«5e TELEGRAPHE OFFICIEL. Laybach, Di?nanche janvier 18*3. exterieur. TURQUIE. C on it amino fie, le 15 décembre. Les dispositions de Mollah, pacha de Widdin, sont l#tjours équivoques. On assure qu'il lui est enjoint de quitter sa résidence, et de se rendre à Sophia pour y vivre en simple particulier, mais on doute qu'il obéisse à cet ordre. ■ Uikoghloa , révolté contre le grand-seigneur , s'étoit enfermé à Sil rstrie : il a quitté cette place et s'est réfugié chez les Russes. D'autres ayans, amis d' Ihkoghlou, et qui avaient des troupes sous leurs ordres, ont été saisis et mis a mort. • Le grand - seigneur tend chaq-e jour à ressaisir son autorité; son sysiême de sévénie tient à ce principe. I a oèt ruit les Mori zzi , dont lìr.ffuence avoit souvent entraîné les déterminations du Divan. Depuis leur perte , aucune autre maison ne peut prendre le m..ne ascendant — La prise de la Mecque et de Medine, qui ont été enlevées aux Wobab^s par Tossum Patha , fììs de Meht-med-AIy, pacha d'Egypte, a donné lieu à des réjouissances dans l'intérieur du sérail. ANGLETERRE. Londres, le 9 janx ier. / (The Sun.) Les négocians et autres intéressés au commerce des Indes orurtalts, en tant qu'il concerne le port de Londres, se sent assemblés hier tt ont pris plusieurs résolutions, et enir'autres celle de prése»ter line adresse aux deux chambrer du parlement. — On a expédié jeudi soir les dépèches de l'A mira! "Warren , à Btrmude. Suiiant des Ivttres de Lisbonne , le dernier coup de vent a fait beaucoup de dommages; trente huit bâtimens s sont échoués et plusieurs autres ont été également perdus. Les mêmes lettres annoncent que près d'un tiers de l'armée argioise se trouve, par les maladies, hors d'état de servir. Du u janvier. Nous avons reçu des gazettes d'Halifax, le 19 décembre", contenant des nouvelles de Boston jusqu'au 12,. La fiégate angloise capturée, le Macédonien, est arrivée a N^wport lt 6 décembre; cette frégate avoit un équipage de 300 hommes, dont 65 ont été tués et 70 blessés dans 1 combat. La frégate américaine n'a eu que 5 hommes tiés et 7 blessés. -- Le comte de Palmela est ^arrivé dans la capitale, en qualité d'ambassadeur et d'envoyé extraordinaire de la cour du Biesil pour lésider auprès de notre cour. (The Sfar.) Un bâtiment américain pris par la frégate la P hé bé nou» a apporté la nouvelle qu'à son départ de New-Yorck , le 13 decembre, l'election du président étoit presque achevée et qu'on y regardoit comme certain que M. Madissoit resteroit en place, l'État de la Caroline septentrionale étant entièrement en sa faveur. M. Eustis » secrétaire de la guerre,s a donné sa démission, et l'on croyoit que le général Armstrong le remplaceroit ; changement qui ne pouvoit qu'annoncer une poursuite vigoureuse de la guerre. On mande de Gibraltar, en date du 6 décembre, que les corsaires françois couvrent le Méditerranée; il y en a quatre devant Tunis et trois aux environs de Très-Torrès. — La corvette la, Ferrei, sortie du port de Leitb > mercredi dernier, s'est perdue le lendemain devant Nord-Shields. L'équipage a été sauvé. (Moniteur dn 'il janvier.) GRAND-DUCHÉ DE VARSOVIE. ; ' Varsovie , le i janvier. Les gentilshommes en état de porter les armes s'empressent à l'exemple de leurs ancêtres, de monter à cheval pour répondre à l'appel qui leur a été adressé au nom de la patrie par la confédération générale. Le prince Joseph Poniatowski a été nommé généralissime (regi>r.entarius). U a pour lieutenant le prince Euslache Panguszko , descendant des Jagellons et qui s'est signalé dans trois guerres et dans la dernière campagne par sa bravoure et son dévouement. 11 n'est pas un des maréchaux envoyés dans les dépar-umtns pour oiganiser les levé s, qui n'ait des tities à l'estime et à la cor.fia ce des Polonais. On remaïquc parmi eux : M. Antoine Grabenski , neveu de f*u M. Matakcw Ici, maréchal de la grande diète de Pologne. Il fut arrêté et détenu plusieurs mois avec son oncle après le dernier partage de la Pologne. Depuis 1806 il a rempli avec distinction lts fonctions les plus importantes de l et que les deux cours se prêteraient mutuellement tous les secours possibles et requis par les circonstances. Il a été arrêté de plus que le corps auxiliaire d'Autriche serait porté au plus vite au grand complet, et que M. le comte de Stadion se rendrait sans délai à l'armée avec le ti t re de commissaire-impérial , afin de çptfrvoir aux besoins du corps, qui sont le résultat des fatigues d'une longue campagne et du froid excessif, M-le comte de Stadion aura les pouvoirs les plus'-étendus pour contracter les marchés qu'il jugera nécessaires , et pour que l'armée n'éprouve aucun retard dans les fournitures. Afin de faire respecter nos frontières , et assurer aux provinces limitrophes du theâtre de la guerre une parfaite tranquillité, le corps de réserve sera composé de '20,ooo hommes effectifs; en conséquence, l'on rendra mobiles les régimens qui sont en Bohême et en Moravie, et l'on tirera de Hongrie les régimens de grosse cavalerie pour remplacer les vides. Le ministre des finances a reçu l'ordre de dresser, le plutôt passible, un pian qui mit à îuênie de faire face aux nouvelles dépenses, sans décréditer le papier qui est actuellement en circulation. On dit que M. le comte Ž ichy , ancien ministre des ■finances, a reçu le même ordre, et que son travail doit «tre indépendant de celui de M. le comte de Wallis. On veut savoir lequel des deux résoudra mieux le problème , et on adoptera le plan qui sera décidé le meilleur. L'on •estime vingt millions de florins la dépense extraordinaire 'occasionnée par ces mesures, et l'on desirerait ne pas met-ire de nouvelles contributions« (Gazette de France.) ESPAGNE, Giron»e > 15 décembre. L'infiiiçnce anglaise se fait seni ir dans tous les actes , .les juntes et des cortès. Cette uation commerçante s'est emparée de notre commerce et a détruit notre industri«* ; «•1k veut commaader nos armées et ro is i laiter comme des Indiens: elle essaie encore plus; ennemie du catholi cisme, qu'elle a détruit dans son Ile, où chaque année une populace effrénée biûle l'image du pape , elle le poursuit en Espagne, où elle cherche à faire insensiblement pénétrer le luthéranisme. Il paroit que le poison de l'ir, religion et de la réforme s'est glissé jusque dans les chefs de l'insurrection. Nous avons sous les yeux une réclama-tion de trente-quatre communautés religieuses de Sé ville. Les Français toujours bons, toujours généreux envers leurs ennemis, avoient bien traité les moines. Us étoient réunis dans quelques maisons, et recevoient chacun 200 ducat! par an. Les Espagnols, à leur rentrée , les chassent è leur asile, les laissent dans les rues, sans pain, sans se-cours , sans espérance; mais écoutons 1a voix de ces malheureuses victimes de l'Angleterre: „ Les rues de Séville , disent-ils aux cortés , présentent „ au peuple espagnol , à ce peuple toujours pieux et ami ,, des moines, un spectacle qui doit exciter les sen(im«ns „les plus douloureux. Des prêtres qui n'auraient jamais ,, pu croire qu'on mit la moindre opposition à leur réu-,,nion se présentent- l'intendant leur ordonne, au nom ,,du gouvernement, de ne pas se réjnir, et leur défend „ l'entrée des monastères ; ils prient, ils supplient, oi „ ne les entend pas; on les abandonne, on les repousse; „et pour ne pas mourir de faim, les infortunés se répan J) dent dans les rues; ils vont de porte en porte deman« » dant l'aumône; couverts de ces habits sacrés qve „ peuple revêre, ils s'arrêtent sur les places, aux port es „ des temples, et là ils implorent ia pitié publique „ Qu'ont fait ces ministres de Dieu? quel crime ont-ili „ commis? etc. etc. Les Maures ont-ils une autre fois conquis Grenade et Tolède? les mosquées vont-elles encore remplacer nos saintes églises? non! Ce sont nos prétendus alliés, les Anglais, enfans de Luther, qui sacrifient chez nous les fils des Ignace et des Dominique. ROYAUME D'ITALIE. Milan , le 6 janvier. Conformément au décret royal du S février 1812, 1« cour spéciale séante à Bergame a ordonné, par arrêt dû 7 décembre dernier , que le séquestre seroit mis sur tous les biens meubles et immeubles, présens et à venir, du si qui partagent avec les habitans de ces deux capitales leS sentimens de reconnoissance et de dévouement dont elle5 sont péftetrées envers leur Auguste Souverain. (Giornale italiano). ..administration paternelle de M. le baron Chabrol dans , département de Montenotte y a laissé des souvenirs si hers aux habitans que le conseil municipal d« la ville de Yvonne, pour en conserver la mémoire, a arrêté de don-ner, avec l'agrément de M. le préfet actuel de la Seine, j une des rues de la dite ville , le nom de rue Chabrol. I N T ÉRI EUR. E M; PI RE FRANÇAIS. Paris y le 19 Janvier. Au moment où u» appel est fait à l'honneur français, 'îa ville de Paris, séjour et berceau de nos rois , s'empresse d'y répondre: c'est ainsi qu'à t outes les grandes époques de la monarchie cette capitale a pris l'initiative du dévouement au prince et à l'Etat. Dès l'instant où Paris a e'té comptée parmi les grandes villes de la France , ses annales présentent une série non interrompue de sacrifices glorieux, offerts au pied du trône et sur l'autel de la pairie. Parmi les faits innombrables qui y sont rapportés , ,1011s en citerons quelques uns qui caractérisent plus particulièrement l'amour qu'elle eut toujours pour ses monarques. En revenant de Keims, ou il avoit été sacré, le roi Saint-Louis, jeune encore, restoit à Montlhéry avec sa mère , et n'osoit pas en sortir, de peur de tomber dans fs mains d'un parti de seigneurs mécontens qui cherchoit à l'enlever. Les bourgeois de Paris sortirent en armes, bien ié,olus de dégager le roi; le peuple et la .noblesse des environs, animés par un si bel exemple, se rassemblèrent de tous'côtés; et le roi revint en sûreté à Paris, ayant traversé plus de cinq lieues de pays , comme s'il eût été entre deux haies de ses gardes. En 1315 la ville de Paris offrit spontanément de fournir pour la guerre de Flandre quatre cents hommes à cheval , et deux mille à pied. Leurs bannières étoient „ au signe de la ville. ,, ' En 1339, Je roi Philippe VI. étant oblige de soutenir à la fois deux guerres, une dans l'Artois, l'autre en Bretagne, la ville de Paris lui fournit huit cents hommes à cheval. En 1343, elle y ajouta un nouveau corps de cinq cents gens d'armes à cheval; et en 1347» elle fournit au roi quinze cents chevaux puur six mois ; les ecclesiastiques «et les hôpitaux mêmes contribuèrent aux frais de cette levée. En 1496, la ville de Paris fournit un vaisseau de guerre au roi Charles VIII. En 1508, elle en donna encore un à Louis XII, qui s'occupoit du rétablissement de la marine. En 1522, dans la guerre contre l'Empereur Charles-Quint, la ville de Paris accorda au roi François I. mille hommes de guerre à pied. L'année suivante, la ville et le parlement levèrent encore deux mille hommes destinés à seconder le duc de Vendôme, qui veilioit à la sûreté des frontières de Picardie. En iS3S> elle se chargea de la çolde de trente mille ho.mmes. En 1552 , la ville de Paris envoya des troupes , des armes et des munitions an secours dee villes de Picardie, menacées par les troupes impériales. En 1557, après la journée de Saint-Laurent et la perte de Saint-Quentin , la reine Gathtriue de Médias vint a l'assemblée de la bourgeoisie pour demander dix^ mille hommes, qui furent sur-le-champ levés et équipés."! En 1597, la ville de Paris offrit à H* n ri IV. la solde de trois mille hommes pendant six meis. • - Vers le milieu de l'an 1636, l'invasion de la Picardie par les Espagnols, jeta l'alarme dans toutes les provinces voisines. Les bourgeois de Paris et les seigneurs de la cour rivalisèrent de zèle et formèrent en moins de quinze jours des troupes si uombreuses, que le toi put se mettre en marche contre l'ennemi. Corbie , qui avoit été prise le 5 août, fut reprise le 14 novembre; et le 21, le roi, de retour dans sa fidele capitale, alla solennellement offrir ses actions de grâces dans l'église de Notre-Dame. Il seroit inutile de continuer cette énumération jusqu aux temps modernes ; chacun connoît les efforts que fit Ja ville de Paris dans la guerre de 1756 et dans celle d'Amérique, pour rétablir notre marine, et pour en soutenir l'éclat après qu'elle se fut relevée. C'est ainsi que Paris a toujours justifié ce mot d'un roi de Ftance: „ Oui, ma capitale est mon trône; c'est 3, lame de la monarchie. „ Mais les autres villes de la France ont répondu dignement à l'exemple que leur don-noit la capi tal e. En Î360, les bourgeois de Lyon envoyèrent deux otages à Calais, pour la délivrance du roi Jean: ce furent MM. Aimard de Villeneuve et Himbert deBléterans, de deux familles des plus considérables de la ville, et qui ont fourni depuis des premiers présidens aux parlemens de Dijon et de Toulouse. La ville mit, de plus, une imposition de deux deniers pour livre sur toutes les marchandises , pour'contribuer à la rançon du roi. On lit encore dans l'Histoire de Lyon, par Claude de Rubis, p. 351, le Passa8e suivant: „ Or , sitost qu'i „ (Louis XII.) fut parvenu à la couronne, les consuls-écheuins de la ville de Lyon ne faillirent d'envoyer in-„ continent par devers lieux, pour demander la continuation de lents priuiléges de foyres , ce que Sa Majesté „ leur octroya très volontiers, par ses lettjes-patentes ,'données à Paris, au moys de luillet , l'an 1498 , et de-„ son règne le premier. Par lesquelles sadiete Majesté, „ pour les bons et très agréables seruices, aydes et sub-,, uentions que les habitants de Lyon ont toujours faict „ aux roys de France ses prédecess urs et de la singulière; „ affection qu'ils ont toujours porté à Sa Majesté , il leur „ confirma de nou veau leurs quatre foyres et les privilè- ,, ges d'icelles. „ En 1637, les villes, les évêques et les seigneurs de Languedoc rivalisèrent de zèle à qui foirniroieot le plus grand nombre de volontaires. Toylousè , Montpellier , Nis-mes et Beziers levèrent chacun un escadron de cavalerie a ellest,fournirent en outre des quatftités considérables de m mitions. L'évêque de Montpellier arma 400 hommes à ses frais. En 1589, la ville de Marseille envoya une compagnie de 200 hommes , arm és, équipés et soldés à ses frais, l'armée royale. Bordeaux a souvent armé des frégates et dis vaisseaux de ligne pour renforcer la marine de l'Etat. Saint-Malo offrit douze millions â Louis XIV, et leur exemple fut imité par une multitude de villes. Toutes les provinces de France peuvent se glorifier des mêmes sacrifices, et te ers archives en renferment des preuves honorables. Aujourd'hui , comme dans les siècles pissés j nous sommes persuadés que l'exemple donné par la capitale sera suivi par les principales villes. L'Lmpire entier partagera les mêmes sentinuns; le mot sacié d'honneur a toujours fait palpiter les coeurs français, et tous s'élanceront au-devant des sacrifices que commande l'amour de la patrie. Nous en avons p»ur garans les oétails que nous recevons de toutes parts. Ils nous apprennent qu'un mouvement généreux anime tous les esprits : fonctionnaires publics, propi /étaires, négocians , tous s'empressent d'offrir des chevaux, de l'argent, et de contribuer de tous leurs moyens à consolider notre gloire et notre prospérité. Les nouveaux Français disputant d'ardeur avec les ateensj les départemens du Piémont et ceux du Rhin se. signalent par un égal dévouement. A Coblents, les principaux habitans se sont réunis, et ont déclaré qu'aucun sacrifice ne leur coûteroit pour contribuer k vaincre les ennemis du continent. La France, l'heureuse France a vu s'éloigner d'elle tous les malheurs de la guerre ; et d innombrables légions sont prêtes k sortir de son sein , à la voix d'un prince qui ne veille à la gloire de l'Lmpire que pour assurer son bonheur. ("journal de l'Empire.) A peine la délibération du conseil de la commune relative à la levée d'un corps de 500 hommes de cavalerie a-t-elle été connue , que cet appel a été entendu et que les offres particulières se sont multipliées d'une manière qui honore le caractère et le patriotisme des parisiens. Aujourd'hui les corporations , qui dans tous les temps ont répondu k la confiance du gouvernement , s'empressent d'apporter leur hommage au pied du ttòne. Nous appre. nons que le corps des avoués du tribunal de première instance, par leur délibération du samedi 16 janvier, a c fie r t par l'organe de M- le baron de l'empire préfet de la Seine, l'armement , les chevauxet l'équipement de dix cavaliers. Plusieurs autres corporations de la même ville ont suivi d'extrêmement près l'exemple de celle-ci. Enfin les grands corps de l'état annoncent déjà l'intention de concourir avec efficacité a l'offrande nationale. PROVINCES ILLYRIENNES. . Laybach, le 20 janvier. Les iï , il) J3) 14> 15 et 16 «ie ce mois, la cour spéciale extraordinaire de Laybach a entendu les débats et informations relatifs à l'affaire des nommés Martin et Marie Chiargo , mari et femme. Joseph Chiargo leur fils, Philippe S boga r frère de Marie Chiargo et Joseph Sbogar, tous cinq prévenus d'assassinat commis sur la personne de Madeleine Clamich le i.er novembre 1811. Les accusés ont été défendus, Martin Chiargo par M. La Gontray , avoué, Marie Chiargo par M. Garselin , avoué, Joseph Chiargo par M. De Milly, avocat, Philippe Sbogar par M. Crivellin, avocat, et Joseph Sbogar par M. Casatti , avoué. Par le jugement survenu, Philippe Sbogar et MarieChiargo sa sœur ont été condamnés a la peine de mort , et Joseph Chiargo à deux ans d'emprisonnement et cent francs d'a- mende. Martin Chiargo et Joseph Sbogar oat été mis erî liberté. Tous les défenseurs ont fait preuve de talent , particulièrement M. Casatti, Vénitien, à qui cette cause a fait le plus grand honneur. ( Article communiqué.) Nous avons omis dans l'article du N.® précédent oùil est rendu compte des prix décernés à de jaunes Illyriens au Prytanée militaire de la Flèche le nom de M.x;militn Grube de Carlstadt qui a remporté le 4.e accessit du thème et le i.er prix de vers latins dans la 2.e Section de la i.ere classe d'humanités. Thomas Rusnou de Mercopoli a partagé aussi le pre* mier accessit de thème de la z.e division de la 4.e classe de grammaire latine. Il s'est glissé quelques erreurs dans l'orfographe des noms propres , Rollai: pour K »Mak , et Brebeg pour Prebeg p. 31, colonne 2.e, lig. 34 et 35; Sovetovich pour Jove-tovich at Sanossy pour J .nossy p, 32, colonne i.ere, iig.4. Etat des bàtimens et barques , qui sont entrés et sortis chargés du port de Tneste pour diffirents autres du Golphe Adriatique, di i.er au 16 janvier 1813. ENTRÉS. Qualité'. Bi ik . . Pieleghi Parenze. Brazzere Bragozzi Batteaux j 5 1 22 I 17 47 14 o t-i 1 22 3 26 Lieu d'où ils viennent. 62 Zuarre , Corfu , Malfetta , Venise, Ancone, Rovigno , Cittanova , Pirano, Duino , Nature des Chargeutens. 'U c S 0 R T I S. Qualité. c 4J u « Italien- 0 1 a. ce z Totaux Leur destination Nature des chargement Brik . . . I 1 Z?rbi, Pieleghi . 8 S 13 Ancone , VI SI Parenze. . 1 I 2 Venise , -0 C Brazzere . 32 32 Pirano, cti J3 u Bragozzi . 2 2 Umago ; pu g Batteaux . 15 9 14 Rovigno, Capo d'Istr ia Monfalcone !/> U in 0> > p 57 16 1 74