1. Semestre. PROVINCES ILLYRIENNES. N. 23 telegraphe officiel. Laybach, mercredi 18 mars 1812; Aris : MM les abonnés qui doivent tout ou partie de leurs abonnement tant sur Vannée i8n que sur le premier semestre 1812, s0nt instamment priés d'en verser le montant à la Direction du Télégraphe établie à Laybach N.i 180, aux Bureaux des postes de leur résidence et arrondissemmens , ou de l'adresse* au Directeur par toute autre voie assurée. EXTERIEUR. ET A.TS-U N I S. W+sbingUn y janvier. Nos gazettes contiennent plusieurs pièces importantes. La correspondance qui a eu lieu entre le ministre et M. Mónroé , a été communiquée au congrès. Le président , en la communiquant , annonce qu'elle offre une preuve continuelle de la politique hostile du gouvernement anglais. L'acte autorisant la levée d'une armée de Vingt-cinq mille hommes, a reçu la signature du président. Du 28. On assure que M. Forster a demandé h notre gouvernement une réponse catégorique à la question suivante : Si nos préparatifs de guerre se faisoient dans la vue d'envahir quelques uns des établissemens de S. M* On dit qu'en cas da guerre avec la Grande-Bretagne , cinquante mille hommes se sont offerts pour s'emparer du haut et du bas Canada , sans occasionner aucuns frais à notre gouvernement. Ce sont les jeunes gens de la Montagne-feleie, les colons de Massachusette , Vermont, New-Hampshire , Conet-tient et New-Jorck ; si cela est nécessaire, on lèvera encore un plus grand nombre d'hommes. (Jour, de l'Emp. ) ANGLETERRE. Ltndres, 25 février. D'après des nouvelles de Palerme. des personnages du plus haut rang, et membres du gouvernement siailien ont été arrêié.s par ordre du lord Éen-tink. VARIETES. Une énorme baleine s'est échouée, le 7 février à la pointe de Saint-Quentin , district d'Abbeville. La marée se retirant , l'a laisiée à sjec- sur la grève. Apeine fut.elle aperçut, que tous les habitans de la côte se rassemblèrent pour la mettre en pièces ; on assure que plus de trente chariots attelés de quatre chevaux ont été occupés à transporter ce colosse 3 dont on espère tirer près de quatre mille livrts d'huile. Cette baleine avoit quatorze mètres de long sbr trois de hauteur. On prétend que, frappée d'abord d'un coup de bêche , elle eut encore la force d'ouvrir une gueule de deux mètres de large , et qu'elle jeta un cri si épouvantable , qte plusieurs personnes qui se trouvoient devant elle tombèrent à la renverse et sans connoissance. Plusieurs membres des autorités constituées se sont trans p ortés sur les lieux, On mande de Nottingham , que les briseurs ont encore cassé cinq métiers le 20 février ; ils étoient armés de mousquets et de pistolets. L actéon , sloop de guerre , a apporté la nouvelle qu'une sédition avoit éclaté parmi nos troupes à Sainte-Hélène. Les mutins avaient réussi à s'emparer du gouver-' neur et quelques jours après il a été délivré, et Kordre s'est rétabli. Sept des principaux mutins ont été exécutés, et quarante envoyés en Angle', re. (Jour, de VEmp.) EMPIRE D'AUTRICHE Vienne, 22 février. On ne connoît point encore au juste l'époque du départ de S. M. La grande quantité de personnes qui, chaque jour , se présentent aux audiences , fait croire que le voyage de notre Souverain n'est pas éloigné. On pense toujours que S. M. se rend à Prague. Le prince de Hohenzollern , général de cavalerie , est mort, il y a huit jours, à Brunn : il étoit propriétaire du beau régiment de cavalerie, célèbre par la bravoure qu'il montra sous l'Empereur Ferdinand xer , en délivrant ce prince des mains des révoltés : en récompense de cette action ,-ce régiment a le privilège, lorsqu'il passe ici , de défiler par la ville et par le château* La mort a moissonné aussi à l'âge de 24 ans, le prince d'Auersperg, dont le mariage avec la principale fille ainée du prince Lobfcorwitz a été célébré avec tant de pompe au mois de septembre dernier , à Eisenberg en» Bohème. (Gaz., de France.) Du 23. S. M. I. a montré dernièrement combien elle a à coeur l'observation exacte des lois contre les jeux de hasard, en faisant punir avec la plus grande sévérité une société d'officiers que la police de Vienne a surprise comme elle se livroit k ce dangereux passe-temps. Les dernières redoutes qui se sont données à la salle d'Apollon ont été extrêmement brillantes. L'Empereur , l'Impératrice et les archiducs y ont assisté. L'ambassadeur français continue à donner des fêtes où la magnificence et ont dû constater l'espèce particulière de cette baleine. — Les personnes qui sont un peu au courant des divers phénomènes qu'offrent différentes branches de l'histoire na turelle , savent que les perles fines du commerce se trouvent dans certaines coquilles fort voisines par leur genre de celles des huîtres > et que la partie intérieure de ces mêmes huitres est la nacre de perle, avec laquelle on fait maintenant tant dé jolis ouvrages. Les journaux s'occupent beaucoup aujourd'hui des perles que l'on vient de trouver dans les coquilles1 de quelques rivières d'Autriche; mais il est bon de savoir que cette prétendue découverte n'a rien de nouveau. Linné avoit remarqué il y a fort long-temps que quelques fleuves de Suède nourrissoient des aaimaux à coquilles qui produisoient des perles assez belles; il s'occupa même des moyens de faire; produire un plus grand S'unit au goût et à la gaieté. Les bals qui en font partie sont très-animés. Celui du 15 de ce mois a été honoré de la présence des archiducs; il y avoit plus de 500 personnes. (Jour. ae Paris.) HONGRIE. Semlin, S février. La nouvelle de la dénonciation de l'armistice a produit une sensation fâcheuse en Servie : à Belgrade et ailleurs, l'on desiroit la paix. On sait actuellement que les divisions Langeron et Markoff n'ont pas cerné, mais seulement observé la forteresse de Rudschuk avant la conclusion de l'armistice. Les troupes russes évacuèrent alors la rive droite du Danube, à cause du manque de vivres. Les pllnipotentaires turcs ont déclaré formellement que la Porte-Ottomane ne consentiroit à aucune cession de territoire; et les russes, mécontens de la longueur des négociations, ont dénoncé l'armistice. On s'attend â une campagne sanglante. Le grand-visir paroît devoir rester à son poste: il a la confiance des troupes s il est vrai que Tété dernier il lui a été impor-sible de pénétrer dans la Valachie , et que le corps de Tschapan-Oglou est perdu pour la Porte ; mais c'est le seul malheur arrivé àu grand-visir pendant la dernière campagne: tout le monde convient qu'il a montré beaucoup de valeur et de sang-froid à la bataille de Rudschuk, et que si la cavalerie turque avoit pu exécuter les mou-vemens ordonnés par lui, la victoire n'eût point été douteuse. (Jour, de l Emp.) SUISSE. Lucerne, 9 février. Parmi les entreprises d'une véritable utilité , qu'on a exécutées récemment en Suisse , on peut citer comme une des plus rémarquables celle qui a eu pour objet l'exploitation des bois qui couvrent une des parties les plus sauvages et les plus élevées du mont Pilate , situé dans nos environs sur le lac des quatre cantons. La manière dont on en fait descendre le bois , mérite l'attention du voyageur. Depuis des siècles, on n'avoit point porté la hache dans ces hautes forêts de sapins, restées inutiles aux habitans des vallées environnantes. Des masses de rochers escarpés, entrecoupées de précipices non moins difficiles à franchir , sembloient opposer des obstacles insurmontables à la coupe de ces bois. Ces difficultés que n'ont pas su vaincre les ignorans montagnards, ont cédé nombre de perles à ces animaux, soit en leur donnant Une certaine nourriture, soit en faisant des trous à leur test , etc. Long-temps on fit un secret de ces opérations , mais le peu de valeur de ces perles ne dédommageoit point des soins qu'on se donnoit. Ces résultats peu favorables tiennent à la différence même des animaux. L'huître qui Produit les perles fines et que l'on pêche sur les côtes de l'Amérique méridionale ne ressemble nullement à la moule à perle des fleuves d'Europe, et celle-ci ne donne que très-rarement des perles qui puissent entrer en comparaison avec celles que l'on pêche dans les mers méridionales. Coni, 24 février. Le 9 du courant, à trois heures environ après minuit, étant en route, le docteurPerotti s'est trouvé tout-à-coup entouré d'une atmosphère si ilumineuse qu'elle l'éclaira à l'industrie des habitans du plat pays. Trois bourgeois d* Brugg, dans 1 e canton d'Argovie, ont acheté, de la commune d'AItnacht, situé au pied du PWaîe, une étendue considérable de bois sur cette montagne, et ont fait pra^ tiquer, au-dessus des précipices et des rochers, une espèce de canal de deux lieues de longueur, formé de plus de 20,000 troncs d'arbres, et par le moyen duquel on peut - faire descendre, du haut de la montagne jusqu'au fond de la vallée, sur le lac , le plus gros bois, dans un intervalle de 3 à 6 minutes. Pendant les travaux de ce canal qui ont duré 10 mais, deux ouvriers qui se sont exposés témérairement ont perd« la vie. Cet ouvrage ressemble à un pont étroit, qui tantôt s' appuie sur des hauteurs isolées, tantôt semble sus-1 pendu en l'air à une élévation de 350 pieds, et forme ainsi 1411 arches. Le milieu de cette espèce d'aqueduc reçoit l'eau qui s'écoule du haut de la montagne , et favorise 1a cbûte du boi^ jusqu'au fond de la vallée. (Gaz,, de France.) INTERIEUR. EMPIRE FRANÇAIS. Nevers, 26 février. Un jeune homme, de 15 à 16 ans, . fut conduit, il y a quelque temps, du fond de l'illyrie dans notre ville. Il y a environ un mois que, désirant retourner dans sa famille, il obtint une feuille de route. Arrivé à Lyon, il s'apperçoit qu'il a perdu la feuille qui lui sérvoit de passe-port. Sans ressources dans cette ville, il se détermine à revenir à Nevers , sans oser cependant se présenter chez la personne qu'il avoit quittée. Pendant quelques nuits, il n'a d'autre retraite qu'une étable en ruine et abandonnée. Trois écoliers, Maréchal, Perret et Jules Martenot , le rencontrent ; l'un d'eux le loge dans le cabinet qui lui sert de bibliothèque ; et tous les trois trouvent le moyen de lui former un lit. Us se privent d'une partie de la nourriture qu'on leur donne pour en fvtrroir à leur cher prisonnier. Ce n'est qu'après une huitaine de jours que les parens découvrent le secret de leurs aimables enfans; ils ne veulent pas leur céder en humanité, et se chargent du jeune illyrien jusqu'à ce qu'il soit placé convenablement , ou qu'il ait reçu des nouvelles da, sa famille. Le jeune homme, ému de tant de bonté, dit qu'il veut vivre parmi les Français. On parle de lui à pendant l'espace de quelques minutes. Le ciel étoit couvert de nuages mobiles, semblables à ceux que l'on, observe l'été dans les orages; des éclairs serpentoient de temps en temps d'un nuage à l'autre; la neige tomboit avec violence, et lé vent d'est qui souffloit étoit impétueux et froid. L'atmosphère, la campagne, la neige, tout paroissoit en feu. Le docteur Perotti est d'avis que la cause de ce météore est le fluide électrique qui, se trouvant accumulé dans un nuage qui étoit à son zénith, s'est servi des flocons de neige comme de conducteurs, pour venir s'équilibrer avec celui de la terre. Comme ce fluide étoit tr$s-abondant, dit-il, 1a capacité des flocons de neige n'étoit pas suffisante pour le contenir dans l'état d'électricité latente, il a dû se rendre visible et produire ce phénomène très-gingulier. JVI.r le préfet, qui le fait inscrire au nombre des jsunes g»os que l'on form; en régiment. S'il étoit «encore de ces hommes atrabilaires qui prétendent que l'homme est méchant en. Sortant des mains de ta nature, de tels traits, Madame Biette, qui avoit été, comme les autres, attirée par la curiosité , étoit devant le port Thomé , où la pente est très rapide ; elle glissa et disparut dans le tourbillon; les spectateurs poussèrent un cri d'effroi i mais le danger étoit trop grand, peisonne n'osoit la sécourir. Le sieur Frandon , seul, au-dfssus de la crainte , se précipita dans l'eau., et, en piougeant , rencontra cette malheureuse femme qui luttoit dans les flots; elle le saisit aussitôt par une jambe et ne lâcha prise que lorsqu'elle fut à bônf; le sieur Frandon s'est débattu pendant six minutes, ila paru deux fois au-dessus de l'eau et deux fois il a été entraîné; enfin, ce n'est qu'avec beaucoup de peine qu'une troisième fois il est parvenu à sauter cette victime. (Gaz., de France.) * Paris, 3 février. S. M. a signé le contrat de mariage de M. le baron de Grenner , colonel commandant le bataillon de l'école impériale polytechnique , avec Mlle Flore Lamy 3 de M. le baron Meriage , adjudant-commandant avec Mlle Gibert, et de M. de la Bassée, officier au 20e régiment de chasseurs à cheval, avec Mlle de la Bassée. (Gaz., de France.) - 4 mars. Son Exc. le ministre des manufactures et du commerce , vient d'accorder deu* licences pour établir une fabrique de sucre de betterave à Lyon, ou aux environs de cette ville ; l'une sous le n* 23 à M. Michsl Canard Delysle ; et l'autre , sous Je n" 24 à M. Gouge aîné. Les cultivateurs, assurés d'un débouché , s'empresseront sans doute de semer de la betterave dans le voisinage GIORNALE DI MEDICINA PRATICA Compilato da V ALERIANO LUIGI BRERA Professore di Clinica medica nella R. Università di Padova VOL. I. Fase. 1. Bimestre di gennajo e febbraio. Questo primo numero diviso giusta il prospetto pubblicato li 20 luglio delia scorso anno 1811 comprende le «egaewti materie. . . Sezione I. Memoria ed osservazioni. — i. Pensieri sulla Clorosi, del dottor Centomo. - 2. Osservazione di una malattia singolare di cuore , del dottor Wishart. - 3« Della Rachialgie o Spinite , dell'Editore. Sezione II. Analisi d'Opere. - Osservazioni patologico-terapeutiche sull'idropisia de' ventricoli del cervello -, del coosigl. Formey, Berlino 8. Nuovi stromcnti d ostetricia • loro uso, del cavalier Assalini, Milano 8. Sezione III Spirito de'Giornali Italiani. Estratti medico-pratici dal Giornale di Fisica, Chimica e Storia Naturale ou à portée de ces é'tnblissemens, pour k« approvisionner des matières premières dont ils auront besoin. (Gaz. de France.) PROVINCES ILLYRIENNES. Extrait des Minutes de la Secrétairerie d'Etat. Au Palais des Tuileries le 9 janvier 1812. NAPOLÉON EMPEREUR etc. etc. Sur le rapport de notre Ministre des finances. Vû t.° Les articles 150 et 152 de notre décret Impérial du 15 avril dernier , sur l'organisation des Provinces III lyriennes , qui instituent, pour ces Provinces, une commission chargée de liquider les pensions éxistantes ; 2 P L'Etat des liquidations opérés par la dite co«it mission. 2t L'article xo du décret du 27 février 18x1. Notre Conseil d'Etat entendu , Nous avons décrété et décrétons ce qui suit : " Art. 1. Les dix-huit-cent-quatre-vingt-deux articles de pensions ecclésiastiques, militaires et civiles, montant à Ja somme de cmq-cent-douze-mille-huit-cent-onze francs , portés daos l'Etat annexé au présent décret , seront inscrites sur le Grand-Livre des pensions , avec jouissance du 22 décembre 18x1. 2. Nos ministres des finances et du Trésor Impérial sont chargés de l'exécution du présent décret. Signé : NAPOLÉON, Par l'Empereur, Le ministre Secrétairt d'état, Signé: le comte DARU. Pour copie conforme , Le ministre des finances , Signé: le duc de Gaête , Pour Copie Conforme, Le comte de l'E npire, Maître des Requêtes , Intendant ge- signé : Chabrol. nér al. di L. Rrugnatelli, Giornale dell'Italiana Letteratura de sie fratelli da Rio; Analisi di Scienze e Lettere ; Giornale 1Ita i no per l'anno i8it; Giornale della Socie.* me-dico- C h ir u r g i c a d, Parma. - Spiri» de Giornali Francest. Estratti medfco-pratici dai seg. Annale* des arts et manufactures par Barbier de Vemars ; Anales de Chimie ec. , Anrl es cliniques de la Société de Médecine pratique de Montp llie ; Annales de Littérature mèdica e étrangère > Tar Kluyskens : Bibliothèque Britan.que; B.bl.oteque phy-fico-œconom i que , par Sonnin, ; Bulletin de Pharmacie n^r Parme^tier ec. ; Bulletin de la Société des Sciences Physiques,^ Medicale', ec d'Orleans. C/i mr«m de Giornali Tedeschi ec. si daranno ne'fase, seg- Sezione IV. Varietà. - Notizie e scoperte cliniche. Uh a rama zioneironica di cuore . Vaccino qual preservativo per diminuire la violenza del morbillo. Nuova forma di sfili-d m N ovo trattamento della tosse convulsiva Rimedio contro le combustioni. Va uolo recidivo. Riflessioni sul «?maHo di trattare le febbri coi purganti, proposto. da Hamilton. Conferma della proprietà antiva,uolosa del a va'dna Indicazione delle preparazioni d'oro proposte per Extrait des Minutes de la Secre'tairerie d'état. Au palais des Tuileries le z février 1812. NAPOLÉON EMPEREUR , etc. etc. Sur le rapport de notre Ministre des Finances; Vu i.* Les articles 150 et 152 de notre décret Impérial du 15 avril dernier, sur l'organisation des Provinces Illyriennes, qui instituent, pour ces Provinces une Commission chargée de liquider les Pensions existantes; z. L'état des liquidations opérées par la dite commi ssion ; 3. L'article 10 du décret du 27 février jSn. Vû notre décret du 9 janvier 1812. Notre Conseil d'Etat entendu, Nous avons décrété et décrétons ce qui suit: Art. 1. Les 235 articles de pensions ecclésiastiques , Civiles et militaires, montant en totalité à la somme de quarante-sept-mille-deux-cent-quatre-vingt-dix-huit francs , portés dans l'état supplémentaire, annexé au p lèsent décret, seront inscrits sur le Grand-Livre des pensions, avec jouissance du 22 décembre 18x1. 2. Les deux Etats de rectificalions, également annéxés au présent décret, l'un des 10 articles de pensions civiles et ecclésiastiques, montanti la somme de deux mille-deux cént-dix francs ; l'autre de six articles de pensions militaires montant à la somme de mille-sept-cent-quarante francs à déduire , et d'un article de pension civjie portant augmentation de cent-cinquante francs, sont approuvés. Nos Ministres des finances et du Trésor Impérial sont chargés de l'exécution du présent décret. Signé: NAPOLÉON, Far l'Empereur, Le Ministre Secrétaire d'Etat 9 Signé : le comte daru , Pour còpie conforme , Le ministre des finances, Signé: le duc de Gacte , Pour copie conforme, Le bornie de l'Empire, Maître des Requêtes , Intendant général. Signé: CHABROL« curare le malattie sifilitiche e linfatiche.- Notizie biografiche di Tort osa e di Sabatier. Notizie accademiche. Prospetto della Facoltà Medica nelle 3 Università dr-1 Regno. Orazione per la solenne inaugurazione degli Studj nella R. Università di Padova. Orazioni inaugurali nella FacoP tà Medica della stessa Università. Programmi accademici. Notizie ti}egrafiche.. Letteratura medica italiana, francese , olandese , tedesca , inglese , russa. Si continuerà a pubblicare questo Giornale ogni bimestre in altrettanti fascicoli di otto in dieci fogli (eccettuato il presente, che gli oltrepassa) ornati all'occorrenza di tavole in rame, e sarà diramato francodi porto ai sigg. associati dal sig. Antonio Tisato librajo abitante in Padova nella contrada di s. Carlo n. 3470, Tre fascicoli formeranno un voli me, e compiranno l'associazione d'un semestre. Il prezzo d'associazione per un semestre é in Padova Location de la perception du droit de débit sur lt y in dans la Banlieue de Trieste. L'enrreprise pour la perception du droit de débit sur le Vin dans la Banlieue de Trieste est proposée pour un an du ter. avril 1812 au U?r avril 1813. Les charges, clauses et conditions sous lesquelles cette entreprise sera adjugée, sont contenues dans le cahier arrêté par le Directeur des Domaines, et approuvé par Monsieur l'Intendant de l'Istrie le 12 mars courant. Une expédition de ce cahier dont on peut prendre con-noissance, est déposée dans les bureaux de Monsieur l'Intendant , une autre dans ceux de la Direction des Domaines, et une autre dans ceux de l'administration de octrois. La Location aura lieu le z6 du présent mois, dans l'une des salles de la maison commune à Trieste, en présence de Monsieur l'Intendant, et du Directeur des Domaines. Trieste le 13 mars 1812. Le Directeur des Domaines» F AIDER; Arrenda della percezione del Dazi« sulla vendita del vino nel Terrtiorio ( Banlieue ) della Città di Trieste. L'impresa per la percezinne del Dazio sul Vino che verrà venduto nel Territorio ( Banlieue) della Città di Trieste, viene proposta per un'anno, incominciando dal di iS aprile 1812, sino li 1® aprile 1813. Le clausole, obblighi e condizioni, coi quali quest'Impresa sarà aggiudicata, sono contenuti nel quaderno compilato dal sig. Direttore del Demanio, ed approvato dai sig. Intendente dell'Istria li 12 marzo corrente. Una copia di questa quaderna, dal quale si può prender cognizione degli oblighi e condizioni, è dépositata nella Cancelleria dell'Intendenza , un'altro in quella del Direttore del Demanio, ed una terza in quella dell'amministrazione de' Pubblici Dazj. La locazione avrà luogo li 26 del corrente mese in una delle Sale della casa del comune di Trieste, alla presenza del sig. Intendente dell'Istria, e del Direttore del Demanio. Trieste li 13 marzo 2812. Il Direttore del Demanie* Faideb. d'italiane L. 6, e fuori di Padova d'italiane Lire 7: 20, compresa la franchiggia del porto. Gli esteri lo riceveranno franco fino alle frontiere. Quelli , eie si seno iscritti per l'associazione, sono invitati di pagarne anticipatamente il prezzo (franco di porto) al suddetto librajo sig. Tisato, se non vogliono provare ritardo nel ricevere il Giornale. Avranno inoltre Cura di scrivere l'esatta indicazione del loro nome e cognome , e del preciso luogo del loi o soggiorno. Le Memorie de'Medici-Pratici e le opere nuove di Medico-Chirurgico argomento da inserirsi o da annunziarsi liti Giornale di Medicina pratica dovranno essere spedite franche di porto al medesimo librajo sig. Tisato. In altra guisa non saranno ricevute. La Direzione delle Poste in Trieste riceve le associazioni per le Provincie Illiriche.