques, je vois approcher ä grand pas le moment ou la pluspart des habitans resteront insolvables, abbandonant leur bienfonds ä Petal. Jugez Mr. 1’ Intendant la resolution qu’ il nous reste a prendre quand on n’a plus rien ä perdre, interposez votre sagesse aupres du gouvernement pour prevenir la ruine totale des bons et pacifiques habitans de 1’ lllyrie et agreez mon devourment profond. Le Maire de la Commune de Laybach. 15. —30. April 1813. Depuis la remise des chevaux pour le service de Sl’ Armee j’ai eu beaucoup des reclamations pour le payment de leur estimation d’a pres les recepisses qui ont ete donnes aux proprietaires; je les renvoye au Decret Imperial 5 Janvier 1813 qui en a ordonne le payement; le public ne voyant aucun esset depuis 3 mois et demi resachant de 1’autre cole que le gouvernement n’a pas menage les depenses pour en acheter un nombre considerable des chevaux, commence ä murmurer et je ne trouve plus des raisons suffisants pour justifier ulterieu-rement cet’ (unleserliches Wort) veuillez done Mr. L’ Intendant ! interposer toute votre influence pour conserver au gouvernement le credit, si vous voulez prevenir que ce credit ne soil refuse aussi a l’egard des autres objets de (’administration publique. 1. —15. Juni 1813. Tout est tranquille en general a 1’ exception d’ un murmure souleve centre la parole donnee par le Gouvernement pour le payement des chevaux qu’ on etait oblige de presenter pour le service des armees aux mois de Janvier et Fevrier dernier et dont personne ne se pent louer d’avoir ete satisfait voiant de lautre cote qu’ on paioit argent comptant les chevaux qui avaient ete ache-tes dans la haute Carniole et dans la Carinthie. 15. —31. Juli 1813. Pendant la derniere quatorzaine de jours je n’observe pas de changement dans le sentimens de mes administres; ä l’exception des politiques du Cafe ou des rues qui se permettent de faire sur les suites de 1’armistice et du congres de paix qu’ on a (conclue?) en rigueur g Prag; c’cst la derniere que tout le monde souhaitc avec empressement et qui seid peut garantir cette province de sa totale ruine. II se pour croit (sic) que Pirottini avec son Compagnon arrive depuis peu de 1’Italic avoit le projet d’etablir ici le jeu de la kolina dans l'esperance que 8. A. J. le Yice-Roi pourroit arreler son Quartier General ici et Lui ac-corder ce jeu, — mais la vigilance du Gouvernement et de la Police a su dejouer cette menee. 1.-15. August 1813. L’esprit des habitans de la Commune n’ a rien change pendant les 14 jours passes de ce mois; ccpendant les mesures prises pour mettre en etat de defense le fort de Laybach ont beaucoup inquietes les habitans de la ville, qui voient menaces leurs proprietes et compromis leur surete a laquellc ils croient pouvoir compter de la part du gouvernement. 15.-31. August 1813. Malgre les mouvemens Ires eclaiants de la part du gouvernement et du militaire qui causent aux habitans de ma commune beaucoup d'inquietude je crois pouvoir avancer que leur conduite malgre les diverses charges que les circonstances ont amenes, est irreprochable. 1. —15. September 1813. L’ Esprit des habitans continue a etre bon; mais il devienne souffrant et inquiet apres tons les charges que l’armee Italienne et la proximite du Corps autrichien nous a amenee. Les logemens milita ires, les voilures pour son service, les laboureurs, qu' on exige conlinuellement lantot au pont tantöt au fort sent certaincment des charges pour le pauvre habitant, les contributions et des diverses requisitions qu’ on exige de Lui dans ce moment sont des poids auxquels il devra succomber; mais la disorganisation du Militaire depuis 8 jours, le pillage qu’ on exerce dans les villages et faubourgs pour la paille le foin et autre, malgre leurs rations qu’ ils touchcnt au Magazin reduit les habitans a l’exlremite et les pourroit bien porter a des suites facheuses du desespoir. On se rapelle la premiere entree des Frangais dans ces provinces comme ennemis Tannee 1797 et on vante avec reconnaissance la stride discipline militaire qui fut exerce e, on se demands pourquoi on n’ oserait pas recta-mer la meme discipline d’unc armee qui devoit etre considers (unleserliches Wort) la protectrice de ces provinces sujettes a Sa Majeste 1’ Empereur et Roi. Je saisis ce moment Mr. 1’ Intendant pour vous faire connoitre les pensees de mes adininistres provocanl votre justice et votre atlachement pour vos adininistres asm de vouloir faire des representations fortes a son Altesse Imp. le Vicc-Roi pour qu’ ä Elle plaise de prendre des mesures fortes centre le militaire sous son commendcmenl et de faire respecter la propriele des particuliers s’il ne veut pas courir risque que par ce precede irregulier l’armee meme manque du strictement necessaire pour sa sustentation et qu il n’ y ait de vives demšles entre la militaire et l’habitanl, pour les quels je n’ y reponde pas. Je ne suis pas en etat de vous mettre a meme des prix du ble puisque ä cause de la bloquade do cette ville par les autrichiens il n’en est pas entre pendant les der-niers quatorze jours et je craigne une cherete generale des vivres de tonte espece si on ne v a pas nous ouvrir la communication avec l’interieur du pays. Correspondenz des Maire von Laibach wegen der Medicarnenten-Lieferungen. Schreiben des Maire an die Intendanz von Kram, vom 10. Sept. 1813, Z. 1446. Ci annexe j’ai l’honneur de vous renvoyer une reclamation des Concierges des prisons de la ville, qu’ ils viennent de m’ adresser pour le payement des menus frais des prisons pour le Mois d’Aout et des medicamens. Votre Sagesse et l’amour pour la justice me garan-tissement que vu [’importance du service des prisons vous prendrez la presente petition en juste consideration dres-sant vos Mandats, pour la satisfaction des menu es de-penses pour le mois d’ Aout et que vous ferez vos efforts asm que cette brauche de votre administration ne souffre pas pour l’avenir. Agreez etc. Schreiben des Maire vom 15. Sept. 1813, Z. 1466. A Mons. 1’ Intendant de la Carniole. Ci annexe j’ai I’honneur de vous adresser la declaration du fournisseur des medicamens aux prisons; de ne les y plus fournir de domain si Von ne lui paye pas les medicamens fournis au mois dernier oü si Vous ne lui donnez l’assurance de leur infallible payement. Je suis sure que votre Sagesse voudra remedier ä un tel besoin reclame par l’humanite. Agreez etc. Schreiben der Intendanz an den Maire. Prov. Illyriennes. Intendancc de la Carniole, Laybach le 18 Sept. 1813. Division du Secretariat, Nr. 3500. Mr. le Maire j’ai regu la lettre que Vous m’avez fait l’honneur de m’ adresser pour me prevenir de la declaration qui Vous a ete faite par les fournisseurs des medicamens aux prisonniers. Cette declaration fait peu d’honneur a leur zele et J leur amour pour l’humanite, les circonstances sont lelles qu’ on ne peut mettre dans ce moment autant d’exacti-tude que par le passe dans les payements; les deplacements succesifs du siege du Gouvernement et des archives de 1’ Intendance Generale a du necessairement apporter des retards dans l’ordonnance des differentes depenses du service, les fournisseurs qui reclament parce qu’ il leur est du un miserable mois des fournitures, nuraient bien fait de se penetrer de l’existence de ces obstacles avant de donner des preuves d’un vil et froid interet. Je Vous invite Mr. le Maire a charger ä l’avenir des personnes plus dignes et plus atlachees au Gouvernement, si par hazard il n’en existait pas d’autres que celles actuelles pour faire face ä cette brauche de service interessant, je Vous prie de les prevenir que je serai prendre chez eiles par voie de requisition les medicamens qui seraient necessaires ä la sante des malades et qu’ dies no se seraient pas un devoir de fournir, le payement de ces medicainens etant assure et ne se trouvant retarde que par les motifs ci dessus enonces. Agreez etc. L’ Auditeur Intendant de Ia Carniole. Ueber das vorstehende Schreiben erließ der Maire an den Apotheker (Proviseur der Apotheke zum goldenen Adler), Herr Zechtner, ein Secret, datirt 20. September 1813, Z. 1488, verfaßt vom Herrn Polizei - Commissär K., des Inhalts: Indem ich Ihnen, mein Herr! die Unzufriedenheit des Herrn Intendanten bekannt gebe, soll ich Ihnen in seinem Namen weiter erklären, daß, falls Sie sich nicht überzeugen wollten, wie jeder Bürger bei den dermaligen Zeitumständen dem Staate ein Opfer bringen müsse, derselbe (nämlich der Intendant) ungern, aber durch die Umstände genöthigt, die nöthigen Arzneien für die Arrestirten bei Ihnen requtriren würde. Unterm 21. Sept. 1813 erwiederte Zechtner dem Maire, das Gouvernement habe 3000 Francs angewiesen, aus denen er seine Bezahlung hoffe, er müsse die Rohstoffe kaufen, das Gouvernement möge ihm diese liefern, er wolle sie gern auf Rechnung desselben verarbeiten. Er berief sich weiter darauf, daß er die Witwe des früheren Inhabers der Apotheke mit drei unmündigen Kindern der Noth entrissen habe, in welche sie aber durch Entziehung der Bezahlung wieder gerathen müsse, daher auch sie an die Menschlichkeit des Gouvernements appellire. Eingabe des Anton Pokorn, Färber in der Municipal - Stadt Lack, datirt 13. Sept. 1812, an den Maire von Laibach. Dem Unterzeichneten wurde unterm 18. Nov. 1810 durch die löbl. Prov. - Intendanz die freie Ausübung des Färberhandwerkes gestattet, dessenungeachtet legt ihm die sich noch immer so nennende Färberzunft von Laibach allerlei Hindernisse in den Weg. Sie wollen ihn weder unter sich dulden, noch ihm Gesellen und Lehrjungen, die er höchst nöthig hätte, erlauben. Er bittet daher, die sich noch immer so nennenden Vorsteher der ehemaligen Färberzunft vorzurufen und ihnen ernstlich zu bedeuten, daß nach der weisen und wohlthätigen Verfassung des französischen Reiches vollkommene Gewerbefreiheit herrsche, daß es keine Zünfte mehr gebe, und daß es eine stolze, ungerechte und sträfliche Anmaßung sei, einen ehrlichen Mann, der seine Kunst in Mähren, Böhmen, Schlesien, Sachsen re. gewiß ebenso gut, als jeder Andere gelernt hat, durch lächerliche und alberne Handwerksbränche in seinem Erwerbe zu stören. Erledigung des Maire über vorstehende Bittschrift: Der Bittsteller ist durch mich (den Maire) mündlich belehrt worden, daß er für den specifischen Fall, wenn ihm die hiesigen Färber wirklich etwas in den Weg legen sollten, sich bei der Mairie um Abhilfe zu verwenden habe. Bittschrift um Belastung des Spitals der barmherzigen Brüder in Laibach, entworfen in deutscher Sprache vom Prior Faiistus 13. August 1809 *) und übersetzt in's Französische, wahrscheinlich vom späteren Mairie-Secretär Klobus. A Son Excellence Monsieur le Comte Francois Bara-guey d’ Hillier, General Colonel des Dragons, Commandant les Provinces de la Carniole, Carinlhie, Trieste et Fiume. Le Convent et Hospital des freres de Misericorde ä Laibac est dans tout« la Province de la Carniole le seul institut fonde par l’Empereur Josephe, ou son revolt gratuitement des malades pauvres, des frenetiques de deux sexes sans distinction de religion et de profession, comme on y a requ pendant cette guerre beaucoup Soldats malades et blesses dc l’armee franqaise. Les revenus de cet Hospital consistent: a. Dans les interets d’un Capital qui se trouve dans les fowls publiques des Etats de cette province de 1001 florins 4 kr. par an. b. Dans la fondation imperial de 3430 florins par an, que cet hospital reqoit dans la caisse publique de ce pays. c. Dans un Collects peu considerable mais dont cet hospital ä present ne tire aucun avantage. Ce pauvre Convent s’est addresse ä la Regence et fa prie par la requete de lui assignor et fair payer ses revenus pour les trois mois passes montants a 1032florins; mais la Regence a renvoye la requete et l’a decrete ä la patience. L’ Hospital etant depourvu de tons ses moyens de subsistence est contraint de fermer ses portes aux pauvres malades, dont le nombre s’accroit a ce terns malheureux, de renvoyer ceux, qui s’y trouvent ä present, et qui tons seront perdus, quand ils ne trouveront plus le refuge, qu’ on Ieur a offert ici. L’humanite soufrante a Necessaire absolument d’un seccours sans delai, en consequence les sousignes preposes de 1’hospital supplient ties hum-blement, qu’ il plaise a votre Excellence de donner Vordre que pour les trois mois passes, nous soil payee la somme de 1032 florins pour la subsistence du Convent et de 1’hospital des freres de misericorde. Bittschrift um Belastung des Capnziner-Ordens in Laibach. Monseigneur! A Son Excellence Monseigneur le Duc de Raguse, Mareehal d’Empire Gouverneur general des Provinces illyriennes. Les Sousignes deputes des Communes de la ville des fiiuxbourgs et des environs de Laibac osent prior, qu’ il plaise ä Votre Excellence de laisser encore subsister les Capucins dans leur Convent, qu’ ils ont occupe jusqu' ä present en cette ville: vu que *) Als Beilage eines Gesuches an einen (unbekannten) Gönner des Spitals um dessen Verwendung bei dem General - Gouverneur. 1. Ces venerables vieillards se sont toujours recom-mandes et distingues par leur religiosite et leur moralite exemplaire; ils ne se melerent jamais des affaires des families, et n’ y porterent jamais de trouble et des intrigues. 2. 11s sont tres necessaires pour la cure des ämes de la ville et des environs, ils s’ en sont toujours charges meme dans les hopitaux franqais; vu que les paroisses et les Franciscains n' y suffisenl pas. Ils sont les con-fesseurs de Ia moitie des habitans de la ville et des environs; c’est pourquoi ils sont cheris et jouissent de la confiance de tous les habitans. Si les Vues et les Intereis du Gouvernement se pour-ront concilier avec l’existance des Capucins en cette ville, les Sousignes esperent l’exaucement de leur Supplique de la Generosite de Votrc Excellence, dont tous les habitans des Provinces illyriennes, et particulierement les ordres religieux ont dejä requ des marques distingues. L a i b a c le 16. Juin 1810. Eine Triglav-Besteigung rät Jahre 1808. Unter der im hiesigen Landes-Museum befindlichen Sammlung »Vodnikiana«, welche manches Interessante, theilweise noch Unbenützte enthalt, findet sich nachstehendes Schreiben des Caplans Jacob Deschmann zu Mitterdorf in der Wochein, datirt 29. Sept. 1808, an unseren Vodnik, ehemaligen Lehrer des Schreibenden: „Nachdem Eu. Hochwürden schon die Möglichkeit der fast allgemein bezweifelten Besteigbarkeit des bekannten Berges Terglou bei Gelegenheit selbst ergründen wollten, muß ich En. Hochwürdcn, als wahrheitsliebenden Freunde der Geognostik, mein dießfälliges Experiment, eines der verwegensten Wagestücke hier in Vertraulichkeit mittheilen. Es war am 2. Sept., halb 11 Uhr früh, als ich in Begleitung des Anton Koß von Jereka (meines Wegweisers) ebengcdachten Alpenkönigs allerhöchste Spitze wider Jedermanns Vermuthen nach einer Reise von 13 Stunden mit bewaffnetem Fuße erklettert., und zugleich in einer daselbst neben einem neu gefallenen Schnee angetroffenen, zum Theil angebrannten Holzspäne, die gedachter Begleiter anuoch aufbewahrt hält, redende Beweise früher glücklich gerathener Zugänglichkeit gefunden. Daß aber diese von Jedermann mit augenscheinlicher Lebensgefahr versucht. wird, gestehe ich auch gern ein. Denn ohne fliegen zu können, muß man den einzigen Weg von Ostostsüd, nämlich dem Kleinterglon, antreten, solchen dann nach des höchsten Terglou niederem Gipfel, hoch über dem ungeheueren Schlunde Kerma, dem man auf dieser daher abhängenden Felsenwand durchaus ausgesetzt bleibt, gäh aufwärts verfolgen; von daher aber uuabweichlich aus dem obersten, einem mageren Pferdes-Rücken ähnlichen Rande stets gegen Westen nach der höchsten Spitze hinankriechen, während man gleichsam auf einem dürren Baume im be- ständigen Angesichte der von beiden Seiten angähnenden, mit unverweslichen Schneemaffen gefleckten tiefsten Abgründe sich befindet, von denen man nach dem mindesten Fehltritte bedroht wird. Wobei aber (auch außer dem Falle eines Windstoßes) noch dieß das Gefährlichste ist, daß man nahe an der Spitze an drei Stellen zu 2 Klafter hoch fast senkrecht hinaufklimmen muß und die lockeren Felsensteine keine sicheren Handgriffe geben. Hingegen lohnt es sich der Mühe, den Gipfel erreicht zu haben, wenn das Wetter schön ist. Schade, daß es am obigen Tage nicht gewesen ist! Denn schon hatte ich des höchsten Terglou niederen Gipfel erstürmt und indem der Begleiter am Fuße desselben (am Kleinterglon) vergebens einige mühsame Schritte that, um meinen gegen die Kerma zu rollenden Hut, bett ein abgestürzter Stein in die Bewegung brachte, zu retten, als von Südwcstcu kommende Wolken, die die untere Region mit häufigem Regen benetzten, an meinen Füßen mächtig vorüberschwammen. Unterdessen, als wir Beide die Gipfelspitze erkletterten, bedeckten diese, während über unserem Scheitel der heiterste Himmel prangte, bereits die ganze Erde, und gewährten den sonderbarsten Anblick eines von der Sonne glänzenden und Alles überschwemmenden Silbermecrcs, so daß es nur hie und da schroffe Berge, ihr Haupt emporhebend, durchbrachen und nur gegen Passan zu ein Loch bis an die Erde, die aber von ferne in die blaue Himmelssphäre verschmolz, dem Auge offen stand. Da die Aussicht also eingeschränkt und mir das Athem-holcn beschwerlich ward, so dachten wir, nachdem wir auf der Spitze zum Denkmal einen 4 Schuh hohen Thurm erbauten und meinen Stock hineinsetzten, desto eher an die bedenkliche Rückreise, je heftiger mein Begleiter aus Furcht vor den Einschlagungen darauf gedrungen hatte. Auch mein Bruder Johann ist hoch gewesen, welcher auch die Reise mitmachte. Die Gefahr der Reise dauert 2 Stunden, bis man nämlich von den zwei höchsten Gipfeln herabkömmt, auf welchem Wege weder ein Stäubchen, noch GräSchen anzutreffen ist, vielleicht deßwegen auch keine Steinböcke. Ein anderes Resultat unserer Beobachtung ist auch dieß, daß man durch eingeschlagene dicke Nägel, woran man zur erforderlichen Zeit Stricke befestigen und sich derselben zu Handgriffen bedienen würde, den Weg auf den Terglou mit geringen Kosten so sehr erleichtern könnte, daß er für Jedermann, dem es auf seiner Höhe schwindelt, gangbar wäre. Am 23. d. M. soll auch ein Localcaplan (unweit Görz) auf dem Terglou gewesen sein, jedoch kann ich's nicht verbürgen. Auf die Cerna perst (eines der Tolmeincr Grenz-gcbirge) zu kommen, ward mir aber leicht; von da aus sah ich die Stadt Udine ganz deutlich, nicht so das Meer." 31Tonats=Tierfstmmfungen. Am 5. Mürz l. I. hielt Herr Ingenieur-Assistent Leinmüller nachstehenden Bortrag: Verehrte Versammlung! Die gefällige Mittheilung der Ansicht des Herrn Doctors Fried. Kenner, Custos des t k. Hof-, Münz - und Antiken-Cabinets, über die Lesung und Zeitstellung des in der Monats - Versammlung vom November v. I. Ihnen in einer Skizze vorgelegten Votiv-Steines, führt mich zu demselben zurück, um Ihre Aufmerksamkeit neuerlich auf einen Gegenstand zu leiten, der durch die weiteren gediegenen Auseinandersetzungen des Herrn Doctors an Interesse wesentlich gewonnen haben dürfte. Dieselben erachten nämlich: 1. Daß das Wort Speratilla nicht getrennt werden dürfe, sondern als Name zu fassen ist, und zwar als die Verkleinerungsform von Sperata, einen auf Inschriften in Rom häufig vorkommenden Frauennamen. — 2. Scheint Herrn Doctor »augustae« nicht als Beiwort zu übersetzen, sondern als Eigennamen. Die Luna Augusta ist, wie der Sol Augustus, eine eigenthümliche Erscheinung der römischen Mythologie in der späteren Kaiserzcit (vom 3. Jahrh, nach Chr. an), hervorgebracht durch das Eindringen und Ueberhandnehmen orientalischer Culte. In denselben waren Sonne und Mond die Symbole höchster Naturkräfte der thätigen und leidenden; es war Sitte, die Despoten im Oriente als Jncarnationen der Götter zu betrachten und sie somit in das Wesen der Götter zu versetzen. Das geschah nun auch in Rom; Kaiser und Kaiserin waren Jncarnationen der beiden obersten Kräfte und Wesen; er der Zeus ober Genius, der Regierende; sie die Inno, die Regierte, der Staat. Der Kaiser wurde daher auch als Sol, als zeugender Gott, die Kaiserin als Luna, im Sinne der uralten Symbolik als das empfangende Gegentheil, als Geburtsgöttin dargestellt, und ihr Genius als Luna Augusta angerufen. Der fragliche Stein wäre daher nach Ansicht des Herrn Doctors zu lesen: „Der »Luna Augusta geweiht, für die Gesundheit von Speratilla. — Nach Gelobniß." — Daß die Krankheit in einer Niederkunft bestanden habe, sei sehr wahrscheinlich, auch daß es etwa eine erste Geburt war; ebenso daß Speratilla einem wohlhabenden Manne angehörte. Mehr zu schließen, dürfte gewagt sein. Die Zeit kann man aus dem Auftauchen des Luna-Cultes ungefähr bestimmen. Da dieses vor dem dritten Jahrhunderte kaum geschah (auf Münzen nämlich erscheint die Luna Augusta erst unter Julia Donina, Gemalin von L. Septimius Severus (193—211) , so dürfte auch der Malenzer Stein kaum über diese Zeit hinaufreichen. Entscheidend dafür würde die Form der Buchstaben und deren Charakter sein. Der verehrte Herr Correspondent schließt mit der Bemerkung: „Die größte Wichtigkeit des Steines besteht darin, daß er das zweite Denkmal ist, das bekannt wurde und für Kraiu die Verbreitung des Luna-Cultes in jener Zeit (wahrscheinlich durch Legionäre) bestätiget; das erste ist der interessante Römerstein, gefunden bei St. Oswald durch Vodnik; siehe die Mitth. d. hist. Ver. f. Krain 1848, S. 88." Indem ich somit das mir gütigst zur Verfügung Gestellte, der geehrten Versammlung als einen erfreulichen Beleg, wie das Interesse fttr heimatliche Geschichte sich in immer weiteren Kreisen verbreite, vorgetragen habe, erlaube ich mir noch folgende Bemerkungen beizufügen: Auch ich habe in dem Worte Speratella den Namen gesucht, jedoch im Hinblicke auf die Ungewißheit des zweiten L, welches auch nur cin 1 sein könnte; die Trennung in Sper, als Abkürzung des adj. Spera-tus, a, um, auf die Genesung zurück zu beziehen und in Atilia, als den Namen der Genesenen, veranlaßt, wozu ich mich umsomehr durch die in Linhart's Geschichte Krain's, p. 435, als zu Mokritz befindlich, aufgeführte Inschrift berechtiget hielt, welche lautet: Titius Atilius et Titia accepta Con. IX. •(- E. Sib. Denn der in dieser Inschrift nicht erscheinende Beiname der Titia mußte nach dem Manne nothwendig Atilia, also derselbe gewesen sein, welchen ich aus der Malenzer Inschrift entwickelte. Dem zu Folge war meine Lesung folgende: Lunae Augustae sacrum pro salute sperata Atiliae. — Ex Voto. — Ich bin eben daran, an der Hand der trefflichen Andeutungen des Herrn Doctors meine dießfälligen Forschungen fortzusetzen. Herr Dr. E. H. Costa besprach sohin das von dem Herrn Vercins-Mitgliedc Prof. Dr. H. I. Bidermann herausgegebene Werk: „Die ungar. Rnthencn und ihr Wohngebiet, ihr Erwerb und ihre Geschichte, 1. Theil, Innsbruck 1862, 8., XX und 140 pp." — welches als ein höchst schätzbarer Beitrag zur Ethnographie Oesterreich's anzusehen ist. Schließlich machte der VereinS-Secretär unter dem treuesten Einlaufe von Publicationen auf Herrn Pfarrer Elze's eben erschienene Schrift: „Die Superintendenten der evangel. Kirche in Krain während des 16. Jahrhunderts" aufmerksam, welche neue ausführliche Mittheilungen, insbesondere über Trüber, auf Grund von Documcntcn enthält, und daher eine wesentliche Bereicherung unserer vaterländischen Literatur ist. Herr Oberamts-Director Costa behielt sich vor, in der nächsten Versammlung dieses Werk ausführlich zu besprechen. In der Versammlung vom 9. April 1863 hielt das Directions-Mitglied, Director Dr. Heinrich Costa, nachstehenden Vortrag: Wir müssen leider mit Bedauern gestehen, daß in Krain, wenn wir des Herrn P. v. Radios „Herbart von Auersperg" und das „Vodnik-Album" ausnehmen, über vaterländische Geschichte im weitesten Sinne seit vielen Jahren kein Buch von etwas größerem Umfange, sondern nur wenige Brochuren erschienen sind. Es können allerdings auch Brochuren von bedeutendem, literarischem oder wissenschaftlichem Werthe sein, wie wir eben heute constatireu wollen, allein es ist die geringe Pflege der Geschichte in unserem Vaterlande leider eine nicht weg zu läugnende Thatsache. Man hat jüngst in auswärtigen Blättern unserem historischen Vereine in dieser Richtung Vorwürfe gemacht, welche zunächst die Geschäftsleitung des Vereines treffen sollen. Es ist allerdings wahr, daß die Functionäre eines Vereines für das Leben und Gedeihen und für die Erreichung des Zweckes desselben Sorge zu tragen haben; ebenso wahr ist es aber auch, daß es den Directions-Mitgliedern des historischen Vereines in keiner Weise zur Pflicht gemacht ist, die historische Wissenschaft mit Werken ihrer eigenen Feder zu bereichern, und cs stehen ihnen, bei den äußerst beschränkten Geldkräfteu des Vereines, keine andern Mittel zu Gebote, um anzuregen, als einzig nur die, leider von wenigen Freunden der Geschichte und des Vaterlandes besuchten Monatsversammlungen und die monatlichen Mittheilungen des Vereines, deren ursprüngliche Bestimmung es ist, den Mitgliedern vom Wirken und Leben des Vereines Nachricht zu geben. Die Direction läßt es bei Zeit und Gelegenheit au Bitten und Aufforderungen an die Mandatare und Mitglieder des Vereines nicht ermangeln; daß jedoch ungeachtet alles dessen für das Studium und die Pflege der Geschichte in unserem Vaterlande, selbst von Seite derjenigen, von denen man es erwarten sollte, so wenig oder gar nichts geschieht, ist eine bedauerliche Erscheinung der Zeit, worüber die Geschichte, die mau eben so vielseitig zu mahnen sich bestrebt, der Nachwelt Aufschluß geben wird. Wie sehr aber man Unrecht thut, die Geschichte und ihre Lehren bei Seite zu setzen, wird Jeder einsehen, der es weiß, daß insbesondere die Cultnrgeschichte selbst das materielle Wohl eines Volkes zu befördern geeignet ist. Die Erfahrung lehrt uns, daß die historisch-gebildeten Männer die öffentlichen Interessen in Parlamenten und allenthalben ganz anders und weit gründlicher vertreten, als diejenigen, welche lediglich den Eindrücken der Situation der Gegenwart folgen. Unter den gegenwärtig obwaltenden bedauerlichen Verhältnissen müssen wir die beiden historischen Schriften, mit denen uns die Herren: Pfarrer Theodor Elze und Dr. Kcesbacher, wiewohl sie nicht unsere Landsleute sind, jüngst beschenkten, mit um so größerer Freude und Anerkennung begrüßen. Der Herr P. v. Radies spricht es in den -„Blättern aus Krain" v. 25. v. M. bei Beurtheilung der Schrift des Herrn Pfarrers Elze rückhaltlos aus, daß nur Er die Fähigkeit besitze, um Hierinfalls „ein auf Kenntniß des Vorgebrachten basiertes Urtheil fällen zu können.". Wir maßen uns eine solche Gelehrsamkeit allerdings nicht an, sind auch weit entfernt, das Haar im Ei suchen und z. B. dem Herrn Pfarrer Elze es zum Vorwurf machen zu wollen, daß er. den Wirrsal vor der Reformations-Epoche in Krain überging, und sein Thema bei 1527 statt 1525 begann; wir glauben jedoch, daß der historische Verein die historischen Schriften der Herren Elze und Keesbacher nicht ignoriren darf, und daß eine kurze Anzeige davon hier am Platze ist. Pfarrer Elze's Abhandlung führt den Titel: „Die Superintendenten der evangelischen Kirche in Krain während des sechzehnten Jahrhunderts." Wien 1863, 68 Seiten. Nicht nur sind es die interessanten Lebensbilder der fünf evangelischen Superintendenten des XVI. Jahrhunderts, sondern auch die sonstigen zahlreichen Daten über die damaligen Reformationszu-stände in Krain, welche diese Schrift überaus schätzenswerth machen und wofür wir dem gelehrten Herrn Verfasser um so mehr Dank sägen müssen, da er sich die Mühe nicht verdrießen ließ, den Apparat dazu durch lange Zeit und mit großer Sorgfalt zu sammeln, und das Ergebniß in der vorliegenden lichtvollen Darstellung uns mitzutheilen. Wir erfahren daraus, daß König Ferdinand gleich anfänglich auch gegen die Reformations-Bestrebungen in Krain Strenge walten ließ, und daß Bischof Christoph Räuber schon 1531 gegen Trüber auftrat, dem sich dagegen der größte Theil des Adels, tote auch viele andere hervorragende Persönlichkeiten damaliger Zeit und fast die gesummte Bürgerschaft von Laibach anschloß. Das Lebensbild des ersten Superintendenten, Primus Trüber, zeigt uns das Beispiel der größten Aufopferung für die Lehre Luthers, und ist am ausführlichsten, auf 29 Seiten behandelt. Dessen Nachfolger, Sebastian Kral, ebenfalls ein geborner Krainer, der in Jena nnb Tübingen seine Studien machte, wurde 1563 als Trnbers Gehilfe in die Heimat berufen. Ihm zur Seite und unter ihm als Superintendenten standen in Krain bereits mehrere evangelische Prediger; sein Wirken war jedoch mir von kurzer Dauer, denn er verschied schon am 25. December 1567. Ihm folgte M. Christoph Špindler, 1546 zu Göppingen in Württemberg geboren. Er verfaßte mit dem berühmten ersten krainischen Grammatiker Bohoritsch eine neue, merkwürdige Schulordnung, in welcher unter anderem auch der Unterricht in der Musik vorkömmt, und ist bemerkenswerth, daß die Schüler der 3, Classe nicht slovenisch, jene der 4. Classe dagegen nicht deutsch, sondern nur lateinisch sprechen durften, Sonntags aber wurde vorder Predigt der Katechismus slavisch, deutsch und lateinisch hergesagt , und das Evangelium von den größeren Schülern lateinisch und von den kleineren deutsch gelesen und erklärt. Die Gesangbücher waren deutsch und windisch vorgeschrieben. Špindler war in seinem Amte überaus thätig. Auf seinen Antrag wurde Bohoritsch altershalber pensionirt, und Dr. Nicodemus Frischlin ans Deutschland als Schnl-rector berufen, bessert Reformpläne in Schulsachen jedoch den Ansichten Spindler's nicht entsprachen, weßhalb Frischlin bereits 1584 seine Stelle in Laibach wieder verließ; Špindler aber, der manche Kränkung in der Ausübung seines Amte« erfuhr, starb gegen Ende des Jahres 1591, kaum 45 Jahre alt. Im darauf folgenden Jahre 1592 kam Bartholomäus Simplicius als erster deutscher Prediger und Superintendent nach Laibach, allein er starb schon im Jahre 1594. Und nun kam Primus Timber's jüngerer Sohn Felician, in Kempten geboren, als 5. Superintendent nach Krain. Unter ihm fand im Jahre 1598 die evangelische Kirche in Krain, welche unter seinem Vater den Anfang nahm, ihr Ende. — Der Herr Pfarrer Elze nennt diese, hiermit kurz angezeigte, interessante und empfehlungswürdige Schrift den Vorläufer eines größeren Werkes. Wir können nur wünschen, daß dasselbe bald erscheinen möchte, da wir nach dem vor uns liegenden Probestücke etwas Gediegenes übet die Geschichte unseres Vaterlandes zu erwarten haben. Die zweite Schrift, die uns vorliegt, nämlich: Die „philharmonische Gesellschaft in Laibach", seit dem Jahre ihrer Gründung 1702 bis zu ihrer letzten Umgestaltung 1863. Eine geschichtliche Skizze von Dr. Fr. Keesbacher. Laibach 1862, 124 Seiten, mit dem Facsimile eines Beethoven'fchen Schreibens an die philh. Gesellschaft, ist ein schönes Stück Kunst - und Culturgeschichte von Krain; sie beginnt mit einem Hinblicke auf die Bestrebungen der Tonkunst iir andern Ländern in früherer Zeit und kömmt zu dem Resultate, daß die, am 8. Jänner 1702 in's Leben getretene Philh. Gesellschaft von Laibach um 91 Jahre älter ist, als das Conservatorium in Paris. Ihr Entstehen durch den Eifer eines Einzigen, des Herrn I. Ber-thold von Höffern, in dieser, damals noch viel kleineren Stadt ist in der That bewunderungswürdig und beweist Kunstsinn. Wie aber so manche schöne Anstalt mit einem Menschen entstand, bestand und fiel, so scheint auch die philh. Gesellschaft mit dem Tode des Herrn von Höffern, wenn auch nicht zu Grabe gegangen, so doch in einen vieljährigen Schlummer gerathen zu sein, bis das Jahr 1794 sie wieder erweckte, um in den Kriegsjahren wie alles Gute und Schöne im Gebiete der Künste und Wissenschaften abermals aus der Oeffent--lichkeit gleichsam zu verschwinden. Mit der Wiedereroberung des Landes Krain im Jahre 1813 ging aber der Gesellschaft eine neue Sonne auf, die ihr bis zur Stunde mehr ober weniger schöne Tage brachte. Dr. Keesbacher erzählt dieses so umständlich, als es ihm nach dem Vereinsarchive und aus mündlichen Ueberlieferungen zu thun möglich war. Diese Monographie hat auch deßhalb einen besondern Werth, weil sie nebstbei eine Statistik der krainischen Volkslieder in deutscher und slavischer Sprache, gesammelt im Jahre 1819, enthält. Daß da und dort noch Lücken in dieser Geschichte der philh. Gesellschaft sich finden, das erkennt der Herr Verfasser selbst, und ist dieses der großen Schwierigkeit des Sammelns des Materials zuzuschreiben. Dr. H. Costa besprach und legte noch ein drittes, in neuester Zeit erschienenes absonderliches Werk vor; es führt den Titel: „Sammlung des Local-Einkommens von sämmtlichen geistlichen Pfründen Krams." Es ist sehr nett lithographirt, nennt jedoch weder den Verfasser, noch den Druckort oder Drucker und Lithographen, noch einen Herausgeber oder Verleger, sondern einzig nur die Jahreszahl 1861. Der ungenannte Verfasser dieses Tabellenwerkes von 160 Octav-Seiten hatte offenbar offieielle Daten vor sich. Den Tabellen geht ein alphabetisches Jnhaltsverzeichniß voraus, und ist das Werk nach Decanaten eingetheilt. Merkwürdiger Weise kommen von der Landeshauptstadt nur die Vorstadt - Pfarren zu St. Peter und Tirnau vor; die Dompfarr, dann die Stadtpfarr St. Jakob und Maria Verkündigung sind ansgelassen, was ebenso sehr zu bedauern ist, als daß nicht auch das Einkommen des Bisthums und der Capi-tularen von Laibach aufgenommen wurde. Die Pfarr Nenstadtl ist mit wenigen Worten , ohne Ziffern - Angabe abgefertigt, und geschieht vom dortigen Curateu - Capitel mit dem Propste und den vier Chorherren keine Erwähnung. Als „Einkommen" der verschiedenen Präbenden sind aufgeführt: die Realitäten, die Stiftungsbezüge, die Collectur, die Stolgebühren, die Urbarial - Erträgnisse und zivar in Natura, d. i. vor ihrer Ablösung u. dgl. mehr. Interessant wäre eine Vergleichung der Urbarial - Natural - Erträgnisse mit den Grnndlasten - Ablösnngs - Entschädigungen. Zu den Lasten der Pfründen wird im vorliegenden statistischen Werke jede geringste Ausgabe gezählt, so daß am Ende oft ein ganz geringes „reines Loca^l - Einkommen" resultirt, welches hier und da mit den Revenuen, die man nach allgemeiner Meinung manchen Pfarreien zuschreibt, im auffallenden Widersprüche steht. Dieses statistische Werk ist übrigens in der Neuzeit ebenso wichtig als interessant und wird auch ohne Zweifel mit Vortheil benützt werden. Dr. H. Costa verehrte betn historischen Vereine: 1. Schreiben „Leopold Wilhelms von Gottesgnaden Erzherzog zu Oesterreich, Rom. Kay. May. Generalissimus über bero Armaden," ddo. Groß-Rottenbach am 22. Juni 1646, an Ludwig von Löwenstein, Dentsch-Ordenö - Ritter und „Commcndturn" zu Lobach (sie) Rom. Kay. May. und unsers Leib - Regiments zu Pferd bestellten Obristen, in Ansehung eines Darlehens von 4000 fl. zur Completirung zweier Staudachischen Compagnien, für welches sich der Letztgenannte verbürgt hat. — 2. Original Schreiben ddo. Breslau den 27. Juni 1646 au den Deutsch - Ordens - Ritter und Comenthur von Landenstein in Laibach, insofern von einigem Interesse, als es sagt, daß eine Wechselschuld von 6000 fl. von Frankfurt am Main nach Breslau aus dem Grunde nicht früher abgetragen werden konnte, weil ein dreifaches Agio hätte eingebüßt werden müssen. Also schon 1646, folglich vor mehr als 200 Jahren ein Agio. — 3. Erlaß des Präsidenten und der Landschaft des Herzogthums Krain vom 15. Fcbr. 1750 in Ansehung der, von einem gewissen Pensionisten Hehl projectirteu Errichtung einer Sterk- und Haarbuder-Fabrik und einer Papiermühle bei Laibach. Der Vereins - Secretär gedachte zunächst des Hinscheidens des Herrn Peter Ritter v. Chlumezky, corresp. Mitglieds unseres Vereines, mähr. Statthaltcrcirath rc., dessen Verdienste um Pflege der Archive und der Geschichte seines Vaterlandes unvergänglich sind, und fuhr sohin fort: Der Verein hat durch die Güte unseres Ehrenmitgliedes Dr. Peter Kandier eine Anzahl historischer Werke erhalten, welche größtcntheils den Herrn Uebersender zum Verfasser habend und oblvohl zunächst Triest's Geschichte behandelnd, doch schon wegen des Zusammenhanges der historischen Schicksale, dann aber auch wegen der speciellen Beziehungen auf das krainische Hinterland von mannigfaltigstem Interesse sind. Die historischen Leistungen Dr. Kandler's sind hinlänglich bekannt und gewürdigt, und seine neuesten Arbeiten können seinen Ruf nur erhöhen. Wir wollen hier zunächst seine »Storia del Consiglio dei Patrizi di Trieste dali’ anno 1382 all’ anno 1809 con document,. Vol. unico Trieste 1858« in ihrer Bedeutung für die Geschichte von Triest und für jene des krainischen Hinterlandes würdigen. Die Geschichte des Gemeinwesens Triest ist zugleich die Geschichte von Triest als Staat. In den kleinen abgeschlossenen Mnnicipien, welche die Einrichtungen der Römerzeit bis in das Mittelalter, selbst bis in die neueste Zeit retteten, hat sich der echte Bürgergeist gebildet, der Cultur und Gesittung durch die dunkelsten Epochen hindurch glücklich bewahrte. So ist das Wachsen und Gedeihen eines kleinen, aber starken Municipiums ein lehrreiches Bild der Geschichte. Unser Autor theilt die Geschichte des Municipiums Triest in Abschnitte, denen wir hier folgen wollen. Der erste Abschnitt trägt die Ueberschrift: »La Piazza e il Palazzo." Das Rathhans, der Mittelpunkt des inneren Lebens, liegt zugleich im Centrum des geschäftigen Treibens der Bürger. Glücklich charaktcrisirt der Herr Verfasser die Verschiedenheit in der baulichen Anlage der feudalen Städte mit den engen, strahlenförmig um das beschützende Schloß (wie in Laibach, Görz) laufenden Gaffen, und jener der freien Städte, die als Quadrat, an ihrem schönsten Platze das Rathhaus mit dem weithin sichtbaren Thurm, demZeichcn der Gerichtsbarkeit, und deuGlocken zur Zusammenberufung der Magistrate, Räthe, des Volkes, zeigen. Schon unter den Römern war Triest ein Municipium, Carl der Große verhieß Istrien und Triest die Beibehaltung der municipalen Selbstständigkeit, welche König Ludwig bestätigte. Doch unter dem Einflüsse des Feudalsystems litt die Unabhängigkeit der Mnnicipien und wir finden erst 1200 einige Mnnicipien, worunter auch Triest, das sich von 1253 bis 1468 allmälig entwickelte; 1253 warf die Stadt zuerst das Joch ihrer Bischöfe, als weltlicher Herren, ab und diese Reform wurde 1295 vollendet, 1313 durch Gewalt bewahrt, 1353 durch Schiedsspruch bestätigt. Aus den Regesten dieses Abschnittes heben wir hervor: 1337. Statutom est de novo quod per Commune Terg. fiat una domus post Palaciurn Comunis videlicet apud voltos Comunis versus domos Buti- glariorum ad usuiri Mercatorum Sclaborum et aliorum qui conducunt victualia in civitate Terg. qui possent teuere equos et alia sua animalia in dicta domo. Zweiter Abschnitt: Forma del Consiglio e del Reggimento di Trieste al tempo della dedizione nel 1382. Die Stadt Triest überging in die Gewalt des Hauses Oesterreich im I. 1382, wie sie, hervorgegangen aus dem Mittelalter 1216, sich 1253 und 1295 herausgebildet, und wie sie der Tnriner Friede 1381 begabt hatte. Ans einer Urkunde vom I. 1202 ersehen wir die democratische Zusammensetzung des Stadtrathes von Triest; unter der Menge plebejischer und patrizischer Namen fallen slavische auf, wie: So. Sclavo, Marin Pilizar, Triebez, N. Budina, Andr. Budina, Walter Sclavo, Stoianüs Sclavo, Blagosit, M. Generus, Blagosiz, Waru, P. Trinoga. Im 1.1216 finden wir den ersten Podestä, dann bis 1295 keinen. Zu den socialen Zuständen ist zu bemerken, daß die ©datieret, jedoch nur von Nicht-eingeborncn und Nichtchristen, gestattet war, sich aber auf die Nachkommen nicht erstreckte. Noch im 1.1400 gab es Sclaven in Istrien und Venedig. Der Turnier Friede hatte Triest's Unabhängigkeit von Aguistja und Venedig anerkannt; es war damals thatsächlich eine Republik, Herrin seiner selbst, und als solche begab es sich freiwillig unter die österreichische Herrschaft. Der öfierr. Herzog ernannte den Podestä, mit dem Titel: Hauptmann (Capitano). Schon Herzog Leopold gab diesem zwei Vicarien zur Seite, einen für das Civile, den andern für die Justiz. Dritter Abschnitt: II potere del Consiglio st concentra nella Bailia; onnipotenza di questa, suo fine. In einer Zeit, wo der Stern Aquileja's sank, unter einer schwachen Herrschaft wechselnder fremder Regenten, die sogar Fremde gegen einander zu Hilfe riefen, die das Land verwüsteten, zeigte der Löwe von S. Marcus den Städten, wie den Lehensherren das Beispiel einer ihre beiderseitigen Interessen vereinigenden Verfassung, oder, um es mit den Worten unseres Autors auszudrücken (S. 41): Sof-fiava in questo incendio il veneto Leone mostrando ai Comuni sicu-rezza contra potent! baroni, sapienza di leggi, llbertä di reggimento municipale, vivere piii franco e lieto; mostrava ai Feudatari una costi-tuzione che avrebbe dato parlamento in cui i nobili avrebbero seduto in numero certo con voto libero, con deliberazione di collegia a mag-gioranza di voti, provedendo come membri del Principato alia solicit! della provincia. Als auf Befehl des Herzogs von Oesterreich die Stadt Triest sich gegen Venedig waffnete, wurde die Bailie, ein besonderer Magistrat, aus den Richtern und 6 anderen Mitgliedern, mit den ausgedehntesten Vollmachten bestehend, zunächst nur für vier Monate, als eine Art Dictatur, eingesetzt, welche sich in den gefahrvollen Zeiten verlängerte. Sie erhielt die Ordnung, Triest bewahrte durch sie seine Neutralität und bildete eine Stätte für den Frieden und die Vermittlung. MS auf seinem eigenen Territorium (Montecavo) ein Aufstand ausbrach, übergab Triest die besiegten Rebellen betn Vicedom von Krain, damit sie den Unterschied zwischen der Herrschaft von Triest und jener einer feudalen Provinz kennen lernten (S. 42). Allmälig wuchs die Macht des Municipiitms und drängte auch zur äußeren Vergrößerung. Es erwarb Castelnovo durch das Geld des Patriziers Nicolo Bajardi und machte sich so zum Herrn der Pässe, welche von Krain nach Istrien führen (S. 45). Darüber gcriethen sie mit den Venezianern in Krieg, Triest wurde hart bedrängt und war nahe daran, ausgehungert zu werden, als Papst Pius II. (Eneas S. Piccolomini) den Frieden vermittelte (12. Nov. 1463). Im 1.1464 verlieh Kaiser Friedrich der Stadt ein neues Wappen zur Belohnung ihrer Treue und Ergebenheit. Die Bailie war schon 1426 erloschen (Urkunde vom 16. Dec. 1426). Vierter Abschnitt: I Malumori ed i Tumulti. Nach dem Frieden von Venedig war das Ansehen der kais. Herrschaft in Triest gering, die Parteien in der Stadt fingen an, sich zu befehden, die verbannten Patrizier wendeten sich mit ihren Beschwerden an den Kaiser. Dieser ernannte zu Commissären zur Untersuchung der Streitigkeiten den Schloßhauptmann von Wippach, Nicl. Sogar, den Befehlshaber von Dnino, Thom. Ellacher, und den Hauptmann von Triest, Georg Černoml (Tschernembl). Die Seele des Ganzen war Sogar, ein Mann von Thatkraft (uomo di azio'ne). Eine Truppen - Escorte von 1000 Söldnern unter Andreas v. Dietrichstein begleitete die Commissäre. Zn Weihnachten 1467 fand der Einzug in Triest Statt, und die Truppe folgte am Neujahrstage 1468, besetzte ohne Widerstand Schloß und Festungswerke, die Schlüssel der Stadt hatte ohnehin der Hauptmann und so war die Stadt in den Händen der Commissäre. Das Erste war nun die Rehabilitirung der Verbannten, Festnehmung der Verdächtigen und deren Jnternirung nach Dnino, neue Ernennung der Magistrate. Im Februar 1468 wird Sogar an ČernomeVs Stelle Hauptmann von Triest. Er greift eigenmächtig in die Wahlen ein, im April ernennt er die Richter (Giudici). Indessen bilden sich zwei Parteien in der Stadt: Capitanali (Kaiserliche) und Statutari (Anhänger der Stadtfreiheitcn), zwei Mitglieder der Familie Bonomo an ihrer Spitze (S. 56). Ani 28. Mai 1468 kam eine Ergebenheits-Adresse der Triestiner zu Stande, womit sie sich aller Vorrechte freiwillig begaben, die Triest zu einem selbstständigen Gemeinwesen (stato autopolitico) machten. Die Giltigkeit dieser Acte muß billig bezweifelt werden, da sie keine Unterschrift trug, ein Siegel aber leicht angehängt werden konnte, auch kein Zeitgenosse dieselbe bezeugt. Zwei Deputirte überbrachten sie dem Kaiser nach Graz, dessen Antwort am 14. August 1468 eintraf. Der Patrizier Anton Bonomo, Haupt der Statutari und sein Sohn, dann der Plebejer Anton Luches bearbeiteten das Volk, Sogar verließ sich auf seine 4000 M. starke Besatzung. Da brach am 15. August der Aufstand los. Die Basteien wurden genommen, Sogar gefangen, zur Freigebnng der Gefangenen von Dnino genöthigt, dann verbannt; Bischof Antonio Goppo folgte ihm, erschreckt durch den Anblick des Blutes und einzelner Pliinderungs - Scenen. In der Nacht wurden 15 Magistrats-Personen aus den Patriziern und Plebejern gehängt, darunter Gian Antonio de Bonomo, Vater des Bischofes Peter Bonomo. Die klebrigen retteten sich nach Dnino. Im September war das Municipal-Regiment wieder hergestellt, nicht weniger als 60 Plebejer wurden in den Stadtrath aufgenommen, darunter mancher slavische Name (S. 65). Den Sogar ermächtigte man, die Einnahme vonDuino und Wippach, für den Unterhalt der Gefangenen (Verbannten) von Dnino zu verwenden. Doch nicht lange dauerte die neue Ordnung. Im Juli 1469 näherte sich Sogar mit 3000 M. zur Wiedereroberung, die nach heftigem Widerstände erfolgte (S. 65). Nun folgen Einsetzung einer Militär-Commission, Plünderung durch drei Tage, Hinrichtungen; die Verbannten von Dnino kehren zurück, um Rache zu nehmen; Confiscationen finden in ausgedehntester Weise Statt, selbst gegen solche, welche im unmittelbaren kaiserlichen Dienste abwesend waren. Die Gewalthaber in dieser traurigen Periode (distruzione di Trieste genannt) waren: der Hauptmann Sogar und der Vicar Pizzoli; für Finanzen und confiscate Güter Johann Wassermann (von Dnino, eine noch im 16. Jahrh, in Kram vorkommende Familie) und Stephan Renck (von Nördlingen). Diesem Setzteren wird übrigens großes Sob ertheilt, er wußte sich durch seine Rechtlichkeit und Mäßigung selbst bei der Gegenpartei beliebt zu machen. Im Mai kam Kaiser Friedrich in Triest an, hielt Gericht, begnadigte die Stadt und erklärte, daß alles Vorgefallene vergessen sein solle. Das Schicksal der Hauptperson in diesen Unruhen, des Nicl. Sogar, sei kurz angedeutet; 1478 ließ ihn der Kaiser, der sein Verfahren in Triest mißbilligt hatte, einziehen, gab ihn auf mächtige Verwendung wieder frei, doch mußte er auf alle Entschädigungs-Ansprüche gegen Triest verzichten, auch Dnino aufgeben. Er lebte noch drei Jahre in Triest bei seinem Schwiegersohn Räuber, dem neuen Hauptmann der Stadt, zurückgezogen innerhalb der Mauern des Castells, wo er 1481 starb. Wir behalten uns die Fortsetzung dieser Mittheilungen aus den Werken des Herrn Dr. Kandier vor, indem wir hiemit nochmals unseren Dank für seine gütige Zusendung aussprechen. Miscellanea *). Von A. Dimitz. 1. Um das Jahr 1000 übergibt der Edelmann Ragizi von Krain dem Bischof Albuin von Brixen seinen Sohn zur Erziehung gegen genau bestimmte Betrauung. (Urkunde bei Resch An. Seb. et Brix. T. III. p. 677.) 2. Zur Aufnahme der Gesellschaft Jesu in Oesterreich bestimmte sich Kaiser Ferdinand im I. 1550, wo ihm zu Augsburg Urban (Textor) Bischof von Laibach sein Beichtvater, auch den Jesuiten Jajus vorstellte, der im Jahre 1549 mit Salmorno und Eanisius zu Ingolstadt Theologie lehrte. (Günther Gcsch. der lit. Anstalten in Baiern II. p. 107:) 3. In einer Urkunde Bichof Bruno's von Scbcn 29. Aug. 1263 eine Schenkung an den deutschen Orden Mr., erscheint als Zeuge unter Anderen Supan, der Cämmerer. (Ztschr. des Ferd. 3. Folge. 10. Heft 1861. S. 26.) 4. In einer Urkunde Herzog Otto's Grafen von Tirol 6. März 1303 kommt ein Höriger Ulrich Vraz vor und dessen Bruder (Mitfertiger) Cunrad Vraz (wahrscheinlich Slaven). (Obige Ztschr. S. 49.) 5. In einer Urkunde vom 15. Juli 1309 kommt ein Matthäus von Windischgraza, Deutschordenspriester, als Zeuge und Mitfertiger vor. (Obige Ztschr. S. 55.) 6. In einem Schreiben Papst Urban's V. von Avignon 11. Nov. 1364 an Adrian, Cardinalpriester zum h. Marcellus und päpstl. Legaten wird als päpstlicher Sammler (von Beisteuern für den päpstl. Hof) Philipp von Laibach, Pfarrer von Janvnchan und Vicar des Bischofs von Trient, genannt. (Obige Ztschr. S. 66.) 7. Georg v. Ramung kommt im I. 1486 als Land-comthur der Ballei an der Etsch und des Hauses Weggen-stcin vor. (Obige Ztschr. S. 118 fg.) *) Gesammelt aus der „Zeitschrift des Ferdinandeums für Tirol und Vorarlberg." 3. Folge. 7., 9., 10. Heft. Wolfgang von N cuhaus erscheint im Jahre 1594 urkundlich als Landcomthur der Ballei an der Etsch und Comthur zu Lcngmoos. Derselbe war früher Comthur zu Laibach. (Vgl. Mitth. vom I. 1860, S. 103) wodurch sich sein Austritt in Laibach näher bestimmt. (Obige Ztschr. S. 121.) 9. Im I. 1309 will Hr. Canonicus von Mayrhofen den Bruder Berchtold Supp an als Comthur des deutschen Hauses zu Sterzing gefunden haben. (Obige Ztschr. S. 235.) 10. In der Osterwoche des I. 1313 zu Laibach bestätigt Heinrich König von Böhmen rc. Graf zu Tirol die Schenkung mehrerer Grundstücke au die Dcutschordcns-Commcndc zu Sterzing. (Obige Ztschr. S. 235.) 11. In einer Verkanfsurkunde des Grafen Heinrich von Görz, Mittw. nach S. Gertraud 1318, datirt zu Luncz auf dem Hause zu Bruck, kommt als Zeuge ein Heinrich der Graland und ein Hcrward von Auersperg vor. (Obige Ztschr. 1. c. Mauuscr. Burglechner.) 12. Die Deutschritterordens - Commcnde Sterzing besaß Grundstücke im Gebiete des ehemaligen Königr. Jllyricn. (Obige Ztschr. S. 267.) 13. Bischof Heinrich von Brixen resignirte (1236) auf die Regalien, behielt nur mehr die geistliche Macht und die Einkünfte des Schlosses Veldes, dessen Hut dem Herzoge von Kärnten übertragen war, und die beiden Aemter Anraß und Liserhosen. (Obige Ztschr. 3. Folge. 9. Heft. S. 22. Horm. Beitr. 2. 321.) 14. Zu Folge Urkunde vom 30. April 1241 (Patriarchsdorf bei Lienz) stellte Graf Mainhard v. Görz den Bischof Egno von Brixen das Schloß Veldes, mit Ausnahme der Bogtei darüber, zurück. (Obige Ztschr. S. 34.) Verzeichnis der (Ermeröimgen im Jahre 1863. (Fortsetzung.) XXXI. Vom histor. Vereine von und für Nicderbaiern in L a n d s h u t, dessen 42. Verhandlungen. Landshut 1862. 8. Bd. 3. 4. Heft. 8. XXXII. Vom Vereine von Alterthumsfreundcn im Rhein-lande zu Bonn, dessen 43. Jahrbücher. XXXIII. und XXXIV. 17. Jahrg. 1. 2 Bonn 1863. 8. 44. Das Denkmal des Hercules Säxanus im Brohlthal. Erläutert von Johannes Freudenberg. Bonn 1862. 4. XXXIII. Vom Herrn Fr. Edelmann, k. k. Straßen-Einräumer in Neumarktl, folgende Münzen: A. In Silber. 45. Eine vergoldete Silberdenkmünze, auf der einen Seite Brustbild und Wappen Fried. HI. mit der Denkschrift: »Seculum Lulheranum. 1517«, auf der andern Seite Brustbild und Wappen Joh. Georg's, mit der Umschrift: „Verbum manet in aethernum. 1617«, im Werthe von \ Rthl. 46. Ein halber Batzen von Baicrn. 47. 1—24 Kreuzcrstück, crbländisch. 1800. 48. 1—12 „ „ 1795. 49. 1—7 „ „ 1802. 50. 1—6 „ von Baicrn. 1853. 51. 1—6 „ von Württemberg. 1806. 52. 1—3 „ von Hessen. 1845. 53. Eine Münze von den jonischen Inseln, mit der Bezeichnung „30". Jahreszahl 1849. 54. 1—5 Soldistück Napoleon's als Königs von Italien. 1810. B. In Kupfer. 55. 1—3 Ccntesimi - Stück Napoleon's. 1811. 56. Ein Kreuzer - Stück Josef II. 1782. 57. % „ „ Maria Theresia's. 58. 1—6 Kreuzer - Stück Wiener Währung. 59. 1—3 „ „ „ „ dann 60. eine Urkunden-Abschrift der Landschaft Kärnten, ddo. 26. Mai 1742, über die. Aufnahme des Ambros Augustin Erich v. Wcllenbuch und Liechtcnheim als Landmann und Mitglied des Erzherzogthums Kärnten. XXXIV. Vom Herrn I. C. Hofrichter, k. k. Notar in Windischgraz, dessen 61. Ansichten aus der Steiermark. 20. Heft (Wildhaus). 21. Heft (Trautenfcls). 4. 62. Ein Heft „Skizzen aus dem Bezirke Windischgraz." Enthalten in Nr. 7, 15, 27, 57 und 64 de 1862 des „Correspondent für Untersteiermark." XXXV. Angekauft: 63. Deutsche Büchcrkunde, oder alphabetisches Verzcichniß der von 1750 bis Ende 1823 erschienenen Bücher. Von Christian Gottlob Kayser. Leipzig 1825. 1827. I. II. und Ergäuzuugsband. 8. XXXVI. Vom Vereine der Aerzte in Krain, in Entsprechung eines letztwilligen Wunsches des verstorbenen Districts-Physikers Dr. Carl Veßel in Laibach, dessen Elaborat über die Cholera-Epidemie des 1.1855, bestehend in 64. Bericht über die Ursachen und die Art und Weise der Verbreitung der Cholera des Jahres 1855 in Krain. (Manuscript.) Fol. 65. Haupt-Rapporttabclle über die Cholera-Epidemie des Jahres 1855 in Krain. (Manuscript.) Fol. 66. Haupt-Rapporttabclle über die Cholera-Epidemie des Jahres 1855 in Krain, auf dem Grunde der individuellen bezirksämtl. Eingaben. (Manuscript.) Fol. 67. Eine Epidemie-Karte von Krain. 68. Die Cholera und die Bodcnbcschaffenheit in Krain. Von Dr. Max Pcttcnkofer. München 1861. 4. 2 (Separat - Abdruck aus dem ärztlichen Intelligenz- XLIV. Don der Gesellschaft für Salzburger Landeskunde blatte 1861.) XXXVII. Durch Ankauf: 69. Verzeichnis der Bücher und Landkarten —, welche vom Juli bis December 1862 neu erschienen oder neu aufgelegt worden sind. Herausgegeben von der I. C. Hinrichs'schen Buchhandlung in Leipzig. 129. Fortsetzung. 1862. 8. XXXVIII. Dom germanischen Museum in Nürnberg: 70. Anzeiger für Kunde der deutschen Vorzeit. Jahrg. 1863. Nr. 2. 4. XXXIX. Vom Herrn Haubitz, k. k. Landcs-Hauptcassa-Beamten: 71. Eine Kupfermünze. XL. Vom histor. Vereine von Oberpfalz und Regensburg zu Regensburg, dessen 72. Verhandlungen. 21. Bd. Regensburg 1862. 8. XLI. Vom histor. Vereine für Oberfranken zu Bamberg, dessen 73. 25. Bericht. Bamberg 1862. 8. XLII. Vom Herrn Dr. Andreas V o i s k a, k. k. Comitats-Gcrichtsrathe in Laibach: 74. 27 Zeugnisse seines verstorbenen Vaters, k. k. Normal Schullehrers Anton Voiska. 75. Abmarschbcfehl des Capilaine de recrutement, ddo Laibach 1. Dec. 1812, an den Conscribcntcn Josef Koß. 76. TodcSurthcil des k. k. Landesgcrichtes Laibach Wider-Franz M. und Johann E., wegen Verbrechens dcS Mordes, vollzogen am 12. Dec. 1861 77. Partezcttcl des k. k. Professors der Physik, Johann Kersnik (slovenisch). 78. Slovenski učenci slavi prerojeni. — Sloveniji slo hodni nje zvesti sinovi na Dunaju. 2 Lieder. 79. Uredba „besede« od slavjanskih rodoljubov napravljene v Gradcu 23. marca 1851 80. Kratek krajnsko-slovenski besednjak. Soslavil Niko-med Ravnikar. V Zagrebu 1863. 16. 81. Slovenski prijatel. Časopis. Lelo 1862. XI. tečaj. Vredil in založil Andrej Einspieler. V Celovcu. 8. 82- Dobrovoljke, složil Jozip Hašnik. V Ljubljani 1854. 4. 83. Vislic sa svete pesmi. Perve bukvize od BI. Potozh-nika, zhvetcroglasno postavljene od Gr. Riharja. V Ljubljani. XLI1I. Vom Vereine für siebcnbürgische Landeskunde in H e r m a n n st a d t: 84. Jahresbericht des genannten Vereines für das 1.18G1/ß2. Hermann stad t 1862. 8. 85. Archiv des Vereins. Neue Folge. V. Bd. 2. 3. Heft. Kronstadt 1862. 8. 86. Die Verhandlungen von Mühlbach im I. 1551 und Martinuzzi's Ende. Von Johann Carl Schuller. Hermannsladt 1862. 8. 87. Eilftcs Programm des coring. Gymnasiums zu Bistritz in Siebenbürgen. Bistritz 1862. 8. 88. Programm des coring. Untergymnasiums in Mühlbach Ende 186I/62. Hermannstadt 1862. 4. 89. Programm des Gymnasiums zu Hermannstadt pro 1861/62. Hermauustadt 1862. 4. 90. Programm des Gymnasiums zu Mediasch pro 1861/6„. Hermannstadt 1862. 4. in Salzburg, deren 91. Mittheilungen. Salzburg. 8. II. Bd. 1861 —1862. XLV. Vom histor. Vereine für das Großhcrzogthum Hessen: 92. Hessische Urkunden. Darmstadt 1862. 8. II. Bd. 1. 2. Abtheilung. 93. Archiv für hessische Geschichte und Altcrthumskunde. Darmstadt 1863. X. Bd. 1, 2. Heft. 8. 94. Die Wüstungen im Großherzogthum Hessen. Von G. W. I. Wagner. (Provinz Starkenburg.) Darmstadt 1862. 8. XLVI. Vom histor. Vereine im Regierungsbezirke Schwaben und Ncubcrg zu Augsburg: 95. 27. und 28. Jahresbericht pro 1861 und 1862. Augsburg 1862. 8. 96. Die römischen Steindenkmäler, Inschriften und Gefäß-stempel im Maximilian's Museum zu Augsburg. Von M. Mczgcr. Augsburg 1862. 8. XLVII. Vom histor. Verein für Steiermark, dessen 97. Mittheilungen. Graz 1862. 11. Heft. 8. XLVIII. Vom Gcschichtsvcrcin für Kärnten: 98. Archiv für vaterländische Geschichte und Topographie. Klagenfurt 1862. 7. Jahrg; 8. XLIX. Vom Herrn J e r m ann, k. k. Steueramts - Con-trollor in Ratschach: 99. Historisch - topographisches Lexicon von Steiermark. Von Carl Schmutz. Graz 1822, 1823. 4 Theile. 8. L. Vom Herrn Dr. Heinrich C o st a, k. k. Oberamts-Dircctor in Laibach: 100. 30 Jahrgänge des Jahresberichtes des steiermärkischen Joancums in Graz, und zwar: die Jahrg. I.—XVII. (1812 — 1828), dann XIX. (1830), XXL (1832), XXVI, —XXXVI. (1837 — 1847) und XXXVIII. (1849). 4. LI. Von der juristischen Gesellschaft in Laibach, deren 101. Verhandlungen und Mittheilungen. II. Bd. 1. 2. Heft. LII. Von der k. k. Central-Commission zur Erforschung imb- Erhaltung der Baudenkmalc in Wien, deren 102. Mittheilungen. VIII. Jahrg. April. Wien 1863. 8. L1II. Vom histor. Verein für Unterfranken und Aschaffenburg zu Würzburg, dessen 103. Archiv. Würzburg 1863. 16. Bd. 2. 3. Heft. 8. LIV. Vom germanischen Museum in Nürnberg: 104. Anzeiger Nr. 3 de 1863. 4. LV. Vom histor. Verein für Mittelfranken in Ansbach: 105. 30. Jahresbericht 1862. Ansbach. 4. LVJ. Vom Verein für Hamburgischc Geschichte in Hamburgs dessen 106. Zeitschrift. Neue Folge. 2. Bd. 1. Heft. Hamburg 1862. 8. LVII. Von der k. k. Central-Commission zur Erforschung und Erhaltung der Baudenkmale in Wien: 107. Mittheilungen. Wien 1863. VIII. Jahrg. Mai-Heft. LVI1I. Von der Schlcswig-Holstciu-Laucuburgischen Gesellschaft für vaterländische Geschichte in Kiel: 108. Jahrbücher für die Landeskunde der Hcrzogthümcr Schleswig-Holstein und Laucnburg. VI. Band. Kiel 1863. 8. LIX. Vom Herrn Carl Tschclcschnik, k. k. Gerichts-Offizial in Laibach: 109. Ein Oclgemäldc. Kaiser Josef N. Druck von Ignaz v. Kleinmayr 5? Fcdor Bamberg in Laibach.