JEUDI 22« JUILLET JSI3' TÉLÉGRAPHE OFFICIEL. m inwMi i m f>&m*<+Mmmmm■..... INTÉRIEUR. EMPIRE FRANÇAIS. Paris, le 7 juillet. La politique des Anglais, envers le Danemarck, était un des monumens historiques les plus frappans de la perfidie et de l'immoralit de leur gouvernement ; mais leur conduite envers les Bourbons de Sicile ne cede en aucune maniere à cet exemple celebre. Le roi et la reine de Sicile ont perdu leur royaume par suite de leur haine pour la France, et de leur dévouement absolu à la politique anglaise. Pendant l'expédition de Malte et d'Egypte , le royaume ae Naples et la Sicile furent comme des possessions anglaises, par rapport à la France. En 1S05 ) lorsque la paix venait d'être conclue à Vienne, le roi Ferdinand fit un traita avec les Anglais et les reçut à Naples, ce qui lui attira un e déclaration de guerre de la part de la France , et donna lieu à la conquête de Naples. Réfugiée, depuis cette époque, en Sicile, cette cour n'a pas été moins constamment dévouée à l'Angleterre. Pour récompense de vingt ans d'attachemert et de soumission le roi et la reine ont été arrêtés; la reine a été embarquée, éloignée de Sicile et conduite devant Constantinople , où il lui a été permis de mettre pied à terre. Le roi dépouillé, dégradé, renfermé dans un château, a vu ses amis les plus intimes, artêtes, entraînés dans des cachots. Enfin la conduite des Anglais en Sicile a été tout-à-fait la même que celle qu'ils ont tenue avec Jes nababì des Indes ! x Certes , on n'est pas payé en France pour déplorer les malheurs et la catastrophe de la maison de Sicile]; cependant tant d'ingratitude et de perfidie de la part de l'Angleterre envers des princes qui se sont perdus pour elle, et qui pendant zo ans lui ont donné tant de preuves de dévouement et d'attachement, soulevent le co-ar d'indignation ! On dit que la reine, arrivée à Constantinople, a obtenu du grand-séigneur ia permission de débarquer et de gagner la Hongrie par terre; trajet pcnible dans un pays où les chemins ne sont praticables pour aucune espece de voiture, et qui présente au voyageur des difficultés de tout genre. MINISTERE DE LA GUERRE Armée À'Arragon, Copie d'une lettre écrite à S. E. le ministre de la guerre, par M. le maréchal duc d'Aibuféra, commandant l'armée d'Arragon. Valence, le 4 juin 1813. Monsieur le Duc, Il est quatre heures après midi , et je reçois à l'instant la lettre du gouverneur de Tortose , en date du 3 juin, à oeuf heures trois quarts, dont ci-joint copie. „ Monseigneur, la flótte ennemie était en vue, hier à cinq heures en face de Tarragone; elle est de 180 voiles environ; elle paraissait se diriger sur Villanova de Sif jes. „ Dans cet état de choses, je me détermine à marcher avec 6000 hommes d'infanterie et 800 chévanx en Basse-Catalogne, afin de rallier les troupes du général STATISTIQUE de DALMATI!. CLIMAT. 11 est depuis long-tcms re«onnu que la température est souvent bien différente dans des pays situés sur les mêmes parallèles. - Là direction des Vents, celle «des fleuves, la hauteur du sol , le voisinage de la Mer , celui des Montagnes , leur position combinée avec l'action du soleil -, enfin toute la conformation d'un pays produit des différences extrêmes dans des climats dont l'exposition est la mémé à l'égard de l'Equateur. Quelque vulgaires que paraissent aujourd'hui ces observations, il est difficile de ne pas les rappeler en parlant du climat de la Dalmatie. Si, comme un homme cejebre l'a dit, chaque latitude a son empreinte et chaque climat sa couleur; si le« traits qui les distinguent sont identifiés avee les dispositions du sol, l'on ne doit pas être étonné d'apprendre que, dans un pays aussi varié que l'est la Dalmatie, il existe, pour ainsi dire, plusieurs climats sur retendue d'un seul degré délatitude. co La Dalmatie centrale est separée de la Croatie à l'occident par la Zermagna , petite riviere qui tire son nom du lieu même où elle prend sa source , sur le territoire du Régi» ment de Licca, et qui vient se jetter dans cette partie du canal de la Morlaque appellée la mer de Novegradi. 11 n'y a peut être pas en Europe deux pays voisins qui ÇO Nous n'entendons parler ici que de la Dalmatie centrale et non des portions de l'ancienne Dalmatie qui se trou* \'ent aujourd'hui réunies à l'Iatendance de la Croatie civi^ le ou A celle de Raguse. - Dâcaen., et, s'il est possible, tâcher de battre les Anglais. Je suis etc. Signé, le maréchal duc d'ALBUFERA. Extrait d'une lettre écrite à S. Exc. le ministre ie la guerre, par M. le maréchal duc d'Albufera. Tvrtose, le 21 juin 1813, à 6 heures du matin. Monsieur le Duc , J'ai informé -votre Excellence de l'embarquement de l'armée anglo-sicilienne à Alicante , de son départ de cette place le 31 mai, et de son arrivée rapide le 2 juin sous Tarragone. L'armée , mise à terre pendant la nuit , s'empressa d'investir le fort de Saint-Philippe au col de Balaguer, et l'enceinte sans fossé qui constitue aujourd'hui la défence de Tarragone, les forts et ses vastes fortifications ayant été rases. Le feu de plusieurs batteries commença le 3: pendant cinq jours Balaguer battu , fit une résistance honorable, et tua ou blessa à 1 ennemi 300 hommes. Le 7, au matin, l'explosion du magasin à poudres entraîna la reddition du fort Saint - Philippe. L'ennemi par un feu soutenu de terre et de mer, accablait Tarragone, au départ de l'armée anglo-sicilienne; le duc del Parque, avec 18 mille hommes, était venu de la Caroline, remplacer le général Murray dans son camp de Castalla; Elio, avec le z.e còrps espagnol , serrait nos postes. Dès que je fus informé que la flotte ennemie avait mis à la voile d'Alicante , je fis des dispositions sur la côte de Valence, pour être averti promptement , en même tems que je chargeais le général Decaen de réu-„ir ses troupes pour tomber sur les anglais; il a exécuté avec empressement cette disposition, et au premier avis, a détaché de Gironne la brigade Beurmann sur Barcelonne , où elle arriva le 10 juin. Dès le 2 juin, j'avais fait partir, d'en avant du Xucar, la division Musnier et la brigade Pannetier et d'Aigremont , elles se portèrent à marche forcée sur Tortose ; j'appris à dix lieues de Valence que le fort de fealaguer avait capitulé, je perdais la seule route à canon par laquelle je pusse opérer; mais il m'importait d'arrêter le succès de l'ennemi , et je me rendis à Tortose le 10. Ma tête de colonne avait culbuté les dragons anglais près de Perello ; le 11, mes troupes arrivaient, je poussai le 12 sur la route, je me déterminai à chercher un sentier à travers des montagnes impraticables , afin d'annoncer mon arrivée à la brave garnison de Tarragone, qui repoussait toutes sommations, et se défendait avec une haute valeur. En effet, le 12, je couronnais les montag/ies de tlux, et poussant le 13 au delà du village de Valledellos, mes troupes pouvaient voir et être vues de Tarragone. En même tems le général Maurice Mathieu , parti de Barcelonne, poussait jusqu'à Arbos; la résistance de la place et la marche des colonnes de Valence et de Barcelonne épouvantèrent l'ennemi et le forcèrent à lever précipitamment le siège , et à rembarquer la plus grande partie de ses troupes , abandonnant sous la place 27 pieces de canon et une immense quantité de bombes, de boulets et d'obus, qui, tous, sont rentres dans Tarragone. Le convoi de 180 voiles sortit du port de Sallau et vint au mouillage sous Balaguer; cette masse de voiles présentait un beau spectacle. Le 14 , je fis avancer des troupes pour reconnaître le fort , quelques bataillons en défendaient les approches , et la flotte nous fit essuyer un feu plus bruyant que meurtrier. Sur Valledelos , les dragons anglais étaient maltraités par les chevaux-légers westphaliens, et le 5.e d'infanterie légere faisait replier cinq bataillons anglais sous l'Hospitalei et sous le feu des vaisseaux. Le 15 et le ie regimenti et du gros des et 16.e de ligne; il aborde et enfonce l'ennemi dans les rues, dans les jardins de Carcaxente; la mêlée est vive, plus de 400 espagnols sont tués ou blesses, 700 soldats, et 30 officiers sont faits prisonniers, le drapeau du régiment de Carmona , "enleve et l'ennemi mis dans une déroute compiette. Depuis ce moment et jusqu'au 18 au soir, {'ennemi n'avait rien entrepris de sérieux sur les troupes de Valence. La flotte expéditionnaire continuait de mouiller sur Balaguer , tenant quelques bataillons près de i'Hospitalet et sous le fort. Mes troupes errant dans des déserts, je m'étais decidé à les rapprocher d'Ampolla sur la route de Tarragone, pour leur procurer de l'eau dont depuis deux jours nous étions privés, lorsque j'ai ''té informé ^ue ie général Maurice Mathieu, instruit de la levée du siège de Tarragone , sVtait avancé jnsqu'à cette ville , et à Reuss. Je persistais encore à prolonger mon séjour en Catalogne pour démêler les projets de l'ennemi, lorsque, hier, j'ai appris que les Anglais s'étaient décidés à faire sauter le fort de Balaguer, après l'avoir déformé3 cette résolution , qui entre entièrement dans mes projets, me prouve que l'ennemi ne veut pas re» nouveller ses attaques sur Tarragone, ni agir sérieusement en Catalogne et m'indique assez ce que qui me reste à faire. Ainsi, M. le duc, la premiere opération des Anglais sur une ligne de 80 lieues s'est bornée h la prise d'un petit fort et d'une garnison de S3 soldats français commandés par un lieutenant, tandis qu'ils ont perdu en tués, blessés, prisonniers ou déserteurs , sur le Xucar ou à Tarragone , au-dela de 1600 hommes et un drapeau ; qu'ils ont levé le siège et abandonné 27 pieces d'artillerie devant une place démantelée, privée de fossés, mais défendue par une petite mais bien valeureuse garnison. C'est avec empressement que j'appelle les bontés de S. M. I. et R. sur le i.er baiaillon du 20.e de ligne français, sur le i.er bataillon du 7.e de ligne italien, et plus particulièrement sur le général Bertoletti, gouverneur de la place, qui s'est couvert de gloire dans cette occasion , après avoir montré par sa vigueur et sa persévérance à surmonter tous les obstacles, qu'il était digne de toute ia bienveillance de l'Empereur. Signé , le duc d'Albufera. Extrait d'une lettre écrite à S. Exc. le ministre de la guerre par M. le duc d'Albufera, de Valence , le 25 juin 1S13. M. le Duc, par mon rapport du 21 j'ai fait connaître à V. Exc. la levée précipitée du siège de Tarra-gonne par les Anglais, et leur rembarquenu'nt ; la nécessité de suivre les mouvemens de la flotte m'a forcé à sacrifier le plaisir que j'aurais eu à féliciter le gouverneur Bertoletti et sa brave garnison , sur sa belle et vigoureuse défense; en allant à Tarragone, je perdais six jours, tandis que, dès que j'ai reçu un rapport du général Maurice Mathieu, de Reuss, et deux lettres du général Bertoletti je n'ai plus songé qu'à retournera Valence avec assez de célérité pour empêcher les Anglais de me prévenir. La perte des anglais sous Tarragone a été immense; 30 pieces de gros calibre, des mortiers, des-brulôts et 11 produit les degels, les orages, les torrents presqu'aussi dangereux que la formidable Bora. Arrivé sur les bords de la Zermagna, tous ces inconveniens sont déjà moins sensibles. Le Sol moins elevé est abrité des vents de terre par les flancs des montagnes de la Croatie. On respire un air plus doux. Quelques coteaux cultivés délassent la vue fatiguée du spectacle des torrents, des précipices et de l'aspe.-t des bois noirs et épais qui héiissent le sommet des monts de la Croatie. Pour donner une idée avantageuse du climat de la Dalmatie, il suffirait de dire que sur quelques points du littoral de cette province , et dans quelques unes de ses isles, le Palmier dattier, et d'autres plantes qui ne se piai» sent que dans les pays chauds, croissent en pleine terre «t y acquièrent la \igueur qui leur est naturelle. L'abondance des oiseaux voyageurs serait une nouvelle preuve de la douceur de l'air. Le Merops apiaster (3) qui \rers la fin d'octobre va chercher des régions plus chaudes est déjà de retour en Dalmatie dans les î.ers jours d'avril. Cependant l'air n'est pas constamment aussi doux. L'hiver a des momens rigoureux (4) , mais ils sont toujours occasionnés par le vent de Bora qui, bien qu'il soit moins terrible que dans la Croatie, est cependant considéré en Dalmatie comme un fléau. 11 est surtout préjudiciable à l'agriculture dans la partie de la Dalmatie designée anciennement ^ sous le nom de Katar et dans les environs de Nona. (3) Appelé en Dalmatie uccello della Mndonna ; oiseau qui fait la guerre aux abeilles et les dévore. LeGuêpier. (4) Le froid n'y est jamais proportionné à celui de la partie supérieure des Provinces Illyriennes. L'hiver dernier est un des plus rigoureux que l'on ait éprouvé en Dalmatie; cependant le thermomètre marquait à peine 4 degrés à Zara, lorqu'à Laybach on en comptait jusqu'à dix. des bombes en quantité, des magasins de rhum, dt» viande salée , etc., ont été livrés aux flammes; mais l'ennemi a encore éprouvé des pertes plus sensibles dans la nuit du 20 au 21; des signaux, des coups de canon , annoncèrent que l'immense convoi se décidait à quitter les côtes de Catalogne ; au jour dix gros vaisseaux furent apperçus à la hauteur des Bouches-de-I'Ebre ; 18 bricks ou gros bâtimens de transport vinrent échouer sur les sables de 1 embouchure du fleuve. V. Exc. pourra en juger par le rapport du chef des gardes de la santé , que j'ai l'honneur de lui remettre. Aussitôt que j'en ai été informé, j'ai ordonné que des secours fussent portés à ces batimens; mais la grande difficulté de parvenir sur ce point a empêché d'arriver jusqu'à eux. Plusieurs bati-' mens détachés du grand convoi sont revenus; ils ont mis toutes leurs embarcations à la mer , et sont parvenus à sauver la plus grande partie des troupes et des transports ; il parait que l'ennemi ne perdra dans cette occasion que cinq batimens. Dès que je fus instruit que l'ennemi faisait voile pour les côles de Valence, j'avais mis en marche la division Musnier et la brigade d'Aigremont , les troupes, par un effort digne d'éloges, ont fait quinze lieues par jour , ambitionnant de prévenir la flotte enne mie sur tons les points ; toutes les déclarations des capitaines, dont les batimens ont échoué, s'accordent à dire que l'expédition devait débarquer à Castelan de la Plana , pour me séparer des forces que j'avais laissées sur le Xu-car; l'etonnante rapidité de la marche de nos troupes , et la violence des vents n'ont pas permis à l'ennemi d'éxecuter ses projets ; il est resté trois heures en vue de Castellan , le 22 , et dans la même journée j'y arrivai avec 4000 hommes, 800 chevaux et six pieces d'artillerie légere. La flotte battue par des vents contraires s'est montrée devant le Grao de Valence ; une fréga te s'est detachée pour s'emparer du petit corsaire le Déterminé. Elle a trop serré la côte, et a touché en face de Muj-viedro; le général Rouelle est accouru avec deux compagnies de grenadiers et deux bouches à feu ; une vive fusillade s'est engagée; l'ennemi a j-té plu* sieurs canots à la mer, charg's de troupes ; ils ont voulu repousser nos gens; mais ils ont été si bien reçus, qu'ils se sont retires avec une perte considérable; deux de nos obus eclaterent à bord de la frégate, et il était perais d'esperer de la brûler lorsque le capitaine s'est décidé à jeter précipitamment toute son artillerie à la mer, ainsi que les munitions de guerre et de bouche; les habitans recueillant à chaque instant de la viande salée, du lardate. Par cette resolution, la fregate est parv enue à se relever et à gagner le large. Ainsi, M. le duc, les Anglais ont tenté de rallumer la guerre en Catalogne et de prendre l'Arragon ; mais hs résultats me paraissent les en éloigner pour long-tems; non*seuI«ment ils ont échoué devant les restes de Tarragone, mais ils ont quitte la Catalogne après avoir détruit le fort de Balaguer, seul point d'appui qu'il* étaient parvenus à s'assurer dans cette province, et malgré l'avantage de leurs vaisseaux, la vitesse avec laquelle l'infanterie a marché a prévenu leurs tentatives sur les côtes de Valence. Je suis arrivé de Tottos » à Vale ncs en quarante-huit heures. Je suis etc. Signé, duc d'Albnfera. PROVINCES ILLYRIENNES t Laybach , 20 juillet, 1813. On écrit de Trieste qu'il est entré dans ce port 87 batimens de différentes espèces , chargés de diverses marchandises et venant de differens ports de l'Adriatique , depuis le i.er au 16 de juillet courant. Il en est sorti in. LAYBACH, de l'Imprimerie bu Gouvsrnemekt. Il n'arrive dans ces parties qu'après avoir traversé le canal de la Morlaque où son passage eleve des tempéles redoutées des plus hardis marins. Les eaux retenues dans ce canal étroit et profond, battues en tout sens par la fureur de ce vent, jaillissent à une hauteur considérable et chargent l'air d'une humidité saline que le cours naturel de la Bora entraine et répand sur les végétaux partout où sa direction la conduit (5). Les plantes imprégnées de cette humidité pernicieuse se flétrissent, les tendres bourgeons sont arrêtés dans leur dével^pement, les arbres mêmes se ressentent de l'aereté de ces vapeurs; c'est avec la plus grande difficulté qu'ils parviennent à s'eiever. (5) Le docteur Cariboni a reeueiiii lui uiême , sur des plantes, du sel cristalise apporté par cette liunauité. L'approche de la Bora se fait remarquer par l'abaisse« nient du niveau de la mer. Le vent appelé Tramontana est froid, sec, quelquefois impétueux, mais toujours moins dangereux que la Bora. En général, les vents boréaux alterent instantanément la douceur de ce beau climat, mais ils n'en alterent pas la salubrité. On pourrait croire au contraire que les changemens continus qu'e'prouvent les vents en Dalmatie, et l'état de fluctuation perpétuelle dans lequel se trouve l'air atmosphérique, le debaras ent des miasmes nuisibles qu'il est sûsccptibie de s'approprier par les exhalaisons des eaux stagnantes communes dans ce pays, puisqu'on ne les voit produire en Dalmatie les maladies , qui en sont ailleurs les effets généraux et accoutumés , que dans Jes lieux mëme9 où les marécages sent »itues. H.B. ( La suite an numero prochain )