DIMANCHE II. JUILLET xSi3* v-W >t){ U în. ,f t«) sîir. T É L É G R A P H E 0 F F I C I E L. EXTERIEUR. , ANGLETERRE. Londres, le i o juin. ïl a été tenu hier un conseil de cabinet à l'hôtel «les affaires étrangères j presque tous les ministres y ont assisté. Le prince a travaillé hier à Charlton-House avec le duc d'Yorck , lord Castekreag et le comte Munster. — Et l'expédition secrète! qu'est-elle devenue? Cette expédition secrète n'est plus un secret pour personne, excepté pour les gens tout-à-fait ignorans ou aveugles; car sur les emballages des munitions, on voit écrit en gros caractères le nom d'une^ petite île de l'Elbe, située vis-à-vis d'Hambourg, et lieu de destination de cette expédition secrète; et plus, pas plus tard que vendredi dernier, jour anniversaire de la naissance de S. M. * et le même où ia malheureuse nouvelle de la prise d'Hambourg nous est parvenue, six des chaloupés canonnières si genereusement destinées à la défense de l'Elbe, ont ét- aperçues descendant à la remorque la Tamise entre "Wolvrich et Gravesund, et voila la vigueur consommée avec laquelle le-, affaires importantes de ce puissant pays sont dirigées , et administrées.' ( Mor ning-ChronicIe. ) — Les dépêches de sir Charles Stewart ont fait Sine vive impression sur l'esprit public ; car elles équivalent à un aveu de l'insuffisance des alliés pOur resister aux forces des Français. U s'exprime de telle sorte, qu'il faudroit en conclure que les Français auroient eu une grande supériorité numérique sur les allies dans les dernières -batailles.- Ainsi, nous devons être stupéfaits de l'exagération des états de forces russes qui ont été publiés pour faire concevoir au public de hautes espérances, et ce calcul même ne s'appHquârtt qn'au nombre des combattans pr« sens â ces batailles, n"est pas fait pour encourager; car nous avons âerhontré , d'après de bonnes sources , que les garnirons françaises qui n'ont point pris part à Ja bataille sMév.nt à plus de 70 000 hommes. Qne sont donc dev: nu*s ces Jégioosin-nombrables* de Eusses? Lfcs armées de la Russie on belles aussi épYoûvé la rigueur du derrfiér hiv'tr? Mais le. passage Je pìtts 'important dé la lettre de Charles" Stewart", "est celui où il dit que les alliés auroient "conservé* leur position', si des raisons de prudence qui se liohnt avec les considérations les plus importantes n'en eussent décidé autrement. Quelles étoient ces considérations? Le bruit court qu'elles consistent en un manque absolu de munitions, les alliés n'ayant ni magasins fcvffisans, ni commissariat ; ainsi, l'infériorité de leurs forces ne les a pas seule obligés à se retirer. ( idem. ) — L'opposition affecte encore le ton du découragement relativement à l'occupation d'Hambourg par l'ennemi, non parce que les membres dece parti éprouvent la moindre peine des souffrances des habitans de cette ville, mais parce qu'ils espèrent faire de cet événement Ja base d'une accusation contre les ministres. Quelques regrets que nous fasse éprouver le sort d'une ville qui nous est aussi chère sous tous les rapports, les ministres pouvoient-ils empêcher l'ennemi de s'erf emparer? Un critique militaire parle de 5000 hommes d'infanterie, de cavalerie et artillerie allemande qu'on aqroit pu,y envoyer il y a quelques mois; mais si ces troupes fussent parties , au roient-eiles été suffisantes pour couvrir et protéger Hambourg ? Non certainement; mais n'ayroient-ils pas pu envoyer des forces beaucoup plus considéra-blés, telles que 20 ou 25,000 hommes ? Si l'on eût jugé convenable d'envoyer un corps aussi nombreux sur le continent , est-il un homme raisonnable qui eût voulu conseiller de le tenir stationnaire à Hambourg ? N'au-roit-il pas été plus convenable.de l'empîoyjr contre Ijt principale armee française, .parce que cest seulement par la défaite de cette armée qu'Hambpurg ou t,oute autre partie de l'Allemagne pouvoient ê're sauvées? Quelle profonde politique que celle qui consisteroit à gaspiller et à diviser les forces des allies, d'en placer partie à Hambourg, partie à Lcbeck , partie dans d'autres villes de la côte de la Baltique ! Le meilleur moyen • de sauver Hambourg étoit de porter toutes les forces contre celles de l'ennemi, : ce n'e'toit q;ue syr l'Oder , et non sur .l'Elbe, qu'Hambourg pouvoit être sauve e. ( The Courrier. ) — Nous recevons des lettres particulières qui annoncent que depuis le retour de M. Bernsdorf d'Angleterre'à .Copenhague , le gouvernement danois a fait arrêter tous les voyageurs venant d Angleterre. Le général qui commandoit la milice bourgeoise de Hambourg lui a fait ses adieux "dnns1 une sorte' de proclamation , • où il rend hemrr ^e ^ sa bonne volonté ; 'mais, dit-il , * ' • • ... ' la ville livrée k' éîlti*même' par 1 érich'iîhemeht obscur d'une mésintelligence impénétrable , ne pouvoit se livrer à l'espoir d'une plus longue résistance. Il motive IVloignement des Russes en disant que les cvénemens de la guerre les appellent sur un théâtre où ils obtiendront . des succès plus décisifs.. ! ( Slatesman. ) Les gazettes espagnoles,et portugaises, qui avoient été reçues dernièrement, sont remplies d'erreurs et d'e-xagerations concernant les forces dans la Pe'ninsule au moment de l'ouverture de la campagne. Les troupes anglaises n'excèdent pas 41,000 hommes d'infanterie et de cavalerie, avec 3000 h. d'artillerie, auxquelles on peut ajouter 2é,000 Portugais , en tout 70 , 000 hommes; quant aux Espagnols , il est inutile d'en parler. Les troupes sont toujours en arrière ; elles n'ont pas lté payées depuis le 24 .decembre. 1812. Ce sont des circonstances qui n'encouragent guère ni les soldats ni Jes officiers. En outre, les Espagnols ne sont pas du, lout contens de nos efforts, et les Anglais ne sont peut--être nulle part autant détestés qu'à Cadix. ( Star. ) SAXE». Dresde 17 juin*. On a chanté dimanche dernier-, dans toutes les égli- ■ ses du royaume, un Te Dtum solennel. Le soir, il jr eut grand cercle à la cour. Les princes, ont reçu des complimens sur leur retour de la Bohème. L'Empereur des Français et le prince de Neuchâtel ont dîné chez le roi. Le soir, toute la ville a été' illuminée. La saN Je d'Orangerie du palais Marcolini a été changée en théâtre« L'opéra y a déjà donné une représentation du Ço-radino de Morlachi. On attend au premier jour des comédiens de Paris quir »doivent y donner des ouvrages du, Théâtre Français. M. le comte de Narbonne est arrivé ici de Vienne avec quelques personnes de sa légation. M. le comte de B.^bna a de fréquentes conférences avec.le duc de Bas-? sano. Chaque jour il arrive et il part des officiers. L'Empereur d'Autriche est toujours à Gitschin. Les travaux dés .divers cabinets sont très actif;, et il y a un échange ^continuel de courriers., Toute la garde impériale française est logée à Dresde. .Le gouverneur de la ville , M. le comte Durosnel , £iii .son possible pour soulage les habitans, et un nouveau règlement sur les logemens militaires vient d être publié par ses ordres. . On travaille toujours aux .fortifications de la Ville-Ne'ive ; 36 bataillons formeront urt camp de baraques en forme de demi-cercle autour de cette partie de notre ville. On poursnit vivement les maraudeurs qui sont restes .sur les rives , de l'Elbe. Le y.e corps d'aimée campe entre Goirlitz et Léopoldshayn. Là cavalerie est ;cantocn e en grande partie dans la Bas-aj-Lusaçe et le.cercle de Vittemberg. , On prend L,s mesures Jes plus efficaces pour appro- -visionner armées. Lé roi -.a,«acheté de.grandes quantité» ..de .bU et d'avoine en Bihêroe, ,et 1 on améas tha-. que jour de la Franconie et des rives du Rhin de grands transporte de riz et de bestiaux. Une brigade de cavalerie française s'est portée avec quelqu'infanterie sur Chemnitz et Zurickau , dont les environs étoient infestés par de* pillards prùssiens. D juze officiers saxons arrives dernièrement de Cracovie avec la brigade du général Gablentz , accompagnent ce détachement. La Hanfe-Lusace ayant considérablement souffert par les derniers événemens, le roi a envoyé au préfet du cercle de Bautzen un secours provisoire de 10 , 000 écus. Aussitôt que la tranquillité sera rétablie , tout i« pays concourra à réparer les pertes de cette province naguère si florissante. Notre roi vient de foire un grand nombre de promotions dans l'armée saxonne. L'Empereur jouit de la meilleure santé, et on croit que son -séjour dans cette capitale sera de quelque durée. LL. EExc. le grand-écuyer duc de Vicence , faisant les fonctions de grand-marechal , et le duc de Raguse , sont log s chez I'EmpEREUR. S. A. 1- prince de-Neuchàtel habite le palais de Biùhl. » Les corps de cavalerie légère russe et prussienne qui faisoient des excursions dans les environs de Graitz , Jena, Oelsnitz , PJaaen , Schaitž , Hof, se sont retirs , d'après la nouvelle. qu'ils ont reçne de l'armistice.- Dans les rapports que le gouvernement miktaire.de la Silesie prussienne a fut publier à Breslau sur'les batailles des 20 et 21 mai , il est dit entr'autres s q j'à «ette occasion un detachement de troupes saxonnes a.paasé k-l'ennemi. Mais cette assertion est entièrement dénuée de fondement , et le gouvernement militaire de Silésic doit . avoir à cet egard des renseignemens inexacts. du i S juin. Le il, I'Empereur ■ passé la revue de-15 , eoo hommes de troupes de cavalerie, infanterie et artillerie , qui venoient d'arriver de France, pour aller rejoindre les différents corps dont ils sont destinés à faire partie. On a admiré la beauté et l'excellente tenue de ces troupes, qui, à la vue de l'Empereur, ont fait retentir l'air des plus- vives acclamations. S. M. a fait plusieurs avance-mens , et a distribué des décorations. Ensuite de quoi les troupes sont parties immédiatement pour se rendre à leur destination. Le lendemain , S. M. a passé en revue plusieurs corps de sa garde, les fusiliers de lagar-de du roi de \Pestphalie et quelques autres corps* Ensuite l'Empereur est venu faire visite a LL. MM. le roi et la reine de Sajce : il est aussi allé voir S. A. I. l'archiduchesse Thérese , princesse de Saxe Teschen , , tante de S. .M. 1 Impératrice des Français. Le 1}) Ie corps diplomatique a été réuni à un« grand dîner chez S. Exc. duc de Bassano. MM. le com- • te de Bubna , de Kaas , et le comte de Narbonne, récemment arrivé de Vienne, s'y,sont trouvés. Lors du départ des troupes russes et prussiennes de . Dresde , elles ont enlevé et emmené comme prisonniers ; douze personnes pour la plus grande partie étrangères,, catr'autres MM.. Xefekvre,, Lsftnellièrc et le baron de i îa Kapelic i l'un d'eux a re'ussi à se mettre en liberté. D'après un ordre du géne'ral de division comte Durosnel, commandant en chef des troupes françaises en Saxe, tous les. militaires faisant partie des arme'es française et alliée qui n'ont point été mandés à Dresde, doivent s'en éloigner. Les députés de la ville de Bischofswerda, qui a été réduite en cendres, ont eu une audiente de l'Empereur, qui leur a promis avec bonté de venir efficacement à leur secours. L'Empereur jouit de la meilleure santé, et passe tous les jours quelques corps de troupes en revue. Nous espérons posseder encore long-temps S. M. L, car les acteurs du Theàtre-Français sont en route de Paris ici po'ir donner différentes représentations dans le palais Marcolmi. Les cadras de la garde italienne sont partis aujourd'hui pour l'Italie. M. le général autrichien Bubna habite le palais du ministre d'Autriche.- Le quartier-général de S. A. I. le prince de Schwart-zerb rg a été, dit-on, tranféré à Brandels dans le cercle de Koenùg aets,- La maison qu'habité l'Empereur dans un des faubourgs de Dresde, a de très beaux jardins; on y remarque des bassins magnifiques et une bjJle cascade ornée de la statue de Neptune par Mai t utili. C'est le comte Marcolini qoi a fiit arrange/ ce local.. Le corps de iógis a deux salom» bien décorés et deux ailes ser fit» longueur desquelles il y a quarante-cinq croisées. On voit devant l'entrée principale quatre lions colossaux, imités des antiques de la galerie royale. Cette residence est isolée de tous côifcs,. et sa nouvelle destination a répandu un mouvement bien vif dans cette partie de < la ville , qui jusqu'ici etoit tiès tranquille. Le th<âtre français sera établi dans le jardin. L'opera italien donne des représentations au théâtre de la cour, et la troupe allemande de M. Seconda au théâtre du boulevard. Un jeune homme de 10 ans, nommé Bohmer, vient de donner un concert dont la recette étoit destinée aux malheureux habitans de Bischo&werda. La recette a>eté considérable. Les princes Jablonowski et - L'ubonierscti sont' ar-" rivés de Breslau à Prague le 10 juin; le prince ¥o 1-konski et plusieurs courriers russes, le n juin; ïe prince Gallium , aide-de-camp de l'Empereur Alexandre , le 12; le général prince Poniatowski de Brandels , le 13. Ls prince Sch wartzenb^rg est reparti, avec un ' de ses aiJes-de-camp, de Prague pour Citschin , le I N T ÈRI E U R. EMPIRE F R A N Ç A I S. Paris , le 29 juin. S. M. l'I mpératrice-Reine et Régente a. reçu les nou--vellés suivantes de J'armée datues de Dresde , lé 24*juin îiï}... Le capitaine Pîanat, officier d'état major chargé de porter l'armistice, est arrivé à Dantzicic. Il a eu peine à pénétrer dans la place , parce q je le général Rapp , gouverneur, ennuyé du grand nombre de parlementaires que l'ennemi lui envoyait tous les jours, avait déclaré qu'il n'en recevrait plus. L'officier a donc eu beaucoup de peine à se faire reconnaître. On se peindrait difficilement la joie q'ie sa présence a causée à cette b;lle et nombreuse garnison, qui est loin d'avoir la contenance d'une garnison de place assiégée; elle est maitresse de tous les enviroas. Les rations qu'on doit lui fournir-pendant la durée de l'armistice ont eié fix'es à 20,000 par jour, ce qui excite avec raison des réclamations de la part du gouverneur. Plusieurs fois cette garnison , dans les cinq mois > de blocus, a été jeter des obus dans le quartier-général ennemi, et pour ainsi dire l'assiéger. Le général Rapp avait réuni un bon bataillon de la gard« à pied, qui se composait d'hommes fatigués ou gtlts qui s'étaient réfugiés dans-la plač,-. La place avait ses vivres assurés pour une année les gens de-fart estiment qu'elle pourrait soutenir plus de trois mois de tranchée ouverte, en supposant même que l'ennemi tôt un équipage de siçge de 200 pieces : de canon , et sans évaluer le retard que les sorties de la garnison pourraient apporter dans les travaux du-si'-ge. Mais , jusqu'à cette heure, l'ennemi n'avait manifesté en aucune façon l'intention de tenter une aussi* difficile entreprise. PROVINCES ILLYRIENNES AVVERTIMENTO. Nel giorno 16 Luglio prossimo venturo si procederà alla licitazione preparatoria nella Sala-ed all'ora delle pubbliche Udienze del Tribunale di prima Istanza in Fiume della Casa marcata col N.o 542 posta in questa Città Contrada della Posta di ragione di Cristiano Osner Ruotajo qui domiciliato oppignorata sotto il dì 5 aprile passato , dal Sig. Scrib.mi Francesco domiciliato in Seemoo-hoff possidente patrocinato dal Patrocinatore Signor Lemesich per mezzo dell'Usciere Antonio Stella del qual oppignoramento è stata lasciata copia al Signor Paolo Scarpa Maipe di Fiume, ed al Signor Steinberg Cancelliere del Giudizio di Pace in Fiume, ed è stato trascritto all'Offizio dell' Ipoteche sotto il giorne li aprile 1813, così pure all'Offizio di Cancellerìa del sopra no mi nato Tribunale Ji 26 maggio passato t L'estratto di questo pignoramento redatto in ta<- * belia fu'»affi,so nella Sala delle Pubbliche Udiefnze 'deli Tribunale di prima Istanza di Fiume li 28 Maggio ul* * timo passato. Fiume U 8 Giugno 1813, Fratelli Karletzky/ Stampatori» DÉCRET IMPÉRIAL. / Qui fait des changemens au tarif des douanes pour les Provinces Illyriennes. jin quartier Impérial Je Buntz.lan , lt 26 mai 1813. NAPOLÉON, Empereur des Français, Roi d'Italie, Protecteur de la Confédération du Rhin, Médiateur de la Confidératian Suisse , etc. etc. etc. Sur le rapport de notre ministre des manufactureset du commerce. Nous avons décrété et décrétons ce qui suit. Art. i.er Les objets dénommés dans l'état annexé au présent décret , acquitteront , à leur entrée dans nos provinces Illyriennes ou à la sortie des dites provinces, les droits portés audit état , les quels sont substitués k ceu< précédemment réglés par les tarifs annexés à notre Décret du 17 novembre i3io. Art, 2. Notre grand-juge ministre de la justice et notre ministre des manufactures et du commerce sont charges, cha- cun en ce qui le concerne , de l'exécution du présent d$ cret , qui sera insére au bulletin des lois. Signé NAPOLÉON. Par l'Empereur , Le ministre secrétaire d'Etat Signé, le comte DARU. Pour copie conforme, Lt Comte de l'Empire, maître des requêtes , Intendant général. Chabrol. ETAT des changemens au tarif des douanes pour les Frovinces Illyriennes >y ordonnés par te de et e * du 2ù mai 1813. Dénomination des Marchandises Entrée S ortie Chevaux entteis, jumens, et hongres (pour l'Italie Cordages de chanvre , ficelles et autres ouvrages de corderie .....................* Fncens commun ou Galipot , encens fin ou oliban Fromages (pour l'Italie et l Ailemagne seulement) . Fruits avec ou sans noyaux de toute sorte (pour l'Italie et l'Allemagne seulement) ......... Graines de jardins, oes champs, des montagnes, à Semer , et toutes celles propres à faire de 1 hui- Peaux de boeuf et vache s'iches et en poils (pour l'Italie seulement................ Peaux sai es et en vert (pour l'Italie seulement) . Peaux de veau, mouton et chevreuil, sèches (pour Verrerie de toute sorte y compris les fiasques à l'exception des verres servant à la lunctérje et à l'horlogerie et des verreries anglaises..... au quintal, 5 fr. . . a la valeur 5 f. p. 100 au- quinta!, 5 fr, . . u quintal , 5 fr. • • Ji'aune de Vienne 10. li la valeur, 10 p. 10c à la valeur, 2 fr. p. 100 au quintal , 1 fr. à la va lei; r , 2 p. ico idem , 5 fr. p. 100 la pièce 25 fr. à la valeur, 2 p. 100 à la v., droit de balance au quintal, 6 fr. idem , 3 fr* à la v., droit de balansc à la valeur 2 p. 100 la pièce 50 c. idem 15 » à la valeur, 1 p. 1 co