der Staats - Ober-Realschule in Laibach für das Scliuljalir 1883. Veröffentlicht durch die Direction. I Laibach 1883. Buchdruckerei von lg. v. Kleinmayr & Fed. Bamberg. Verlag der Staats-Ober-Realschule mmmmm der Staats - Ober-Realschule in Laibach für das Schuljahr 1883. Veröffentlicht durch die Direction. Laibach 1883. Buchdruckerei von lg. v. Kleinmayr & Fed. Bamberg. Verlag der Staats-Ober-Realschule. I nix a lt. I. Les romanciers de l’Empire et de la Restauration. (Premihe partie.) Vom Professor Emanuel Ritter von Stäuber. II. Kranjske šote in Habsburžani, njihovi pospešepatelji. Spisal lu. Vrhouec. III. Sehulnachriehten. Vom Director. Les romanciers de 1’Empire et de la Restauration. (Premiere partie.) Le proces de fermentation, qui remplit tout le dix-huilieme siede, et la rčvolution frangaise, i\ laquelle il aboutit, amönent le revirement le plus com-plet dans les idčes, les opinions, les moeurs et les habitudes de la France et de l’Europe toute entiere. La rövolution et le revirement qu’elle produit, sont par consöquent de la plus haute importance pour ce miroir de la socičte, qu’on appelle «le roman». Dans les premieres annees de la tourmente, ce n’est que la politique et les pressantes questions du jour, qui preoccupent en France tous les esprits; mais au delä du Rhin et de la Manche, le roman, ce principal representant de l’activilö litteraire, se döveloppe önergiquement, tout en prenant une ten-dance politique trös-prononcöe. Les emigres, disperses dans les pays qui avoisinent leur palrie, tournent les yeux vers leur pays, oü les flots de l’orage politique et social grondent et frömissent comine une mer orageuse. Mme. de Stael, Mr. de Chateaubriand, Mme. Genlis et nombre d’autres ecrivains d’ordre inferieur, qui viennent se grouper autour d’eux, se servent du roman, comme d’une arme, pour defendre soit les idees de la revolution, soit. celles de la reaction religieuse et politique. Chacun d’eux combat ä outrance pour la victoire de son parti. Nous nous bornons dans cette petite «6t.ude» ä parier des romanciers, dont les ouvrages ont paru pendant l’Empire et la Restauration; nous analy-serons, parmi les productions de ce genre, les plus remarquables, sans nous occuper, qu’en passant, des romans de quelques čcrivains de second ordre, car «si on voulait parier de tous les romans originaux ou traduits, qui ont paru durant. l’epoque et specialement depuis vingt annees» — dit Marie Joseph Chenier dans le Tableau historique de l’etat et des progres de la litterature frangaise depuis 1789 — *un volume serait trop peu, le seul catalogue en serait immense et trois ans ne suffiraient pas pour les lire». Ni l’Empire ni la Restauration ne furent. favorables aux lettres. L’agi-tation des esprits, causče par le revirement politique et. social du hix-huit-ieme siecle, fit place au fantöme de la gloire militaire, et ä celui-ci succeda la rčaction. On ne saurait cependant nier, que la Involution de 1789, ainsi que l’Empire, n’aient. seme un nouveau germe de vie sur le champ litteraire. i* A ce temps on ne se soucia plus des productions frivoles de l’epoque pre-cčdente: les formes de la sociötö čtant changöes, les belles - lettres devaient aussi prendre de nouvelles formes. Le grand courant de la lil.terat.ure, qui coule ä cötö de eelui de la societe, rčflčchissait ä sa surface toutes les secouses que la revolution imprimait ä la societč. La lutte contre les entraves des conventions traditionnelles amena aussi un eloignenient des idees et des habitudes ä l’egard du gout et de 1’art. Les orages politiques, qui ebranlörent 1’Europe pendant 1’Empire, eurent pour efTet non seulement. un plus grand rapprochement des peuples civiliste de 1’Europe, mais aussi un echange mutuel des idees et des productions de 1’art et de la science: ils rendirent les Frangais sensibles aux oeuvres poötiques des autres peuples. C’est, sur-tout la vie intellectuelle des Allemands, que les Francjais apprirent ä con-naitre et ä apprčcier; ils reconnurent dans leurs voisins d’outre-Rhin non plus des eleves aptes k les imiter, mais d’heureux čmules. Voilä le veritable caractere de cette epoque, qu’on peut appeler ä raison l’öpoque reformatoire. L’element revolutionnaire, qui avait amene le bouleversement le plus complet. dans toutes les conditions sociales, ne se fit pas encore valoir sur le champ de la poesie et de 1’art. La (črnici te au contraire, avec laquelle on tenait en lit.terat.ure aux idees anciennes, contrastait bien vivement, avec l’acharnement qu’on mettait k combattre et k detruire tout ce qui existait. Cependant., k cöte des poetes qui se tenaient. encore sur le sol du dix-huitieme siöcle, d’autres se faisaient dejä valoir, qui portaient en eux le gerne des temps modernes, et qui furent les precurseurs et les fondateurs de la littörature frangaise moderne. Pendant la revolution toute l’activite litteraire etait bornCse aux journaux et aux pamphlets, et ce n’est que Feloquence parlementaire, qui atteignit un haut degre de perfection et parvint ä l’apogöe de son deve-loppement. La plupart des productions poetiques et. littčraires se rapportaient seulement au moment actuel, en disparaissant avec lui. Cela vaut. de toutes les poesies lyriques ou autres poesies d’occasion, qui ont ete recueillies dans les «Poesies nationales de la rčvolution fran<;aise». Napoleon I ne faisait. rien pour devenir le fondateur d’une nouvelle 6re de la literature. G’etait sa maxime, vu qu’il craignait trop la puissance de la parole, dont, il savait lui-meme se servir avec tant de succßs. Ce ne sont que les sciences exactes qui furent encouragees et protegees par l’empereur. Quant aux belles-lettres, il donna la preference ä l’öcole, qui se tenait aux idees innocent.es du classi-cisme. Napoleon s’aliena par lä les hommes les plus remarquables de son temps, qui portaient en eux le germc de l’avenir. La Restauration ne fut non plus favorable au nouvel esprit, qui commemjait ä s’eveiller. Elle aurait voulu faire revivre la litterature des siecles passes; eile aurait pröförö une poesie courtisane. Mais le caractere de la nalion avait entierement. changö. L’idee que les talents ne sont pas le patrimoine exclusif d’une 6cole ou d’un pays gagnait du terrain de plus en plus, et. la meine France litt6raire, qui avait auparavant donne des lois aux autres peuples en matiere de goüt, fut aussi peu en etat de resister aux forces reunies de ces peuples, que la France poli-tique ne put resister aux armes des allies. La France litteraire essuya une defaite intellectuelle, tout comme la France politique dut endurer l’invasion etrangere. La nouvelle generation d’ecrivains jeta loin d’eile les chames rouillees de la tradition litteraire et chercha ses sujets non plus exclusivement. au pied du tröne, mais aussi dans les chaumieres du pauvre. Les prin-cipaux fondateurs de cette ecole furent Chateaubriand, Mme. de Stael et Charles Nodier, qui se rattachent ä quelques ecrivains de l’epoque precedente et surtout ä Saint-Pierre, qui de sa part. se rallie ä Rousseau. Ce fut sur-tout Chateaubriand, qui s’avancja hardiment sur le chemin fraye par ses devan-ciers. II eut le merite d’introduire dans la poesie fVannaise, qui jusque lä avait ete artificielle et froide, mais qui, par rapport ä la forme, avait atteint. le plus haut degre de perfection, le souffle nouveau et rafraichissant, qu’il avait apport.e des forets vierges de l’Amörique; il y introduisit aussi le sentiment religieux, en rompant. par lä la puissante influence de Voltaire. Francois Rene Comte de Chateaubriand naquit au chäteau de Combourg prčs de St. Malo en Bretagne en 1768. II etait donc presque contemporain de Napoleon et neuf ans plus jeune que Schiller. Dans les reves de sa premiere enfance retentissait le bruit des vagues de l’Ocean Atlantique; en inter-rompant ses jeux du premier äge, il ecoutait dans une sorte d’extase la voix de la mer, lui revelant les premiers mysteres d’un monde inconnu! Les som-bres couloirs du vieux manoir, oü les pas de l’enfant reveillait un echo rčson-nant, les sombres escaliers pleins de mystere, les nombreux recoins obscurs du vieux nid feodal ne pouvaient que favoriser et augmenter le developpe-ment exclusif et incomplet de son caractere melancolique et fantastique. La fortune de la famille devant echoir en partage ä son frere aine, le jeune Chateaubriand regut d’abord l’instruction necessaire pour la marine; il etudia au College de Dol, puis ä celui de Rennes. Ayant subi ses examens de marine, le futur aspirant attendait ä Brest son brevet, lorsqu’un jour, il fut reveille par le bruit du canon, mele aux acclamations d’une foule immense, accourue sur les remparts, pour saluer la flotte qui revenait d’Amerique avec l’armee franc;aise, qui avait combattu pour l’indöpendance des Etats-Unis. C’est. lui-meme qui nous decrit. avec la plus vive emolion cette enlrce triomphale de l’armöe victorieuse, qui revenait en France, et dans les rangs de laquelle il trouve des anciens camarades d’enfance. Le lendemain il quitte Brest nuitamment et sans expliquer ses motifs ä qui que ce soit, il tombe comme des nues ä Combourg, oü il annonce ä ses parents stupefaits qu’il s’est de-couvert, la vocation ecclesiastique, et qu’il vient se pröparer ä recevoir les ordres sacres. Par cette declaralion il se concilia l’appui cordial de sä pieuse mere, et ne trouva pas d’opposition de la part de son pere, qui au fond 6tait content de voir assure l’avenir de son fils cadet, qu’il n’avait plus besoin de pousser et. de pourvoir. D’aprös les conseils de sa m6re, le jeune homme passe quelque temps pres de ses parents pour čprouver sa vocation; une grave maladie, qui met ses jours en danger, l’oblige de prolonger ce sejour et d’ajourner la realisation de son projet, en lui revelant en meine temps le veritable etat de son äme et les troubles naissants de son coeur. Revenu ä la vie, ce n’est pas la religion qui occupe son esprit et qui remplit son coeur, mais une creation de sa fantaisie, une «magicienne» — comme il l’appelle — une femme, que son imagination pare de toutes les gräces et de tous les charmes. C’est. le fruit de ses longues insomnies, de la lecture des poetes Horace et Tasse et des vagues aspirations de son coeur. Dans le premier tome de ses «Memoires d’outre-tombe» Chateaubriand peint lui-meme l’6tat de son äme ä ce temps: «Les facultes de mon äme — dit-il — s’exalterent jusqu’au delire; je montais avec une magicienne sur les nuages; roule dans ses cheveux et dans ses voiles, j’allais, au gre des tempetes, agiter la cime des forets, ebranler le sommet des montagnes, ou tourbillonner sur les mers. Les mondes etaient livres ä la puissance de mes amours, et les paroles que j’adressais ä cette femme auraient rechauffe le marbre des tombeaux. Vierge et amante, £ve innocente, Evc tomböe, l’enchanteresse, par qui me venait ma folie, 6tait un melange ineffable de mystere et de passion. Le roulement du tonnerre sur les combles du chäteau excitait mon enthousiasme; comme Ismen sur les remparts de Jerusalem, j’appelais l’orage, esperant qu’il m’appor-terait Armide». Le marin, comme le pretre manquö, dut. alors plier sous la main severe du vieillard, sous lequel avait tremble son enfance, et qui se regardait comme le maitre absolu de la destinee de ses enfants, qu’il n’interrogeait. aucunement, En lui remettant un jour le brevet de sous-lieutenant dans le regiment de Navarre, qu’il avait obtenu pour lui, son pere lui dčclara qu’il etait temps de mettre fin ä une oisivete compromettante, il lui donna sa benediction et l’envoya ä l’armee. Arrive au regiment, le jeune homme, qui n’aimait pas la vie de garnison et qui se souciait fort peu des soins et des devoirs de l’etat militaire, vint en 1789 ä Paris et il y passa presque tout son temps, jusqu’au printemps de l’annee 1791, oü il s’embarqua pour l’Amerique. En qualit.6 de neveu du ministre Malesherbes, Chateaubriand fut accueilli dans les cercles les plus distingues de la capitale. C’est lä qu’il fit son debut, littčraire en publiant dans «l’Almanach des Muses» une idylle fort sentimentale: «L’Amour de la Campagne», qui, bien que louee par Laharpe et par Chamfort, n’eut qu’un succes fort modeste, et n’attira pas l’attention du public sur l’auteur. Apres avoir assiste au spectacle des premieres journöes de la Revolution, le jeune royaliste s’embarque pour l’Ameriquo, ayant l’intention d’explorer la mer Polaire; il met dans son sac de voyage fort peu d’espöces, mais les poetes qu’il ne quitte jamais, Homere, Virgile, Le Tasse et Gamoens. Arrivö ä Baltimore, il change d’idöe, et au lieu de marcher par terre vers le pöle, coinme il le voulait d’abord, il se dirige vers les grands lacs du Canada, afin de visiter le Canada frangais, oü il trouve les souvenirs de la France, ainsi que les merveilleuses beaut.es d’une nature vierge et sauvage, qu’il allait reveler ä l’Europe litteraire dans ses peinlures immortelles. Apres avoir vecu une annee entiere avec les Indiens des forets de l’Amerique, Chateaubriand, dont les ressources pecuniaires etaient epuisees, et qui avait appris la fuite du roi Louis XVI pour Varennes, se bäte de revenir en Europe. II n’avait. ä la verit.6 fait aucune decouverte au delä de l’Atlantique, mais son voyage ne fut pourtant pas sans utilite. II emportait une source inepuisable de laquelle son genie fit plus tard jaillir les episodes «Atala», «Rene», les • Natchez» ainsi que les plus helles descriptions du «Genie du Christianisme». A sa rentröe en France, apres avoir epouse une jeune fille reputee trös-riche, dont sa famille lui avait menage la main, notre auteur se rend ä Bruxelles et de lä ä l’armee du prince de Conde. Blesse assez dangereusement ä la bataille de Thionville, Chateaubriand malade et pauvre se rendit en Angle-terre, oü il vecut plusieurs annees dans la plus profonde indigence. Soulage par quelques personnes charitables, Chateaubriand y gagnait sa vie en don-nant des legons de frangais et en faisant des traductions pour les libraires. Cependant il ne tarda pas ä se faire connaitre par son activite litteraire. En 1797 il publia son «Essai politique et moral sur les revolutions anciennes et modernes, consideröes dans leurs rapports avec la revolution francaise». Dans ce fruit d’etudes assidues, l’auteur täche de prouver la grande analogie des revolutions politiques precedentes avec la revolution frangaise. Mais vers ce temps un changement sensible s’opere dans les idees et dans les sentiments de Chateaubriand. A la maladie et aux privations de toute sorte, qu’il eprouvait en Angleterre, s'ajouterent maintenant des soufTrances morales, qui en influenrant. puissamment son esprit., produisirent le revirement le plus complet dans sa maniere d’envisager la religion. Sa soeur bien-aimee fit parvenir ä l’exile de bien tristes nouvelles par rapport ä leur mere. Cette derniere etait passee du chäteau de Combourg dans une triste prison et venait de mourir au fond de la Bretagne, profondement affligee de ce qu’on lui avait rapporte sur les erreurs consignees par son fils dans «l’Essai» prečite. La pauvre femme plagait cette derniere epreuve fort au dessus de toutes celles, qui avaient rempli sa vie. Sa soeur, qui lui mandait ces soufTrances et cette mort, et qui y ajoutait ses propres plaintes tres-tendres, ne survecut elle-meme ä sa lettre que peu de jours. «Ces deux voix sorties du tombeau — dit Chateaubriand dans les «Mömoires» — cette mort qui servait d’inter-prete ä la mort, m’ont frappe: je suis devenu chrčtien. Je n’ai point cedö, j’en conviens, ä de grandes lumieres surnaturelles: ma conviction est sortie du coeur; j'ai pleure et j’ai cru ... Je m’exagerais ma faute; «l’Essai» n’etait, point un livre impie, mais un livre de doute et de douleur. A travers les tenčbres de cet ouvrage se glisse un rayon de la lumiere chrelienne, qui brilla sur mon berceau». II ne fallait pas un grand effort pour revenir du scepticisme de «1’Essai» ä la certitude du «Genie du Christianisme». Immediatement apres son retour en France par ut en 1800 «Atala», ce premier temoignage de sa nouvelle tendance, roman qui eut un tel succčs, que depuis «Paul et Virginie» n’a eu aucun autre roman en France. En 1802 Chateaubriand fit parattre le «Genie du Christianisme», dont «Atala», qui en est un Episode, forma le 18e. livre. «Une espece de fievre — dit Chateaubriand dans les «Mčmoires» — me devora pendant tout le temps de ma composition. On ne saura jamais ce que c’est que de porter ä la fois dans son cerveau, dans son sang, dans son äme, «Atala» et «Rene» et de meler ä l’enfantement de ces brülants jumeaux le travail de conception des autres parties du «Genie du Christianisme». Le premier dčsir de gloire enflammait mon imagination exalt.ee; je voulais un grand bruit, afin qu’il montat. jusqu’au sejour de ma mere, et que les anges lui portassent ma sainte expiation». Cette apologie du Christianisme, par6e de tous les charmes de l’öloquence et de la pofeie, laisse clairement entrevoir le combat, qui se livre dans le coeur de l’auteur, entre les idees, que lui donne la philosophie et celles que lui inspire la poesie. Son but est d’eclairer au moyen d’une philosophie religieuse l’obscurite chaotique de la vie humaine. A son apparition le «G6nie du Christianisme» eut un succes beaucoup plus grand, que l’auteur ne l’avait espčrč et il lui assura une place Eminente parmi les ecrivains de sa nation et de son temps. II dedia son oeuvre ä Bonaparte et la dödicace trös-flatteuse qu’il lui adressa plut beaucoup au premier Consul, qui, justement occupe ä. rötablir l’autorite de l’ßglise dans l’interet de ses idees politiques, se montra fort reconnaissant. envers l’apötre de doctrines si loyales. «Atala ou l’amour de deux sauvages dans le desert» est le fruit de ses croyances religieuses et politiques, ainsi que de sa pi6t6 sincere et profonde. En voilä le contenu. Un sauvage d’Amerique de la nation indienne des Natchez, dont la puissance 6tait redoutable dans les contrees du Meschacebe, — veritable nom du Mississipi — a quitl.e son pays pour se rendre en France. Revenu dans sa patrie, il y möne la meme vie qu’avant. son depart, et atteint. un ilge fort avance. Un Europeen, Renö, qui veut s’ötablir dans la möme contree, le rencontre par hasard. Le sauvage, dont le nom est Chactas, lui raconte son histoire. Cette scene se passe sur les bords du Meschac6b6, que l’auteur peint, avec autant de force que de beaute. Fait, prisonnier par une nation ennemie, Chactas est condamnö ä fttre brüle vif. Cependant les femmes ont pitie de lui, et Atala, une jeune fille, qui en devient amoureuse, le delie de l’arbre, oü on l’avait attachö et pour echapper au danger, auquel eile s’exposait. d’ötre brulee ä sa place, s’enfuit avec lui dans les deserts. Leurs aventures pendant. la fuite, les sentiments qui les agitent, tels que l’angoisse, l’espörance, l’amour, le repentir sont peints d’une rnaniere vraiment admirable. Atala, 6lev6e dans le Christianisme, a prornis k sa mere de garder sa virginite pendant toute sa vie. Les deux fuyards sont pres de succomber ä la passion, lorsqu’ils entendent la cloche du pere Aubry, missionnaire qui s’etait retirö dans les deserts. Voilä ce qui leur donne la force de resister k l’impulsion des sens. Le missionnaire recueille Chactas et Atala dans sa pauvre cabane; le lende-main ils assistent k la messe, que le pere Aubry celebre en plein air. Agitee entre l’amour qu’elle eprouvait pour Chactas, et le voeu de chastet.6, qu’elle avait fait k sa mere, Atala s’empoisonne et meurt. Quelques jours apres le pere Aubry obtient la couronne du martyr. Le petit roman: »Les Aventures du dernier des Abencerrages», parut la premiere fois dans les «Oeuvres completes», dont il forme le .sei/.ieine volume. Le dernier rejeton de l’illustre famille des Abencerrages, qui avaient regne pendant plusieurs siecles ;\ Grenade, pousse par la douleur et la vengeance vient, voir la ville, oü ses ancetres avaient reside et de laquelle les Espagnols les avaient chassčs. La vue de dona Blanca, la jolie ftlle du duc de Santa-Fe, de laquelle il devient. passionnement amoureux, lui fait. oublier le motif, pour lequel il etait venu ä Grenade. Blanca partage ses sentiments, sans apprendre de lui le secret de sa naissance. Un message de sa mere mourante rappelle le More k Tunis. A peine a-t-il rempli les derniers devoirs, qu’il se häte de faire retour en Espagne, oü il passe une annee tres-heureuse aupres de sa bien-aimee. L’un et 1’autre sont intimement altaches ä leur religion et c’est en vain que chacun d’eux täche de convertir 1’autre. Ils se separent de nouveau sans avoir cede ä leur passion. La troisičme fois qu’Aben-Hamet vient k Grenade, il trouve pres de Blanca son frere Don Garlos et Lautrec, jeune Fran<;ais, que son frere veut lui faire epouser. L’amour et la jalousie amenent, un duel entre les deux rivaux, dans lequel le Franc,•ais est vaincu et doit la vie k la generosite de son rival. Sur de 1’amour de Blanca et s’etant. gagne 1’amitie de Don Carlos, Aben-Hamet veut surmonter toutes les difficultes, qui s’opposent ä son mariage avec Blanca. C’est ä ce moment qu’il apprend par une chanson, que Don Carlos chante, que ce dernier est le fils du guerrier de la famille du Cid, qui a Iu6 le grand-pere du More. Empörte par la colere, il se fait connaitre pour le dernier des Abencerrages, en declarant. qu’il elait venu ä Grenade pour venger la mort de son grand pere sur le petit fils du Cid. Sur cela Don Carlos lui offre un duel ä mort, ou bien la main de Blanca, ä la condition qu’il em-brasse le Christianisme. Hamet. invite sa bien-aimee k decider sur ce qu’il devait faire pour etre digne de son amour. «Betourne dans le desert!» s’ecrie Blanca, et eile s’evanouit. «Aben-Hamet se prosterna, adora Blanca encore plus que le ciel, et sortit sans prononcer une seule parole. Des la nuit meme il partit pour Malaga, et s’embarqua sur un vaisseau qui devait toucher ä Oran. II trouva campče pres de cette ville la caravane, qui tous les trois ans sort du Maroc, traverse l’Afrique, se rend en Egypte et rejoint dans l’Yemen la caravane de la Meccfue. Aben-Hainet. se mit. au nombre des pelörins» On n’a jamais su quelle fut. sa destinče.» Le second episode du «Gčnie du Christiani sme», qui est. une elegie bien plus qu’un roman, «Rene» se rattache ä «Atala»: La scene se passe dans les memes endroits, on y trouve les memes personnes; mais la vie, les sentiments et. surtout 1’idee fondamentale, tout cela differe du roman qui le precede et avec lequel il a de commun que lous les deux ont exerce une influence immense sur le developpement de la litt.6rat.ure fran^aise. En venant au monde, Ren6 coüte la vie k sa mere. Toute son existence r6pond ä ce triste commencement. Son humeur est impel.ueu.se, son caractere inegal. «Tour ä tour, — comme il le dit lui-meme, — bruyant et joyeux, silencieux et triste, je rassemblais autour de moi mes compagnons; puis les abandonnant tout ä coup, j’allais m’asseoir ä l’ecart pour contempler la nue fugitive, ou entendre la pluie tomber sur le feuillage». Ayant. perdu son pere et ayant du quitter le toit paternel, devenu l’heritage de son frere aine, Rene eut un moment la tentat.ion de cacher sa vie dans un monastere voisin de son nouveau sejour. Dans le recit qu’il fa.it. de sa vie au vieux Chactas et au pere Souel, «je vois encore — dit-il, — le melange majestueux des eaux et des bois de cette antique abbaye, oü je pensais dörober ma vie aux caprices du sort; j’erre encore au declin du jour dans ces cloitres retentissants et solitaires. Lorsque la lune eelairait ä demi les piliers des arcades et dessinait. leur ombre sur le mur oppose, je m’arrötais ä contempler la croix, qui marquait. le champ des morts, et les longues herbes qui croissaient entre les pierres des tombes. 0 hommes, qui ayant vecu loin du monde, avez pass6 du silence de la vie au silence de la mort, de quel degoüt. de la terre vos tombeaux ne remplissaient point mon coeur! Soit inconstance naturelle, soit. prejuge contre la vie monastique, je changeai mes desseins: je resolus de voyager». Apres avoir parcouru unc partie de l’Europe, sans pouvoir vaincre sa tristesse toujours croissante et voyant, partout des objets, qui donnaient. un nouvel aliment ä sa melancolie, mecontent. de tout., fatigue de la vie, le coeur rempli d’une amertume indefinissahle, Ueno revient en France, oü il trouve une nouvelle general.ion et un et.at de la societe, qui lui fait pressentir le bouleversement. qui va bientöt arriver. Sa soeur Amelie, la seule personne qu’il aimät ä ce monde, et dont il füt aime, portait, aussi dans son coeur le gerrne d’une pareille tristesse. «Elle avait quilte Paris quelques jours avant mon arrivee. Je lui ecrivit, que je comptais aller la rejoindre; eile se häta de me repondre, pour me detourner de ce projet, sous pretexte qu’elle etait. incertaine du lieu, oü l’appelleraient ses affaires......... Je me Lrouvai bientöt plus isole dans ma patrie que je ne l’avais 61.6 sur une terre etrangere». Cet isolement. ne fit qu’augmenter sa tristesse et ne Irouvant aucun remede ä cette etrange blessure de son coeur, Ren6 resolut de quitter la vie. Sa soeur decouvre son intention, eile accourt ä lui et l’en detourne. lis passent ensemble quelques heures heureuses, mais une secrete douleur eloigne de lui sa soeur, et la fait entrer dans un couvent, Rene assiste ä la cereinonie. II la voit. prendre le voile, lui couper les cheveux, la metlre dans le cercueil. On chante les cantiques funebres pour signifier qu’elle allait quitter le monde. II se met ä genoux ä cöte du cercueil et. «Tout ä coup — dit-il — un murmure confus sort. de dessous le voile sčpulcral: je m’incline et ees paroles epouvantables — que je fus seul ä entendre — viennent frapper mon oreille: «Dieu de misericorde, fais que je ne me relčve jamais de cette couche funebre, et comble de tes biens un frere qui n’a point, partage ma criminelle passion!» «A ces mots, echappes du cercueil, l’affreuse verite m'eclaire: ma raison s’egare, je me laisse tomber sur le linceul de la mort, je presse ma soeur dans mes bras, je m’ecrie: Chaste epouse de Jesus - Christ, re<;ois mes derniers embrassements ä travers les glaces du trepas et les profondeurs de l’eternite, qui te separent. de ton frere». Rene quitta l’Europe pour passer en Amörique, oü il se fit guerrier d’une tribu indienne. Dans «les Natchez», troisieme roman de ce genre, Chateaubriand continue l’histoire de Rene. Ce n’est pas une «epopee de l’homme et de la nature humaine», comme l’auteur nomme ce petit roman, mais bien plutöt un produit de la «litterature de boue et de sang» dont. Chateaubriand est le precurseur. Arrive au pays du Meschacebč, Renč, conseillč par Chactas et. par le pere Aubry, prend pour femme la jeune Celuta, dont il est tendrement aime. II vit avec eile plusieurs annees, sans trouver le bonheur, car il ne l’aime pas. En vivant avec les sauvages, Renč prend part ä leurs chasses et ä leurs guerres. Un chef des Natchez, Ondure, aime d’Ackensie, un des chefs feminins de la meme tribu indienne, que, de sa part il n’aime pas, voit dans l’amour de cette femme un moyen de s’emparer du pouvoir, et commel. les plus affreuses atrocites. Dans une guerre contre les Illinois il fait tuer le chef «Soleil» par son propre peuple, il livre Rene aux ennemis, il fait prisonniers les deux Sachems Chactas et Adario, qui jouissaient d’une grande autorite aupres des Natchez, fait jeter Ackensie dans un inarais, plein de serpents ä sonnettes, deshonore la jeune Celuta evanouie, et. tombe enfin lui-meme sous les coups du frere de cette derniere. Malgre quelques endroits beaux et meine sublimes, ce roman fourmille d’horreurs et d’atrocites. II est. maintenant hors de doute, que dans Rene Chateaubriand s’est peint lui-meme, du moins tel qu’il etait dans sa jeunesse. Julian Schmidt soutient meme dans son histoire de la litterature frangaise, qu’il est rcst.e tel toute sa vie. Ce roman n’est donc pas la peinture d’un sentiment, passager, mais une veritable confession, bien que les Memoires d’outre- tombe n’en donnent qu’un bien faible indice. Ce qui est cependant encore plus remar-quable et plus sür, c’est que Rene offre un caractere general du temps, dessine d’abord par Jean Jacques Rousseau, en Allemagne par Goethe dans «Werther», par Friedrich Schlegel dans son roman «Lucinde» et. avant, lui par Tieck et Jean Paul — car non seulement. l’amour pour une soeur, mais plus encore la melancolie de parti pris, le «Weltschmerz» le mal de Ren6, de Werther, d’Obermann, etait devenu une mode, un trait caracteristique du temps. Apres lui avoir donne le privilege de rediger ensemble avec Fontane et Laharpe le «Mercure de France» journal tres - conservatif, Napoleon envoya Chateaubriand en 1803 ä Rome en qualit.6 de söcretaire de l’am-bassade fran^aise. Ici commence la carriere diplomatique de Chateaubriand. Des differends, qu’il ne tarda pas d’avoir avec le Cardinal Fesch, le pousserent ä quitter bientöt sa place pour revenir ä Paris. Bonaparte le nomma alors ambassadeur de France pres de la republique de Wallis. Les relations ami-cales entre le poete et l’empereur semblaient defmitivement fixees, lorsque l’execution du Duc d’Enghien lui ouvrit, les yeux sur le verkable caractere de Napoleon; il se dčtaeha tout. ä fait et ä jamais de lui, en devenant depuis ce moment, legitimiste de profession. En 1806 Chateaubriand entreprit un voyage en Orient, d’oü il revint en 1807 ä Paris. L’epopee religieuse «Les Martyrs oü le triomphe de la religion chretienne» et. «l’Itinöraire de Paris ä Jerusalem et. de Jerusalem k Paris» furent les fruits de ce voyage. La premiere de ces oeuvres a une tendance egale ä celle du «Genie du Christia-nisme». La mythologie de tous les peuples, l’archöologie, la Bible, les Actes des Saints, les creations poe.tiques de Milton, ses aventures personnelies au milieu des sauvages de l’Amerique, tout. a contribue dans ce livre ä la glorification du Christianisme. «L’Itineraire» est riche en excellentes peintures de la nature, dans lesquelles ce veri table maft.re de la prose poetique excelle au plus haut, degre. Ces deux oeuvres caracterisent. suftisamment les tendances du poete qui plaide pour le Christianisme; il n’est. pas l’apötre de l’ascetisme; il ne fait. pas des recherches minutieuses sur l’avenir du Christianisme: il se borne ä conjurer les Chretiens ä garder avec tenacite ce que l’Eglise a obtenu au prix de tant de souffrances et. de martyrs. Bien que Chateaubriand fit dans le «Mercure» une guerre ouverte ä Napoleon, celui-ci ne voulut pourtant pas priver «rinstitut.» du talent, le plus brillant de son temps: il lui accorda le fauteuil academique, qui elail, reste vacant en 1811 par suite de la mort de Joseph Chenier. Le nouvel academicien, ä qui le gouvernement, imperial avait. öte le privilege de rediger le «Mercure», mena jusqu’ä la fin de l’Empire une vie trčs-rčtirče et. ne se mela plus de politique. II ne pouvait ä la verite refuser son admiration ä la gloire militaire de la France, fruit des victoires de Napoleon, mais il sentait. une Sympathie de plus en plus vive pour des aspirations secreles des Bourbons. Dans son agi-tation joyeuse le poete celebra le 31 Mars 1814 la chute de l’empereur par une brochure mesquine, indigne de lui et de sa gčnčrosite habituelle. «11 a plus corrompu les hommes, — s’ecrie-t-il, — plus fait de mal au genre humain dans le court espace de dix annčes, que tous les tyrans de Rome ensemble depuis Nčron jusqu’au dernier persčcuteur des Chretiens Encore quel- que temps d’un pareil regne, et la France n’eut plus 6t.<5 qu’une caverne de brigands». II jeta la coearde tricolore pour prendre les lis; il flatta les Bourbons, et il alla meine jusqu’ä remercier les troupes etrangeres d’avoir delivrč la France! Le liberal modere etait devenu tout, k coup un royaliste trös-fanatique, et le philosophe des deserts de 1 ’Amörique s’etait change en philosophe des Tuikyies! Chateaubriand resta fidele ä ce systeme pendant tout le reste de sa vie. Ses «Reflexions politiques sur quelques äcrits du jour et sur les interets de tous les Frangais» lui servirent de puissante recoinmandation pour le ministöre de Louis XVIII, et commencerent sa for-tune polilique. On lui ofl'rit la place d’ambassadeur de France ä Stockholm, ä la cour de Bernadotte, oü il n’ötait pas disposö ä se rendre. Et en effet le legitim iste acharnö aurait dü sejourner ä la cour d’un parvenu, d’un ci-devant general de l’empereur et s’approcher respectueusement de son tröne! Le retour inattendu de Napoleon de l’lle d’Elbe le tira d’embarras. II suivit le roi ä Gand comme ministre des affaires etrangöres et il lui soumit en cette qualite un rapport. fort Strange sur l’ötat de la France au mois de Mai 1815. Apres la bataille de Waterloo, Chateaubriand revint avec son roi ä Paris, oü il se d6mit de son portefeuille et fut fait pair et conseiller du roi. Des ce moment. Chateaubriand plaida chaleureusement et combattit ä outrance dans les rangs des emigres et des aristocrates, pour le retablisse-ment des anciens Privileges de la noblesse et pour les idees feodales du moyen äge, qu’il regardait comme des institutions fort salutaires. En 1816 il publia la brochure politique «De la monarchie selon la charte» dans laquelle il dčveloppait par egard ä la Constitution des idees si peu pratiques et il avan<;,ait des doutes si peu convenables, que le roi Louis XVIII le raya de la liste des hommes d’Etat et des pairs. Le pavillon Marsan, qui faisait Opposition au gouvernement du roi, tendit alors la main ä l’illustre ecrivain, tombe en disgräce, qui depuis ce moment prit une part. trčs-active aux aspirations du parti ultra-royal. C’est dans ce sens qu’il ecrivit «Les Remarques sur les affaires du moment». Par suite des «Memoires, lettres et pieces authen-tiques touchant la vie et la mort du duc de Berri» Chateaubriand rentra en gräce et gagna ä tel point la faveur du roi, qu’on l’envoya Berlin en qualit6 d’ambassadeur extraordinaire, et ä son retour en 1821 notre čcrivain fut nomm6 ministre d’Etat et conseiller intime du roi. Louis XVIII l’envoya l’annöe suivante ä Londres pour y representer la France. Au congres de Verone nous le voyons parier en qualite de second ministre plenipotentiaire avec tant d’eloquence contre toutes les aspirations revolutionnaires qu’il öclipse le duc de Montmorency lui-meme. A son retour ;t Paris il remplaga ce ministre, en prenant. le portefeuille des affaires etrangeres, qu’il ne garda pas longtemps: N’ayant pu maitriser son 6lan romantique, Chateaubriand u tomba la seconde fois, et se mit ä combattre le ministöre Villele de toutes ses forces et par tous les moyens que lui offrait la presse. La brochure c Le roi est mort, vive le roi», lui gagna ä la mort de Louis XVIII de nouveau la faveur de la cour, sans lui ouvrir cependant. les portes du ministöre. C’est pourquoi l’illustre öcrivain resta dans l’opposition. La brochure «De l’abolition de la censure» fut approuvöe par tous les bien pensants. Dans la «Note sur la Gröce» notre auteur plaida la cause de la dölivranee de ce peuple du joug des Turcs. C’ötait bien ötrange ä la vöritö de voir le Champion de l’absolutisme jouer tout ä coup le röle d’un höros du jour vante et cölöbre par les liberaux et qui avait gagnö pour ses idöes et pour l’opposition au gouvernement la jeunesse, jusque lä royaliste, et jusqu’ä l’Acadömie elle-meme. Cependant les contradictions dans lesquelles Chateaubriand s’ötait engage finirent par user tellement le cölöbre öcrivain, qu’il se vit forc6 de se retirer presque tout ä fait de la vie politique pour s’appliquer de nouveau ä ses ötudes litteraires et historiques. Nous le voyons briller encore une fois dans la carriöre politique sous le ministöre Polignac qui l’envoya en 1828 ä Rome pour y reprösenter la France aupres du St.. Siege. C’est lä que Chateaubriand tint devant. le pape et les Cardinaux un brillant discours sur les progres du siöcle et de la civilisation. «Ce fut ä Rome, oü sa carriere officielle avait commencö en 1803 — dit. le Comte de Carnet de l’Acadömie fran<;,aise dans «l’ßtude sur la vie et les ouvrages de Mr. de Chateaubriand» — qu’elle s’acheva reellement en 1829, quoique le ciel lui röservät encore vingt annees d’une existence ä peu prös inutile ä la gloire de son nom». Cette gloire, — ajoutons-nous, — toute littöraire, est due sur-tout ä l’excollence de sa prose poetique, sur les riches sources de laquelle ce pröcurseur et premier chef de l’ecole romantique en France domine en maitre. II sait exploiter ses precieux et brillants trösors avec un charme si puissant, que le lecteur enchante et. ravi aper<;oit ä peine les defauts du genre. Son prestige litteraire est encore aujourd’hui si grand dans son pays, que pas un Fran^ais ä lite jusqu’ici en etat de prononcer sur Chateaubriand un jugement, qui soit absolument impartial. L’organe du parti rövolutionnaire dans le champ litteraire est. Mme. de Staöl, que la nature a fort heureusement. douee, et que la rövolution a formöe, dans la veritable acception du mot. Cette femme auteur, appelöe ä raison «une reine par la gräce de l’esprit.» a exerce sur la regöneration des belles-lettres en France une influence encore plus importante et plus durable que celle de son celebre contemporain, dont nous venons de parier. Ces «deux colonnes de triomphe ä l’entree du siecle» comme les appelle St. Reuve, sont insčparables dans le souvenii' plein de reconnaissance de la postörite. Madame de Stael aspirait ä combler la forme vide de la poösie de son temps; eile voulait trouver les regle« gönerales du gortt, pour les substituer aux thöories esthetiques de convention, tout particulierement frangaises, qui čtaient alors en vigueur en France; eile cultivait. enfin les littčratures etrangeres pour en introduire 1’etude et la connaissance solide et exempte de prejuges dans son pays, oü l’on pensait. avoir depasse en litterature tous les siecles et tous les pays. «Douöe — dit Demogeot — de tous les talents, accessible k toutes les id6es vraies, ä toutes les einotions genereuses, amie de la liberte, passionnee pour les člegances de la societe et des arts, par-courant tour ä tour toutes les rögions de la pensee, depuis les considärations severes de la politique et de la philosophie, jusqu’aux spheres les plus brillantes de l’imagination, eile reunit tous les elements les plus divers, mais sans con-fusion et sans disparate. Une harmonie pleine de beaute coordonne chez eile toutes les forces de l’esprit et du coeur>. Comme nous avons fait pour Chateaubriand, nous suivrons aussi Madame de Stael dans toute sa vie, non seulement. parce que sa vie tient aux evenements politiques sans lesquels on ne saurait se former une idee juste de cette femme superieure, mais aussi parce qu’elle exer von Pellegrini und aus «Promessi sposi» von Manzoni mit sprachlicher und sachlicher Erklärung und mit Wiederholung der Grammatik. Mittheilung von Notizen über die Lebensverhältnisse und literarischen Leistungen der in den Lesebüchern vertretenen Schriftsteller. Monatlich eine Schul- und eine Hausaufgabe. Geschichte, 3 St. wöch.: Geschichte des 18. und 19. Jahrhunderts mit Hervorhebung der culturhistorischen Momente; Wiederholung der einschlägigen Geographie; Übersicht der Statistik Österreich-Ungarns mit Hervorhebung der Vorfassungsverhältnisse. Mathematik, 5 St. wöch.; a) A lgeb ra: Wahrscheinlichkeits- und Lebensversicherungs-Rechnung; Berechnung des Moduls und Arguments; graphische Darstellung complexer Grössen. — b) Geometrie: Analytische Geometrie in der Ebene; sphärische Trigonometrie; Wiederholung des gesammten Lehrstoffes durch Lösung von Übungsaufgaben. Naturgeschichte, 3 St. wöch.; a) Mineralogie: Krystallographie; Mineralphysik und Systematik. — b) Geologie: Die einzelnen Glieder des Erdganzen; dynamische Geologie; Petrographie und Formationslehre, Physik, 4 St. wöch.: Magnetismus; Elektricität; Optik; Wärmelehre; astronomische Grundbegriffe. Darstellende Geometrie, 3 St. wöch.: Vervollständigung des in der V. und VI. Classe vorgenommenen Lehr- und Übungsstoffes, betreffend die Berührungsaufgaben und Schatten-constructionen; Elemente der Linearperspective und Anwendung derselben zur perspecti-vischen Darstellung geometrischer Körper und einfacher technischer Objecte. Freihandzeichnen, 4 St. wöch.: Forsetzung der Übungen im Zeichnen der Köpfe, Büsten und Ornamente nach schwierigen Gipsmodellen; Übungen in der Perspective nach der Natur und im Gedächtniszeichnen. Der für alle Schüler obligate Turnunterricht wurde in Gemässheit des hohen Ministerialerlasses vom 20. September 1875, Z. 14 258, und im Sinne der mit dem hohen Ministerialerlasse vom 15. April 1879, Z. 5607, verlautbarten Instructionen von dem Turnlehrer an der hierortigen k. k. Lehrer-Bildungsanstalt, Herrn Julius Schmidt, ertheilt. Jede der vier Unterclassen hatte 2, die V. und VI. Classe gemeinschaftlich 1, die VII. Classe 1 Unterrichtsstunde wöchentlich. In Bezug auf die deutsche Sprache, Geographie und Geschichte, Mathematik, Naturgeschichte, Physik, geometrisches Zeichnen, darstellende Geomotrie, Freihandzeichnen und Schönschreiben sind sowohl inbetreff des für die einzelnen Classen vorgezeichneten Lehrzieles als der angesetzten wöchentlichen Stundenzahl die Bestimmungen des mit dem hohen Ministerialerlasse von 15. April 1879, Z. 5607, kundgemachten Normallehrplanes mit der für den Unterricht in der Geometrie und im geometr. Zeichnen im Sinne des hohen Ministerialerlasses vom 23. April 1880, Z. 6233, modificiertcn Lehrstoffverthcilung'zur vollen Geltung gekommen. Der Unterricht in der französischen, italienischen und slovenischen Sprache wurde gemäss den mit dem hohen Ministerialerlasse vom 3. Mai 1880, Z. 10 754, für diese Lehranstalt normierten Modificationen des Normallohrplanes ertheilt. Das Französische in der VI. und VII. Classe und ebenso das Italienische in der V. Classe war nur für jene Schüler obligat, für welche das Slovenische nicht obligat war. Das Slovenische als Unterrichtssprache kam nur bei diesem selbst in der I., II., III., V., VI. und VII. Classe in Anwendung, und wird «liese Einrichtung auch auf die IV. Classe ausgedehnt werden. 3. Lehrbücher, welche im Schuljahre 1882/83 beim Unterrichte benützt wurden. - SIT S'&.s J CS tJ S-c-S d c o ^sl j’S* .äs OJ2 u> CD So J= 0- 9 Ja ä,9'S * O fl O 4) ä bO £*ß .h ° •ii r~} ß a £ ä-ß ^ -So .T3 ^ J3 T3 -^ w bp £ °E£ 3 __; ■ Ü ja 0> tg to ^ bo . WA 3 . «> 53 « ‘g *§ JiS 8 s2°J ■S3 ri-S H = fc-S fen-gi? fco 3 ~ bo«; « J= n ö o _ *- "II •, t5 ,2 Cü ;u oU >N ... SÜ *-5 3 3 p • ■§|3 D m J3 CS £ q >ö« S-r£ p ja.ä | O w B’S r« *5 • CJ £ ß R .o l^-U .2 oi.ß O a.2 < •r' & | Q o i O I ja £ £ M O JV S2^n pH 33 c • 2 o fiSf p • ß—• Ö^O fl .ja . ß o . > s . fl J3 § 8 3J ,—. ro ui us>a • rü Cfl S •- S s afl sl°l e r- • "T3 fl . _r. -•StS •^ss? k° •■§ t5 ..ec b- o’Süi' «B -C9 o3^B .^T3 d-;s ^ri s°d || s ^*2 ja 0-5° O fcS-r . xO °2-S o ß ® 03 -T3 V • . ja H-I ü • • F— ©’S . O N t-sa S"c OVh N rC |R^ . :3 - £ . S 'S § _g a fl-ö CQ g g o G|dd . S •~o~! > ß *° § a § .0 - ei «s E l-S ^ aljs O T * . _a o i-H >4'S »iU 1-3-S.J •S 3°.sä m?. 9-v 2 <0 r^H r* o ”t3 ^ a 3 o, o“3 >-J3 iä“ > ja °h £ a « <1> ■g ® C/2 ä O C/2 'S a (/3 .-— g s o »_ Ä Ph i2^ g 0) ä ja*% £ ü < s‘° l> tTS-1; E «■< 0 .s 1) X pÜ3 K* o 2 . o ja «J •C B l| »■§ o> . •C a 2‘S 0 a a> . 15 !f <Ü fl 0 E w S ^r° ^ S3 CÄ •go •s * ä«*- r/i'a S-5 T3 cj §T3*S) 15« ||l o ja Xo Ul o» 3i ■ J2 H Beo -ß r •C Ja il 21 ^ ja ^_; J= *i 0 G • H 1^ ■-S3 ’C ja •< ä ‘a fc ji^ ^ a 0 "-CD | 6 •§! •ß 2 21 „ 0 •c ja j<< 3 1| ^ c a> I a r-ü O uj ja U rtcs »CU o o a 0^3 Qh «•3 1h h -ß uH 2«m' •gg s| u ja 'S H B -rl § .. “I ^ ea o H tfi ^ S 0) o SS o N -* co CO co O« 03 co -s] zusammon 6. Zur Statistik der Oberrealschule im Schuljahre 1882-83. 01M9}XS{ IID1SH «A|Jd aoinqofi •i»u*jug i i i i M im Ö 4= w co 60 a ö 12 cä s !»» *+-> ;H a> ’c •<-» d ß 4) C/3 — cd £ 2 ^ M«25**$ ® S ^ :3 a> 'c •“ rö .g :3 *g ^ S a fcO 60 O.0* :g ■—— a B £ n O, ^ £ O :cj ^ (D (fl tl) -s s S ** « »S,3S Ä § ftÄ 3 li*5 ®£ 2 ® is - s s-s g S 1 ■§ = £ a-s 3£ Ij- ß .S'Sl^l'S 42 & a> ß 5 ® O ’S 73 ® ß ^ £ g ß :d P- 3 • — <—« Ui n g bl) » 4) oD C bOfi a NH cd aj cd 5 £ C/3 BD.E1 C/2 eo 4= ►J W a> 'Ö ö W s 03 rn aj ®. .2 CQ ^ P M I D • "Ö HH (4 ® I I (MCßCDCC H rH OJ tH iO tH tH CO 03 CO 03 CO CO 03 rH CO -r* | | | 00 CO CO ^ »O | rH l> I> lO 00 I rH I I I I I I $ CO CO CO OH(MC0^iCC0I>0005C ß N 5Ž ft ß •*- qj tu -13-0 c rt £ !> f! 5 ® Cfi ® ts J3-S i y O :3 S c fH fl) 43 w ß g 3» Ö • O f- ß> •e.Sot^ S.S g.S c j= et U 33 ß 43 w „ ^ c« ed .2 tn D g^cc ® O ta-H <"rt C/3 ' Ü O ® W 'Ö .53.54 43 .S o s ^ Q- c/J C/3 ’f/j 0) :0 d 3 £P 3 a3 •—=* *iß c^» 43 ^ w ° feJS ž-§u ^3 J3 H O > t ß ® 0) rß CL) c« t>043 ’C § iS ö c ^ ^ c ^ ß t-l -P CU bß 7. Unterstützungsverein. Diesci- Verein lmt die Unterstützung dürftiger, gesitteter und fleissiger Realschüler durch Beischaffung von Schulbüchern, Zeichenrequisiten, Kleidungsstücken, Aushilfen in Krankheitsfällen u. s. w. zum Zwecke. Der Verein zählt gegenwärtig 98 Mitglieder, darunter 9 gründende und 89 unterstützende; seine Wirksamkeit ist aus dem nachstehenden, der Generalversammlung am 9. Jänner 1883 für das Jahr 1882 vorgelegten Rechnungsabschlüsse zu ersehen. Nr. Einnahmen fl. kr. 1 Casserest vom Jahre 1881 25 59 2 Geschenk von der krainischen Sparcasse 200 — 3 Hälfte des Reinertrages der am (i. Mai 1882 veranstalteten Schülerakademie 94 97 4 Geschenk des Herrn Waldherr und seines Institutes. . . 36 — 5 Legat, aus der Verlassenschaft des Herrn Malitsch . . . 25 — 6 » » » » » » Leopold Bürger 20 — 7 Mitgliederbeiträge 126 — 8 Coupons-Erlös 69 — Summe . . . 596 56 Nr. Ausgaben fl. kr. 1 2 Für Lehrbücher, Schreib- und Zeichenrequisiten .... > Aushilfen zur Zahlung des Schulgeldes, monatliche 320 26 und einmalige Geldunterstützungen 179 29 3 4 » Kleidungsstücke » den Druck und Einband der Vereins-Jahresberichte 56 50 5 pro 1881 » das Austragen dieser Jahresberichte und für das Ein- 11 cassieren der Mitgliederbeiträge pro 1882 4 50 6 Stempel für Quittungen — 63 Gesammtausgabe . . . 572 18 Casserest für das Jahr 1882 24 38 Summe . . . 596 56 Ausserdem sind dem Vereine nachfolgende Spenden zugeflossen: Von den Herren Eduard Mahr, Karl Till und Albert Zeschko eine grössere Menge Zeichen- und Schreibrequisiten; von der Buchhandlung Hermann und Altmann in Wien je drei Lesebücher für die 1. und 2. Classe; die «Laibacher Zeitung» nahm die Kundmachungen des Vereines unentgeltlich auf. Der Vereinsausschuss besteht aus folgenden Mitgliedern: Dr. Johann Mrhal, k. k. Oberrealschul-Director, Obmann; Friedrich Križnar, k. k. Oberrealschul-l’rofessor, Obmanns-Stellvertreter; Franz Kreminger, k. k. Oberrealschul-l’rofessor, Vereinscassier; Balthasar Knapitsch, k. k. Oberrealschul-l’rofessor, Vercinssecretär; Franz Eder, Bürger und Hausbesitzer; Franz Globočnik, k. k. Oberrealschul-Professor; Wilhelm Voss, k. k. Oberrealschul-Professor. Verz eich n is der p. t. Mitglieder des Unterstützungsvereines im Vereinsjahre 1882. Herr Auer Georg, Brauereibcsitzer. » Baumgartner Joh., Fabriksbesitzer. » Beischlag Karl, Director d. Gasfabrik. > Belar Leopold, Leiter der zweiten städtischen Volksschule. » Bili na Ferdinand, Bürger und Handels- mann. » Dr. Binder Josef, k. k. Oberrealschul- Professor. * Birschitz Erasmus, Apotheker. » Borg hi Josef, k. k. Oberrealschul- Professor. » Bürger Leopold, Handelsmann. Se. Excellenz Freih. Conrad v. Eybesfeld, Minister für Cultus und Unterricht. Herr De schm an n Karl, Museal-Custos. » Dimitz August, k. k. Oberfmanzrath. » Dreo Alexander, Sparcasse-Präsident, Handelsmann. » Dürr Julius, Handelsgärtner. » Eder Franz, Bürger. > Eger Franz Handelsmann. > Dr. Eisl Adolf, kais. Rath, Strafhaus- und Bahnarzt. » Dr. Fux Franz, Primararzt. » Gariboldi Ant. Ritter v., Landtags- Abgeordneter. » Globočnik Franz, k. k. Oberrealschul- Professor. » Gürke Anton, Sections-Ingenieur. » Hafner Jakob, Lehrer. » Höllriegel Josef, Oberingenieur. » Rittmeister Ludwig Graf lloyos. >. Hozhevar Joh., k. k. Regierungsrath. » Isatitsch Franz, k. k. Oberlandes- gerichts-Hilfsämterdirector. » Jagodic Emanuel, k. k. Steuer-Ober- inspector. » Janesch Johann jun., Fabriksbesitzer. » Janesch Johann sen.. Fabriksbesitzer. » Dr. Jarc Anton, inf. Propst. » Kästner Michael, Handelsmann. » Dr. Keesbacher Friedrich, Sanitäts- rath. » Knapitsch Balthasar, k. k. Oberreal- schul-Professor. > Kord in Josef, Handelsmann. Frau Koslor-Rudesch Marie. Herr Kottek Eduard, Hausbesitzer und Uhrmacher. » Kraup Moriz, Spinnfabriks-Director. » KremingerFranz, k. k. Oberrealschul- Professor. » Krisper Josef, Handelsmann. » Krisper J. Vincenz, Handelsmann. » Križnar Friedrich, k. k. Oberrealschul- Professor. » Levee Franz, k. k. Oberrealschul-Pro- fessor. Herr Luckmann Josef, Handelsmann. » Luckmann Karl, Handelsmann. » Luckmann Theod., Realitätenbesitzer. » Mahr Arthur, Lehrer an der Handels-Lehranstalt. » Mahr Eduard, Handelsmann. » Mahr Ferdinand, Director der Handels-Lehranstalt. » Maurer Heinrich, Handelsmann. » Mayer Emericb, Handelsmann. » Mi kusch Lorenz, Handelsmann. » Millitz Rudolf, Buchdruckereibesitzer. » Dr. Mrhal Job., Schulrath, k. k. Ober-realschul-Director. o Mühl ei sen Arthur, Handelsmann. » Perdan Johann, Handelsmann. » Dr. Pfefferer Anton, Hof- und Ge-richts-Advocat. » Pirc Karl, Cand. d. Prof. » Pirker Leopold, Handelsmann. » Pirker Raimund, k. k. Landes-Schul- schulinspector. » Plautz Johann, Handelsmann. Herr Dr. Pogačar Joh.Chrysostomus, Fürstbischof von Laibach, Comm. des Leopold-Ordens. » Pompe Karl, k. k. Baurath. » Pro ft Clemens, k. k. Oberrealschul-Professor. » Raič Anton, k. k. Oberrealschul-Prof. » v. Redange Josef, jubil. k. k. Land- tafcl-Director. Frl. Rehn Gabriele, Erziehungs-Instituts-Inhaberin. Herr Rudholzer Wilhelm, Uhrmacher. » Samassa Albert, Bes. d. gold. V.-Kr., k. k. Hof-Glockengiesser. » Samassa Ant., Ritt. d. Fr.-J.-Ord., Bes. d. a. g. Civ.-Ehr.-Med. und des gold. V.-Kr. m. d. Kr. » Dr. Schaffer Adolf, Landtags-Abge- ordneter. » Dr. Schindler Alb., k. k. Landes- Thierarzt. » Dr. Schrey Robert, Edl. v. Redlwert, Hof- und Gericbts-Advocat. » Seemann Ignaz, Handelsmann. » Senekovič Andreas, k. k. Oberreal- schul-Professor. » Simonetti Ferd., Hausbesitzer und Juwelier. Die löbliche krain. Spareasse. > » pr. Spinnfabriks-Gesellschaft. Herr Stäuber E. R. v., k. k. Oberrealschul-Professor. » Stedry Wenzel, jubil. Oberingenieur. Se.Excellenz Herr Dr. v. Stremayr, zweiter Präsident des obersten Gerichts- und Cassationshofes. Herr Stric, Privatier. » Dr. Suppantschitsch Franz, Hof-und Gerichts-Advocat. » Till Karl, Handelsmann. » Trcun Matthäus, Handelsmann. » Trinker Albert, Handelsmann. » Regierungsrath Professor Dr. Valenta Alois, Director der Landes-Wohl-thiitigkeits-Anstalten. » Verderber Johann, k. k. Steuer-Oberinspector. » Vilhar Johann, Privatier. » Vovk Franz, Privatier. Herr Voss Wilhelm, k. k. Oberrealschul-Professor. » Waldherr Alois, Instit.-Vorst. » Wehr Georg, Oberrealschul-Assistent. » Wehr Job., k. k. Oberrealschul-Pro- fessor in Klagenfurt. » Witschl Franz, Landesingenieur. > Zeschko Albert, Handelsmann. » Zeschko Julius, Procuraführer. » Ziakowski Emil, k. k. Oberrealschul- Professor. > Zöhrer Josef, Musiklehrer. In diesem Jahre ist dem Vereine ein Mitglied, nämlich Herr Andreas Malitsch, durch den Tod entrissen worden. Friede seiner Asche! Der Berichterstatter spricht im Namen der unterstützten Schüler allen Wohlthätern den innigsten Dank aus und erlaubt sich, den Verein allen edlen Jugendfreunden bestens zu empfehlen. 8. Aufgaben für die schriftliche Maturitätsprüfung im Julitermine 1883. Deutsche Sprache. Weltstellung des Hauses Habsburg im IG. Jahrhundert. Slovenische Spraohe. Kakö je nastala avstrijsko-ogerska država? Französische Spraohe. a) «Das Meer», ein Dictat, zu übersetzen ins Französische. b) «Servilius, accus6 d’avoir perdu quelques troupes en poursuivant l’ennemi aprös la victoire, se dčfend devant le peuple», ein Dictat, zu übersetzen ins Deutsche. Italienische Sprache. a) «Aus dem Leben Kaiser Josefs II.», ein Dictat, zu übersetzen ins Italienische. b) «Cristoforo Colombo», ein Dictat, zu übersetzen ins Deutsche. Mathematik. a) Eine dreissigjährige Person will ihren Erben 4500 fl. hinterlassen; welche Prämie hat sie zu diesem Ende am Anfänge eines jeden Jahres bei einer Versicherungsgesellschaft zu zahlen, wenn die Prämienzahlung bis zum 00. Lebensjahre der versicherten Person erfolgen soll, die Capitalsauszahlung am Ende des Todesjahres erfolgt und die Anstalt ihren Berechnungen 4% zugrunde logt. b) Von einem Punkte A in der Ebene am Fusse zweier sich über die Ebene 3600 Meter und 2470 Meter erhebenden Borge wird mittelst eines Theodoliten nach den Gipfeln derselben visiert, und cs werden die Verticalwinkel a = 22° 20'44" für die ersteren, ß = 19° 33' 13" für den letzteren und der Horizontalwinkel zwischen ihnen y = 36° 44' 14” gefunden. Es soll die Entfernung der Gipfel beider lierge berechnet werden. c) Die Seiten eines Dreieckes haben die Gleichungen AB . . . y = £ -f 2, BC . . . y = — x + 14, AC ...y = 3.r — G: ü es sind die Gleichungen der im Mittelpunkte der Seiten errichteten Senkrechten aufzustellen und die Coordinaten ihres Durchschnittspunktes zu finden. Darstellende Geometrie. u) Ein gleichseitiger Kegel ist zu construieren, wenn die Ebene der Basis M, der Mittelpunkt O der Kegelbasis und ein Punkt II der Mantelfläche des Kegels gegeben ist. b) Zwei Kugeln A und B und eine Gerade C sind gegeben. An A und B soll parallel zu C eine gemeinschaftliche Berührungsebene gelegt werden. c) Ein senkrechter Cylinder, dessen Basis in der Horizontalebene liegt, wird durch eine regelmässige fünfseitige Platte gedeckt; es ist das perspectivische Bild und der sich ergebende Schatten zu construieren. 9. Lehrmittel-Sammlungen. Die Bibliothek besitzt am Ende dieses Schuljahres 2776 Bünde, 1279 Hefte. Neue Anschaffungen: Lehr erb ibliuthek: Verordnungsblatt des Unterrichtsministenums pro 1883; Zeitschrift für mathematischen und naturwissenschaftlichen Unterricht, 14. Jahrgang; Zeitschrift für das Realschulwesen, 8. Jahrgang; Sklarek, der Naturforscher, 16. Jahrgang; Zeitschrift für analytische Chemie pro 1883; Journal für praktische Chemie pro 1883 ; der Naturhistoriker, 5. Jahrgang; Rabenhorst, Kryptogamenflora, 2. Aufl., 8. bis 11. Lieferung; Petermann, geographische Mittheilungen, 29. Band; Petermann, Ergänzungshefte 68 bis 71; Schumi, Archiv für Heimatkunde, 1. Band, 7. bis 16. Bogen; Zarncke, literarisches Centralblatt pro 1883; Jagid, Archiv für slavische Philologie, 3. bis 6. Band; Zopf, zur Morphologie der Spaltpflanzen; Leunis, Synopsis, II. Theil, 3. Auflage; die Völker Österreich-Ungarns, 4. und 8. Band; historisches Taschenbuch, 6. Folge, 1. und 2. Jahrgang; Corvin, Geschichte der Neuzeit von 1848 bis 1871, 15. bis 30. Lieferung; Häusser, Geschichte der französischen Revolution; Häusser, Geschichte der Reformation; Klopp, die Belagerung Wiens; Gretschel, Lehrbuch der Kartenprojection; Brockhaus, Conversaiions-Lexikon, 13. Auflage., 1. bis 4. Band; Bartoli, italienische Literaturgeschichte, 1. Band, 2. Theil; Fischer, die Grossmacht der Volks- und Jugendliteratur, 6. bis 10. Band; Grassauer, Bibliotheks-Handbuch. Schülerbibliothek-. Ljubljanski Zvon, 3. leto; Kres, 3. leto; Westerinann, illustrierte deutsche Monatshefte, 310 bis 320; Slovenska Talija, 60. zvezek, 2 exempl.; Chavanne, Ströme und Flüsse Afrikas; Jesenko, občna zgodovina, 2. natis, 1. del; die Länder Österreich-Ungarns in Wort und Bild, 9. bis 13. Band; Vrtec, 13. leto; Universalbibliothek für die Jugend, 111. bis 132. Bändchen; die vom Hermagorasvereine pro 1882 herausgegebenen 6 Werke; Hoffmann, chemische Erinnerungen; Zbrani spisi Josipa Jurčiča, 1. zvezek; Heller, Geschichte der Physik, 1. Band; Knjižnica slovenskej mladini, 1. do 3. knjiga; Schlosser, Weltgeschichte, 3. Ausgabe, 19 Bände; Kriegk, die Völkerstämme und ihre Zweige, 5. Auflage; Jurčič in Kersnik, Rokovnjači; Klüge, Auswahl deutscher Gedichte; Jenko, pesmi; Stifter, Studien, 8. Aufl., 2 Bände; Rutar-Devetak, zgodovina Tolminskega; Grillparzer, Werke, 10 Bände; J. F. H., črni bratje, eno leto med Indijanci, pod turškim jarmom; das illustrierte Geschichtenbuch vom Kaiser Josef; Lavrenčič, Ant. Alojzij Wolf, knezoškof ljubljanski; Spemann, das neue Universum; Narodna biblioteka, 1. snopič; Sila, Trst in okolica; die vom Ilieronymusvereine pro 1882 herausgegebenen 4 Werke; Listki. 5. in 6. zvezek; Sima, Wanderungen durch Krain; Fr. H., pripovedke za mladino, 1. zvezek. Geschenke: Lehrerbibliothek: Vom hohen k. k. Unterrichtsministerium: Skofitz, Botanische Zeitschrift 1882; Commeicio di Trieste nel 1881; Navigazione in Trieste nel 1881; 3 Exem-plare des Festblattes «Vindobona» pro April 1880; österreichische Geschichte für das Volk, 7., 8. und 10. Band; statistischer Bericht der Handels- und Gewerbekammer in Pilsen pro 1875 bis 1880. Von den Handels- und Gewerbekammern in Prag und Reichenberg: Die Sitzungsprotokolle pro 1882. Von der Buchhandlung Kleininayr und Bamberg in Laibach: Poncelet, Traitč des propričtes projectives des figures, 2. edition. Von der «Matica Slovenska» in Laibach: Letopis 1881. Vom Herrn Museal-custos Karl Deschmann: Nr. 3 und Nr. 4 des 3. Bandes der österreichischen Touristenzeitung. Schillerbibliothek: Vom Herrn Ferdinand Mahr, Director der Handels-lehranstalt in Laibach: Heinpols wohlfeile Classikerausgaho, 460 Hefte; Supplemente zu Schiller. 1. bis 4. Band; Pyrkers Werke, 1. bis 3. Band; Platens Werke. 1. bis 4. Band; Wagners Werke, 1. bis 3. Band; Klopstocks Werke, 1. bis 2., 6. bis 10. Band; Les vies des” hommes ilustres de Plutarque toni. 1 — 14. Vom Herrn Müller in Laibach: Koller, neueste Erfindungen, 9. Jahrgang, 1. bis 11. Heft. Das Naturaliencabinet erhielt im abgelaufenen Schuljahre folgende Bereicherungen: A. Zoologie. Canis vulpes L. (Fuchs vom Karste) und Merops apiaster L. (Bienenfresser), die Rohexemplare wurden geschenkt von Herrn Förster Michelitsch in Pola.— Canis Lupus L. (Wolf), das Rohexemplar geschenkt von Herrn Oberförster v. Ober eigner in Schneeberg. — Cacatus sulphureus (gelbliaubiger Kakadu) und Totanus Calidris L. (Rolhbeinlein), Geschenk des Martini Silvius, Schüler der I. Classe. — Mergus merganser L. (grösser Saeger), das Rohexemplar wurde geschenkt von Lassnik Albert.— Astur nissus L. (Finkensperber, Männchen), Geschenk des TreoAnton. — Strix brachyotus L. (Sumpfeule), Geschenk des Ludwig Rüling, Edler v. Rildingen, Schüler der 1. Glosse.—Paliurus vulgaris Ltr. (Heuschreckenkrebs), Geschenk des Schülers Zadro Karl. — Angekauft wurde: Garbo Corinoranus M. et W. (schwarzer Seerabe), Columba livia Briss. (Felsentaube), Tichodroma muraria L. (Mauerspecht), der Schädel einer Riesenschildkröte, Eriphia spinifrons (stachlige Eriphie) und die Gehäuse von Cerithium palustre, Fisurella picta, Pinna nobilis, P. quamosa. B. Botanik. Ein sogenannter Hexenbesen der Weissbuche (Carpinus), Geschenk des Herrn k. k. Regimentsarztes Dr. Hauser. — Mehrere Stammscheiben, von Tönnies Rudolf geschenkt. — Die in diesem Jahre aufgestellte Samensammlung wurde von Herrn .1. Dürr, Handelsgärtner in Laibach, mit 22 Proben bereichert.— Die von Herrn k. k. Forstrath Karl Seitner aus dem Plemel’sehen Nachlasse geschenkten getrockneten Pflanzen wurden geordnet und katalogisiert. Die Sammlung, als Herbarium Plemelianum besonders bewahrt, umfasst nun in 12 Fascikel 479 Gattungen mit 1304 Arten, zumeist krainischer Pflanzen. 0. Mineralogie und Geologie. Diese Abtheilung erfuhr eine schätzbare, durch den Schüler Albori Arthur vermittelte Bereicherung mit 12 Erzen vom Bergbaue der Gewerkschaft Littai. Ferner erhielt sie von Schetina Raimund vier Weissbleierze und einige Sumpferze von derselben Localität. Endlich erhielt die Sammlung ein schönes Stück Moosincrustation von Podnart in Oberkrain; dasselbe wurde mit Glassturz von Herrn F. Kollmann überlassen. Ähnliche, an kalk reichen Quellen bei Krainburg sich bildende Incrustationen brachte der Schüler Eduard Dolenz.— Durch Ankauf wurden für die im Vorjahre zusammengestellte geologische Schausammlung folgende Pctrefacte erworben: Ein Molarzahn von Dinotherium Cuvieri, Trinucleus ornatus, Phacops cephalotes, Spirifer macropterus, Clymenia undulata, Goniatites plebejus, Cystidea bohemica, Gomplioceras, Phragmoceras Broderipi, Nautilus simplex, Palaeoniscus Robani, Posidomyia Becheri, Ceratites nodosus, Exogyra columba, Cerithium, Natica, Sigillaria und Lepidodendron. D. Büclier und Abbildungen. a) Von den Autoren wurde geschenkt: Arnold Dr. F., Zur Erinnerung an F. X. Freiherrn v. Wulfen. Wien L882. — Lychenologische Fragmente. Regensburg 1882. Magnus P., Teratologische Mittheilungen (mit 2 Tafeln). Berlin 1882. Voss W., Materialien zur Pilzkunde Krains. 111. Wien 1882. — Ein Schädling der Weinrebe. Ibid., eod. — Zwei neue Ascomyceten. Ibid., eod. b) Von Herrn Musealcustos Karl Deschmann: Hauer Fr. Bitter v., Bericht über die Wasserverhältnisse der Kesseltluilcr von Krain. Wien 1883. c) Durch Ankauf: Verhandlungen der k. k. zoologisch - botanischen Gesellschaft und jene der geologischen Reichsanstalt in Wien. Jahrgang 1882. Köllner K., Die geologische Entwickelungsgeschichte der Säugethiere. Wien 1882. Juratzka J., Die Laubmoosflora von Österreich-Ungarn. Ibid., eod. Bonoiden Dr. F., Handbuch der allgem. Mykologie. Stuttgart 1851. Saporta-Marion, Die palaeontologische Entwickelung des Pflanzenreiches. Leipzig 1883. Winter G., Die deutschen Sordarien. Halle 1872. Zeitschrift für Pilzfreunde. I. Jahrgang. Dresden und Bodenbach. 1882 — 83. Zopf Dr. W., Die Spaltpilze. Breslau 1883. Eine colorierte Abbildung eines zerlegten Maikäfers. Angefertigt und geschenkt von Herrn J. Šubic. E. Apparate. Ein verglaster Zinkkasten zur Pflanzencultur. Der gegenwärtige Stand der Sammlung ist: Zoologie. Wirbelthierc 232; wirbellose Thiere 17 006; Skelete und Skelettheile, anatomische Präparate und Modelle 66. Botanik. Herbarium Plemelianum (12 Fascikel); Thueirien; Mycotheca universalis (21 Centurien); Kryptogamen (6 Fascikel); sonstige botanische Gegenstände 94; Samensammlung 212. Mineralogie und Geologie. Naturslücke 686; Edelstein - Imitationen 29; Krystall-modelle 130. Abbildungen 107; Apparate 8; technologische Gegenstände 50; Bücher 449; Hefte und Blätter 476. Das physikalische Cabinet erhielt folgenden Zuwachs: 1.) 4 Faure’sche Secundärelemente. — 2.) 2 Zeichnungen von dynamo-elektrischen Maschinen (ausgeführt vom Abiturienten Fabiani Maximilian). — Nebstdem wurden mehrere Reparaturen an bereits vorhandenen Apparaten ausgeführt. Im ganzen zählt das Cabinet 350 Nummern mit 673 Stücken. — Ankauf für die Cabinetsbibliothek: 1.) Schellen: Die magnet- und dynamo-elektrischen Maschinen, 2. Auflage.— 2.) Dr. Ph. Carl: Repertorium für Experimentalphysik. Jahrgang 1882. Das geographisch-historische Cabinet. Im Laufe des Schuljahres 1882/83 wurden angekauft: Jos. Langls Bilder zur Geschichte, II. Supplement; K. Hölzels geographische Charakterbilder, 4. und 5. Lieferung sammt Texten dazu; H. Kieperts Wandkarte von Palästina und Wandkarte der alten Welt; W. Kfižeks genealogische Tabelle und die wechselseitigen verwandtschaftlichen Beziehungen der Regentenhäuser der Babenberger, Pfemisliden, Piasten, Arpaden; der Häuser Anjou, Luxemburg. Jagajlo. Wasa, Habsburg und Lothringen; k. k. Schulbücherverlag: Tableau des österreichischen miltlern Reichswappens, der Abzeichen der Land- und Seemacht sowie der Länderwappen, sammt Text; k. k. statistische Centralcommission: Vollständiges Ortschaften-Verzeichnis der im Reichsrathe vertretenen Königreiche und Länder nach den Ergebnissen der Volkszählung vom 31. Dezember 1881 sammt dem alphabetischen Namensregister; Karl Prohaskas neue Eisenbahnkarle von Österreich - Ungarn, 1883; Hermann Wagners geographisches Jahrbuch, IX. Band; Mittheilungen der k. k. geographischen Gesellschaft in Wien, 1882; Dr. Josef Chavannes, physikalisch-statistischer Handatlas von Österreich-Ungarn, Lieferung 1, 2, 3; k. k. m ilitär - geopraphisches Institut: Neue Übersichtskarte der k. und k. österreichisch - ungarischen Monarchie und der angrenzenden Länder. Das geographisch-historische Cabinet besitzt derzeit 85 Karten undTableaux, 9 Atlanten, 3 Globen, 11 plastische Karten, 2 Pläne, 56 historische und 15 geographische Charakterbilder; an Büchern 44 Bände und 8 Hefte. Chemisches Laboratorium. Angeschafft wurden: Barometerröhre nach Bunsen mit Stativ; V. Mayers Dampfdichte-Bestimmungsapparat; eine Retorte aus Kupfer; eine Platinspitze; Extractionsapparat nach Szombathy; Stickstoff-Bestimmungsapparat nach Zulkovsky; zwei Schmelztiegelzangen; ein Indigoprisma und die nothwendigen Glassachen, als: Becher, Kochkolben u. s. w. Die Handbibliothek wurde vermehrt durch: Dr. Schulze, Chemie des Steinkohlen-theers; Dr. Elsner, die Praxis des Nahrungsmittel-Chemikers; Wagner, Jahresbericht; Schädler, Technologie der Fette. Ausserdem wurden die nüthigen Chemikalien angeschafft. Das Laboratorium besitzt 110 grössere Apparate. & 10. Gewerbliche Fortbildungsschule. In diese mit der k. k. Oberrealschule in Verbindung stehende Lehranstalt wurden zu Beginn und im Verlaufe des Schuljahres 169 Schüler aufgenommen und nach ihren Vorkenntnissen und Gewerben den Abtheilungen und Jahrgängen zugewiesen, und zwar: a) dem Vorbereitungscurse 60; b) der Maschinenschule I. Jahrgang 21, II. Jahrgang 19; c) der Freihandzeichenschule I. Jahrgang 25, II. Jahrgang 16; d) der Baugewerbeschule I. Jahrgang 24, II. Jahrgang 4. Von diesen Schülern besuchten den Unterricht in der Chemie im I. Jahrgang 23, im II. Jahrgang 15; den Unterricht in der Physik 24; im Modellieren 21; selbständige Arbeiter oder Gehilfen waren 17, welche in der Regel nur den Zeichenunterricht in der betreffenden Fachschule besuchten. Dem Alter nach standen die Schüler zwischen dem 13. und 38. Lebensjahre. Der Unterricht im Freihandzeichnen und Modellieren wurde bis zum Schuljahre 1882/83 gemeinschaftlich und gleichzeitig ertheilt; mit dem hohen Erlasse vom 18. November 1882, Z. 16 721, hat Se. Excellenz der Herr Minister für Cultus und Unterricht angeordnet, dass der Modellierunterricht in zwei besonderen wöchentlichen Stunden ertheilt werde, welche Anordnung sofort durchgeführt wurde. Am 22. und 23. November besuchte Herr Heinrich Graf Attems, Mitglied der Centralcommission für gewerblichen Unterricht im hohen k. k. Ministerium für Cultus und Unterricht die Lehranstalt, wohnte dem Abendunterrichte bei und besichtigte eingehend die Zeichnungen und Modellierarbeiten der Schüler. Das Schuljahr wurde am 18. September eröffnet und am 8. Juli geschlossen. Der Unterricht dauerte an Sonntagen von 8 bis 12 Uhr, an Wochentagen abends von halb 8 bis 9 Uhr, letzterer bis 15. März, und wurde von Mitgliedern des Lehrkörpers der k. k. Oberrealschule ertheilt. Aufwand für die gewerbliche Fortbildungsschule: a) Unterstützung aus Staatsmitteln......................... 2000 fl. b) Beitrag der Stadtgemeinde Laibach........................ 500 » c) aus dem krainischen Landesfonde.......................... . ■ 380 » zusammen . . . 2880 fl. Von diesen Beiträgen wurden die Remuneration für Unterricht und Leitung, Kanzleierfordernisse u. s. w. bestritten, für arme Schüler Lehrbücher, Schreib- und Zeichenrequisiten gekauft und folgende Lehrmittel beigeschafft: Baugewerbeschnle: Lebrun, Handbuch für Klempner mit Atlas; Gottgetrau, Baumaterialien, 1. und 2. Band; Wangemann, Orgelbauschule. Chemie: Köpfers Verbrennungsofen; Vorrichtung zum Beweise, dass das Innere der Flamme kalt ist, und zur Demonstration der umgekehrten Flamme im Innern einer gewöhnlichen; Vorrichtung zur Verbrennung von Sauerstoff im Wasserstoffe; Porösitätsapparat nach Pottenkoffer; Aräometer für specifisch schwerere Flüssigkeiten als das Wasser; Gasleuchter. Physik: Fricks Apparat zur Demonstration der Kraft, mit welcher sich das Eisen beim Erkalten zusammenzieht; 1 Stossmaschine nach Daguin. Geometrisches Zeichnen: Eiclüers Elementarzeichenschule; llänselmanns Ornamentik. Das hohe k. k. Ministerium für Cultus und Unterricht schenkte: Wappcntableau von Krahl, ferner die Landeswappen von Krain, Steiermark, Kärnten, Görz, Triest und Istrien je 1 Stück; Gugitz, «Neue und neueste Wiener Bauconstructionon». Heft 1 bis 9 mit je 10 Blättern. Es wurde schon im Vorjahre berichtet, dass a) der krainische Landtag, b) die Stadtgemeinde Laibach und c) die krainische Sparcasse, um begabten jungen Gewerbetreibenden, welche diese gewerbliche Fortbildungsschule mit günstigem Erfolge besucht haben, den Besuch einer Staatsgewerbeschule zum Zwecke der Aneignung einer tüchtigen gewerblichen Fortbildung zu ermöglichen, Stipendien gegründet haben, und zwar a) und b) im Betrage von jährlichen 250 Ü., c) im Betrage von jährlichen 300 fl. Diese Stipendien wurden zu Beginn des Schuljahres 1882/83 auf die Dauer von fünf Semestern nachstehend verliehen: a) dem Spenglerlehrling Johann Škarjevec; b) dem Steindruckerlehrling Felix Kovačič, beiden zum Besuche der Staatsgewerbeschule in Graz; c) dem Schlosserlehrling Karl Verbiß zum Besuche der Staatsgewerbeschule, Abtheilung für Maschinenwesen, in Brünn. 11. Verordnungen der k. k. UnterrichtslDeliörden. Der Unterricht in den freien Gegenständen kann vom Schuljahre 1883/84 angefangen nur von Lehrern ertheilt werden, welche die gesetzliche Lehrbefähigung hiefür erworben haben (Erlass des k. k. Ministers für Cultus und Unterricht vom 24. November 1882, Z. 20151). Die Maturitätsprüfungszeugnisse und deren Duplicate unterliegen dem Stempel von einem Gulden (Erlass des k. k. Finanzministeriums vom 23. Juni 1882, Z. 17211). Ärarische Bedarfsartikel sind bei den Strafhausverwaltungen zu bestellen (Erlass des k. k. Ministers für Cultus und Unterricht vom 30. März 1883, Z. 5901). 12. Chronik. Das Schuljahr 1882/83 wurde am 16. September mit einem feierlichen Gottesdienste eröffnet. Die Aufnahms-, Wiederholungs- und Nachtragsprüfungen wurden am 15. September und an den folgenden Tagen abgehalten. Am 29. September unterzogen sich die im Julitermine 1882 auf zwei Monate reprobierten Abiturienten der Wiederholungsprüfung. Mit dem hohen Erlasse vom 28. August 1882, Z. 14 445, hat Seine Excellenz der Herr Minister für Cultus und Unterricht gestattet, dass der Lehramtscandidat Johann Šubic zur Ablegung des Probejahres dieser Lehranstalt zugewiesen und von dem Professor Wilhelm Voss in das Lehramt eingeführt werde. Derselbe übernahm im zweiten Semester den naturgeschichtlichen Unterricht in der zweiten Classe. Der wirkliche Lehrer Dr. Josef Julius Binder wurde behufs Herstellung seiner Gesundheit für die Dauer des ersten Semesters beurlaubt (Erlass des k. k. Ministers für Cultus und Unterricht vom 3. Oktober 1882, Z. 16 470) und dieser Urlaub auch auf das zweite Semester ausgedehnt (Erlass des k. k. Ministers für Cultus und Unterricht vom 19. Februar 1883, Z. 2517). Zur Vertretung des beurlaubten Dr. Jos. Jul. Binder wurde der für Geographie und Geschichte geprüfte Lehramtscandidat Herr Victor Schaller als Supplent bestellt. Im übrigen ist der Personalstand des Lehrkörpers gegen das Schuljahr 1881/82 unverändert geblieben. Mit dem hohen Erlasse vom 21. Jänner 1883, Z. 796, hat So. Excellenz der Herr Minister für Cultus und Unterricht den Supplenten an dieser Lehranstalt Josef Borghi zum wirklichen Lehrer daselbst ernannt. Am 4. Oktober feierten der Lehrkörper und die Schüler das Allerhöchste Namensfest Sr. kais. und königl. Apost. Majestät Franz Josef I. und am 19. November das Allerhöchste Namensfest Ihrer Majestät der Kaiserin Elisabeth mit einem solennen Gottesdienste und der Absingung der Volkshymne. Der Lehrkörper wohnte an jenem Tage auch dem in der Domkirche celebrierten Hochamte bei und war bei den für die Mitglieder des Allerhöchsten Kaiserhauses abgehaltenen Seelenämtern vertreten. An Sonn- und Feiertagen hatten die Schüler katholischer Confession gemeinschaftlichen Gottesdienst, empfiengen im Laufe des Jahres dreimal die heiligen Sacramente der Busse und des Altars und betheiligten sich an dem Frohnleichnamsumgange. Das Orgelspiel beim Gottesdienste besorgte aus Gefälligkeit der Leiter der zweiten städtischen Volksschule Herr Leopold Belar. Die Privatistenprüfungen im ersten Semester wurden am 7. Februar abgehalten. Am 27. März starb der Schüler der I. Classe Petrin August nach kurzer Krankheit an Blattern. Die das ganze Jahr hindurch häufig vorkommenden Fälle von Blattern, Diphtheritis, Scharlach u. s. w. verursachten vielfache Störungen im Schulbesuche. Unter den Realschülern selbst kamen nur wenige solche Erkrankungen vor; doch mussten infolge der Verfügungen der hierortigen Sanitätscommission Schüler aus jenen Häusern, in welchen Krankheitsfälle constatiert wurden, zeitweilig vom Unterrichte ferngehalten werden. Der Herr Landes-Schulinspector Jakob Smolej besuchte im Verlaufe des Jahres mehrmals die Lehranstalt uud wohnte dem Unterrichte bei. Das erste Semester wurde am 10. Februar geschlossen, das zweite am 14. begonnen. Die schriftlichen Maturitätsprüfungen wurden vom 4. bis 8. Juni, die mündlichen am 25. und 26. Juni, die schriftlichen und mündlichen Versetzungsprüfungen vom 13. Juni bis 2. Juli abgehalten. Am 11. Juli wird der Lehrkörper und die Schüler die Jubelfeier der Vollendung des sechsten Jahrhundertes seit der Vereinigung des Herzogthums Krain mit dem Allerhöchsten Herrscherhause begehen und an den aus diesem Anlasse zu veranstaltenden Festlichkeiten theilnehmen. Das Schuljahr wird am 15. Juli mit dem Dankgottesdienste und der Vertlieilung der Semestralzeugnisse geschlossen werden. 13. Aufnahme der Schüler für das Schuljahr 1883-84. Das Schuljahr 1883/84 wird am 16. September eröffnet werden. Die Aufnahme der Schüler findet am 13., 14. und IB. September statt; an diesen und den nächstfolgenden Tagen werden auch alle Aufnahms-, Wiederholungs- und Nachprüfungen abgehalten werden. ln die I. Classe eintretende Schüler haben mittelst eines Geburts- oder Taufscheines nachzuweisen, dass sie das 10. Lebensjahr entweder schon vollendet haben oder es im ersten Quartale desselben Schuljahres vollenden werden. Zugleich wird von ihnen bei der Aufnahme ein Frequentationszeugnis der Volksschule, welcher sie im letztverflossenen Schuljahre angehört haben, gefordert werden, welches die ausdrückliche Bezeichnung, dass es zum Zwecke des Eintrittes in eine Mittelschule ausgestellt wurde, ferner die Noten aus der Religionslehre, der Unterrichtssprache und dem Rechnen zu enthalten hat. (Unt.-Min.-Erl. v. 7. April 1878, Z. 5310.) Bei der Aufnahmsprüfung in die 1. Classe werden folgende Anforderungen gestellt: Jenes Mass von Wissen in der Religion, welches in den ersten vier Jahrescursen der Volksschule erworben werden kann; Fertigkeit im Lesen und Schreiben der Unterrichtssprache, Kenntnis der Elemente aus der Formenlehre der Unterrichtssprache, Fertigkeit iin Analysieren einfach bekleideter Sätze, Bekanntschaft mit den Regeln der Orthographie und Interpunction und richtige Anwendung derselben beim Dictandoschreiben; Übung in den vier Grundrechnungsarten in ganzen Zahlen. Von anderen Mittelschulen kommende Schüler müssen das Studienzeugnis vom letzten Semester mit der Entlassungsclausei sowie auch etwaige Schulgeldbefreiungs- oder Stipendiendecrete vorweisen. Jeder neu eintretende Schüler zahlt eine Aufnahmstaxe von 2 fl. 10 kr. und einen Beitrag von 60 kr. für die Schülerbibliothek; diesen Beitrag entrichten auch alle der Lehranstalt bereits angchörende Schüler. Da das Slovenische zufolge des hohen Ministerial-Erlasses vom 3. Mai 1880, Z. 10 754, für jene Schüler ein obligater Lehrgegenstand ist, welche beim Eintritte in die Realschule von ihren Eltern als Slovenen erklärt werden, so ergibt sich für letztere die Nothwendig-keit, ihre Kinder persönlich zur Aufnahme vorzuführen und im Verhinderungsfälle ihre diesbezügliche bestimmte Erklärung der Direction schriftlich zukommen zu lassen. Laibach, Ende Juni 1883. Dr. Mrhal, Rangordnung der Schüler am Schlüsse des Schuljahres 1883.* I.a. Classe. 1. Riiling Edler von Rndingen Ludwig aus Laibach. 2. Luckmann Paul aus Jauerburg. 3. Albori Arthur aus Triest. 4. Zmug Robert aus Selo in Krain. 5. Larisch Julius aus Markt Tüffer. 6. Schumi Victor aus Laihach. 7. Schetina Raimund aus Laibach. 8. Müller Ritter v. Nordegg Otto aus Schloss Niedernfels in Baiern. 9. v. Obereigner Emil aus Podiebrad in Böhmen. 10. Corda Johann aus Laibach. 11. Ranth Friedrich aus Laibach. 12. Finizio Diomedes aus Triest. 13. Veider Benedikt aus St. Veit in Tirol. 14. Bruschina Gustav aus Ronchi im Küstenlande. 15. Koscher Raimund aus Cilli. 16. Marassovich Edler v. Roncislap aus Scar-dona in Dalmatien. 17. Andretto Maximilian aus Laibach. 18. Leinfellner Hubert aus Maria am See in Kärnten. 19. Podzimek Julius aus Laibach. 20. Achtschin Ernst aus Laibach. 21. Martini Silvio aus Krainburg. 22. Kukec Rudolf ausSessana im Küstenlande. 23. Fritsch Victor aus Laibach. 24. Dolar Primus aus Terstenik in Krain. 25. Zhubor v. Okrög Julius aus Laibach. 2f>. Millner Franz aus Laibach. 27. Dolenz Eduard aus Krainburg. 28. Ladstätter Gebhard aus St. Veit in Tirol. 29. Hamann Gustav aus Laibach. 30. Gaudy Ciisar aus Laibach. 31. Oswald Hartmann aus Laibach. 32. Happacher Canzian aus Görz, R. 33. Tonsern Ferdinand aus Laibach, R. 34. Miehelitsch Julius aus Gallisano in Istrien. 35. Zadro Karl aus Cherso. 36. Rexinger Karl aus Görz. 37. Parnmer Odo aus Laihach. 38. Mosettig Hector aus Terzo im Küstenlande, R. 39. Zottich Peter aus Laibach. 40. Bilina Heinrich aus Laibach. Nicht lodert blieben: Klementschitsch Karl aus Graz, R. Megušar Richard aus Möttling. Reinhardt Otto aus Laibach. I.b. Classe. 1. Tavčar Johann aus Laibach. 2. Mulia Anton aus Corgnale im Küstenlande. 3. Kotnik Franz aus Oberlaibach. 4. Harisch Moriz aus Laibach. 5. Armiö Josef aus St. Helena bei Laibach. 6. Hozhevar Anton aus Laibach. 7. Matjan Franz aus Schisclika bei Laibach. 8. Jančigaj Valentin aus Kresniz in Krain. 9. Snoj Franz aus Sagor. 10. Kump Alfons aus Laibach. 11. Cigoj Ludwig aus Laibach. 12. Pirc Johann aus SodražifS in Krain. 13. Vider Karl aus Laibach. 14. Belič Leopold aus Laibach. 15. Košir Anton aus Bischoflack. 16. Domicelj Franz aus Zagorje in Krain. 17. Goliaä Heinrich aus Laibach. 18. Breithaupt Vitus aus Schischka hei Laibach. * Fotto Schrift bezeichnet Schiller mit allgemeiner Vorzugsdasse. 19. Mayer August aus Reifniz. 20. Pongratz Anton aus Laibach. 21. Lipovšek Karl aus Laibach. 22. Krajec Alois aus Grahovo in Krain. 23. Stritar Josef aus Videm. 24. Zwayer Karl aus Laibach. 25. Meden Franz aus Vigaun bei Zirkniz. 26. Perdut Albert aus Triest. 27. Gwaiz Wilhelm aus Laibach. 28. Mesojedec Anton aus Loitsch. 29. Doberlet Raimund aus Laibach. 30. Detter Max aus Laibach. 31. Lorenz Karl aus Laibach. 32. Puppis Johann aus Loitsch. 33. Puppis Karl aus Loitsch. Nicht lodert blieben: Jesih Jakob aus Triest. Pavlič Josef aus Preser in Krain. Reitz Josef aus Laibach. ü. Classe. 1. Kreminger Ludwig aus Karlstadt in Kroatien. 2. Nekrep Victor aus Laibach. 3. Edlinger Leopold aus Laibach. 4. Antončič Johann aus Tschernernbl. 5. Öhlhofer Lambert aus Laibach. G. Vičič Johann aus Adelsberg. 7. Rus Franz aus Streindorf in Krain. 8. Možina Johann aus Laibach. 9. Kupera Franz aus Bisterniz in Ungarn. 10. Schwara Adolf aus Sessana. 11. Trobitz Attil aus Rovigno in Istrien. 12. Dekleva Theodor aus Prag. 13. Pretner Heinrich aus Laibach. 14. Oroszy Karl aus Salloch. IB. Rrilli Heinrich aus Laibach, K. 16. Vaš Othmar aus Losonz in Ungarn. 17. Tuječ Julius aus Planina in Krain. 18. Trevisini Georg aus Triest. 19. Velepič Johann aus Adelsberg. 20. Unger Franz aus Marburg. 21. Marjanovič Daniel aus Korenica in Kroat. 22. Negrelli Nikolaus, Ritt, v., aus Laibach. 23. Tönnies Rudolf aus Laibach. 24. Lozar Paul aus Laibach. 25. Kropsch Arthur aus Fürstenfeld. 26. Pretner Josef aus Graz, lt. 27. Lehner Richard aus Triest. 28. Gostiša Franz aus Loitsch. 29. Premoli Josef aus Monfalcone im Küstenl. 30. Cerne Josef aus Laibach. Nicht lodert blieben: Dal Ben Heinrich aus Laibach. Jekler Josef aus Veldes. Jurca Franz aus Laas. Kollmann Friedrich aus Laibach. Radoslovich Hermann aus Lussin piccolo. Treo Anton aus Laibach. III. Classe. 1. Janescli Johann aus Laibach. 2. Kremžar Josef aus Laibach. 3. Eisbacher Konrad aus Tüffer in Steiermark. 4. Irgel Ernst aus Trifail in Steiermark. 5. Zawadil Johann aus Brünn. 6. Gatti Emerich, Edler von Campofiore, aus Graz. 7. Tschurn Franz aus Laibach. 8. Zhuber von Okrög Paul aus Laibach. 9. Rojina Franz aus Oberschischka bei Laibach. 10. Dreyhorst Achilles aus Tarvis. 11. Adamič August aus Laibach. 12. Lončarič Josef aus Selce in Kroatien. 13. Czermak Albin aus Laibach. 14. Germ Felix aus Triest. 15. Frohm Heinrich aus Marburg. 16. Habicht Leopold aus Innergoriz in Krain. 17. Schinigoi Emidius aus Veglia in Istrien. 18. Huth Karl aus Laibach. 19. Kreulitsch Friedrich aus Rann in Steiermark. 20. Krainer Johann aus Adelsberg. 21. Koch Cyrill aus Krainburg. 22. Dolenc Johann aus Bischoflack. 23. Velkaverh Josef aus Laibach. 24. Arko Anton aus Reifniz in Krain. 25. Lang Seifried aus Lichtenberg in Krain. 26. Venerandi Anton aus Rovigno in Istrien. 27. Pibrouc Friedrich aus Kropp in Krain. 28. Martini Emanuel aus Krainburg. 29. Meden Josef aus Zirkniz in Krain. 30. Melliva Adolf aus Wagensberg in Krain. 31. Rüting Karl aus Laibach. 32. Premer Franz aus Podzemelj bei Mött-ling in Krain. Nicht lodert blieben: Novak August aus Laibach. Samengo Ezius aus Laibach. IV. Classe. 1. Sbrizaj Joliann aus Senosetsch. 2. Gregorič Johann aus Gurkfeld. 3. Lang Franz aus Laibach. 4. Öhlhofer Eduard aus Laibach. 5. Kubelka Josef aus Laibach. 6. Štrukelj Josef aus Laibach, R. 7. Junz Johann ans Laibach. 8. Kästner Gustav aus Laibach. 9. Blasich Emerich aus Sissek. 10. Rudolf Wilhelm aus Laibach. 11. Gall6 Hubert aus Mariafeld. 12. Roschütz-Rothschütz, Siegm., Freih. v., aus Smerek. 13. Jakopič Richard aus Laibach. 14. Machnitsch Eduard aus Triest. 15. Benčan Mathias aus Laibach. 16. Mazej Josef aus Zirkniz. Nicht lodert blieben: Flore Maximilian aus Laibach. Končdr Paul aus Laibach. V. Classe. 1. Gvaiz Josef aus Laibach. jsrieht lodert blieben : 2. Raktelj Theodor aus Laibach. 3. Zellich Leopold aus Laibach, R. Czerny Heinr. aus Potragy in Ungarn, R. 4. Gvaiz Anton aus Laibach. Friedrich Wilhelm aus Laibach. 5. Kratochwill Eduard aus Reifniz in Krain. Nehenführer Gustav aus Wien, R. 6. Dečman Franz aus Laibach. Witschl Franz aus Gottschee in Krain. VI. Classe. 1. Bučar Alois aus Adelsberg. 2. Kladnik Alois aus Franz in Steiermark. 3. Potuček Adalbert aus Kolin in Böhmen. 4. Stefin Franz aus Laibach. 5. Rudholzer Wilhelm aus Laibach. 6. Rudholzer Karl aus Laibach. 7. Lassnik Albert aus Laibach. 8. Kaudela Julius aus St. Pölten in Niederösterreich. 9. Spellak Josef aus Laibach. 10. Fortis Oskar aus Dernis in Dalmatien, R. 11. Baraga Andreas aus Adelsberg. 12. Kurzthaler August aus Wels. 13. Schiffrer Wilhelm aus Laibach. 14. Mayr Johann aus Krainburg. Nicht lodert blieben: Pichler Josef aus Triest, R. Siegl Emerich aus Altenmarkt in Niederösterreich. Vetter Adolf aus Szatinar in Ungarn. Ungeprüft blieb: Kovač Victor aus Laas. VII. Classe. 1. Fabiani Maximilian aus Cobdil im Küstenlande. 2. Kordin Josef aus Laibach. 3. Schlehan Karl aus Wittkowiz in Mähren. 4. Svoboda Franz aus Čatež in Krain. 5. Malovrh Emerich aus Sissek. 6. Pogačnik Matthäus aus Laibach. 7. Kolenec Johann aus Laibach. 8. Kovač Johann aus Laibach. 9. Reindl Josef aus Laibach. 10. Belar Albin aus Laibach. 11. Machnitsch Budolf aus Venedig. Nicht lodert blieb: Stedry Gustav aus Laibach.