XXV. Jahresbericht dor k. k. m HVHartnarg-. Veröffentlicht von der Direction am Schlüsse des Studienjahres .Inhalt: 1. Origine et Développement de la langue l'ranraisv. I’ar Aug. Diouillol 2 Svhulnacliriditeli. Vom Director. Verlag der k. k. Ofcerrealsihule. Drack r. Kd. Janevbite S.gr. (L. Krslikj iu MUibuif A/ü. Origine et Développement de la langue frangaise. Les langues ont leur histoire comme les peuples ; elles naissent ou plutòt se transforment et partagent le sort des nations qui Ics parlent. Après s’ètre développées lcntement, après avoir brillò quelques siècles, elles se décomposent. Tel est du mo ins le sort des langues antiqui s, et pen d'idiomes ont échappé à cette loi de transformation, ear les races sémitiques et chinoises, qui à travers le cours des siècles, lorsque tout changeait autour d’elles, ont conservò leurs langues primitives et leurs caractùres originels, sont de rares phénomènes dans l’histoire de l’humanité. La loi generale est que les peuples et les langues se transforment sans cesse et quo les éléments de leur décomposition servent à former les langues et les nations nouvelli". Car „Es ist ein allgemein gütiges Naturgesetz, dass in jeglicher Zerstörung der Keim neuen Lebens verborgen liegt.“ C’est ainsi que la lanque latine, après avoir partagé les gloires du siede d’Auguste, tomba en décadenee avee l’empire romain et donna naissance aux langues romanes. S’il était permis à l’histoire de suivre exactcment ccs transformations successivcs du langage humain, elle finirai! nécessairement par roncontrer l’idiome primitif parlò par les premiere hommes, de méme qu'en remontant la fdiation des peuples on arrivo forcémcnt à la première tribù, a la première famille. — Lorsque les Anglais s’emparèrent, des Indes, l’ancieime langue sacrée des Indous, le sanscrit, attira l’attcntion des savants de la Grande-Bretagne. Les philologues de toutes les parties de l'Europe s’asso-cièrent à l’étude du sanscrit. Alors on reconnut que ce merveilleux idiome est non seulement l’origine des langues indiennes et de fanden porsan, mais qu'il a encore de nombreuses affinités avec les langues europòennes. Or, la parente des langues indiquent la parente des peuples; cui e'i t ime loi invariable, rcconnue par la science moderne que les éléments des langues correspondent aux éléments des races. Les peuples de l'Indo et de l'Europe ont donc uno commune origine, un berceau comrnun. C’est le p;u compris dans la vallee de Cachemire et les gorges da Caucaso, entro la mer ' q.i ime et la chainc de l’IIimalaya. Deux courants d’òmigration se sont produits: l’un vere l'Iran et par delà le Gange, ce qui explique l’existi lu il et de ses ramificalions dans lés Indes; l'antro vere l’Europe, qui fui la source du colliquo, du teutonique, du slave, du grec et du latin. Tous ces idiomes, auxquels on a donne le noni de groupo indo-ouropóeil, mm. ut la langue aryenne, parlò,; il y a six mille ans sur les bt !s ile l’Oxu. . i i est, en résumé, ce que la pliilologie nous apprend sur la .m ale ai ,1< - langues modernes. Quant à la question de 1'Idiome primitif, elle ressemble au problème de la quadrature du ccrcle. Tout ce qu’on pvut affmner, c’est qu’aucune des langues connues ne pcut prétendre au droit di' primogeniture. Mais commcnt la langue primitive a-t-elle pu se transformer cn tant de langues diverses? Est-ce par Hasard, ou en cst-il du lan gage comme de toutes les autres productions de la nature? Est-ce la loi, Vordre qui prèside à son développement ? La philologie est uno Science qui a pour but de rechercher la loi des Iransformations successives de la parole et de nous montrer derrière le fait passager la raison de son apparition. L'est la pedologie, la phonétique qui nous explique porquoi Ianne est en sanscrit asm, en grec flacrtl, en latin lacryma, cn gotliique tagr, cn anglais tear; elle saura parcourir le terrain qui séparé ces mots, cornine aussi expliquer la diversità de leur physionomie et prouver leur parente. Si Von demando pourquoi le mot latin dies est devenu Jour en frarujais, elle répondra que dies avait pour adjectif diurnus, que diurnus était employé dans le latin vulgaire, avec une prononciation particulière qui a laissé sa trace dans le mot italico giorno (pr. djorno), que dans le midi de la France le peuple pronunce djour, qu’en un mot les transformalion phonétiques de dies ont, donne le mot fran^ais jour (qui ne lui ressemble guère), dune lucon tout a fait reguliere. Les langues ont donc une fdiation soumise à des lois certaines, qui font Vobjet de la linguistique et de la phonétique. Nous voudrions en donnei' une légère esquisse dans la formatimi de la langue francaise. Nous diviserons celle petite étude cn deux parties: la première traile du développement historique de la langue, la seconde traile de la phonétique. I. Historique. Les pcuples qui habitaient la Gaule, à l’époque où C qui puisse guider Ics recherches de la postérité. Mais la philologie vi, ut ici éclairer l’histoire. La langue celtique appartieni au groupe indo-européc sa parente avec le sanscrit est evidente. Eni re autres preuves citons les « ds suivants, pris au basarci: Celtique. Sanscrit. Ivan (Bewegung) Iva spali (schlagen) spai crian (kaufen) cri gawl (Licht) gala solli (Nachkommenschaft) suthi. Corame la parente des langues indique la paventò des pouples, on peut conclure que Ics Celtes appartenaient à la grande tannile aryenne. Oli sait qua l’époque de la compiete romaine, l’Armorique et le pays de Galles, obstinés dans leurs vieilles traditions, se montrèrent rebelles à la latinisation et conservèrent leur langue, dont le bas-breton est le derider débris. „Le bas-breton, dit M. Brachct, n'est antro que l’héritier du colliquo.“ Il a mie littérature assez considérable: des chants, des contcs, des legendes, dune origine sans doute plus recente, mais cependant dirne grande valevi atix yeux du pliilologue. L’opiniàtreté du caractère breton, son aversiori pom tonte innovatimi dans les moeurs, comme dans la langue, qui rendit vette race aussi réfractaire à la conquete tran que qu’ à la conquète romaine, nous donne uno certame garantie quant à l'originalité et à l’antiquité de son idiome, bien qu'après tant de sièclcs le patois breton doive ótre loin du celtique primitif. Uu reste le celtique recida rapidement devant les progrès de la Zivilisation latine. Gràce au mode violent et habile de colonisation que les Romains savaient employer; gràce à leurs légions, à leurs colons, a leurs consuls, à leurs rhéteurs, la langue de Cicéron et de Virgile etait parlèe couramment dans toutes Ics grandes villes des Gaules, un siècle aprvs l'in-vasion. Autun, Lyon, Bordeaux avaient des écoles latines flori -sanies, où les Gaulois se distinguaient par leur éloquence et leur amour de la dispute, ve qui faisait appeler la Gaule par Juvénal „nutricula causidicorum ", nourri 1 des avocats. Mais pourquois la noblesse gauloise adopta-t-elle si vite la langue des vainqueurs au mépris de l'idiome national? Necessitò d'urie part, ambii ion dime antro. Cesar ouvrit aux Gaulois les portes du sénat: Claude, un des successeurs d’Auguste, né à Lyon, les admit à toutes les charges de l’empire De plus, la langue latine etait la senio ad mise dans les trìbunaux, les prétoires, les basiliques; la seule admise dans le commerce; la, Caule vtait converte de marchands romains et il ne se faisait pas uno seule aliali que quclque Romain n’y participat. On comprend que sous de telic- influenci -, le celtique dut perdre assez rapidement du terrain. A la fin du V. -Cele, il n'est plus parlò que dans les pays éloignés de l'influcnve romaine, dans les hameaux reculés, au bord des foréts druidiques, surtout dans là Bretagne, qui „semble demeurer immobile, au milieu des ehangements universe!- de l’Europe, et, pareille à ses mystérieux dolmens, s’élève dans un e-,in : la France, comme l'ombre de son passò, corame le depositarne de- vieilles moeurs et des antiques souvenir?. (M. Dòmogeot.) C'est ivi le lieu de dire un mot de l’influcnve du celtique ilari- la formatimi de la langue frammise. Une langue étrangère se n.<- ,t mi,gira indi gène cn proportion dir norabre de ceux qui l’apportent dans h- pass. Or, on ne peut supposer que Ics Romains aient envahi la G irile m grand nombre pour òtouffer l’idiome national sur tous les points. Le celtique reste dono à l’état de langue virante sur les points les plus éloignés d la colonisation romaine. Ajoutez que, mènre parrai les p uple- : vampagnes où la langue latine a penetrò, les colons, les eseluves, prive- de lout moyen d’enseignement, doivcnt sui vre nécessairemcnt celle tendancc naturelle d’cmployer la eonstrucliun de leur langue maternelle, tuut en se svrvant des niols latins. Car ce qu’il y a de plus ineffa^able, dans une langue ce ne soni pus Ics matériaux doni elle osi laite, les mols, mais bien la manière doni s’opère la generali en des idèes, les procédés généraux d’élocution, en un mot, la construction grammaticale, Les idées soni cornine les ondes qui jaillissent d’une so uree et creusent un lit profond par où elles s'écoulent. G’est pourquoi la principale difficulté de ceux qui parlent un e 1 angue 'tran gòre, est d’exprimer leurs idées dans un autre ordre. Du reste, l’emploi de la construction de l’idiome national était d’autant plus facile pour Ics Gaulois que la langue latine est excessivement libre dans la disposition de ses mots. Aussi l’influence du celtique sur la construction grammaticale du framjais a-t-elle été considérable. D’autres observations confirment celle influence: l’usage de l’article inconnu aux Latins, de l’e muet, du j pur, du t euphonique, clioscs communes au celtique et au frangais. Tous les sons simples du fran^ais se rctrouvent dans le breton, à l’exception du eh, qui est d’importation étrangère. Quant aux declinaisons, on jm trouve aucune trace ni dans le gallois ni dans le breton. Il était donc naturel que les Geltes n’ayant pas de déclinaison continuassent à s’en passer quand ils apprirent le latin, ou n’adoptassent que les deux cas Ics plus fréquents : le nominatif et ì accusati!. Le celtique a aussi laissé des traces dans un grand nombre de mots relatifs à l'agricolture, aux végétaux, aux animaux et aux clioscs de la vie les plus ordinaires, tels que: combe (Thal), dune, glui (Schwaden), !f, verne, soc, jars (Gänserich), truie, gourmand, dru, baiai, hart (Seil), b; ‘on, bàie, tas, trou etc. etc, Plusieurs furent acceptés déjà par les Romains eux-mèmes. Ainsi l’oiseau qui s’appelait galerita dans la langue latine, s’appeiait alauda chez Ics Gaulois. Alauda fut adopté, galerita fut oublié. L’orge fermentò était en latin Zythum, en langue gauloise cervisia: ce derni er devint trés usité et donna le mot frangais cervoise, de méme que alauda donna alane, puis le diminutif alouette. Le mot braie, qui désignait l’antique costume national des Gaulois, penetra dans le latin, cornine on le volt par ce passage de Suétone : Galli bracas deposuerunt, latum clavum sumpserunt. Beaucoup d’autres mots d’origine celtique ont dü sc perdre dans les transformations successivos du langage. En résumé la langue celtique a exercé quelque influence sur la parile materielle du frangais, mais considérable sur la construction grammaticale. Voyons maintcnant ce qu’était la langue latine dans les Gaules sous la dominai ion romaine et commcnt elle se transforme peu à peu. Cliez Ics Romains, la classe patricienne se distinguali lengagé cimisi (sermo nobilis), qui a donne le latin classi,pie. Mais les eh.- de celle race privilegiée, qui, appuyée sur ses ricliesses ou son intelligence, flotlait superbcmenl à la surface de l’humanité, formaient le petit nombre. Apparent rari nantes in gurgito vasto. Car à còte de cotte caste aristmratique, se niultiplie la race plébeienne, qui forme loujours le grò de la natimi et so seri d’une langue moins parlai te (sermo plebeius, sermo rusticus). Or ce ne soni pas les patriciens qui ont colonisé la Gaule, mais bien los plébeiens. La langue de Cicéron ct de Virgile ne tut gvere pari re que dans les grandes villos, dans les écolos des rhéteurs ou les eercles arisi o-cratiques des proconsuls; mais 1’immense majorite des colons, des legionaires, des marchands, des esclaves parlaient le latin vulgaire. (‘,e latin, nous ne l’auriuns pas connu, si Ics derivains de Romene nous 1 eussent tait eoimaitrc par lcurs citations, frequentes surtout chez les comiques, dans Plaute en particulier. C'est un vocabulaire à part, doni je voudrais citer quelques exemples avec le frangais qui en derive. Latin classique Latin populaire F rangais Pugna batalia bataille verberare batuere battre equus caballus chevai hebdomas septimana semaine edere manducare manger iter via voic urbs villa ville mina minacia menare ver! i tornare tourner felis catus cliat osculari basiare baiser. Le latin populaire n'avait pas seulement son vocabulaire avait aussi des formes partieulières. Pour en citer un exemplc, il toujours l’avant-dernière voyelle quand elle était. brève, cornine mots suivants. Latin populaire angìus special, il sopprimali dans Ics Latin classique Angulus calidus frigidus caldus frigdus Frangais angle chaud froid table oracle .siede vaincre suspendre poste. tabula tabla oraculum oraclum socculum soeclum vincere vincre suspendere suspendre positus postus Comme on le voit par ces citations, le sermo plebcius, le plus repandu, est dien colui qui a donne naissance au frangais moderne. Godìi- -des gens de bon ton. Car la cour des ducs de Franco passe pour le » .ole de la galanterie, des bonnes manières et dii beau lai,gage. Aussi les Irouvères qui voulaient etre adinis à la cour, les écrivains avidcs de succés, adoptaient le fran^ais; et il n'était pas periuis à un seigneur picard ou bourguignon de s’exprimer dans son dialecte en préscnce du roi de France. Cest ainsi que le nonnand, le picard, le bourguignon n etanl plus paries que par le peuple et cessaut de secrire tombent à letat de patois, comme cela arriva aux dialectes Italiens et espagnols, lorsque le toscan et le caslillan bénéfìcièrcnt de la prépondérance politiquc. Mais dans cette lutte du franfais avec les dialectos provi nei aux, plus d un mot d’origine picarde ou normande penetra dans la langue du vainqueur, quelquefois repoussant le mot fran^ais, plus souvent encore persistant avec lui. De là ccs doublcs formes pour des mots exprimant la mčme idée et ces anomalies de prononciation qui détruiscnt dans la langue la belle unite qu elle devia il avo ir. Ainsi le c dur du latin s etait conserve en Picardie, tandis quii était devenu le eh dans l'ilo-de-France. Ce qui donna Ics doublets suivants : Latin Picard Francois campus camp champ cantare canter chanter Campania campagne champagne carta carte chartc castellum castcl chàteau _ catus cat cliat cancer cancro chancre caballarius cavalier chevalier capitale capitai chapitre eie. eie. A mesine que 1 unite nationale se fortifìait, le fran^ais prenait do I impoiiance, il rayonnait mème au-delà des frontières de la France et au treizième siede il était devenu à la mode en Italie. Martino de Cazacc, qui a liaduit en fran^ais l’histoirc de Vcnisc, s'cxprimc ainsi: „La langue francaisc cort (court) parmi le monde et elle est plus delicate à lire et à oir (entendre) que nulle altre (antro).“ Brunetto, préccpteur du Dante, l’adopta pour le petit ouvrage qu ii composa (Tesoreto) et il s’cn excuse ainsi: Et s’aucuns domande pourquoy chis livres est écrit en romano, sclon le patois de Frante, puisque nous sommes Italiens, je diroé (dirai) que c’est pour deux raison : l une parce que nous sommes en Franco, l’antro si est parco que franqals est plus dólitaubles (dólectables) langagcs et plus communs quo moult ibeaucoup) d’autres.“ < hi a pu remarquer que la langue suit une marche parallèle i l'histoirc politique. Tant que dure la fé,.datile, Ics dialectes soni en plein- vigno,ir dans les provinccs; mais à - le regime monarchiqu iii'titutions croulantcs dii moyen age, une langue nationale saffìrme et s’impose. Gependant avant de devenir la langue policée dii dix-septième siede, le fran?uis du treizième avait encore bien des transformations à subir. II lui fallali d’abord peni re sa déclinaison à deux cas. Gel abandon définitif du cas-sujet et du cas-rógime, eut lieu au quatorzième siede et marqua en quelque sorte la limite de l'ancien frangais et du fran<;ais moderne. — La langue latine avec ses six cas est une langue synlhétique, dans laquelle la désinence du mul, et non sa place, exprime les nuancvs de la pensée. L'esprit grossior des barbares ne pouvaient saisir toutes ccs fines distine ti ons; aussi ne gardčrent — iis que le nominatif pour indiquer le sujet ct 1’accusatil’ pour indiquer le regime*) et dès le cinquiéme siede c’est tout ce qui restai! dans le latin vulgaire de la déclinaison latine. Le rotuan, langue demi — syn-Ihótiijuc du moyen àge passe à l’état de langue analytique, ou la place des mots et non leur désinence exprime les nuances de la pensée. En latin on pcut dire canis occidit lupum, ou lupum occidit canis, gràce à la déclinaison; mais en l'ramjais, où la phrase se développe dans un ordre logique la position des mots donne un scns tout différent à ces propositions: le loup tua le chien, le chien tua le loup. Ainsi l’esprit moderne, l’esprit analytique, qui exprime le rapport des mots par leur ordre et non par leur forme gagne rapidement du tcrrain. Débarassée de son ancienne déclinaison, la langue frangaise ne tarde pas à devenir sous Louis XI, dans la main de Commines un excellent instrument pour toutes les fmesses de l’esprit. Elle est à peu près achcvée au seizième siede, de mème que la France est organisée. Charles-Quint la déclara langue d’Etat, et depuis Ics conférences de Nimèguc, elle a conservò ce privilège et prèside à tous les traités intcrnalionaux, à toutes les conventions diplomatiques importantes. Au seizième siede, un nombre considérable de mots Italiens pénétrèrent dans le framjais. Les expéditions de Charles Vili, de Louis XII, de Francois I«r au delà des monts avaient rendu l’ilalien très familier en France en v important d’abord Ics termes de l’art militaire. Tels que infanteria, fantaccino, citadella, all’erta, scadrà, imboscada, carabina eie. etc. qui donnèrent: infanterie, fantassin, citadelle, alerte, embuscade, escadre, carabine etc. line aulre cause vint augmenter en France le prestige de tout ce qui était italici! : la régence de Catherine de Médicis. Sous Francois b>r la mode italienne est toute-puissante à la cour et de là elle se répand dans les provinces. Du reste le vif éclat que les arts et les lettres jetaient alors dans la Péninsule explique ce goùt de l’italien qui régnait un peu dans tonte l’Europe. C’est de ccttc époque que datent Ics mots: courtisan (cortigiano), charlatan (ciarlatano), bouffon (buffone), spadassin (spadaccino), ca,rosse (carezza), cadcnce (cadenza), baldaquin (baldacchino), agio (aggio), ban-queroule (bancorotto) etc. La langue italienne étant une langue run, ne, une soeur du f’ran?ais, la multitude des mots quelle introduisit et qui sacclima-tèrent facilement en France nest point à déplorer, car, ils soni nés, eux aussi, du latin populaire, ils n’ont rien d’étranger dans leur physionomiu et ils ne font qu’enrichir la langue. Malheureusement les italiani ■ m ne se contentèrent pas d’introduire des mots étrangers, ils allèrent jusqu a remplacer le mot frantais par le mot Italien. Ainsi au lieu de: .,la première I i v, ils Vaici un exeniple de celle déclinaison: c■ Nnminnlif li pitre , li pasleur 111 Accusalif le pasleur *' uru les pasleurs. di.saicnt. la prima volte (prima volta), flette tentativo aussi inintelligente quo ridicule cut toni l’insuccès qu’cllc méritait. line antro manie vi ut cncore au scizièmc sièclc troubler le développòment naturcl et regulier de la langue frammise : la manie de l'antiquitó. La Renaissance avait fait connaitre au monde Ics trésors littóraircs de Vantiquité clas-sique; on étudiait avec passion le grec et le latin. La beante, la pcrfection qu’on découvrait dans Ics oeuvres antiques, faisait presque dédaigner la langue nationale; on aurait du meins voulu la refairc sur le modèle classique et Venrichir des dépouilles de Rome et d’Atliònes. On oubliait qu’une langue ne se fabrique pas, qu’elle est un produit naturcl sur lequel les savanLs exercent bien quelque action, mais qu'ils ne peuvent ni changer dans son csscncc, ni arréter dans sa progession. Aussi leurs efforts furent pernicieux cn somme, puisqu’ils jetèrent la langue dans ime voie d’imitation où son caractòre national et son originalité auraient lini par se perdre. G'cst Joachim du Bcllay qui le premier proposa un pian de réforme pour créer une langue plus riche, selon lui, par l’importation directe des mots grecs et latins. Pierre de Ronsard, page du duc d'Orléans, tenta de réaliser ce plan. 11 rejeta les formes et les genres de l’ancienne poesie nationale et se mit à imiter u'une faijon servile le grec et latin, surtout dans la tragedie et l'épopée. Les disciples de Ronsard exagèrent encore la manière du maitre. Non contcnt de créer de nouveaux mots, ils voulurent refondre les ancicns et Ics calquer sur le modèle grec et latin. Par exemple les mots latins: pagina, otiosus, vindicare, (potionem), perfectus, peregrinus etc. avaient donne par une transformation lente et reguliere: page, oiseux, venger, poison, parfait, pélerin tic. L’école de Ronsard trouva ces mots trop éloignés de l’original latin et proposa de Ics remplacer par pagine, otieux, vindiquer, potion, perfect, pérégrin. Les mots tirés du grec étaicnt aussi fort nombreux et avaient un aspect encore plus é tran gè, lels que: oeymore, entelechie, oligochrome. Gomme on devait s'y attendre, le bon scns de la nation protesta contre la création de cet idiome arti fi ci el, inintelligible au peuple, flaltant seulement l’érudition des lettrés. Malherbe se mit à la tòte du mouvement de réforme et se fit le justicicr de tous ces mots bàtards, dont l’origine grecque ou latine ne suffìsait point à legitimer l’cxistence. Pour Malheibe il n’y avait qu’une vraie Lingue ; cello du peuple, et quand on le consultali sur quelques mots il renvoyait aux crochetcurs du Port au foin, disant que c’étaient scs maftres pour le langage. Sans doute, coni me tous Ics réfor-mateurs, il dépassa souvent le but, mais la réaction quii dirigea contre l’école de Ronsard eut en somme d'heureux résultats, et ce que le bon sens lui faisait prendre pour principe, la pliilologie l a rcconnu de nos jours, à savo ir que le langage populaire est le déposi taire des traditions anliques, la source authentique du véritable idiome national. Du reste, malgré les pro-scripiions de Malberilo bcaucoup des creaiions savantes du sci/iéme siècle soni, demeurées; des mots hcurcuscment trouvés ou exprimant dos nuances de pensée que l’ancienne Lingue no lournissait pas, ont continue de subsistor meine'à coté dii mot populaire, cornine: potion et poison (potimi in), fa^on et factiou (factionem), poulpe et polypo (polypus), cncroùter e! incruster (incrustare), pórégrination et pólérinage (peregrinatio). Cos mots ont la mémc origine, mais l’usage leur a donno des nuances différentes et e'est ce qui explique leur cocxistcnce. Disons pour résumer le mouvement du seiziéme siede, que l'écolc de Ronsard, tout cn faisant perdre à la langue l'rancaisc beaucoup d'éléments et de formes antiques l a, d'un antro coté, enrichie d un nomine considérable de mots nouveaux. Au dix-septième siede ime nouvelle manie apparali : l’imitation de l'espagnol. Le long séjour des armées cspagnoles en France, les guerres de la Liguc avaient répandu la connaissance de cotte langue. Sully raconte qu’à la cour de Henri IV Ics goùts et Ics modes d'Espagne regnaient en maitre et que Von n’entendait parmi les courtisans qu'admirations et exclamations castillanes. Aussi ne faut-il pas s’étonner que la langue fran<*aise ait elle-méme subi cotte contagion. Les écrivains de cette epoque se servent fréquemmcnt de locutions et de mots empruntés à l’Espagne. Caramel, camarade, castagnette, mantillc, matamore, haquenée, guitare, galon, sarabande, duègne, creole, algarade, albinos, capitarne, datent de cette époque. Sons Louis XIV, la langue frammise arrivo à so» apogèo. Des écrivains, des orateurs de premier ordre l’illustrent à jamais par des oeuvrcs immortelles. Bossuet, Fénelon, Pascal, Lafontaine, Corneille, Racine, Molière, Boileau donneili à cet instrument de la pensée une perfection achevée ; l’Académie francaise, cróce par Richelieu, l’épurc, la fixe et continuerà à travers les siècles d’exerccr sur elle une influence considérable. An dix-huitièmc siede, la langue frammise éprouve peu de changements. Elle est parlée dans toutes les cours de l’Europe, et Frédéric li se fail gioire de la parler et de reccvoir des le^ons de Voltaire. Au dix-neuvième siede, le néologismc introduit autrefois par Ronsard, arrété par Mallierbe, reparait de nouveau et, cette Ibis, uvee une violence qui rompi toutes les digues et qu’expliquent Ics progrès de la Science et de l’induslrie, doni les inventions nouvelles demandent des mots nouveaux. C’cst surtout lo grec qui est mis à contribution par les savants et avec lequel on forme : télégraphe, photographe, phonographe, sténographe, gazo-mctre, manometre, thermomètre, télephone etc. etc. . . . Cepcndant la langue grecque, quelque influence qu elle ait exercée sur le frampiis, n’a jamais eu sur elle qu’une action indirecte, car les mots qu elle fournit sont forgés de toutes pièces par Ics savants modernes. I/anglais fournit aussi un contingent ašsez grand de mots rclatifs à la politique, au jeu, à l'industrii tds que: budget, Jury, bill, meeting, sport, Jockey, dandy, clown, groom, steeple-chase, whist, touriste, square, tender, wagon, rail, express de... Celle introduction de mots d une physionomie asse/, étrange est Ioni oi' (pro)-pOUr, nOs-JiOUs, \0-\0U>. rola-roue. c) Gedecktes o wird oft zu ui. Post-puis, noctem-nuit, Ostrca-hullre, coquere-cuire. d) Suffix orium wird zu oi. Dormilorium-dortoir, rcfectorilllU-réfectoire, oralorium-orafoire; auch gloria-gloire, memoria-mémoire. II. Nebentoniges 0. 0 vor oralen und nasalen Gonsonanten bleibt o: Volontas-volonte, nominare-nommer, donare-donner; oder wird zu ou: tornare-lourner, dotarc-douer, copula-eoUple, colorem-couleur, dolorem-douleur, probare-prouvcr. I. llaujittouiges und Nebentoniges II. U bleibt u oder verwandelt sich in ou, UN, ui, manchmal in oi. t. Murus-mur, acutus-aigu, purus-pur, nudus-nu : 2. lupus-lonp, jugurn-joug, Ursus-OUis, gutta-gOUlte, turris-tour, sürdus-sOUrd; 3. UUus-un, lunfe)di(e)-lundi; 4. fructus-fruit, lucet-luit, junius-juin ; 5. crucem-croix, nucem-noix, angU-stia-angoisse. AU. Dieser Diphtong ist zu o oder zu ou, manchmal zu oi geworden. 1. Causa-cbose, aurum-or, auricula-oreille, audere-oser; 2. gaudere-jouir, alauda-aloucttc, laudare-louer; 3. clausterium-cloitrc, auca-oie, nausea-noisc, Histoire des consonnes latines. Observations generales. 1. La eonsonne mediane latine (placée entro deux voyelles) disparati toujours en franca is, les mots d’origine savan te la conservent. Latin Mots franijais Mots savants au(g)ustus aoüt auguste advo(c)atus avoué avocat ere (d) enti a créance orédence de(c)anatus doyen décanat deli(c)atus dèlie delie at re(g)alis royal regale. II. Les permutations des consonnes ont toujours ben enlre celles du meine groupe, par ex empie si ime des Labiales (p, b, v, f) -c transforme, c’est en une ant re labiale: cu(b)are-cou(v)er, a(p)icula-a(b)eille, cor(v)ellus-coi'(b)eau. III. D ans un groupe de mèmes consonnes, quand il v a uno permu la-tion, c’est de la forte a la don ce quc le passa ge s’opère ordinairemenl. A insi p devient quelqucfois b, mais jamais b ne devient p. Tunc-flonc, Atmis-Adour. Die Liquiden (I. ni, n, ri. I, L bleibt oder wird zu r, off zu u. 1. Lutra-loulre, lingua l ingue; Lu sein i ola-r oss i gn ol, ulmus-orme, capitulum-chapitre, seàndaluin-esclandre; 3. mol(lis)-mou, culpabilis-coupable, sulphur-soufre, auscultare-écouler. ' M. IS bleibt, oder wird zu n, manchmal zu b. 1. marc-mer, camora-ehambre, famcs-faim; 2. mappa-nappe, rem-rien, meum, tuum, suum, limn, ton. sun, malta-natte; 3. sabbati-dies-samedi. s. I N bleibt, oder wird zu 1, manchmal zu r. 1. Sonus-son, rationem-raisoü, regnum-règne; 2. orfthaninus-orphelin, Hononia-Bologne; 3. ord(i)ncm-ordre, 1 pampinus-pampre, tympanum-limbre, diaconus-diacre. R. R bleibt, oder wird zu l. 1. derupta-déroute, soriccm-souris, carmen-charme; L. altare-autel, cribrum-crible, fragrare-flairer, paraveredus (para-fredus)- palefroi. Consonantengruppen. ISn wird zu tnm, m. 1. fem(i)na-fcmme, liom(i)nem-homme, nom(i)nare-nommcr; 2. dom(i)na-dame, lam(i)na-lame. Nm wird zu m. An(i)ma-àme, Hieron(y)mus-Jérómc. Rn verliert immer n im Auslaut: infernum-cnfer, comu-cor, djuruum-(d)jour, hibemum-hiver, carncm-chair. Kl und mr rufen ein epenthetisches b hervor. 1. hum(i)lis-lmmble, cum(U)lus-comble, sim(u)lo-sembler, insim(u)l-ensemble; 2. numfeirus-numbre, cam(e)ra-chambre, Cam(e)racum-Cambrai, cucnm(e)rcm-concombre. Nr ruft auch ein epenthetisches d hervor. Pon(e)re-pondre, gen se) regen dre, ten(e)rc-tcndre, Vcn(e)ris-dies-vendredi, min(o)rem-moindre. Die Dentalen (t, d, s, x). Bemerk. In der Regel fallen die Dentalen t und d als Intcrvocalc weg. 1. catena-chaine, maturus-mur, dotare-douer, gratum-gré, amatum-aimé, minutus-menu, virtutem-vertu, acutus-aigu; 2. erudelis-cruel, sudarc-suer, denudatus-dénué, mcdulla-moellc, obedire-obéir. T. T bleibt (besonders im Anlaut) oder wird zu d. Tabanus-taon, ton-sionem-toison ; 2. tunc-donc, cubitus-coude, Aturis-Adour, Luleva-Lodève, lacci ta-lczàrd, mcrcantem-marchand. T nach la, le, io, ÌU wird 8. Potionem-poison, rationem-raison, otiosus-oiseux, Venetia-Venisc, traditionem-trahison, ligationem-liaison. D. D hlcibt (besonders im Anlaut), oder wird zu t- 1. d 1 h voir, do-intus-dans, frigidus-fioid, modius-muid; 2. viridis-vert, ul le-souvent, Scaldi s-Escaut. D fallt vor j fast immer weg. Adjuxtare-ajoutcr, djurnum-jimr. 8. S bleibt, oder wird zu z. 1. solus-seul, subtns-sou ; ", < isa-chez, nasus-neZ, adsatis-assez, rasus-n z -(de-chaussée). X bleibt oder wird zu 88. 1. scx-six. vox-voix, pax-paix ; 2. exagium-cssai, cxamen-cssaim, laxarc-laisser, axilla-aisselle, coxa-cuisse. Conxonantengrnppen. Rs. R fällt weg. Dorsum-dos, persica-pcsche (pòche). DR, TR. Die Dentalen d und t fallen fast immer weg. 1. vid(6)re-voir, cred(e)rc-croire, cathedra-chaire, quadragcsima-careme; 2. fratrem-fi ère, matrem-inére, Matrona-Marne. R wird häufig verdoppelt : nitrum-verrc, putrere-pourrir, nutrirc-nourrir, latronem-larron. SR wird zu tr. Cresc(e)re-croitre, pascere-paitre, esscrc-etre, co-gnoscerc-connaitre. Vor sr, sc, sm, SP, st tritt ein e. Sclavus-esclave, scalariuni-escalier, scabellum-escabeau, scienlem-escient, spatium-espacc, spccies-espèce, spiritus-esprit, sperarc-espérer, stomachum-estomac, scandalurn-esclandrc. Im XVI. Jahrhundert verschwindet das s in einer Anzahl dieser Wörter, was durch einen Accent aigu auf dem e bezeichnet wird. Statum-ótat, spccies-épice, scala-échelle, scrinium-éerin, slannum-étain, stabulum-ólable, studium-élude, spissus-épais sponsus-é|ioux, spina-spine, spica-ópi, Scotia-Bcosse. Bemerk. Dieses e war ursprünglich ein j, wie es aus den Urkunden des V., VI. und VIII. Jahrhunderts ersichtlich ist, so liest man: ispatium, isperare, istare etc. Die Gutturalen (r, q, g, .j h). C. a) Weiches c wird zu s, Z. X. 1) cingulum-sangle, placere-plaisir, vicinus-voisin, avi Cell ns (auccllus)- oigel (oiseau); 2. lacerta-lézaid, und voi m-onze, duodecim-douze; 3. decem-dix. vocem-voix, nuoem-noix. pacern-paix, calcein-chaux, falcem-faux. b) Hartes c bleibt c oder wird za cd, g, 1. 1. concha-coque, cubare-couver, secundus-second ; 2. caput-chef, causa-chose, candella-ch indi lle, capra-chèvrc, caballus-cheval, bucca-bouche, musca-mouche, mica-miche, pertica-perche, furca-fpuiche, siccare-sécher; 3. cupcllctum-gobelet, crassus-gras, conflarc-gonller, macrum-maigre, locusta-langoustc, ciconia-cigogne. c) 0 wird vor t zu i, wenn ein Vocal vorangeht: factus-falt, tractus-tralt, strictus-étroit, lectum-tolt, biscoctus-biscult, laclem-lalt, ductns-dult (conduit, dédult, rédult, produit), lcctum-lit, fmctus-frult, lactrn a-laituv. d) Ct wird zu t, wenn ein Consonant vorangeht, l’unctum-pnin , uic-tum-saint, unctum-oint. e) 0 fällt im Auslaut weg. FuCum-fcu, locum-lieu, pauoum-pvu, cmn-ji-u. Q. Q bleibt q oder wird zu o. 1. Tranquillus-lranquiIle, quinque-cinq quali--quell; 2. quare-car, quassarc-casscr, quisque-unus chacun. quietus-cui. G. 0 bleibt oder wird zu j. 1. gobionem-goujon, guslus-goiit, anguslia-angoisse, longus-long, stagnum-étang ; 2. gaudcre-Jouir, gemellus-Jumeau, galbinus-Jaune, Andcgavi-Anjou. J und i lini Len ursprünglich dieselbe Aussprache; deshalb ist. 1 so oft J geschrieben worden : simia-simjn, diurnus-djimms, vindvmia-vindbinja, pililonem-pipjonein, tibia-libja, rablcs-rabjes, diluvium-diluvjmn, cambiare-ciunhjurc, Dibionem-1)ibjonem, abbrevlare-abbrcvjare. J aber wurde wie das heutige j in „Journal“ oder das g in „changer“ gesprochen, und der vorhergehende Consanant ist häufig verschwunden; so hat simja-singe gegeben, djurnus-jour, vindemja-vendange, pipjonem-pigeon, ti(b)ja-tigc, rabjes-rage, diluvjum-deluge, cambjare-changer, Dibjonein-Dijon, abbrevjace-abréger. Auf diese Art erklärt man die successive Verwandlung von ea, eo, eu, in ia, io, iu, dann in ja, jo, ju endlich in je oder ge. Lanea-lanja-lange, cavea-cavja-cage, commeatus-commjatus-conge, hordeum-hordjum-orge, deusque-djusqne-jusque. ». Dieser Buchstabe fällt gewöhnlich im Anlaute weg. Habere-avoir, homo-on, hordeum-orge, hoc illud-o'il (oui). Consonantcngruppen. 01 bleibt im Anlaut: ölarus-clair, oder wird zu 11 im Auslaut: oc(v'lus-oell, apic(u)l-abellle, auric(u)la-orcille. Gm, gn, gd verlieren gewöhnlich das g. 1. Pigmentum-piment, phlegmati emme; 2. malignum-malin, benignum-bénin; 3. smaragda-émeraude. Die Labialen (p, b, f (ph), v). P. P bleibt, oder wird zu b, V. 1. Panis-pain, protum-pré, copula-couple, lupus-loup, campus-cliamp; 2. duplex-(duplus)-double, cap(u)luin-cäble, apic(u)la-abeille; 3. lupa-louve, capillum-chevcu, capra-chcvre, rapa-rave, ripa-live, sapa-sève, saponem-savon, saperc-savoir. 11. B bleibt b, oder wird zu v. 1. bibere-boire, bonus-bon, diabolus-diablc; 2. cubare-couver, habere-avoir, probare-prouver, caballus-cheval, ebrius-ivre, libra-livre, labrum-lèvre, faba-fève, subiude-souvent. F. F (oder ph) bleibt: aurifaber-orfèvre, ossifraga-orfraie. V. V bleibt v oder wird zu f, b, g. 1. Viburnum-viorne, vi ( v) en d a-V i and e, calvus-chauve; 2. vivus-vif, sevum-suif, navis-nef, bovem-bocuf, salvus-sauf, cervus-ccrf: 3. curvare-courber, corvcllus-corbeau, verveccm-brebis, Vcson-tionem-Besan^on; 4. Vasconiä-Gascogne, viscum-gui, vagina-gaine, vespa-guòpe, servienten-sergent. Consonant,engruppen. Ps, pt, pn verlieren das anlautende p. Ptisana-tisane, pnouma-neume, psalmus- (altfr. säume). Pt im Inlaute wird zu t, d. Captivus-chétif, dcrupta-déroute, rupta-route, seriptus-éerit, adcaptare-acheter, (maleaptus)-malade, ita-grotte. Wörter wie capti f, rupture, crvpte, apte sind modernen Ursprungs. Bt, bj, bm verlieren b. Gub(i)tus-coude, dub(i)tum-doule. deb(i)tum-dctte, subjectiim-snjel, submissum somnis. Außer den Lautwaiidlungen, welche wir soeben■ auseinandergesetzt haben, kommen auch andere Erscheinungen heim Übergang des Lateinischen ins Französische vor. Manchmal sind die Buchstaben im abgeleiteten Worte anders angereiht, als im ursprünglichen. (Melhathesis), oder es wird ein Buchstabe hinzugelugt; dieser Buchstabe kann eintreten: im Anlaut (Prothesis), im Inlaut (Epenthesis), im Auslaut (Epithesis). Ein Buchstabe kann auch Wegfällen: im Anfänge (Apheresis), in der Mitte (Synkope), am Ende des Wortes (Apokope). Mathesis. Stagnum-étang, pugnus-poing, Ollis-Lot, pro-pour, torculus-treuil, turbularc-lronbler, Druenlia-Durance, formaticum-fromage, vervecem-brobis. Gloria-gloire, memoria-mémoire, modius-muid. . Prothesis. Octo-huit, altus-haut, ostrea-huitre, erodi'us-héron, ul(u)lare-burler, ostium-huis; ranuncula-grenouille, amita-(ante)-tante, insula-Lille, hoedera-licrre, uvetta-luette, hora-lors. Epenthesis. Cadurci - Gabors, invadere-envabir, tradere-1 rahir, labrusca-lambruche, locusta-langouste, laterna-lanterne, cucumerem-concombre, pictorem-pcintre, funda-fronde, perdicem-perdrix, thesaurus-trésor, camera-chambre etc. Epithesis. Lilium-lis, legatum-legs, tam diu-tandig, jam diu-jadis, sine-sans, ccrte-certes etc. Apheresis. Apolheea-boutique, ablatum-blé, Ille-le, lllorum-lcur, oriza-riz, ada-mantem-diamant, Apulia-Pouille, plisana-tisane, spasmare-pùmer, bora-or, hordeum-orge, homo-on. Submissus-soumis, subjectus-sujet, derupta-déroute, cru(d)clis-cruel, salutare-saluer, pii care-pii er, vocalis-voyelle, ne(g)are-nier, ma(g)islcr-maìlre, tabanus-taon, habentem-ayant, pavonem-paon, vivenda-viande, pos(i)tura-posture, reg(u)la-règle etc. Apokope. Gratum-grò, amatum-aimé, acutus-aign, ablatem-abbé, fmnus-fonr, carnem-chair, cornu-cor, qua.ternum-(quaernum)-quaier (caldei) non illud (nennil)-nenni, fmitum-fini. Marburg, Mai 1805. A. Drouillot. Schulnacìirichten. L Personalstand. a) Der Lehrkörper bestand aus den Herren: t. Josef Frank, Hitler des Franz-Josef-Ordens, k. k. Schulrath und Director, Gustos der Lehrer* und Schülerbibliothek; ‘2. k. k. Professoren: Josef Jonasch, VIII. Rangsclasse, Gustos der Lehrmittelsammlung für Geometrie, Vorstand der VI. Classe; Franz Fasching, VIII. Rangsclasse, Vorstand der III. Classe, Gustos der Lehrmittelsammlung für Geographie und Nebenlehrer der Stenographie; Franz Brelich, VIII. Rangsclasse, Weltpriester der fürstbischöflichen Lavanter Diöcese; Gaston Kitter von Britto, tioctor der Philosophie, VIII. Rangsclasse, Vorstand der V. Classe, Gustos der Lehrmittelsammlung für Physik; Karl Neubauer, Vili. Rangsclasse, k. k. Bezirksschulinspector für den Stadt-Schulbezirk Marburg; Robert Spill er, Vili. Rangsclasse, Vorstand der IV. Classe, Custos der Lehrmittelsammlung für Chemie, Leiter der analytisch-chemischen Übungen; Johann SedlàCek, VIII. Rangsclasse, Ritter des Ordens vom heil. Grabe zu Jerusalem, Doctor der Philosophie; Vincenz Bieber, Gustos der Lehrmittelsammlung für Naturgeschichte, Vorstand der VII. Classe; Arthur Hesse, Gustos der Lehrmittelsammlung für Freihandzeichnen; Franz Kaufmann, Vorstand der II. Classe; 3. dem k. k. wirklichen Lehrer Eduard Sokoli, Vorstand der I. Classe; 4. dem supplierenden Lehrer Augustin Drouillot; 5. dem Turnlehrer der k. k. Lehrerbildungsanstalt in Marburg, Rudolf Markl; dem Nebenlehrer für Gesang, Leo Dobrowolny, Lehrer des philharmonischen Vereines. b) Die Schuldiener: Anton Schischek und Simon Fuchsbiehler. II. Lehr Verfassung nach aufsteigenden Classen. I. Classe. Religionslehre. 2 Stunden. I. Semester. Die christkatholische Glaubenslehre auf der Basis des apostolischen Glaubensbekenntnisses. 11. Semester. Die christkatholische Sittenlehre auf Grundlage der zehn göttlichen Gebote. Brelich. Deutsche Sprache. 5 Stunden. Die Wortarten, Flexion des Nomen und Verbum: der nackte Satz, Erweiterungen desselben, gezeigt und erklärt an einfachen Beispielen. Orthographische Übungen. Lautrichtiges und sinngemäßes Lesen; Erklärung, Besprechung und mündliche Wiedergabe des Gelesenen. Memorieren und Vorfragen erklärter Gedichte, mitunter auch prosaischer Abschnitte. Im I. Semester bis Weihnachten jede Woche ein Riebt (15—50 Minuten). Von Weihnachten bis zum Schlüsse des Schuljahres alle 4 Wochen 2 Diciate, eine Schul- und eine Hausaufgabe. Wiedergabe frei mitgetheiller oder vorgelesener kleiner Erzählungen von syntaktisch einfacher Form. Sokoli. Slovenische Sprache. 2 Stunden. Bedingt obligat. Aussprache. Wechsel der Laute, Tonzeichen, Lehre von den regelmäßigen Formen der flexiblenj Redetheile, Sprech- und Sehreibübungen. * Brelich. Französische Sprache. 5 Stunden. Leselehre. Formenlehre mit Berücksichtigung der Elemente der Lautlehre und zwar das Substantif und sein genre, das Adjectif qualiticatif possesif und demonstratif; I. regelmäßige Conjugation; Bildung der zusammengesetzten Zeiten. Elemente der Orthographie; Construction des einfachen Satzes, mündliche und schriftliche Übersetzungen einfacher Sätze aus dem Französischen und in dasselbe. Aneignung eines entsprechenden Wortvorrathes. Im I. Seinester von Weihnachten an jede Woche ein kurzes Dictat im engsten Anschlüsse an gut durchgearbeiteten Lehrstoff. Im II. Semester alle I Wochen 2 Dictate und eine Schulaufgabe. Stoff der Dictate wie im I. Semester; du die Schulaufgaben Niederschreiben eines auswendig gelernten zusammenhängenden Stückes „,:t iwilügung der Übersetzung; Beantwortung einfacher französischer Fragen, die sich an den" I bung -totf anschließen. ~ Sokoli. Geographie. 3 Stunden. Die Hauptformen des Festen und Flüssigen auf derJEnle. ihre Anordnung und Verlheilung und die politischen Abgrenzungen der Erdlheile als übei-i dilliche Beschreibung der Erdoberfläche nach ihrer natürlichen Beschaffenheit und politi- -Im,, Ein-theihmg, auf Grund des Kartenhildes. Fundamentalsätze der mathematischen und phy italischen Geographie, soweit, sie zum Verständnis der einfachsten Erscheinungen unentbehrlich sind und anschaulich erörtert werden können. F rhing. Mathematik. 3 Stunden. Erörterung des dekadischen Zahlensystems. Die vier ersten Giundoperationen mit unbenannten und einfachbenannten Zahlen ohne und mit Decimalen, Erklärung des metrischen Maß- und Gewicht.ssyst.ems. Grundzüge der Theilbarkeil der Zahlen; Keiueiiiw Brüche in Üecimalbrüche und umgekehrt. Du^ Rechnen mit mehrfach ben unten Zahlen. In allen Classen alle 4 Wochen eine Schulaufgabe; außerdem kleine I. bung-aufgaben. Lehrstunde schon ani den folgenden Tag fällt, haben diese Übungsaufgaben in den Unter-classen besonders dann zu entfallen, wenn nicht ein freier Nachmittag dazwischen fällt. J o n a s o h. Naturgeschichte. •'! Stunden. Anschauungsunterricht und zwar im I. Semester: Wirbel-tliiere, vorwiegend Säiigethiere und Vögel, eine Anzahl passend ausgewählter Formen der übrigen (Hassen. II. Semester: Wirbellose Thiere, vorzugsweise Gliedernden;, namentlich lose, teil, einige der wichtigsten und bekanntesten Formen aus der Abtheilung der Weich-und Strahllhiere. Bieber. Freihandzeichnen. 5 Stunden. Anschauungslehre, Zeichnen ebener geomeii ieher Gebilde und des geometrischen Ornamentes aus freier Hand unter besonderer Berücksichtigung des Zeichnens gebogener Linien. — Grundbegriffe aus der liaumlehre und anschauliche Erklärung der elementaren Körperformen. tonaseli. Schönschreiben. 1 Stunde. Deutsche Current- und englische Gursivschrift. Fasching. Turnen. 2 Stunden. Erste Elementarübungen, Ordnungs-, Frei- und Geräthübungen. Mar kl. II. Classe. Religionslehre. 2 Stunden. Der katholische Cultus. I. Semester: Die natürliche Noth-wendigke.it und Entwicklung desselben, die kirchl. Personen, Orte und Geräthe. II. Semester: Die kirchlichen Cereinonien als Ausdruck des katholischen religiösen Gefühles. Brelich. Deutsche Sprache. 3 Stunden. Vervollständigung der Formenlehre, Erweiterung der Lehre vom nackten und bekleideten Satze; die Satzverbindung und Satzordnung in ihren leichteren Arten. Fortsetzung der orthographischen Übungen. Im Übrigen wie in der I. Classe. Alle (i Wochen ein Dictat, eine Schul- und eine Hausaufgabe. Etwas umfangreichere Nacherzählungen; verkürzende Zusammenfassung ausführlicher Erzählungen. Dr. Sedlaček. Slovenische Sprache. 2 Stunden. Bedingt obligat. Gesammte Formenlehre sann .t den anomalen Formen. Einige zum Verständnis der Lesestücke nothwendige Sätze aus der Syntax. Brelich. Französische Sprache. 4 Stunden. Fortsetzung der Formenlehre. Die Adjectivs numéraux, Comparation; die Pronoms; die drei regelmäßigen Conjugationen; der Artide partitif; das Adveibe; Prépositions; Syntax des pronoin personnel conjoint; Frage- und negative Form; die gebräuchlichsten unregelmäßigen Verben mit Ausfall des Stammconsonanteu (verlies auf ui re, ire, etc.) Mündliche und schriftliche Übersetzungen aus dem Französischen und in dasselbe. Lesen leichter Erzählungen. Vermehrung des Wortvorrathes. Alle 4 Wochen ein Dictat, eine Schul-und eine Hausaufgabe, Der Stoff derselbe wie in der 1. Classe, nur sind die Forderungen etwas zu steigern. Dr. Sedlaček. Geographie und Geschichte. A. Geographie: 2 Stunden. Specielle Geographie Aftikas und Asiens in topographischer und physikalischer Hinsicht mit Bezugnahme auf die klimatischen Zustände namentlich in ihrem Zusammenhänge mit der Vegetation. Länder- und Völkerkunde mit Berücksichtigung der Abstammung, der Beschäftigung, des Verkehrslebens und der Cui (Urzustände der Völker überhaupt. Übersicht der Bodengestalt, der Stromgebiete und der Länder Europas. Specielle Geographie der Länder des westlichen u. südlichen Europa in der angegebenen Weise. B. Geschichte: 2 Stunden. Geschichte des Alterthums, hauptsächlich der Griechen und Römer mit besonderer Hervorhebung des sagenhaften und biographischen Stoffes. Neubauer. Mathematik. 3 Stunden. Abgekürzte Multiplication und abgekürzte Division. Das Rechnen mit periodischen und unvollständigen Decimalbrüchen mit Rücksicht auf die nothwendigen Abkürzungen. Das Wichtigste aus der Maß- und Gewichtskunde, aus dem Geld- und Münzwesen. Maß-, Gewichts- und Münzenreducierung, Schlussrechnung (Zurückführung auf die Einheit), auf einfache und zusammengesetzte Aufgaben angewandt. Lehre von den Verhältnissen und Proportionen, deren Anwendung; Regeldetrie, Kettensatz; Procent-, einfache Zins-, Discont-und Terminrechnung. Theilregel, Durchschnitts- lind Allegationsrechnung. Bieber. Naturgeschichte. 3 Stunden. Anschauungsunterricht, und zwar im f. Semester: Mineralogie. Beobachtung und Beschreibung einer mäßigen Anzahl von Mim alarteli oline besonder;' Rücksichtnahme auf Systematik mit gelegentlicher Vorweisung der gewöhnlichen Gesteinstörinen. II. Semester: Botanik. Beobachtung und Beschreibung edier Anzahl von Samenpflanzen verschiedener Ordnungen; allmähliche Anbahnung der Auffassung einiger natürlichen Familien; Einbeziehung einiger Formen der Sporenpflanzen in den Kreis der Betrachtung. Bieber. Geometrie und geometrisches Zeichnen. 3 Stunden. Elemente der PI m-irie, gerade Linie, Winkel, Parallellinien ; die wichtigsten Lehrsätze über die Seiten und Winkel des Dreieckes, Congrucnz der Dreiecke; Parallelogramme und Trapez; Einiges über ff Viereck und des Dreieckes und des Reißzeuges Kaufmann. Freihandzeichnen. 4 Stunden. Perspectiviscli.es Freihandzeichnen nach Draht- und Holzmodellen. Zeichnen einfacher Flachornamente im Umriss. Hesse. Schönschreiben. 1 Stunde. Wie in der I. Classe und Rundschrift. Kaufmann. Turnen. 2 Stunden. Ordnungs-, Frei- und Geräthübungen. Markt. III. Classe. Religion. 2 Stunden. I. Semester: Geschichte der göttlichen Offenbarung des allen Bundes rnil den nölhigen apologetischen Erklärungen. II. Semester: Die göttliche Otlen-barung des neuen Bundes. Brelich. Deutsche Sprache, t Stunden. Der zusammengezogene und zusammengesetzte Satz; Arten der Nebensätze, Verkürzung derselben, indirecte Rede, die Periode. Systematische Belehrung über Orthographie und Zeichensetzung. Genaues Eingehen auf die Gedankenfolge und Gliederung der prosaischen Resesi licke. Bei Erklärung classischer Gedichte passende biographische Notizen über die Verfasser. Memorieren und Vortragen. Alle 1 Wochen eine Schidioni eine Hausaufgabe. Beschreibungen von Gegenständen, die den Schülern aus dem gewöhnlichen Leben oder aus dem Unterrichte, besonders dem naturwissenschaftlichen wohlbekannt sind; Vergleiche; Umgestaltung kleiner epischer Gedichte rein erzählenden Inhaltes in Prosa ; Inhaltsangaben oder Auszüge umfangreicherer Lesestücke. Dr. SediàCek. Sloveni,sehe Sprache. 2 Stunden. Bedingt obligat. Systematische Wiederholung der gesammten Formenlehre. Fortgesetzte Übungen. Prosaische und poetische Reel tire. Brelich. Französische Sprache. -1 Stunden. 'Wiederholung und Ergänzung der Formenlehre. Systematische Behandlung der unregelmäßigen Verben auf Grund der Lautgesetze; defective und unpersönliche Verba; Conjonctions; der zusammengesetzte Satz; Syntax des Artikels; Anwendung von Hilfsverben. Mündliche und schriftliche Übersetzungen aus dem Französischen und in dasselbe. Memorieren kurzer Lesestücke; Vermehrung des Wortvorratlies. Alle 4 Wochen ein Dictat, eine Schul- und eine Hausaufgabe. Stoff für die letzten beiden Arten von Aufgaben : Beantwortung französisch gestellter Fragen, die sich an Gelesenes anschließen; Übersetzungen aus der Unterrichtssprache ins Französische. Drouillot. Geographie und Geschichte. Je 2 Stunden. Specielle Geographie des übrigen Europa mit Ausschluss der österr.-ungar. Monarchie in der angegebenen Weise. Geschichte des Milteialters mit steter Berücksichtigung der vaterländischen Momente. Fasching. Mathematik. 3 Stunden. Die 4 Grundoperationen in allgemeinen Zahlen mit ein- und mehrgliedrigen algebraischen Ausdrücken, sowie dekadischer Zahlen. Ausziehung der 2. und 3. Wurzel aus dekadischen Zahlen. Fortgesetzte Übung im Rechnen mit besonderen Zahlen zur Wiederholung des arithmetischen Lehrstoffes der früheren Glossen, «ngeweudet vorzugsweise auf Rechnungsaufgaben des bürgerlichen Geschäftslehens. Zinseszinsenrechnung. Kaufmann. Physik. 3 Stunden. Allgemeine Eigenschaften der Körper, Cohäsion, Adhäsion. Ela st teil äh Wärmelehre: Volumsänderung, Wärmeleitung, specitPehe Wärme, gebundene und freie Wärme, Wärmestrahlung. Magnetismus : Natürliche u. künstliche Magnete, Wechselwirkung der Magnete, Magnetisierung, Erdmagnetismus. Elektricitäl: Reibungselektricilät, Elektroskop. Veislärkuiigs-gläscr. Elektrophor, Elektrisiermaschine. Galvanismus, galvanische Ketten, Wirkungen des elektrischen Stromes, inductionsströrne. Thermoelcktricität. Akustik. Spille r. Geometrie. 3 Stunden. Vergleichung und Ausmessung der geradlinigen Figuren; der Pythagoriiisc.lie Lehrsatz im geometrischen Sinne. Das Wichtigste aus der Kreislehre. Anwendung der Planimetrie zur Lösung der wichtigsten Constructionsaufgaben. Theilung der Geraden, Maßstäbe und Anwendung derselben. Winkeltheilung. Construetion regelmäßiger Polygone. Tangenten an einen und an 2 Kreise. Construction des Kreises. Kaufmann. Freihandzeichnen. 4 Stunden. Perspectivisches Freihandzeichnen nach Holzmodellen und Modellgruppen. Zeichnen und Malen von Flachornamenten der antikclassischen und mittelalterlichen Kunstweisen. Übungen im Gedächtniszeichnen einfacher körperlicher und ornamentaler Formen. Hesse. Turnen. 2 Stunden. Ordnungs-, Frei- und Geräthübungen. MarkI. IV. Classe. Religionslehre. 2 Stunden. Kirchengeschichte. R Semester: Von der Gründung der chrislkatholischeu Kirche bis auf die Reformation. II. Semester : Von der Deformai ion bis zum letzten Vatican-Goncil. Brelich. Deutsche Sprache. 3 Stunden. Zusammen fassender Abschluss des gesammten m-matischen Unterrichtes. Zusammenstellung von Wortfamilien mit Rücksicht auf Yieldeuli'A 3. und Verwandtschaft der Wörter gelegentlich der Lectüre. Das Wichtigste aus d-r P. sodio und Metrik. Lectüre wie in der III. Glasse, wobei auch die antike und germanische Gülter- •en Schul- und eine Hausaufgabe. Stoff theilweise noch wie in der ili. Glasse; außerdem Beschreibung von Vorgängen Schilderung); Übungen im Herausheben der Disposition größerer Lesestücke und im Disponieren passender Stoffe; stilistisch freie Bearbeitung von Stücken aus der französischen Lectüre. Die im bürgerlichen Leben am häutigsten verkommenden Geschäftsaufsätze. Sokoli Slovenische Sprache. 2 Stunden. Bedingt obligat. Modus- und Teinpush tue Die wichtigsten Ableitungen und Zusammensetzungen der Wörter. Brelich. Französische Sprache. 3 Stunden. Formenlehre der Composita fsubstantifs und ‘H- : Elemente der Wortbildung; Syntax, insbesondere Reetions-, Modus- und Tempuslehre. Mündliche und schriftliche Übersetzungen aus dem Französischen und in dasselbe. Pi he und poetische Leciti re. Mlimtlirhe Reproduction wie in der III. Classe. Memorieren kurzer Lesest ticke. Vermehrung des Wortvorrathes. Alle 4 Wochen eine Schul- und eine Hausaufgabe. Beantwortung .französischer Fragen wie in den früheren Classe»: freie W ■ .„-abe kleiner Erzählungen; Übersetzungen aus der Unterrichtssprache ins Französische. Drouiilot. Geographie, und Geschichte. Je 2 Stunden. Specicllc Geographie Amerikas, Australiens und der Österreich.-ungar. Monarchie mit Berücksichtigung der Verfassungsvn hiltnisse des Kaiserstaates. — Übersicht der Geschichte der Neuzeit, mit eingehender Behandlung der Geschichte von Österreich. Anmerkung I. Das Zeichnen von Karten, theils als Skizzen einzelner Objecte aus freier Hand und aus dem Gedächtnisse, theils als schematische Darstellungen, theils als Kartenbilder in der einfachsten Form auf Grundlage des Gradnetzes wird in allen Glasse» vorgenommen. Anmerkung 2. ln der V., VI. und VII. Clas-e tritt die Geographie nicht mehr selbständig, sondern in Verbindung mit dem Geschichtsunterrichte auf, wo sie als gelegentliche, durch irgend welchen Anlass gebotene und Früheres ergänzende Wiederholung, vorzugsweise zur Erläuterung historischer Thatsachen im weiteren Sinne eine Stelle findet. Fasching. Mathematik. 4 Stunden. Allgemeine Ai ithmetik. Wissenschaftlich durchgeführte Lehre von den vier ersten Rechnungsoperationen. Grundlehren der Theilbarkeit der Zahlen. Theorie des größten gemeinsamen Maßes und des kleinsten gemeinsamen Vielfachen, angewandt auch auf Polynome. Lehre von den gemeinen Brüchen ; Verwandlung gemeiner Bruch in Decimal-brüche und umgekehrt. Gründliches Eingehen in das Rechnen mit Decimalen, insbesondere in das Verfahren der abgekürzten Multiplication und Division. Lehre von den Verhältnissen und Proportionen nebst Anwendungen. Lehre von der Auflösung der Gleichungen des ersten Grades mit einer und mehreren Unbekannten nebst Anwendung auf praktisch wichtige Aufgaben. Dr. v. Britto. Geometrie. 1 Stunde. Geometrisches Zeichnen. 2 Stunden. Elemente der Stereometrie, Lehrsätze über die Lage von Geraden und Ebenen gegen einander. Regelmäßige Körper, Prismen, Pyramiden, Cylinder, Kegel, Kugel. Größenbestimmung dieser Körper. - Anwendung der algebraischen Grundoperationen zur Lösung einfacher Aufgaben der Planimetrie und Stereometrie. —Erklärung und Darstellung der Kegelschnittslinien, elementare Entwicklung der wichtigsten Eigenschaften dieser Linien und deren Anwendung zu Tangenten t onstructionen. Darstellung geometrischer Körper und einfacher technischer Objecte in horizontaler und ver-ticaler Projection auf Grund der Anschauung als Vorbereitung für das Studium der darstellenden Geometrie. Jonasch. Physik. 3 Stunden. Mechanik der festen, tropfbaren und gasförmigen Körper. Die Lehre vom Lichte und der strahlenden Wärme. Spiller. Chemie, 3 Stunden. Vorführung der wichtigsten physikalisch-chemischen Erscheinungen und Processe. Gedrängte Charakteristik der Elemente und der verschiedenen Vton der aus ihnen entstehenden Verbindungen. Spiller. Freihandzeichnen. 4 Stunden. Perspectivisches Freihandzeichnen nach einfachen Gefäßformen und Baugliedern. Zeichnen und Malen von Flachornamenten der Renai -ance und der orientalischen Kunstweisen. Zeichnen nach ornamentalen Gypsinodelien. Gedächtniszeichnen körperlicher und typischer ornamentaler Formen. Hesse. Turnen. 2 Sjunden. Ordnungs-, Frei- und Geräthübungen. Markt. V. Classe. Deutsche Sprache. 3 Stunden. Lectüre epischer und lyrischer Gedichte, owie größerer prosaischer Schriftstücke. Auswahl charakteristischer Lesestücke aus der altclasMschen Literatur. Elementare Belehrung über die wichtigsten Formen und Arten der epischen und lyrischen Poesie, sowie der vorzüglichsten prosaischen Darstellungsformen im Anschlüsse an die und auf Grund der Lectüre. Übungen im Vortragen poetischer und prosaischer Schrillstiirke. Aufsätze concrete» Inhaltes im Anschlüsse an die Lectüre und an das in anderen Discipline» Gelernte. Anleitung zum richtigen Disponieren auf dem Wege der Analyse passender Aufsätze und bei Gelegenheit der Vorbereitung und Durchnahme der schriftlichen Arbeiten. In dem Semester 5—6 Aufsätze, in der Regel zur häuslichen Bearbeitung. Sokoli. ' Französische Sprache. 3 Stunden. Wiederholung und Ergänzung der >vniux. Systematische Behandlung der Adverbialsätze. Interpunktionslehre. Mündliche > , d schriftliche Übungen. Lectüre von möglichst abgeschlossenen Musterstücken der franz.. Ir : Literatur mit besonderer Berücksichtigung der Prosa und verbunden mit kurzen biogr ; dien Notizen über die betreffenden Autoren. Memorieren einzelner kleiner Abschnitte. brun des Wortvorrathes. Kleine Sprechübungen im Anschlüsse an die Lectüre. in t \. bis VII, Classe: Alle 4 Wochen eine Schul- und eine Hausaufgabe. Freie Wiedergabe von durchgearbeiteten Erzählungen; Inhaltsangabe größerer Li in Prosa; Briefe ; I hersetzungen in» Französische von Stücken, im Ar >d Munite syntaktische Erscheinungen, ausgehend und sich steigernd bis zu Original-lnel.. il .»illot. Englische Sprache. 3 Stunden. Bedingt obligat. Lese- und Aussprari • auf Grund der leichtvers ländlichen Lautgesetze; die Betonung mit Hinweis auf den ... ben und romanischen Ursprung der Wörter. Formenlehre sämmtlicher Redetheih mit 1 •■•Innig der veralteten oder spccielleu Fächern eigenen Formen. Syntax des einfachen Sai/ . Verhältnis des Nebensatzes zum llauptsatze, soweit die Kenntnis desselben zum Ver einfacher Lesestücke erforderlich ist. Mündliches u. schriftliches Übersetzen englischer x'dzv ins Deut ehe und umgekehrt. Englische Dictate .über den in der Grammatik und heim Le „handelten Lehrstoff. Im 11. Semester. Lesen leichter Erzählungen in Prosa. Im !. Semester von U eil,nachten au wöchentlich ein kurzes Dictat im engsten Anschlüsse an den durchgenommt, >, > bungsslotl. Im II. Semester alle t Wochen ein Dictat und eine Schulaufgabe. Für letztere Nn derschreiben auswendig gelernter Stücke mit lleifügung der Übersetzung; Beantwortung englischer "gen, die sich an den Übungsstoff allschließen. , ^?i>° " Geschichte. 3 Stunden. Geschichte des Altertlmms, namentlich der Griechen und Körner, mit besonderer Hervorhebung der cullurhistorischen Momente und mit fortwährender Berücksichtigung der Geographie. I>' 11 '1 r' . Mathematik. f> Stunden. Allgemeine Arithmetik. Kettenbrüche. Lnhestimmte Gleichungen des 1. Grades. Lehre von den Potenzen und Wurzelgrößen, insbesondere Quadrieren und kubieren mehrgliedriger Ausdrücke, sowie das Ausziehen der i. und 3. Wurzel aus mehrgliedrigen Ausdrücken und aus besonderen Zahlen. Die Lehre von den Logarithmen und deren Beziehung zur Potenzlehre. Einrichtung und Gebrauch der Logarithmentafeln. Cu-iohinigen des 2. Grades mit einer Unbekannten. — Planimetrie, streng wissenschaftlich behandelt. Geometr. Grundbegriffe. Die gerade Linie, der Winkel, seine Arten und seine Messung. Parallele Limen. Das Dreieck; seine Grundeigenschatten; Congruenz der Dreiecke und die daraus sich ergebenden Eigenschaften des Dreieckes. Das Vieleck, seine Grundeigenschaften; Congruenz der Vielecke; das reguläre Vieleck. Eingehendere Behandlung des Vieleckes. — Proportionalli d der Strecken und Ähnlichkeit der ebenen Figuren u. zw.: Ähnlichkeit der Dreiecke und daraus sich ergebende Eigenschaften des Dreieckes; Ähnlichkeit • der Vielecke. Flächeninhalt geradliniger Figuren, einiges über Verwandlung und Theilung derselben. — Die Lehre vom Kreise, redolimidem Kreise eingeschriebene und um geschriebene Vielecke. Kreismessung. Darstellende Geometrie. 3 Stunden. Eingehende Wiederholung der wichtigsten Lern-atze, über die Lagenverhältnisse der Geraden und Ebenen. Durchführung der Eleincniavaufgabcn der darstellenden Geometrie in orthogonaler Projection mit Rücksichtnahme aut dir einschlägigen Schattenconstructionen Kau I mann Naturgeschichte. 3 Stunden. Zoologie. Das Wichtigste über den Bau >1- u-cliui und die Verrichtung der Organe desselben; Behandlung der Classen der Wiihelihi- e und dei wichtigeren Gruppen der wirbellosen filiere mit Rücksichtnahme auf anatomi- ne, morphologische und entwicklungsgeschichtliche Verhältnisse, jedoch unter Ausschluss alles entbehrlichen und systematischen Details. Bieber. Chemie. 3 Stunden. Specielle Chemie. 1. fheil: Anorganische Chemie. , i: • ■ Freihandzeichnen. 4 Stunden. Erklärung der Gestaltung des menschlichen Kop!. und Gesichtes und Übungen im Kopfzeichnen nach Wandtafeln, Vorlagen und !; i ab n. Wiederholung und Fortsetzung des Stoffes aus den vorhergehenden Classen. <>-!. entliehe Erklärung der antiken Säulenordnungen. ü' 'j Turnen. 2 Stunden. Ordnungs-, Frei- und Geräthübungen. uai - I. VI. Classe. Deutsche Sprache. 3 Stunden. I. Semester. Lecttire einer Auswahl aus d-m Nilidviigen-licde und aus Walther von der Vogelweide, mit Hervorhebung der unterscheidenden der mhd. und nhd. Sprachformen. Anschauliche Darstellung der Abzweigungen des iro- päischen Sprachstammes und der deutschen Sprache; Eintheilung der deutschen I b»beschichte in Hauptperioden; Besprechung der großen nationalen Sagenkreise im An- Id.. an die Lectüre des Nibelungenliedes; Aufklärung über die Grundlegung der neuhoehdeut-ben Schriftsprache. II. Semester. Lectüre prosaischer Schriftstücke, vorwiegend aus der - ° dien Literaturperiode; lyrische Auswahl mit vorzüglicher Berücksichtigung Klopstocks si i .ll - und Goethes: ein Drama von Schiller und eines von Lessing oder Goethe. Aufklärung über die Entstehung und die etwaigen geschichtlichen Grundlagen der in der Schule gelesen, n Dramen. Leichtfassliche Erklärung der Hauptpunkte der Dramatik. Übungen im Vortragen pro-o-her und poetischer Lesestücke. — Aufsätze wie in der V. Glasse, mit angemessen, i ?• - rung der Forderungen eigener Production. In jedem Semester (i—7 Aulsätze, in 1 zur häuslichen Bearbeitung. , Neu bau- r Französische Sprache. 3 Stunden. Abschluss des grammatischen I nV-n riiei- pialconstructionen, erschöpfende Darstellung der Hegeln der Participia; die . ilip- tisclie Sätze. Stilistische Übungen. Lesen größerer Fragmente deseriptiver und didaktischer Prosa, sowie Muster der Epik, Lyrik und diktaktischeu Poesie, verbunden mit a- phischen Notizen über die betreffenden Autoren. Sprechübungen im Anschlüsse 'ure. Der Unterricht bedient sich versuchsweise der französischen Sprache. ^ Diouillot. Englische Sprache. 3 Stunden. Bedingt obligat. Vervollständigung der F->ru.- -hre durdi die anomalen und schwierigen Elemente. Syntax sämiiitlicher tledetti de, 111 1 zusammengesetzten Satzes in den üblichen Construetionen. Die nothwendig-'. n ne d.-i Wortbildung im Anschlüsse an die deutsche und französische Sprache. ; -an die Lectüre. Lesen von Musterstücken erzählender, beschreibender und epjsi- iarer Gattung, sowie leichter Gedichte. Alle 4 Wochen eine Schul- mul eine Haus - i. - V. Glasse; Iür die Hausaufgaben dann und wann eine Übersetzung au du > . oe ins Englische. Ü. Sc ■ ai :io Geschichte. :i Stunden. Gc-chichle des Mittelalters und der Neuzeit Ins zum west-phälisc.hen Frieden in gleicher Behandhmgsweise wie in der V. Classe und i.,it specieller Rücksicht auf die österreichisch-ungarische Monarchie. E a selliN". Mathematik. 5 Slnnden. Allgemeine Arithmetik. Arithmetische und geomelriselie Pro-gressionen. Zinseszinsen- und Rentenrcehmmg. Comhinationslehre. Binomischer Lehrsatz 1'ilr ganze positive Exponenten. Höhere Gleichungen, die auf quadratische zurückgeluhrt werden können; quadratische Gleichungen mit 2 Unbekannten, in einfachen Fällen mit mehreren Unbekannten, Exponentialgleichungen. Fortgesetzte Übungen im Gebrauche der Logarithmentafeln. Einige einfachste Fälle von unbestimmten Gleichungen 2. Grades mit 2 Unbekannten. Geometrie. 1. Goniometrie. Gebrauch Irigonornetr. Tafeln. Einige Aufgaben über gonio-metrische Gleichungen. 2. Ebene Trigonometrie. Auflösung rechtwinkliger Dreiecke. Anwendung auf die Auflösung gleichschenkliger Dreiecke und auf die regelmäßigen Vielecke. Auflösung schieiwinkliger Dreiecke. Anwendung auf einige combinierte Fälle sowie auf Aufgaben der (!) biometrie und der praktischen Geometrie. 3. Stereometrie. Die wichtigsten Sätze über die Lage der Geraden im Rau gegen einander, sowie zu einer Ebene, und über die Lage der Ebenen gegen einander. Grundeigenschaften der körperlichen Ecke überhaupt und der dreiseitigen Ecke insbesondere; Congruenz und Symmetrie. — Eintheilung der Körper, Grundeigen-schritten und ( .ongruenz der Prismen überhaupt, der Parallelepipede insbesondere, und der Pyramiden. Berechnung der Oberfläche und des Rauminhaltes der Prismen Pyramiden des 1‘yramidalstulzes und des Prisinatoides. Ähnlichkeit der Pyramiden und der Polyeder Die regulären Polyeder. Eigenschaften des Cylindris, des Kegels," der Kugel, Berechnung des Raumin-haltes dieser Körper und der Oberfläche des geraden Cvlinders, des geraden ganzen und ab-gekürzten Kegels und der Kugel. Einige Aufgaben über Berechnung der Oberfläche und des Rauminhaltes von Rotationskörpern. ]>,. v Britto. Darstellende Geometrie. 3 Stunden. Orthogonale Projection der Pyramiden und Prismen, ebene Schnitte und Netze dieser Körper; Srhattcnhcstimmungcn. Darstellung der Cylii. ler-. Kegel- und Rotationsflächen, letztere mit der Beschränkung auf die Flächen 2. Ordnung; ebene Schnitte, Berührungsebenen und Schlagschatten dieser Flächen. Einfache Beispiele von Durchdringung genannter Flächen. Jonasch. Naturgeschichte. 2 Stunden. Botanik. Betrachtung der Gruppen des Pflanzenreiches in ihrer natürlichen Anordnung mit Rücksichtnahme auf den a na torniseli-morphologischen Bau derselben und auf die Lebensverrichtungen der Pflanze im Allgemeinen; der Charakter der wichtigsten Pflanzenfamilien ist zu entwickeln, alles entbehrliche systematische Detail jedoch ausgeschlossen. , " Bieber. Physik, i Stunden. Einleitung. Mechanik: Statik des materiellen Punktes und starrer Systeme von 2 und mehreren Angriffspunkten, Schwerpunkt, Stabilität, Reihungsionstante, Dynamik des materiellen Punktes, lebendige Kraft; schwingende Bewegung ein - materiellen Punktes, krummlinige Bewegung. Fliehkraft, Wurfbewegungen. Dynamik starrer Systeme, l rägheitsmomenl, physisches Pendel. Die einfachen Maschinen. Die wichtigsten Erscheinungen, welche aut der Rotation des Erdkörpers beruhen. Zusammendrückbarkeit, Oberflächenspannung, und Lupil tarpiamomene. H vd costasi isolier Druck. Auftrieb, Schwimmen, Aräometer, Ausflussgeschwindigkeit, Luftdruck, Barometer, Gesetze von Mariotte und Gay-Lussac. Dynamische J heorie der Gase. Diffusion. — Wellenlehre: Longitudinale und transversale Wellenbewegung, Princip von Huyghcns, Reflexion, Brechung und Interferenz der Wellen. — Akustik: Erregung des Schalles, Bestimmung der Tonhöhe, Tonleiter, Verhalten tönender Saiten, Stäbe, Platten und Luftsäulen, Reflexion und Interferenz des Schalles, Combinationstöne, Klangfarbe, Stimm- und Gehörorgan des Menschen. Dr. v. Britto. Chemie. > Stunden. Spezielle Chemie. II. Theil: Chemie der kohlenstoffhaltigen Verbindungen (organische Chemie), I heoreme der allgemeinen Chemie ; Constitution chemischer Verbindungen. Spiller. Freihandzeichnen. 3 Stunden zu 1’/, Stunden gelheilt. Zeichnen nach Köpfen in Hochrelief, nach Marxen und Büsten, eventuell nach Vorlagen. Wiederholung und Fm Nutzung des Stoffes aus ih-n vorhergehenden (Hassen. Gelegentliche Erklärungen der Bau- und Ornamental-forruen des Mittelalters. Hesse. I urnen. 2 Stunden. Ordnungs-, Frei- und Gcräthühungen. Mark). VII. Classe. Deutsche Sprache. 1 Stunden. LeetOre wie im II. Semester der VI. Glas-o, außerdem Goethes „Hermann u. Dorothea* und eventuell Shakespeares „Julius üae-ar“ od „Coriolan.* Zusammenhängend.- biographische Miltheilungen über die Hauptvertreter der classisele n Literatur m entsprechender Auswahl und Ausführlichkeit. Übungen im prämedilierten frei a Vortrage. In jedem Seim-lei 0 -, Aulsätze, in der Mehrzahl zur häuslichen Bearbeitung. ?> > ubauer. Französische Sprache. 3 Stunden. Cursorisc.be Wiederholung der wicht: -ten grammatischen Lehren. L-chire von längeren MusterstUcken .rhetorischer, reflectien nder oder philosophisch-historischer Prosa, sowie dramatischer Dichtung, nach Umständen eine: /anzen rlux-sischen Drama \ erblinden mit biographischen Notizen über die betreffenden \u u. Leichte französische Aufsätze im Anschlüsse an die Lectürc, und in der Schule vorbereitete Briefe. Sprechübungen. Der 1 nlerricht bedient sich gelegentlich der französ. Sprache. Drouillot. Englische Sprache. :i Stunden. Bedingt obligat. Vervollständigung der Syntax durch ,Iie Interpunktion. Lectüre histurisclier, reflecti*'ivnder und oratorisrher Prosa, sowie der 11 anpt-scene» eines Dramas von Shakespeare und allgeschlossener Fragmente aus der elastischen Epik oder Didaktik. Versuche mündlicher Beproductiou des Gelesenen in englischer Sprache. Alle t Wochen eine Schul- und eine Hausaufgabe. Sto» wie in der VI. (.lasse; dazu noch Übersetzung englischer l'rosaslücke in die Unterrichtssprache. Dr. Sedlaček. Geschichte. 3 Stunden. Geschichte der Neuzeit seit dem weslphälisohen Frieden in derselben Behandlung wie in der V. Classe. Kurze Übersicht der Statistik Österreich-Ungarns mit Hervorhebung der Verfassungsverhältnisse. Neuhauer. Mathematik. 5 Stunden. Allgemeine Arithmetik. Grundlehren der Wahrscheinlichkeits-Rechnung. Einige Aufgaben über Lebensversicherungs-Rechnung. Zerlegung complexer Ausdrücke in ihren reellen und imaginären Theil. Berechnung des Moduls und Arguments und graphische Darstellung complexer Grotten. — Grundlehren der analytischen Geometrie der Ebene. Anwendung der Algebra auf die Geometrie. Erläuterung der gebräuchlichsten Coordi-nntensysteme, Transformation der Coordinate». Analytische Behandlung der geraden Linie, des Kreises, der Parabel, Elipse und Hyperbel, mit Einschränkung auf jene wichtigsten Eigenschallen dieser Linien, welche auf Brennpunkte, Tangenten und Normalen sich beziehe», stets mit Zugrundelegung des rechtwinkligen Coordinatensystems, Quadratur der Parabel ». Ellipse. Polargleichungen der Kegelschnittslinien unter Annahme des Brennpunktes als Pol und der Hauptachse als Polarachse. — Sphärische Trigonometrie. Die wichtigsten Grundeigenschalten des sphärischen Dreieckes, Grundformeln und Behandlung der Hauptlalle der Auflösung rechtwinkliger und schiefwinkliger sphärischer Dreiecke. Flächeninhalt des sphärischen Dreieckes Anwendung der sphärischen Trigonometrie auf Stereometrie und auf die Lösung einiger elementarer Aufgaben der mathematischen Geographie, einige der einfachsten Aufgabe» ander sphärischen Astronomie. — Wiederholung des gesammten arithmetischen und geometrischen Lehrstoffes der oberen Glasse», vornehmlich in praktischer Weise durch Lösung von ( hui) -aufgaben. Kaufmann. Darstellende Geometrie. 3 Stunden. Elemente der Linearperspective; Darslellun der perspectivischen Bilder von Punkten nach der Durchschnittsmethode und mit Hcoiit/im- senkrechter Coordinate», die Sätze vom Bcgegnungs- und Theilungspunkte. Anwendum Vorangegangenen zur perspectivischen Darstellung geometrischer Körper und einfacher tei l irischer Objecte. Wiederholung der wichtigsten Partien aus dem Gesammtgebiete des G---..,-,, Standes. Jonasch. Naturgeschichte. 3 Stunden. I. Semester: Mineralogie. Kurze Darstellung der Kristallographie, dann Behandlung der wichtigsten Mineralien hinsichtlich der physikalischen, ehern! hen und sonstigen belehrenden Beziehungen nach einem Systeme, jedoch mit Ausschluss aller seltenen oder der Anschauung der Schüler nicht zugänglichen Formen. II. Semester: Elemente der Geologie. Physikalische und chemische Veränderungen im Grollen in zusammenfa- > odi i kurzer Darstellung unter Bezugnahme auf passende Beispiele; die haut: den Gebirg-, ine und die wesentlichsten Verhältnisse des Gcbirgsbaues womöglich durch Illustrierung n .......... liegenden Beispielen; kurze Beschreibung der geologischen Weltalter mit häufigen Bin-k n bei Besprechungen der vorweltlichen Thier- ». Pflanzenformen auf die Formen der G. »wart und mit gelegentlicher Hinweisung auf stammverwandtschaftliche Beziehungen der Lebewesen. Bieb < r. Physik. -1 Stunden. Magnetismus, Magnetpole, Constitution eines Magnetes, mag. et: dies Moment eines Stabes, Erdmagnetismus. — Elektricität: Erregung der Eleklricitat, Coulomb - . -Gesetz, Influenz, Ansammlungsapparate. Constante Ketten. Wirkungen des galvanischen Stiomes "und deren Gesetze, Messung der Stromstärke. Amperes Theorie des Magnetismus. Magnetoelektrische und elektrodynamische Inductio». Hauptgesetze der diamagnetischen Erscheinungen und Thermoelektrivität. Die wichtigsten technischen Anwendungen de- Magnetismus und der Elektricität. — Optik: a) Geometrische Optik: Geradlinige Fortpflanzung des Lichte- Photometrie, Reflexion an ebenen und sphärischen Spiegeln, Spiegelsextant. Brechung di - E> fites durch Prismen und Linsen, Linsenbilder, Dispersion des Lichtes, Frauenhofer'- >- I n, Spectralanalyse. Das Auge, die Mikroskope und Fernrohre, b) Physische Optik: Meth dt zur Messung der Lichtgeschwindigkeit, Beziehung der Lichtgeschwindigkeit in '■l Medien zur Brechung nach Newton und Huyghens; Gesetze dn- Interferenz d I Lichtes durch Reflexion, einfache und doppelte Brechung, Drehung der Polarisationsebene; Fluoriscenz, Phosphorescenz. chemische Wirkungen des Lichtes. -- Wärmelehre: Wirkung-*» gesättigte und überhitzte Dämpfe, Hvgromelrie, Dampfmaschine; Leitung und St-dilm der Wärme. Einiges von der mechanischen Wärmetheorie. — Astronomie: Ortsbestimmung der Himmelskörper, rotierende und progressive Bewegung der Erde und Erscheinungen, - h daraus erklären, K.'eic'-r; Prue sion der Nachtgleichen; der Mond und seine Bewegung; die Planetenbewegungen, Kometen, Fixsterne, Frank. Freihandzeichnen. 3 Stunden zu V/., Stunden getheilt. Wiederholung und F >' t/mig des Stoffes aus den vorhergehenden (Hassen unter Berücksichtigung der Begabung der einzelnen Schüler. I'billigen im Skizzieren. Turnen. '1 Stunden. Ordnung*-, Frei- und Geräthübungen. Mar kl. III. Lehrtexte und Lehrbehelfe nach Gegenständen und innerhalb derselben nach Classen. 1. Religionslehre. I. CI. Leinkauf: Kurzgefassle katholische Glaubens- und Sittenlehre. II. CI. Terk lau: Der Geist des katholischen Cultus. III. CI. Wappler: Geschichte der göttlichen Offenbarung. IV. CI. Macli: Kirchengeschirhte für Mittelschulen. 2. Deutsche Sprache. I. —IV. CI. Willomilzer: Deutsche Grammatik für österreichische Mittelschulen. I,—IV. CI. Lampi: Deutsche Lesebücher. V. CI. Kgger: Deulsches Lehr- und Lesebuch für höhere Lehranstalten, 1. Theil, Einleitung in die Literaturkunde, Ausgabe für Realschulen. VI. CI. Egger: Deutsches Lehr- und Lesebuch, II. Theil, I. Rand, Literaturkunde. Junker u. Noe: Mittelhochdeutsches Lesebuch. Vii. Ci. Egger: Deutsches Lehr- und Lesebuch, 11. Theil, 1. und 2. Band. ' 3. Slovenische Sprache. I. u. II, CI. Lendovšek: Slovenisches Elementarbuch; 111.—IV. CI. Sket: Slovenisches Sprach- und Übungsbuch. •t. Französische Sprache. I. IV. CI. Rechte!: Französisches Sprech- und Lesebuch. V. —VII. CI. Plötz: Schulgrammatik der französ. Sprache. V.—VII. CI. Rechici; Französische Chrestomathie für die oberen Classen der Mittelschulen. 5. Englische Sprache. V.—VII. CI. Nader u. Würzner: Lehrbuch der englischen Sprache, I. Theil: Elementarbuch der englischen Sprache für die V. und II. Theil: Englische Grammatik, für die VI. ». VII. CI. Nader und Würzner: Englisches Lesebuch für die VI. u. VII. CI. li. Geographie. I. u. II. CI. Richter: Lehrbuch d. Erdbeschreibung. III. u. IV. CI. Herr: Lehrbuch der vergleich. Erdbeschreibung. II. Cursus: Länder- u. Völkerkunde. Mayer: Geographie der Österreich.-ungar. Monarchie für die IV. Classe. 1.—IV. CI. Kozenn: Geographischer Scindati as für Gymnasien, Real- und Handelsschulen. 7. Geschichte. II. CI. Hannak: Lehrbuch der allgem. Geschichte für die unteren Classen der Mittelschulen. 1. Bd.: Das Alterthum. III. CI. Hannak: 2. Bd.: Das Mittelalter, IV. CI. Hannak: 3. Bd.: Die Neuzeit. V. CI. Hannak: Lehrbuch der allgemeinen Geschichte für die oberen Classen der Realschule, I. Bd.: Das Allertimi». VI. CI. Hannak: 2. Bd.: Das Mittelalter und 3. Bd.: Die Neuzeit. VII. CI. Hannak: 3. Bd.: Die Neuzeit. Hannak. Oslerr. Vatcrlands-kunde, Oberstufe. V.—VII. CI. Putzger: Historische, Schul alias. 8. Mathematik. I. CI. Močnik: Lehr- und Übungsbuch der Arithmetik für ITnterreäl-schulen. I. Theil. II. CI. Močnik: Lehr- und Übungsbuch. 11. Theil. III. CI. Močnik: Lehr- und Übungsbuch. III. Theil. IV,—VII. CI. Močnik: Lehrbuch der Arithmetik und Algebra für die oberen Classen der Mittelschulen. V.—VII. CI. Močnik: Geometrie für die oberen Classen der Mittelschulen. V.—VII. CI. Adam: Taschenbuch der Logarithmen. 9. Geometrisches Zeichnen und darstellende Geometrie. I. CI. Streissler: Die geometrische Formenlehre, 1. Ablh. II.— IV. CI. Streissler: Die geometrische Formenlehre, 2. Abth. V.—VII. CI. Streissler: Elemente der darstellenden Geometrie der ebenen ». räumlichen Gebilde. 10. Naturgeschichte. I. CI. Pokomy: Illustrierte Naturgeschichte des TI rveiehes flir eie unteren Classen der Mittelschulen. II. CI. Pokomy: Illusili.-rie Naturgeschici des Ptlanzen-und Mineralreiches. V. CI. Gräber: Zoologie für Mittelschulen. VI. CI. Wretsehko: Vorschule der Botanik für die oberen Classen der Mittelschulen. VII. CI. Höchsten t und Bisching: Leitfaden der Mineralogie und Geologie für die oberen Classe» der Mittelschulen. 11. Physik. III. und IV. CI. Krist: Anfangsgründe der Naturlehre für Unterrealschulen. VI. und VII. CI. Wallentili: Physik für Oberrealschulen. 12. Chemie. IV. CI. Mitteregger: Elemente der Chemie für die unteren Classen der Mittelschulen. V. Gl. Mitteregger: Lehrbuch der Chemie für Oberrealschulen. I. Theil: Anorganische Chemie. VI. CI. Mitteregger: Lehrbuch der Chemie für .Oberrealschulen. II. Theil: Organische Chemie. 13. Gesang. I —IV. CI. Berger: Sammlung katholischer Kirchenlieder 14. Stenographie. II. Cursus. IV.—VI. CI. Faulmann: Die Schule der Stenograph. Praxis. IV. Themen zu den deutschen Aufsätzen und grössere Lectüre. V. Classe. Hausaufgaben: Wie verrät!, sich ein falscher Freund '! Tages Arbeit, Abends Gäste, Saure Wochen, frohe Feste, Sei Dein künftig Zauber» » iöthe). — Die sagenhaften Züge in der Gudrundichtung. — Welche Bedeutung hall- n • •• • kiiege für Griechenland? — a) Der landschaftliche Hintergrund in G otite» „A-> , nun,bürg. — Entdecker und Erfinder. Ein Vergleich. — Gedankengang der El t : 1 v und Hercu- lanum von Schiller. — Vieles Gewaltige lebt, doch nichts gewaltiger als der M »sch (Sophokles, Antigone). Schulaufgaben: Wie charakterisiert. A.W. v. Schl »d den H x 1 — G. danke,i- gang des Gedichtes: Das eleusische Fest, von Schiller. — Die Zcrstörun > - (nach Y ergila Aeneis, Gesang II. — Der Fürst in Göll,es Novelle. Eine Charakteristik. »pelt gibt, wer -ü Vdler und Taube. Mit Bezug auf Göll VI. Classe. Hausaufgaben: Die Lage von Marburg. — Welche» intluss übte die Bekehrung der Deutschen zum Christenthum auf deren Di ! Ging au- -I das Reste dem Erdgebornen". — Die Zunge als das wohlthätigste und verderbt» Werkzeug des Menschen. - Wie charakterisiert Cöthe in dem Gedichte „Hans Sachsens che Sendung“ dir dichterische Art des Hans Sachs? — Was ist von Xaver Maximilian^ > Xus.-pni !, : „Karl IV. war Böhmens Vater und des hl. römischen Reiches ErzstiefvatPr“ alten? Die Vaterlandsliebe der Alten ein leuchtendes Beispiel ftii die Entstehung und Ausbildung der neuhochdeutschen Schriftsprache von Bedeutung? — Schulaufgaben : Asgard und Olymp. — Warum fordert Siegfried bei .-einer Ankunft in Worms Günthern zum Kampfe heraus ? -- Die Bedeutung der schiefen Ebene Im den V, > kehr auf Straßen und Eisenbahnen ? — Der Winter ein Tyrann, der Frühling ein I ilieitsheld. — Das Thierleben am blühenden Obstbaum. — Die Vorgeschichte zu Lessing- Minna von Barnhelm. — Leclüre : Lessings Minna von Barnhehn. Neubauer. VII. Classe. Hausaufgaben : Was der Hellespont zu erzählen weiß. — Der Gedankengang in Schillers Ode „die Größe der Welt.“ — Die sittlichen Grundideen inSehilleis Balladen. — Das Meer in seiner Bedeutung für den Menschen. — Schuld und Verhängnis in Schillers „Braut von Messina.“ — Unsere Quellen der Wärme. — Der Zweck der thätigen Menschengilde — Ist Urbarmachung der Welt, — Ob du pflügest des Geistes Gefilde — Oder bestellest das Ackerfeld. — Die hervorragendsten Ehrentage in der Geschichte Österreichs. — Schulaufgaben: Welche Gedanken erregt die Betrachtung einer schönen Ilerbsthnni-chaft? — Was hat der Österreicher der großen Kaiserin Maria Theresia zu danken? — Inwiefern bestätigen in Göthcs „Hermann und Dorothea“ die Besitzungen des Kaufmanns, des Apothekers und des Wirtes den Ausspruch: „Sieht man am Hause doch gleich so deutlich, we Sinnes der Herr ist“? — Oesterreichs Machtstellung zur See. — In welchen Beziehungen stimmt die Entwicklung der deutschen Dichtung mit der Entfaltung der altgriechischen überein? — Rückerls Verdienste um die deutsche Dichtung. — Leetüre: Göthes Hermann und Do. chea. Schillers Braut von Messina. Neubauer. V. Freigegenstände. Gesang. Eine Abtheilung. 2 Stunden. Lehre von den Intervallen : Zeitm.ii 1 1» n n -i Treffen der Intervalle. Ein- und zweistimmige Lieder. Dobrowolny. Stenographie. II. Gurs. 2 Stunden. Lese- und SchreibObungen nach Dici .den - e hin Analytische Chemie. 1. und II. Gurs vereint. 2 Stunden. Nach der h die, al- Verordnung vom 19. Juli 1891-, Z. 1352. Spille r. VI. Aufnahmstaxen. Aufwand für die Lehrmittel. Beiträge für die Schülerbibliothek. Unterstützungsverein. A. Die Aufnahmstaxen von 03 Schülern betrugen 132 il. .'!>> kr.* Taxen für Zeugnisduplicate 3 fl. - „ ** Zusammen . 135 11. 30 kr. Von * kommen 12 11. 00 kr. und von ** 1 fl. für die Lejirmitleldotalion ->»o 1895/0 zu verrechnen. Durch den Erlass des hoehlöbl. k. k. steierm. Landesschulralhes vom :!s. Dccvmb-i lsilt Z. 8385 wurden für das Jahr 1895 bewilligt: Für die Lehrerbibliothek 359 II - kr. 1 -d für die Lehrmittelsammlungen 374 11. 15 kr., also zusammen 733 fl. 08 kr., in Idicr 8 in ime 119 fl. 70 kr. von den obigen 132 11. 30 kr. mitinbegriflen sind, während als i -ib. der- selben mit Note des lobi. Stadtratlies von Marburg vom 10. Jänner 1895Z. uns d-> Stadt-casse von Marburg 600 fl. 48 kr. angewiesen wurden. B. Die Beiträge von 210 Schülern für die Schülerbibliothek betrugen 221 fl. G. Franz Josef-Verein für Unterstützung dürftiger und würdiger Schüler der An Ndl. Activa. 1. Cassahesland vom I. Mai 1891..............................................Udì 11. 2t kr. 2. Beiträge der Mitglieder und Wohllhüter.........................................1 — „ 3. Zinsen vom eingelegten Capital bis 1. Jänner 1895 ............................ 70 „ 99 , 4. Ergebnis einer Sammlung unter den Schülern der Anstalt . . . . »» „ 7«. „ 5. Erlös für verkaufte alte Bücher ......... 77. Summe . . I -.1 fl. ul kr. 1* a s s i v a. 1. Ankauf von Schulbüchern......................................................50 II. 08 kr. 2. „ „ Requisiten............................................................... .2 „ 3. für Medicamente.................................................................. „ 97 „ 4. für Botenlohn.................................................................1 „ „ Summe . . 9,s fl. 97 kr. Dazu der Cassastand vom 1. Mai 1895 . . . . . . . II Gibt die obige Summe . . 21«>2 II ut kr. 3 Verzeichnis der Beiträge der P. T. Mitglieder und Wohlthäter. Herr Itadl Anton . . . . y fl. Herr Hesse Arthur .... . 2 fl. Bancabili Jacob . 3 Kaltenhrunner Theodor . 3 • 2 Kočevar Franz ... * • , 2 „ Brelich Franz .... 2 Koroscht tz Lorenz . . 5 Dr. Britto Gaston Ritt. v. 2 Leyrer Friedrich 2 Erhalt Johann .... . 1 n Dr. Lorher Heinrich 3 Frank Josef .... 2 „ Martinz Josef .... 2 Frolliti Alois .... f j, Merio Johann .... 2 Gaisser Johann .... 2 Neuhauer Karl .... 2 Geissler Moriz .... .' r Nasko Alois .... • ! 1 „ Girstmayr Franz . 2 Prodnigg Josef .... . 1 , Girstmayr Johann 2 v Dr. Schmiderer Johann . 3 Gütz Thomas .... 2 Dr. Sedi:iček Johann . 2 Gruber Johann .... 2 Spi 11er Robert .... 2 „ Halbarth Franz .... 2 Stark Josef .... ! 2 Hauser Karl .... 2 Steinitz Franz Ritt. v. 2 Hermann Karl in Ehrenhauseri 4 „ Summe . . 71 fl. Beiträge der Schüler für den Unterstützungsverein. I. Classe. Atteneder Oskar 21) kr., Bekic Peter 30 kr., Dettanti Rudolf 1 fl.. Bock Alfred 50 kr., Drovenik Josef 1 fl., En gl er Otto 35 kr., Fistravetz Othmar 55 kr., Gumauf Oskar 60 kr., Girslmayr Eduard 1 fl. 15 kr., Girstmayr Franz 1 fl., Gütz Franz 1 11., Grulschreiber Gustav 55 kr. Hauser Karl 1 fl., Hermann Karl 22 kr., Himmler Adolf 30 kr., 11 roch Karl 30 kr., Huber Olto 30 kr., Jeižabek Karl HO kr., Kainer Egon 30 kr.. Kiss Oskar 20 kr., Koroscbetz Lorenz 1 fl., Kotik Franz 1 fl., Leinmüller Friedrich 20 kr., Lopitsch Richard 22 kr Makotier August 70 kr., Milic Wladimir 50 kr., Muster Anton 30 kr., Nawratil Anton 25 kr., Ogriseg Johann 27 kr., Pfrimer Hermann 1 fl., Quandest Richard 50 kr., Schaue -beiger Kail nO kr., Schwab Alois 15 kr.. Siine Moriz 30 kr., Szpetmansky Karl 10 kr., l'lrich Adalbert 30 kr., Vadnou Paul 30 kr., WabiC Vincenz 20 kr., M ieser Johann 20 kr.,Wlasak Emil 50 kr., Zellermayer Alexander 50 kr. Zusammen 20 II. 41 kr. II. Classe. Baller Alois 50 kr., Baumgartner Karl 20 kr.. Beszedits Rudolf 20 kr.,Fritz Franz 50 kr., Furche Friedrich 50 kr., Gersthofcr Victor 20 kr., Griinitz Max 30 kr., Jeres Friedrich 20 kr., Kankowsky Ferdinand 30 kr., Kauworsky Alois 20 kr., Klammert Anton 30 kr., Kogelmiller Leopold 50 kr., Koscharoch Josef 50 kr., Krutochwil Karl 20 kr.. Kraus Ernst. 2o kr., Kriesten Otto 50 kr., La ah Alfons 50 kr., Liilirm Rudolf 10 kr.. Leyrer Max 50 kr.. Macher Max 40 kr., Martin/, Franz 50 kr., Parlici nigg Franz. 1 fl.. Pajek Wilhelm 20 kr., Pa Iter Alexander 00 kr., Prodnigg Oskar 50 kr., von Reichhold Moriz 1 11., Roth Josef 50 kr,, von Sauer Hans 50 kr.. Schluttenbach Friedrich 20 kr., Sei August 20 kr., von Steinilz Hubert 1 11.. Strohbach Walther 20 kr., Suske Victor I fl., Tschutschek Rudolf 1 fl., Vollgruher Rudolf 40 kr.,M’agner Richard 40 kr , Wegschaider Roland 30 kr.. Weingerl Johann 30 kr., Wenko Karl 15 kr., Wögerer Emerich 50 kr., Zdolšek Rudolf 20 kr. Zusammen 17 II. 40 kr. III. Classe. Blažek Anton 47 kr.. Brüll Siegmund 1 fl. 74 kr., de Crinis Oskar 20 kr., Draskovich Friedrich 57 kr.. Enzi Rudolf 30 kr., Falescbiiii Anton 1 II. 70 kr . f elber Josel 1 fl., Friedei Emil 30 kr., Fuchs Johann 55 kr., Hartmann Hugo P fl. 25 kr., Heinrich Insel 30 kr., Hrastnig Albert 35 kr., Kainer Johann 30 kr., Kratochwil Ferdinand 30 kr., Lampi Arthur aa kr., Luhn Otto 40 kr., Marko Felix 30 kr., Meixner Adolf 2 fl., Pauls Wilhelm 50 kr. Permoser Alexander 25 kr., Pctternel Walther 50 kr.. Ratzkä Anton 10 kr.. Rudi Anton 30 kr., Schmidt Rupert 1 11. 5 kr., Simrisich Karl 2 fl. 4 kr., Škrajnar Anton 51 kr., Vogrin Victor 20 kr., M icher Rudolf, 30 kr., Wittmann Rudolf 2 (1., Worsvlie Franz 42 kr. Zusammen 21 11. 5 kr. IV. Classe. Beringer Othmar 1 fl., Bihus Max 1 fl., R. von Bot/,"cki Johann 50 kr., Brahenec Victor 50 kr., Donau Julius 25 kr., Ennsbrunner Andreas 50 ki. Fiedor Albert 50 kr., Handl Adolf 50 kr., Ipavic Guido 25 kr., Kappel Karl 50 kr., Kokoscliinegir Hudolf 2 11., Luhn Robert 30 kr. R. von Lund Bruno I II., Ritter Franz 25 kr., Schroth ibach Johann 20 kr., Sedmiiiek Emerich 1 II., Sedminek Raimund I 11., Spittuu Ludwig tit) kr Suske Heinrich 1 fl., Thurner Balthasar 10 kr., Treffer Moriz 50 kr., Urban Franz 30 kr.. \ -sei Ludwig 1 fl., Wagner Franz 50 kr., M idra Adolf I fl. Ze-ammen Hi II. 25 kr. V. C lasse. Bermaim Alfred 20 kr., Dobrovicli Rudolf 50 kr., Fi I >0 kr., Glu vina Marens .50 kr.. Komenda Georg 25 kr., Kratina Julius 50 kr., Marlin/. R. Ulbert 50 kr.. Stiger Richard 50 kr., AVelzebach Franz 40 kr. Zu mimen 3 11. S5 kr. V1 Glasse, \lbrecht Fluii 30 kr., Fiala Hugo 50 kr., Frankl AE I II . Friedei Rudolf 30 kr.. Kotlnij VII CI August 20 kr., Reiser sse. Fischer Johann Kurl I li. 1 11., Fluck • zu mmeu 3 11. 30 kr. Eduard I fl., Ogrinz Michael ,>() kr., Scala Anton 50 kr., Šešerko Rudolf 50 kr., Scheuch Hugo 50 kr., Stro 20 Schüler winden mit Schrei ach Er Zu und Zeichem equisilcn betheili tu !i 50 kr. ammen 4 II. 50 kr. chüler erhielten chulbüt bei aus der Büchersamiulung des Vereines für die Dauer des • n.iahres geliehen. Die Buchdriickerei von „L. Kralik“ hat die Kundmachungen des Vereines unentgeltlich in die „Marburger Zeitung* auf'genommen und Abdrücke dieses Rechenschahsbei dites gelichtet. Prof. Josef «Jonasch, Cassier und Prof. Arthur Hesse, Ökonom des Verein« Der Berichterstatter spricht hiemit allen Freunden und Gönnern der studierenden Jugend für die empfangenen Beiträge den wärmsten Dank aus mit der angelegentlichen Bitte, ihr gütiges Wohlwollen und ihre werkthiitige Unterstützung dem Vereine auch für die Zukunft erhalten zu wollen, VII. Vermehrung der Bibliothek und der Lehrmittelsammlungen und Art der Erwerbung. A. Lehrerbibliothek. Geschenke: a) Vom hob. k. k. Ministerium lür Cultus und Unterricht: 11g: Kunst-geschichtliche Charakterbilder aus Österreich-Ungarn, b) Von der hob. k. Akademie der Wissenschaften in Wien : Anzeiger beider Classe» 1895. c) Vom hochwürdigsten f. b. Lavante«' Consistorium in Marburg: Personalstand des Fürsthisthums Lavant 18115. d) Vom löhl. steirnn. Landesausschusse: Jahresbericht des Joanneums 189t. Für diese Geschenke wird hiemit geziemendst gedankt. Ankauf: 1) Verordnungsblatt des hob. k. k. Ministeriums für Cultus und Unterricht. 1895. 2i Kolbe: Zeitschrift für das Realschulwesen 1895. 5) Mittheiluiumn <)>■' deutschen Mittelschulvereine Wien, Prag, Gi'az, Linz, Czernowitz 1895. 4) Gering: Zeitschrift für deutsche Philologie 1895. 5) Behäghel-Neumann: Literaturhlatt für geiinan, und roman. hil>-!> 1 - '5. 0) Jagic: Archiv für slavische Philologie 1895. 7) Körting-Behrens: Zeitschrift i f« :u,z: Sprache und Literatur 1895. 8) Kolbing: Englische Studien 1895. 9; Mühlbache« : Miübeihmvi » des Instituts für österr. Geschichtsforschung 1895. 10) Schiomili 1«: Zeitsehr->> für und Physik 1895. 11« Lindeck: Zeitschritt für Instruinentenknndo ls95. I Potori -Wissenschaft 1. Wochenschritt 1895. 13) Lützow: Zeitschrift für bildende Kc -t -e-umi km-chronik und Gewerbeblatt 1895. 14) Stipan: Petermanns geogr:«ph, Mitlhcilimgen !■. I Schwane: Dogmengeschichte 2. Bd. Iti,) Kürschner: Deutsche Nutionaiiili.-i'a'm : Ki<,p.-i s Messias von Hamei, das Narrenbuch und Schwänke des 16. Jahrhunderts von Buh« lag, deutsches Leben im Volkslied von Liliencron, das deutsche Hcldenlmch von Henri« - , 'iw Spielmannsdichtung von Piper. 17) Minor: Neuhochdeutsche Metrik. IS V ackern;«■■!-.'« ; Deutsche Literaturgeschichte. 19) Wohlfahrt: Französische Grammatik und Syntax. .’.«>■ I, Französ. Lehrbuch. 21) Bänderet: Histoire de la littérature frammise. 22- 'len Brink: licike speare. 23) Lüdecking: Englisches Lesebuch. 24) Österreich-Ungarn in Wort und Pii Llg 207—227. 25) Östeneich-ungar. Revue von Mcycr-Wy.de Hl. 17. Bd. 26: Wailz: Vri t - -mig-geschichte des fränkischen Reiches 1.—IV. Bd. 27) Frege: Grundgesetze der Wittum - ! Bd. 28) Drude: Physik des Äthers auf elektromagnet. Grundlage. 29) Heiz: G« ciuchi-' - Balm-heslimmungen von Planeten und Kometen. 30) Fischer: Anleitung zur Du diu: ««. Präparate. 31. Oettel: Anleitung zu elektrochemischen Versuchen. 32) Meyer: Ge-i'hi« - «1- « Chemie. 33) Wurzbach: Biograph. Lexikon 31. ». 32. Bd. 3t) HöfTding-Reiidisim : in Umrissen auf Grundlage der Erfahrung. 35) Grimm: Deutsches Wörterbuch IX. Io!. 8 Ltg 36) Fehling-Hell: Neues Hamlwörlerhuch der Chemie VI. Bd. 10. Lfg. 37) Dornblli;!«: Gesundheitspflege. 38) Eulenberg und Bach: Schulhygiene. Stand der Sammlung: Werke 1318, Bände 2545, Helle 839.. Programme 1471 B. Schülerbibliothek. Ankauf: 1) Barack: Perci val Keene. 2) Pichler: Theodorici« der Große, Chlodvi; und Chlotildis, die Waldschmiede zu Bottwéil. 3) Halden: Onkel Flitz. 4) Berhi-ricl«: -lahrl « h «ler Erfindungen 1894. 5i Wildeiuiüth: Jngendgarten 19. Bd. ti> Dittmar: In Nor»!- - - ««. 7) Harald' Kapitän Jack. 8,- Urhamt/ky: Die. Elektricilät im Dienste derM« nschhri« ' auf: Hoffnung lässt nicht zu Schanden werden. 10) Proschko: Jugendheimat 9. Bd. 11) « - > . Im hohen Norden. 12) Verne: Der Findling, Meister Antifers wunderbare Almuten« : i . Unter den Fehlzeichen Kaiser Maximilians. 14) Pajek en: Der rot he Spion. 15: Ui- !>!, -, Lebensbilder, Natu«bildet- und Reiseskizzen, amerikanische Reisebilder, Streif- und '«'. 16} Oppel : Hannihals Schwi-rl. 17 : May: Der Schatz im Sill»'«.-! «, D.,« ! \\. «>. Durchs wilde Kurdislan, Von Bagdad nach Slamimi, In den Schluchten ■ ! * - B««11 u«. "«« Ocean, Arri Rio de la Plata, ln den Cordilieren. 18) Thomas: Die denkwürdigsten Erfind«»«. - n. B« - llenckel: Di«1 Rache. 2«h Roll«: Nur iinrner h« «i v. 21) Höcker: >> 15. Bd. 30) Frey er: Der junge Handwerker und Künstler. 81) Müller: Beckers Weltgeschichte. 32 Weigel,lt: (.« r.-lai kers Welt im Kleinen. 33- Lommel: 1.« 1« huch 34) W v -lteuleaux : Der schweizerische Robinson. 35. Taneru: Der Aiauerlritz. ci« : Physikal. Aufgaben. 37) Budde: Aufgaben aus der Physik. 38) Falkenhorst.: Jungdeutschland in Afrika 1. II. III. 39) Weise: Unsere Muttersprache. 10) Mayer: Geschichte der österr.-ungar. Monarchie. Gegenwiirtiger Bestand: 1129 Werke in 1299 Bänden und 4 Heften. C. Geographie und Geschichte. Ankauf: Es wurde nichts augeschafft. Stand der Sammlung : Wandkarten 80, Atlanten 12, Reliefkarten 4, Globus 1, Tellurium 1. geograph. Bilder 12, histor. Bilder 2 und 2 Pläne von Marburg. I). Geometrie. Dafür wurde nichts erworben. — Stand der Sammlung: 82 Nummern. E. Naturgeschichte. Geschenke: 1) Von dem Herrn Consul Oskar Sitzler: Eine Sammlung von Petrefacten und Gesteinen von Fünfkirchen. 2) Von dem Herrn Förster Josef Huber: 1 Syrmium macrura (Uraleule), 1 Corvus corone (Rabenkrähe), 1 Corvus pica (Elster). 3) Von dem Herrn Oberförster Paul Wittmann: 1 Astur nisus (Finkenhabicht). 4) Von den Schülern a) Fiala Hugo der VI. Classe: 1 Käfersammlung in 2 Kästchen und b) Wolfzettel Victor der I. Classe: 1 Myoxus glis (ßilch). 5) Von einem Ungenannten: 1 Parus major juv. (Kohlmeise), 1 Parus major. Ankauf: 12 Stück Mineralien aus dem Bachergebirge, I Schildpattplatte. 1 Metamorphose von Bombyx mori (Seidenspinner), 1 Sammlung von Goniferenzapfen, 1 Straußenei, 1 Walfischbarte. Stand der Sammlung : 1 Ui7 Nummern mit 4692 Stücken. F. Physik. Geschenk: Vom Herrn Südbahnoberinspector Dolkowski 32 Stereoskopbilder. Ankauf: 1 Apparat für den Fall durch Bogen und Sehne, 1 Modell des menschl. Ohres, 1 Apparat für die Abhängigkeit der Drehungsmomente, 1 Wassertliermometer, 1 Schallinterferenzapparat, 1 Membranpfeife, 1 Heronsball, 1 Hohlspiegel auf Stativ, 1 Elektrophor, 12 Bilder zum Skioptikon. " Stand der Sammlung: 305 Nummern. G. Chemie. Ankauf: 2 Wasserbäder, 3 Bunsenbrenner. Stand der Sammlung: 220 Nummern. H. Freihandzeichnen. Ankauf: 7 Gypsmodelle und 7 Holzmodelle, Andčls polychrom. Flachornament 13.—16. Lfg., Jelineks Anleitung zum perspectiv. Zeichnen. Stand der Sammlung: 343 Nummern (Draht-, Holz- und Gypsmodelle, Vorlagewerke, Zeichenapparate u. a.) mit 2320 Stücken. J. Gesang. Dafür wurde nichts erworben. — Stand der Sammlung: 48 Nummern: Gesangsbücher, Chöre und 2stimmige Lieder. Für die angeführten Geschenke wird hiemit der geziemende Dank ausgesprochen. VIII. Maturitätsprüfung. Die schriftliche Wiederholungsprüfung aus der Mathematik fand am 2. September 1894 statt, und es waren dabei folgende Aufgaben gegeben: 1) Das Gleichungssystem - 3xhh' (.)<*> '> 3x" -’y J T 243. ,. 2187 ist aufzulösen 2 Auf einer Kugel vom Halbmesser R ist ein kleiner Kueolkrois von gegebenem Uinlange. » verzeichnet. Wie . -oß i : die Fl iehe eim jeden ,1- > besen Kugel- kreis begrenzten Theile der ganzen KugeloherfliiehcV 3 Ein Dreieck i i zu iinstruieren und aufzulösen, von dem die Grundlinie, der Winkel an der Spitze und die Höhe auf eine der Grundlinie anliegende Seite gegeben -ind. Die ausgeführte Construetion ist entsprechend zu begründen. Die mündliche Wiederholungsprüfung wurde unter dem Vorsitze de- Herrn k. k. Landes-schulinspei toi Dr. 3< bann Zindler am 25. September ai.--, halten, mul ; Candidaten erhielten ein Zeugnis der Reife, von denen sich 1 zur Technik und 1 zur Marine wenden wollte. Zur Mals, mit ;s SS de. :-";huljahr« - 1S9U5 meldeten Ile 13 Schüler der 411. Clas-o und ein ExIemisi Bei der schriftlichen Matui ilatsprüfun; am 10. bis 15, Jun waren nachstehende Aufgaben zu bearbeiten: a) Aus der deutschen Sprache : Welche Pflicht haben österreichische Abiturienten gegenüber ihrem Vaterlande, und wie können sie dieselbe erfüllen J b) Übersetzung aus dein Kranzösiscben ins Deulsedie: Le Danube. c) Übersetzung aus dem Deutschen ins Französische: Die ewige Bürde. (Herder). d) Übersetzung aus dem Englischen ins Deutsche: The Emperor Charles the Fifth. (William Itobertsom. e) Aus der Mathematik: 1) Ein Rentcnbesitzer verwendet von den Zinsen seines zu 6% angelegten Capitales von 40.000 fl. am Ende eines jeden Jahres 1500 11. zur Begleichung der Auslagen für seinen Unterhalt und schlägt den Best der Zinsen wieder zum Capitale. Über welche Summe verfügt er nach Ablauf von 12 Jahren bei ganzjähriger Verzinsung? 2) Ein regehnalliges Sechseck drehe sieh um eine seiner Seiten ; es sind die Oberfläche und das Volumen des dadurch entstandenen Rotationskörpers zu berechnen. Die Seite m. 3) Die beiden Seiten eines 2-04 in hohen Dammes, dessen obere Breite Ohl in beträgt, sind gegen die Horizontalebene um 38° 52'48" geneigt. Wie groß ist die untere Breite des Dammes ? 4) Die der Geraden x — 2y + 12 — 0 angehörende Sehne der Curve x* + 2y* — 144 ist der Durchmesser eines Kreises; wie lautet die Gleichung dieses Kreises, und unter webhen Winkeln schneidet der Kreis die Curve? Es ist eine Zeichnung zu entwerfen, wobei die Einheit 4mm lang zu wählen ist. f) Aus der darstellenden Geometrie: 1) Es sind 3 Punkte a, b und c gegeben ; man suche : i. die Entfernung des Punktes A von der Ebene des Dreieckes ahe, 2. die wahre Größe desselben und 3. den Neigungswinkel seiner Ebene mit P,. a (0, 0, 5 cm), !> u, 5, 0 cm), c (5,0,0 cm). 2) Ein regelmäßiges sechsseitiges Prisma A durchdringt ein zweites regelm. sechsseitiges Prisma B. Selbstschatten und Schlagschatten des einen Prismas auf das andere. A j Axe 0 x P, i 11 cm lang. 0' (x ~ fi, y — ü cm). Eine Seite der unteren Basis j| A X in P, und 4 cm lang. B J Untere Basis von P, 6 cm entfernt, ein Grundkante x P, mul 5 cm laug. Höhe des Prismas B 3 5 cm. Die verticale» Projectionen der Lichtstrahlen .-chließen mit VX Winkel von 45°, die horizontalen solche von 30° ein. 3) Schnitt eines vertici,b-„ Cylindvis mit einer schiefen Ebene in freier Perspective. O'tx“ — 3, y rr 3 cm), r — 3 cm. txenlänge > cm. Die Grundtrasse der schneidenden Ebene verbindet den linken Distanzpunkt mit einem Punkte der Verticale» 14 cm unter dem Horizonte ; die Bildllächtrasse schneidet die Verticale 3 5 cm über dem Horizonte. Horizonthöhe 45 cm, Distanz 18 cm. Die mündliche Maturitätsprüfung wird am 22. Juli beginnen. IX. Chronik. 1. Die Aufnahmsprüfungen für die 1. Glasse fanden am 14. Juli und 17. September, jene für die übrigen Glasse», sowie die Wiederholung.«- und Nachprüfungen am 17. und IS. September statt, am 18. September war der Eröffnungsgottesdienst und am 10. September begann der regelmäßige Unterricht. 2. Am 3. August wohnten Mitglieder des Lehrkörpers dem anlässlich des Hinscheidens Sr. k. u. k. Hoheit des Herrn Erzherzogs Wilhelm in der Domkirche ahgvtuhtw.ee '1: i.uer-gottesdienste bei. 3. Am 18. August war der Lehrkörper bei dem aus Anlass des Allerhöchsten Geburt« festes Sr. k. u. k. Apostolischen Majestät in der Domkirche celebrivi teil Hochamte vertreten. 4. Am 27. September betheiligte sich die Lehranstalt bei dein Leichenbegängnisse des Herrn Augustin Satter, welcher durch eine Reihe von Jahren an der Anstalt als Gesangslehrer in verdienstvoller Weise wirkte. 5. Am 4. October wurde das Allerhöchste Namensfest Sr. k. ». k. Apostolischen Majestät durch einen Schulgottesdieust gefeiert, und der Lehrkörper wohnte dem aus d ; ■ Iben Anlasse in der Domkirche abgehallenen Hochamte bei. 0. Zur Feier des Allerhöchsten Naihensfestes Ihrer Majestät der Kai-eiin ' nd am 1h. November ein Schulgottesdieust statt. 7. Das 1. Semester endete mit dem V. Und das II. Semester begann mit dem 13.1 ■ binar, 8. Aus Anlass des Ilinscheidens Sr. k. u. k. Hoheit des Herrn Erzhu;. V'brecht wurde am 22. Februar in der Doiukirche ein Trauergoltesdicnst abgehullen, >, ein Mitglieder des Lehrkörpers beiwohnten, und am 25. Februar fand aus dem selb. Vnla-se ein Schulgottesdieust statt. V. Am 21. Mai inspirierte der Herr k k. Lande-schulinspeetor Dr. Johann Zindler einige (Hassen der Anstalt. In. Am 31. Mai starb bei seinen Eltern in Hohilsch der brave Schüler der IH. Glasse Adolf Meixuer. 11. Am 17. und 18. Juni unterzog der Herr Fnchinspector für das Zeichnen, Professor Hermann Lukas, den I nterrield im Freihandzeichnen einer eingehenden J■.- ! • 12. Am 28. Juni war der Lehrkörper bei dem zum Andenken an das Hiuseheiden Sr. Ma estiit des Kaisers Ferdinand 1. in der Domkirehe abgehaltenen Tmuergotlesdc u-ö,. v. : den. 13. Am 13. Juli wurde das Schuljahr mit einem Gottesdienste und der Zeugnis-vertlieilung geschlossen. X. Verfügungen der Vorgesetzten Behörden. 1. L. S. lì. 58. .Iuli 181 M- Z. Il»31. Bekanntgabe der Ernennung »h c cupplenten Eduard Sokoli all der Privatrealschule in Wien I. Bezirk zum wirklichen Lehrer an dm- hiesigen Anstall. 2- L. 8. R. 21. August 1894 Z. A152. Verordnung des Herrn Ministers für Cultus und Unterricht vom 111. Juli 1894 Z. 1352, betreffend die licgeiung der chemisch-praktischen Arbeiten im Laboratorium an den Realschulen. 3. L. S. It. 30. August 1894 Z. 4048 und 2877. Definitive Bestätigung der k. k. wirkt Lehrer Franz Kaufmann und Arthur Hesse mit Zuerkennung des Titels „k. k. Professor.“ 4. L. 8. R. 30. August 1894 Z. 4983. Genehmigung der Verwendung des Lehrers des Marburger philharrnon. Vereines Leo Dobrowolny als Gesangslehrer an di r hiesigen Anstalt. 5. L. 8. lt. 17. September 1894 Z. 0039. Genehmigung der Weiterverwendung des supplierenden Lehrers Augustin Drouillot. 6. L. 8. R. 20. Jänner 1895 Z. 372. Genehmigung der Stundenordnung für das Turnen in 5 Abtheilungen. 7. L. 8. R. 28. März 189.» Z. 2198. Versetzung des Directors Josef Frank in den bleibenden Ruhestand mit 1. Juli 1895. 8. L. 8. R, 4. April 1895 Z. 2292. Betrifft die Durchführung der 11. Minist.-Verordnung vom 12. März 1895 Z. 27038 bezüglich der Schulhygiene. 9. L. 8. R. 15. Mai 1895 Z. 3011. Behilft das mit h. Minist.-Erl. vom 27. Februar 1895 Z. 4070 kund gemachte Lehrmittelverzeichnis für das Freihandzeichnen. XI. Jugendspiele. Über diesen Gegenstand ist für das Schuljahr 1894/95 folgendes zu berichten. 1) Am 4. Jänner 1895 wurde die dafür vorgeschriebene Conferenz abgehalten. 2) Gemali dem Erlasse des h. k. k. steierm. Landesschuh athes vom 10. November 1893 Z. 8125, wurde von den Schülern für die Jugendspiele der Betrag von 53 11. 20 kr. eingehoben. , Der lobi. Stadtverschönerungsverein gewährte den Schülern für die Benützung des dem Vereine gehörigen Eislauf-platzes für 1894/95 wieder eine namhafte Begünstigung, wofür hiemit 1» -slvus gedankt wird. 4) Am 9. Mai fanden unter Führung von Professoren Ausflüge aller Classi n nach verschiedenen Richtungen statt. 5) Durch die schull'reundliche Vermittlung des löbl. Sladlrathes in Marburg wurde für die Monate Mai und Juni an den Mittwoch- und Samstag-Nachmittagen von 4 Uhr an der kleine Exercierplatz für die Jugendspiele vom löbl. k. k. Landwein-Bataillons-C.ommando Marburg überlassen, wofür der verbindlichste Dank ausgesprochen wird. Auf dem genannten Platze begannen dann die Jugendspiele und wurden an allen geeigneten Mittwoch- und Samstag-Nachmittagen der Monate Mai und Juni unter sehr lebhafter Betheiligung der Schüler fortgesetzt. Die Spiele wurden von den Professoren Franz Kaufmann, Eduard Sokoli und Robert Spiller geleitet und beaufsichtigt. XII. Aufnahme der Schüler für das Schuljahr 1895/96. Zufolge Erlasses des hob. k. k. Ministeriums für Cultus und Unterricht vom 2 Jänner 1886, Z. 85, sind für die Aufnahmsprüfung zum Eintritte in die 1. Glasse 2 Termine bestimmt, von denen der erste an das Ende des Schuljahres 1894/95 auf den 13. Juli, der zweite aber in den Anfang des Schuljahres 1895/6 auf den 16. September fällt: ln jedem dieser Termine wird über die Aufnahme definitiv entschieden. Eine Wiederholung der Aufiiahmsp.üfung an derselben oder an einer anderen Lehranstalt für dasselbe Schuljahr ist unzulässig. Zur Aufnahme von Schülern für eine höhere Classe, sowie zur Vornahme der Wieder-holungs- u. Nachtragsprüfung ist die Zeit vom 16. bis 18. September he-iimml. Ih r Krüffuuiigs-gottesdiensl wird am 18. Sept. abgehalten. Der regelmäßige Unterricht inni am 19. Sept. Die Schüler, welche von einer Volksschule kommen, haben die mich einem vorgeschriebenen Formulare ausgefertigten Schulnacbrichten sammt dem Tauf- oder Geburtsscheine mitzubringen; jeder in eine höhere als in die 1. Classe neueintretende hith r hat nebst dem Tauf- oder Geburtsscheine das Zeugnis vom 2. Semester 1894/5 vorzuweisen Zum Eintritte in eine höhere Classe ist eine Aufnahmspriiftinv : n Fällen vorzunehmen. in denen der Bewerber ein Zeugnis über die 18943 zurin : legle, unmittelbar vorhergehende Classe einer gleichnamigen und gleichgestellten öffentlichen Lehranstalt der im Reichsrathe vertretenen Königreiche und Länder nicht vorlegen kanti. I > ■ # b.-se, in welche der Schüler aufgenommen wird, hängt von dem Ergebnisse dev Prüfst:: . für w iche eine Taxe von 12 II. im Voi hinein zu erlegen ist. Für die Aufnahme von Privatisten gelten die- selben Bestimmungen, wie tür die öffentlichen Schüler. Jeder neu emtretende Schüler hat die AUfnahmstaxc von 2 II. 10 kr und den Bibliotheksbeilrag von 1 il., jeder wieder eintretende Schüler hingegen Idos ih o ’ -beitrag von I fl. bei der Einschreibung zu entrichten. Außerdem wird ein klein» für die Zwecke der Jugendspiele eingehoben. Diis Schulgeld beträgt für jede Classe jährlich 30 fl. und ist in zwei gl, hen Raten innerhalb der ersten 6 Wochen eines jeden Semesters durch Lösung von Sehn!; Muuirken zu zahlen, ln Betreff der Schüler der 1. Classe wird auf die nachstehende Verordn verwiesen Die Direction und die Professoren werden während des Schuljahres jederzeit bereit sein, den Eltern oder deren Stellvertretern über die Schüler alle gewünschten Auskünfte und Rathschläge zu geben; der Schule wird es immer nur sehr erwünscht sein, mit dem Elternhause ununterbrochen in engem Verkehre zu stehen, um auf diese Weise das Wohl der Schüler nach Möglichkeit zu fördern. Für die Schüler der I. Classe gilt von 1800/1 an die nachfolgende Verordnung des Herrn Ministers für Cultus und Unterricht vom 6. Mai 1800. ln thuilweiser Änderung der Ministerial -Verordnung vom 12. Juni 1886 linde ich Folgendes anzuordnen: 1. Das Schulgeld ist von den öffentlichen Schülern der I Classe im 1. Sem. spätestens im Laufe der ersten 3 Monate nach Beginn des Schuljahres im Vorhinein zu entrichten. 2. Öffentlichen Schülern der 1. Classe kann die Zahlung des Schulgeldes bis zum Schlüsse des 1. Semesters gestundet werden : a) wenn ihnen in Bezug auf sittliches Betragen und Fleiß eine der beiden ersten Noten der vorgeschriebenen Notenscala (lobenswert, befriedigend — ausdauernd, befriedigend) und in Bezug auf den Fortgang in allen obligaten Lehrgegenständen mindestens die Note „befriedigend“ zuerkannt wird, und b) wenn sie, beziehungsweise die zu ihrer Erhaltung Verpflichteten, wahrhaft dürftig, das ist, in den Vermögensverhältnissen so beschränkt sind, dass ihnen die Bestreitung des Schulgeldes nicht ohne empfindliche Entbehiungen möglich sein würde (Vdg. v. 12. Juli 1886, Punkt 6, lit. b). 3. Um die Stundung des Schulgeldes für einen Schüler der I. Classe zu erlangen, ist hinnen acht Tagen nach erfolgter Aufnahme desselben bei der Direction jener Mittelschule, welche er besucht, ein Gesuch zu überreichen, welches mit einem nicht vor mehr als einem Jahre ausgestellten behördlichen Zeugnisse über die Vermögensverhältnisse l.eh-gt -cin n . Zwei Monate nach dem Beginne des Schuljahres hat der Lehrkörper auf Grund der los dahin vorliegenden Leistungen der betreffenden Schüler in Erwägung zu ziehen, ob ln ; denselben auch die unter Punkt 2, a) geforderten Bedingungen zutreffen. Gesuche solcher Schüler, welche den zuletzt genannten Bedingungen nicht entsprechen, sind von dem Lehrkörper sogleich zurückzuweisen, wobei die Schüler aufmerksam zu ma, heu sind, dass sie der. Pflicht, das Schulgeld zu zahlen, innerhalb der im Punkte 1 imimierten Frist nachzukommen haben. Die übrigen Gesuche werden mit den entsprechenden Anträgen des Lehrkörpers ohne Verzug an die Landesschulbehörde geleitet, welche über dieselben entscheidet, und dabei, wenn sie die Stundung bewilligt, zugleich die definitive Befreiung von der Zahlung des Schulgeldes für das 1. Semester unter der Bedingung ausspricht, dass das Zeugnis über das 1, Semester den im Punkt 6, a) der Ministerial-Verordnung vom 12. Juni 1886 bezüglich dia N neu aus sittlichem Betragen und Fleiß (lobenswert, befriedigend -- ausdauernd, befriedigend), sowie bezüglich der allgemeinen Fortgangschisse ri. mit Vorzug oder 1.) festgestellten Foul- -u genügt. Trilli diese Bedingung am Schlüsse des 1. Semesters nicht zu. so bat der betreffende Schüler das Schulgeld noch vor Beginn des II. Semesters zu entrichten. l>ie Entscheidung der Landesschulbehörde ist in angemessener Frist vor Ablauf des Termines für die Zatdn-ig des Schulgeldes (Punkt 1) bekannt zu geben. 4. Jenen Schülern der 1. Classe, welche im I. Semester ein Zeugnis der I. Glasse mit Vorzug erhalten -haben, kann auf ihr Ansuchen von der Landesschulbehörde di*- Bückz.ahiuüg ■ des für das I. Semester entrichteten Schulgeldes bewilligt werden, wenn sie auf (inen! * ;.-*■ Erfüllung der im Punkte 6, a) und b) der Ministerial-Verordnung vom 12. Juni I i.-he oben diu bezüglich der Noten in Sitten, Fleiß und Fortgang, dann der Dürftigkeit ingeführten Bestimmungen) ausgesprochenen Bedingungen die Befreiung von der Zahlung ; Schulgeldes für das II. Semester erlangen. 5. Die Bestimmungen der Ministerial-Verordnung vom 12. Juni 18m, J,l, ,|. • |,| soweit sie durch die gegenwärtige Verordnung nicht abgeäudert werden. Diese Verordnung trat mit Beginn des Schuljahres 1800,111 in Kraft. XIII. Verzeichnis der Schüler. I. Classe. Alteneder Oskar, Bekič Peter, »Beffanti Rudolf, Bock Alfred, Dr.dz Friedrich, provenik Josef, Englev Otto, Fistraver. Othmar, Ga»,auf Oskar. G - Girstmayr Eduard, Girstmayr Franz, Gütz Franz, Grutschreiber Gustav, Hauser Karl. Hermann Karl, Himmler Adolf, Broch Karl, Huber Otto, Kainer Egon, Kiss Oskar, Koroo helz Lorenz, »Kotik Franz, Leinmüller Friedrich, »Lopitsch Richard, 'Makotte, A „J, vlili,-Wladimir, Muster Anton, Ogris,-g Johann, Pfrimer Hermann, Pogačnik Heinrich Ouand* * Richard, Sehainesberger Karl, Schwab Alois, Špindler Bruno. Sline Moriz \\ abiC Vincenz, Wahlheger Karl, \\ ieser Johann, W’lasak Emil, Zellermayer Alt :■ ander. Summe 42. II. Classe. Baller Alois. Baumgartner Karl, Beszedits Rudolf, Fri! Franz. Furche Friedrich, Gerstliofer Victor, Granitz Max, Halbärth Walther, Jen s Fri li. Kankowsky Ferdinand, Kauworsky Alois, Klammert Anton, Kogelmiller Leopold, Kosehai Josei, * Kraus Ernst, Kriesten Otto, Laad Alfons, »Lährm Rudolf, »Leithner Fritz, Leyrer lax. Macher Max, Marlin/. Franz, Pachernigg Franz, Pajek Wilhelm, Pal ter Alexander, l'rodnigg Oskar, von Reichhold Mori/. Rolli Josef, von Sauer Hans. »šel August, Schlosser Rudolf. Schrotlenbach Friedrich, Skerbinc Karl, Ritter von Steinitz Hubert, Strohbach Wallher. Suske Victor, Vipauc Ivo, Voll grober Rudolf, Wagner Richard, Wegsehaider Roland, -! Weingerl Johann, Wenko Karl, Wögerer Enterich, ZdoISek Rudolf. Summe 44. III. Classe. Bednar Franz, Hermann Oskar, »Blažek Anton, Brüll Sigmund, Burmann Ladislaus, De Crinis Oskar, Draskovie.lt Friedrich, Eisbacher Wilhelm, Ln/i Rudolf, Fales-cliini Anton, *Felber Josef, Friedei Emil, Fuchs Johann, 'Hartmann Hugo. Heckei Gustav, Heinrich Josef, »IJrastnig Albert, Kainer Johann, Koschak Max, Kralochwil Ferdinand, Lampi Arthur, »Luhn Otto, »Marko Felix, Pauls Wilhelm, Permoser Alexander, Peltcrnel Walther, Fleischer Ludwig (Privatisi), Ratzka Anton, Rudi Anton, Schenk Franz, Schmidt Rupert, Simrisich Karl, Škrajnar Anton, * Vogrin Victor, Wieder Rudolf, Wittmann Rudolf, Worsehe Franz. Summe 37. IV. Classe. Recinger Othmar, Bibus Max, Ritter v. Borzecki Johann, Brabenec Victor, DoleCek Roman, *Donau Julius, Ennsbrunner Andreas, »Fasching Roman, Figdor Alberi, Handl Adolf, »Hanselitsch Karl, Ipavic Guido, »Jurmann Gustav, Kappel Karl, Koko i hinegg Rudolf, *Luhn Robert, Ritter v. Lund Bruno, Ritter Franz, Schrotlenbach Johann, Sedminek Emerich, Sedminek Raimund, »Sideritsch August, Spittau Ludwig, Suske Heinrich, Tliurner Balthasar, Treffer Moriz, Urban Franz, Vessel Ludwig, Wagner Franz, Widra Adolf. Summe 30. V. Classe. Hermann Alfred, Bobek Johann, Denzel Ignaz, »Dobrovieh Rudolf, Franz Karl, Häring Georg, Jelinek Franz, »Komenda Georg, Kratina Julius, Kryl Paul, Ma'rtinz Rembert, Opelka Josef, Ritter Emil, Sketh Franz, Stiger Richard, Trümmer Josef, Welzebach Franz. Summe 17. VI. Classe. Albrecht Egon, Burmann Anton. »Egger Theodor, Fiala Hugo, Frankl Alois, Friedei Rudolf, Hauser Rudolf, Kalek Franz, Kuttnig August, Kryl Theodor, »Likawetz Adolf, Mach Franz, Manzin Hermenegild, Minafik Josef, Pig Hermann, Bei-". Kurt, Simniert Benno, Sorko Franz, Tarant Victor, Zezulka Albert. Summe 20. VII. Classe. Fischer Johann, *Fluck Eduard, Gerstliofer Josef, Glagovsyg Josef, Lorber Anton, *Mor]iurgo Arthur, Müller Otto, »Ogrine. Michael, Scala Anton, Šešerko Rudolf, Schleuch Hugo, Schrimpf Emil, »Strohbach Erich. Summe 13. NB. Die mit einem * bezeichnten Schüler haben die Vorzugs classe erhalten. XIV. Statistik der Schüler. I. Zahl. Zn Ende 1893/4 ............... Zu Anfang 1894/5 ...................... Während des Schuljahres eingetreten Im Ganzen also aufgenommen . . . Darunter: Neu aufgenommen und zwar : aufgestiegen............. Repetenten . . ■ . . . Wieder aufgenommen und zwar : aufgestiegen............. Repetenten............... Während des Schuljahres ausgetreten Sciitilerzahl zu Ende 1894/5 . Darunter : Öffentliche Schüler . . Privatisten............... 2. Geburtsort (Vaterland). Marburg........................... . Steiermark überhaupt................. Kärnten.............................. Krain................................ Küstenland ......................... Tirol................................ Niederösterreich...................... Oberösterreich........................ Böhmen............................... Schlesien............................ Galizien............................. Siebenbürgen ........ Ungarn................................ Kroatien und SI avo ni en .... Bosnien.............................. Dalmatien............................ Summe 3. Muttersprache. Deutsch.................... Slovenisch................. Rechiseli.................. Polnisch................... Serbisch und Kroatisch Italienisch................ Ungarisch.................. summe C 1 a s e Zusimmen I. 11. 111. i IV. V. vi. VII. 49 41 » 29' 22' 13 : 16 2011 48 46 36 1 30 18 21 13 212 3 1 t " — — - — 5' 51 47 37' 30 18 21 13 217' 47 4 2' 1 2 1 1 58' 38 30 28 16 20 12 144 4 5 5 1 — — 15 i 9 3 1 - 1 1 — 15 42 4t 36' 30 17 20 13 202' 42 44 36 30 17 20 13 202 “ 1 1 15 17 10 11 9 7 4 : 73 12' 11 3 « Sä ' 70' ( 1 1 1 1 — 1 5 1 2 1 — ; 5 0 — o 1 2 o 3 12 : 1 I 1 — 3 ' 3 1 1 2 — 1 1 ! » — — 1 — — — — i — — — 2 — — — : 2 — — 1 — — — — 1 ! - 1 1 3 3 2 0 1 13 2 1 2 — — 1 — 1 — — 2 — — — — — — — ; 42 44 36' 30 17 20 13 2021 36 39 30' 28 15 17 H 1761 i| * 3 1 - 1 1 - 10 — — 2 — — ! — ! - — o I 3 — - 1 — ;> - — 1 ä 1 1 > 1 2 Ü £ 2 : — i 3 42 44 36' 30 17 20 ; 13 20-2 1 4. Religionsbekenntnis. Katholisch des lat. Ritus .... Griechisch-orientalisch............... Evangelisch Augsburger Confession » Helvetischer , Israelitisch.......................... Summe 5. Lebensalter. 10 Jahre 11 . . 12 „ . 13 „ . 14 . . 15 „ . 1(1 „ . 17 „ . 18 „ . 19 „ SO . . Summe 6. Nach dem Wohnorte der Eltern. Ortsangehörige Auswärtige Summe \ 7. Classification, a) Zu Ende des Schuljahres 1894/5. I. Forlgangsclasse mit Vorzug .... Zu einer Wiederholungsprüfung zugelassen II. Forlgangsclasse.................... m.. ; ................... Zu einer Nachtragsprüfung zugelassen . Außerordentliche Schüler............... I. II. 3S 43 -» 2 42 tt 1 8 — Iti 6 12 20 2 12 3 5 — 1 t2 4t 1-2 4 28 Summe b) Nachtrag vom Schuljahre 1893/4. Wiederholungsprüfungen waren bewilligt Entsprochen haben.............. Nicht entsprochen haben (oder nicht erschienen sind)............. Nachtragsprüfungen waren bewilligt . . Entsprochen haben.............. Nicht entsprochen haben . . . Nicht erschienen sind .... Darnach ist das Endergebnis für 1. Forlgangsclasse mit Vorzug .... ii. ” :::::::: m. . ................... Ungeprüft blieben..................... 4 3 3 32 4t a ■ 3 •; 44 15 3 3 I S Summe 4t> . 11 8. Geldleistungen der Schüler. Das Schul gehl zu zahlen waren verpllh im I. Semester.............. im 2 Semester............... Zur Hilllte waren befreit im I. Semester ' im 2. Semester Ganz befreit waren im 1. Semester . . im 2. Semester . . Das Schulgeld betrug im ganzen im 1. Semester................... im 2. Semester................... Zusammen . Die Aufnahmstaxen betrugen . . . Die Lehr mittel beitrage betrugen . Die Taxen für Zeu gn isdup ii ca te betrugen............................... Summe . 9. Besuch des Unterrichtes in den relativ - obligaten und nichtobligaten Gegenständen. Slovenische Sprache . . Englische Sprache . . . Analytische Chemie . . Stenographie 11. Curs . . C I a s s e Zutsmim 1: »- II. III. IV. V; VI. vir 39 28'A 27 31 'A - ; i 21 17'A IS 16 — ! 1 5 1 12 16 r. », 6 127 V, 1147, 3 7 12 1 17 lt 15 18 12 lt 13 16 "9 4 1 z; / 2 80 85 585 105 l-i’7 nt> 315 270 y,!-s 240 75 ISO 8-2-5 15 240 82 5 19-27-5 11. 1725 n. t 990 900 585 90 420 Ito 3652*5 11. 8-4 105 21 42 2 1 21 132-3 fl. — — — — — ! - ! i 1 — - . 1 163-9 9 4 10-5 31 42 3-1 2 1 136-3 fl. ! Gesang I. Curs .... 10. Stipendien. Anzahl der Stipendien . . . Anzahl der Stipendisten . . . Gesammtbetrag der Stipendien . 1. Sem 11. Sem . I. Sem 11. Sem 2t 21 13 8 — — I ~ 18 10 12 7 1 1 1 1 150 150 'S II II 3 12 200 200 — 100 800 11 66 26 6 2t 22 8t 17 Der Berichterstatter nimmt hiemit Abschied von der Anstalt, von Lehrern und Schülern, mit dem innigsten Wunsche für deren Glück und Gedeihen in aller Zukunft. J. Frank.