TELEGRAPHE OFFICIEL. Laybach, dimanche 20'Décembre 1812. EXTERIEUR. ESPAGNE. vittoria ,18 novembre. Au commencement de novembre, le chef de bande Amor s'étoit placé entre Soria , et Aruedo, pour attendre une colonne française que l'on disoit devoir passer sur ce point. Amor en avoit prévenu le chef de bande Du-ran , en l'invitant à faire un mouvement combiné pour attaquer la colonne française. Duran ayant refusé de coopérer à cette attaque ^ Amor abandonna son projet et se porta sur la bande de puran. Ces deux bandes se battirent avec acharnement. Amor perdit 200 hommes et Duran 500. On ignore encore si la mésintelligence qui a éclaté entre ces deux chefs de bandes , n'a pas eu d'autres suites. {G. de Irance ) INTÉRIEUR. EMPIRE FRANÇAIS. Lorient 25 novembre. Le commissaire de police de Lorient ayant reçu avis q ie trois agens de l'angleterre devoient être débarqués depuis quelques jours dans l'ile de Houat, à l'effet de pe-nêtrer dans le Morbihan , en donna connoissance le 21 novembre au capitaine de vaisseau Molini , commandant 1a marine impériale dans le 4.e arrondissement. Cet officier supérieur expédia aussitôt le loutre de S. M. l'Alerte , à l'effet de surprendre ces brigands. L'enseigne de vaisseau Allanioux, commandant ce bâtiment , arriva dans la nuit du 22 au 23 au mouillage de Houat, et y descendit vers minuit, à la tête d'un détachement de son équipage avec lequel, il se porta sur la maison où l'on présumoit que ces hommes étoient logés: il les y trouva tous les trois , et au premier bruit ils se précipitèrent sur l'enseigne Allanioux et ses marins, en cherchant à se faire passage à coups de pistolet et de ba-yonnette. Après quelques momens d'une lutte corps à corps avec ces désespérés , on a été obligé de les fusiller. On n'a trouvé sur eux que des pistolets, des bayonnettes ou des poignards: leur chef avoit seulement quelques paquets de poison dans sa poche. Us ont été reconnus pour être les nommés Depiége > dit Debar , Deguern , dit Sans-Souci et Dron. Leurs papiers et instructions étoient contenus dans une «aile que l'enseigne Allanioux a rapportée au capitaine de vaisseau Molini, lequel les a fait remettre sur-le-champ à la police. Ces misérables n'obtenoient logement chez les habi-tans de Houat, qu'à force de menaces, et ceux-ci espe- rent que cet événément dégoûtera les espions de l'angleterre de'revenir sur leur île. Le quartief-maitre Person , du 1$ équipage de flottile, ayant saisi au corps Deguern, a reçu plusieurs coups de bayonnette dans ses vètemens. 1 Le canonnier de marine Alleau a reçu une balle dans le côté gauche , mais sa blessure n'est pas dangeureuse. paris, le 3 décembre. on s reçu deâ nouvelles de l'LMPEREUR en date du ,5 novembre : S. M. jouissoit d'une très bonne santé; elle s'étoit portée de Smoiensk sur Orscha. Les divers corps d'armée étoient en grande manœuvre, et cont.nuoient le mouvement à la suite duquel ils doivent prendre des quartiers d'hiver. Il y avoit eu Ain dégel de quelques jours; mais le froid avoit repris, et se maintenoit entre 4 et 5 degrés. . D'après les dernières lettres de Wilna , le prince de Schwartzenberg a de nouveau obtenu sur l'ennemi un brillant avantage, et il a déployé dans cette circonstance ce beau caractère et cette infatigable activité qu'il a montrés depuis le commencement de la campagne. Son avantgarde étoit arrivée à Slonim au moment où l'ennemi, qui ne croyoit pas être suivi de si près, quittoit cette ville. Un corps russe de plus de 20 000 hommes, sous les ordres du général Saken , étoit resté en arrière, et se trou-voit coupé de l'armée de Tschhchakoff. Le géié-al Rey-nier arrêta sa marche puur faire face à ce corps, sur les communications duquel le prince de Schwartzenberg se porta avec deux divisions autrichiennes. Le géréral russe sentant le danger de sa position ; voulut forcer le passage le 15, à "Wolkowrck : mais il fut vivement repoussé, et essuya une grande perte. La journée du 16 se passa en manoeuvres. Le 17 . l'ennemi fut attaqué et repoussé sur tous les points. Le 18 , les deux armées en vinrent aux mains, et l'ennemi fut mis dans la déroute la pluscom-plète. Trots à 4000 hommes tués ou blessés, 3000 prisonniers , 40 caissons attelés et chargés de munitions, 3 ambulances et une énorme quantité de bagages, tels forent les fruits de cette journée. Les Russes ont été vivement poursuivis, le 19 on trouvoit tous les villages remplis de leurs morts et de leurs blessés. Aucune partie des débris de ce corps ne rejoindra la principale armée ; tout ce qui parviendra à s'échapper sera obligé de se jeter dans laWoîhynie* On continue à lever des régi mens en Pologne ; l'armée lithuanienne est animée d'un excellent esprit. (Gaz., de France.) MINISTERE DE LA GUEEFE. ARMÉE DU NORD DE L'ESPAGNE. Extrait d'une lettre du général de brigade baron Thouve-not gouverneur du 4.e gouvernement en Espagne, à S. Exc. M« le duc de Feltre , ministre de la guerre. vittoria t le 4 novembre. Monseigneur, M. le général Bigarré , aide-de-eamp de S. M. C. vient d'arriver k Vittoria , chargé „de defêehes pour l'EMPE" io 6 RETJR; il annoncé que 2600 prisonniers , au nombre desquels se trouve lord Pajet , arriveroient le 6 à Vittoria, sous l'escorte d'environ 3000 hommes de l'armée de Portugal. Les Anglais se sont retirés en Portugal, et il paroit «ertain que nos affaires vont de ce côté aussi bien que possible. Le général en chef comte Reille est parti aujourd'hui , pour continuer sa route sur Burgos. Signé, baron Thouvenot. ( Mcnit. ) ARMÉE DU PORTUGAL. lin de l'extrait d'une lettre écrite à S. Exc. le ministre de la guerre , par le général comte Souham. L'armée a pris position le soir à Villa-Drigo. Le lea-dUmain, à la pointe du jour, elle s'est remise en marche. Le grand nombre de prisonniers faits à l'ennemi, et celui de ses déserteurs, prouvoient assez que sa retraite se fai-soit avec une précipitation qui entrainoit le désordre. Il a cherché alors à arrêter notre marche victorieuse par tous Jes obstacles que la nature du pays pouvoit nou* présenter. Le pont de Torqucmada, défendu un instant par son artillerie, a été bientôt en notre pouvoir, malgré le désavantage qu'offroit la position. Après une canonnade de peu de durée, l'ennemi a été obligé de se retirer précipitamment sur Duenas. L'avant-garde l'a poursuivi jusqu à Banos. Le quartier-général a été transféré à Magaz, et la droite de l'armée, sous les oidres de M. le général Foy, a été dirigée de Torquemada sur Palencia. Le 25 au matin , M. le général Mancune a poussé une recónnoissance sur la route de Duenas, et s'est assuré que l'armée anglaise occupoit les hauteurs en avant de cette ■ville , son front couvert par le Carrion et ayant de forts détachemens chargés de défendre l'approche des ponts de San-Isidro et de Villa-Muriel. M. le général Maucune a fait attaquer vivement la tête du pont de Villa Muriel par la 5.e division. L'ennemi a culbuté et rejeté en tin instant de l'autre côté de la rivière . Déjà nos troupes s'élançoient sur le pont, lorsque l'explosion d'un fourneau de mines, qui avoit é'é préparé, a renversé une des arches et a arrêté Ja marche de la colonne qui alloit s'en emparer, j'ai senti la nécessité de forcer proroptement l'ennemi à évacuer le pont de San-Isidro, qui étoit également miné, et j'ai donné l'ordre de passer la Pisuerga au pont au-dessus de Banos; mais ce pont a sauté au moment où ce mouvement alloit s'exécuter. Cependant le fourneau n'ayant pas produit entièrement son effet , la portion de l'arche, qui n'avoit pas éié détruite, a donné le moyen de faire passer de suite sur la rive gauche , quelques escadrons de dragons, qui ont poursuivi vivement l'infanterie anglaise chargée de la garde du pont , et qui, quoique soutenue par la cavalerie, a ®té cnvelopée et faite prisonnière. L'ennemi s'apercevant que nous étions maîtres de la rive gauche de la Pisuerga, s'est empressé d'accél»rer sa retraite , et a fait sauter le pont de San-Isidro, situé sur la grande route de Torquemada à Duenas. On s'est occupé de suite de la réparation des ponts. Ces travaux ont été protégés par la $.e division et par l'artillerie placée sur la rive gauche du Carrion, qui fou- droyoit les nmses ennemies qui vouloient se rapprocher de la rivière. L'ennemi a perdu, dans cette journée , 100« hommes tués, blessés ou prisonniers. Pendant que l'on forcoit ainsi l'armée anglaise à abandonner honteusement la belle position de Duenas, ladro,te de l'armée, commandée par le M. le général Foy , s'erri paroit de Palencia. L'ennemi y a été poussé avec une telle vigueur par la i.ere division , que dans sa fuite il a été forcé d'abandonner le pont de Palencia, sans avoir eu le tems de le détruire, malgré les préparatifs qui avoient été faits. Forcée sur toUs les points, l'arrière-garde de l'armés ennemie s'est retirée pendant la nuit , et le 26 , les ponts étant réparés, l'armée française a continué sa marche. Le quartier-général a été établi à Duenas. Le 27 au matin, j'ai reconnu la position occupée par l'ennemi à Cabezon , où la Pisuerga le séparoit encore de nous; et pour rendre inutiles ses dispositions, j'ai donné l'ordre à l'armée de se diriger sur Valladolid et Simancas, par la rive droite de la Pisuerga, en laissant toutefois les 5.e et 6.e division vis-à-vis Cabezon , pour observer les mouvemens de l'ennemi. La droite de l'armée a occup« Zaratan , les 3.e et 4.e divisions se sont portées en avant de Cigalès, prés du gié de la Pisuerga; le reste de l'armé. à Cigalès. Le 28 , M. le général Foy s'est emparé dd Simapcas , et est entré dans Tordésiilas le 29. Le pont de Simancas sur la Pisuerga, et celui de Tordésiilas sur le Duero, avoient é;é rompus à l'approche des troupes françaises. La tête du pont de Tordésiilas étoit encore occupée par les anglais. Il falloit les chasser de cette position pour pouvoir réparer la coupure avec célérité. Soixante braves de la s .re division et quelques sapeurs, ayant à leur tête le capitaine Guingret du 6.e léger, se jettent à la nage, le sabre aux dents, et parviennent à l'autre rive, malgré le feu très-vif de l'ennemi, qui, surpris d'une action si hardie, fuit épouvanté, laissant quelques prisonniers en notre pouvoir. Cette entreprise nous a rendus maîtres de la tête du pont. L'ennemi, informé de la marche de l'armée sur le Duero, a senti combien il devenoit dangereux pour lui de rester plus long-tems sur la rive droite de ce fleuve, et s'est hâté, pendant qu'il en étoit encoie tems, d'abandonner ses positions. Il a continué sa retraite le 29 , après avoir fait sauter successivement les deux ponts de Cabezon et de Valadolid. L'armée française est entrée le 29 dans Valladolid, et le quartier-général est arrivé le 30 à Tordésiilas. La perte de l'ennemi, dans ces différens combats , est de 2000 prisonniers , tous Anglais ou Portugais , et en grande partie de cavalerie. Dans ce nombre on compte un colonel > un major , deux lieutenans-colonels et vingt-cinq officiers. L'armée anglaise a perdu 600 chevaux. Sa perte en tué; et blessés, peut être évaluée, sans exagération, à 2500 hommes. Le général espagnol Alava a é'é blessé dangereusement. Notre perte est de 300 hommes tués ou bleSiés. Je dois à M. le général de division Clauzel les éloges les plus mérités sur le bon état de l'armée, dont il m a remis le commandement. Ce général , quoique malade encore par suite de ses blessures, a rendu les plus grands services, par la connoissance parfaite qu'il avoit du pays* et nous a donn* de grands avantages sur l'ennemi. M« le général corate Çaffarelli a -également monti* la meilleure volonté de secourir l'armée de Portugal , dans le cas où elle en auroit eu besoin ; s'a cavalerie s'est couverte de gloire dans la charge qu'elle a faite sur la cavalerie ennemie. M. le gé «rai baron de Lamartinière a mis dans ces différentes affaires tout le zèle et l'activité dont il est capable; c'est un très-bon ofïiuer qui mérite les bontés de S. M. l'Empereur. M. le gé éral de division Maucune, dans toutes les affaires qu'il a eues, a su inspirer aux troupes qu'il commande, l'ardeur et le dévouement dont il a déjà donné tant de preuves. L'artillerie, sous les ordres de M. le gérerai Tirlet, a servi avec une grande distinction et a fait beaucoup de mal à lennemi. En général toutes les troupes se sont très-bien conduites. Votre Exc. remarquera que lord Wellington , dans sa retraite de Burgos, a fait des journées Irois fois plus for-tes que ne les faisoit l'armée de Portugal , lors de sa retraite de Salamanque sur cette première ville. La verit» est que les anglais n'ont jamais couché dans la position qui leur étoit indiquée dans leur marche. Ils ont toujours é!é forcés dans leurs positions, et obligés d'aller coucher trois ou quatre lieues plus loin. Il résulte, de l'aveu même des anglais, qu'ils ont eu, pendant la durée du siège du fort de Burgos , 2500 hommes hors de combat ; ce qui fait monter la perte totale de l'armée anglaise, dans l'expélition qu'elle a faite sur Burgos , à 7000 hommes et 60e chevaux. Ci-joint le rapport particulier des officiers qui se sont particulièremenr distingués dans les diff'érens combats qui ont eu heu pendant la marche de l'armée jusqu'à îbn arrivée sur le Duero. soS Je demande, tout particulièrement à V. Exc., le grade de général de brigade pour M. le colonel Shée, et la croix de la Légion pour le capitaine du génie Huz, attaché à ma division, et pour M. le capitaine Dumas, mon aide-de.camp. Je prie V. Exc. etc. Signé comte SOUHAM» PROVINCES ILLYRIENNES. Laybach, le 7 décembre. On a célébré hier ici l'anniversaire du couronnement de S. M. I. et R. et en même temps celui d'un des plus éclatants faits d'armes du siècle. M. le Chanoine Joseph Penhak a retracé dignement les immortels souvenirs que rappeloit la solemnité du jour, une fête au Palais du Gouvernement et un L«1 à la Salle de spectacle ont terminé cette journée. Le double et mémorabie anniversaire a donné au peuple de ces Provinces une nouvelle occasion de manifester les sentiments dont il est pe'nétré pour son Auguste souverain. C'est au moment sur tout où de nouvelles victoires assurent la civilisation Européenne contre les invasions du nord qu'on devoit célébrer avec plus d'enthousiasme la bataille d'Austerlitz, ce coup de tonnerre qui le premier ébranla la puissance russe. A Trieste M. le Chanoine Rado a habilement profité de cette circonstance pour rappeler dans un discours plein de chaleur et d'éloquence, aux jeunes Ill/riens qui sont destinés h, défendre la patrie, combien il étoit glorieux pour eux d'aller partager les succès de ces invincibles légions , que le Génie de l'Empereur a portées dans les régions du Nord pour assurer le repos de l'Europe et consolider le système continental. ETAT des changemens au tarif des douanes pour les Provinces Illyriennes, ordonnés par le Décret du denominations des marchandises Acier non ouvré et fondu.. ...... id. venant de france et du royaume d'italie. ........... id. én feuilles ou en planches .... id. autrement ouvrée ,( comme ouvrages d'acier ).......... Ancres de fer............* . Avelanede, comme Vallonée. . . . . . Agneaux, ou Chevreaux . . Boeufs............ Brebis ............ Chèvres.......... • n . • y Cochons........... Bestiaux. . < Gémsses........... Montons...... . . . . . Taureaux . ......... Vaches. ........... Veaux............ Bois de construction navale ... . . . Chandelles de suif........... Charbon debois . ............ Chocolat ou cacao broyé et en pâte * ENTREE Prohibé Le quintal f. id. », 2 c. 7 » 50 Prohibé Au quintal „ 3 „ à la valeur.Droit de balance Exempts idem idem idem idem idem idç m idem idem / idem à la valeur.Droit de balance Au quintal „ 5 ,, à la valeur.Droit de balance Au quint. net„43é „ 80 à la valeur.Droit de balance à la valeur.Droit de balance à la valeur.Droit de balance SORTIE Au quintal à la valeur 1 La pièce id. id. id. id. id. id. id. id. id. f. P- c. 75 100 S© 3> J> I I 3 5 1 10 6 1 j> Prohibé. Au quintal ,> « j, à la valeur 2 p. 100 à la valeur 1 1/1 p» JOO OBSERVATIONS. pour l'Italie seulement. DENOMINATIONS DES MARCHANDISES Gire * » » *. { Eau de vie.. Blanche non ouvré..... Blanche ouvrée . ....... Jaune non ouvrée...... Jaune ouvrée....... . Simple devin........ id. de la Dalmatie, des Provinces de Raguse et Cattaro. ......... Double et rectifiée au dessus de 22 dégrè's jusques et y compris 32 . . Double et rectifiée de la Dalmatie, des Provinces de Raguse et Cattaro............ Ecorces de chêne et autres à faire Tan. Esprit de vin.............. Fayance.. ................ id. venant de france ou du royaume d'italie....... Feuilles de Myrthe et autres propres à la teinture et à la tannerie . . Fustet................... Graine detréfle.............. Herbes médicinales et propres à la la teinture , non dénomées .... ( Comestibles ou pour les fa- Huiles... f nbri<3ues> d'olives fines 1 Communes et seulement \ propres pour les fabriques. Laine en bourre et non filée..... Marrons et chataignes ......... Noix de galles . . *.......... En acier , airain , cuivre , laiton , hétain, fer, fer-Ouvrages.^ blanc, fonte, tôle, ou autres métaux polis ou non polis. ...... ^. Porcelaine venant de fiance ou du royaume d'italie......; . . . . Potasse. Vinaigre. Ris. . . . . ............... Sirops de toute espèce ... ...... Sumach autre que celui des colonies . Tan . .................. Vallonée à faire tan ......... De vin ....... . . . . id. de la Dalmatie , des province de Ragù se et Cattaro. . . id. venant de France ou du royaume ci' Italie. . ...... Ordinaires d'Autriche . . . Ordinaires de la Dalmatie, des provinces de Raguse et Cattaro....... . Vin f , » » »( Communs venant de France ou du royaume d'Italie . . ......... Fin venant de France ou du royaume d'Italie . . , ENTRÉE id. id. id. id. L'Eymer id. id. id. »3 3° » 33 „ 3) 2. „ 50 3) 3° 33 33 3° 33 3 33 50 25 SORTIE Au quintal ,, 5 „ id. „ 2 „ 50 Prohibé. Au quintal „ 5 „ L'Eymer id. à la valeur. Droit de balance L'Eymer „ 60 „ Prohibée à la valeur 5 p. 100 à la valeur.Droit de balance id. id. id. id. id. id. Au quintal ,, 3 „ id. „ 3 33 à la valeur.Droit de balance id. id. Au quintal „ 10 „ Prohibés. à la valeur 5 p. 100 Le quintal „ 2 ,, 50 à la valeur.Droit de balance Au quintal ,,100 ,, id. „ 10 „ à la valeur.Droit de balance id. id. 33 25 33 25 33 5* 33 25 k la valeur 1 p. 100 L'Eymer „ 2 „ 60 à la valeur.Droit de balance h la valeur 1 p. 100 id. id. Un quintal ,, 2 ,, à la valeur 5 p. 100 Au quintal 2 3» id. L'Eymer id. id. L'Eymer id. id. id. id. 5 33 id. „ 2 „ Au quintal ,, 10 ,. id. ,, 1 „ à la valeur.Droit de balance à la valeur.Droit de balance à la valeur-Droit de balance Au quintal ,, 3 ,, . à la valeur 2 p. 100 à la valeur 1 p. 100 id. i p. i00 3350 I 33 50 l8 „ 5O 33 ï }3 50 33 9° 33 »3 4 33 id L'Eymer id. L'Eymer id. 25 25 50 id. 33 50 OBSERVATIONS pour l'Italie seulement. pour l'Italie seulement. pour l'Italie seulement. pour la France et l'Italie seulement à toute autre destination prohibée. pour l'Italie seulement, idem Le présent état semblable à celui joint au rapport sur lequèl est intervenu le Décrêt de Sa Majesté. Signé le comte DE SUSSY. Pour copie conforme. Le Directeur général des douanes, s igné 'FERMER. Pour copie conforme Le Directeur des douanes en Ill/rie. Signé DlZiÈ. Vu par nous comte de l'Empire, Maître des Requêtes , Intendant général CHABROL. m