JEUDI 6 MAI 1S13. N.8 36. wJ télégraphe officiel. EXTERIEUR. DANEMARCK. CopenhTgue} le 23 mars. Le dernier numéro de la gazette officielle contient le paragraphe suivant: „ Comme l'on a annoncé dans les feuilles publiques étrangères que le Danemarck devait avoir demandé que son commerce et la navigation ne fussent point inquiétés par les bàtimens ennemis, on juge à propos de prévenir le commerce, qu'il n'a été fait aucune démarche de ce genre. Aussi y a-t-il encore d« tems en tems des affaires de peu d'importance dans nos parages. ,, AUTRICHE. Vienne, le 10 avril. Notre gouvernement a donné de nouvelles preuves du zele avec lequel il s'occupe des progrès de l'instruction publique dans la Hongrie. Comme les habitans de ce royaume se composent de quatrs ou cinq nations différentes , dont les langues, les religions et les moeurs diff-rent considérablement, il y aura désormais trois nouvelles écoles normales , destinées à former des instituteurs pour les Slavo - Serviens, les V«laques et les Grecs, parmi lesquels, jusqu'à présent, les moyens d'instruction n'étaient pas proportionnés au désir qu'il témoignent de s'en procurer. Ces écoles seront placées à Saint-André, k Pesth et h Arad. Le conseiller royal et surintendant des écoles grecques, M. Ne-storoviez, est chargé de l'éxecution de cette mesure. Dans ces ecoles , il y aura des chaires pour toutes les branches d'études que réclament l'état actuel de la civilisation européenne, et les b soios particuliers des églises grecques, vaiacques et illyriennes du rit non uni. L'université de Pesth fleurit aujourd'hui à l'égal des meilleures de l'Allemagne ;;dans la derniere année académique , on y a compté 76z étudians ; le plus gramj nombre se livrait à l'étude de la médecine. Lesouvrages en langues hongroise et slaye (les deux langues vraiment nationales en Hongrie ) se multiplient de plus en plus ; et parmi ceux qvii ont paru dernièrement, c» remarque un grand nombre d'ouvrages de géographie et d'histoire écrits avec beaucoup de franchise. Toutes les entraves qui autrefois s'opposa ent à l'activitc littéraire des écrivains hongrois et slaves ont disparu; et la Hongrie, livrée à son libre essor, n'en reconnaît qu'avec plus d'ardeur tout ce qu'elle doit aux lumieres d'Allemagne. SICILE. Messine, le 2 avril. Depuis les derniers éve'nemens dont Palerme a été le théâtre au moment du retour du roi, on n'a pas cessé, en Sicile, de se trouver menace d'une guerre intestine. Les anglais ont employé tous les moyens qui leurs sont familiers, l'appareil de la force, les actes de Rapido Sou<.*no etc. Coup d'oeil rapide sur l'état des Sciences et des lettres en Allemagne , par le D.r Tantini. Pise 1812 in 8.V0 Second Article, Je ne me doutois pas quand j'ai parlé des curieux Opuscoli scientifici de M.r Tantini que ce savant fût Illyrien , au moins d'origine. L'hommage que j'ai rendu à son érudition et à son gout étoit donc parfaitement débinteressé. Jd le réitéré avec plus de plaisir et non avec plus de franchise. M. T. indique les gens de lettres comme les savans, t'est à dire très rapidement. Son ouvrage est la revue d'un voyageur et non l'examen d'un critique. 11 s'éloit prescrit par son plan de dire fort peu de chose d'une inatiere qui donne beaucoup à dire et qui laisse beaucoup à penser, j'influence des auteurs allemands sur l'esprit et le gout du •ifccie; elle toit etrargere au sujet de sa brochure; elle ne l'est pas moins au titre de mon article, et cependant «\est la seule question dont je m'occupe aujourd'hui , La liberté que je me donne â cet égard «st un privilegi de feuilletons , mais il n'est pas rare qu'on en use dans le* gros livres. On sait ce que c'est que le beau en littérature. La défini-tien en est dan> tous les rhéteurs et le type dans tous les classiques; il paroit que ce qui a été trouvé beau jusqu'à nous» le paroitra éternellement, et la perfection du passé est dé--sesperante pour le présent, lì n'y a plus que deux carrières pour les ambitions littéraires, l'imitation et l'innovation. La premiere ne voit guère éclo.re que des ouvrages foibles . et la seconde que des ouvrages ridicules. c'est que l'imitation a le grand d faut do manquer d'originalité , et l'innovation le défaut non moins gr.tnd d'en avoir trop. En général, ce qui a eV dit et inventé par les classiques a été fort bien inventé et fort bien dit, et ce que les classiques n'ont pas dit dans une si longue succession de sic-cles ne devoit probablement jamais l'être. L'invention dej modernes elle-même n'est qu'iji\e espèce de plagiat, il est probable que sans Sénéque et Lucain, nous n'aurións pas eu Corneille, et Corneille pouvoit quelquefois mieux choisir. Racine a emprunté davantage encore, mais avec plu» de goût, d'Euripide et de Virgile. L'epigramme de Regnarf qui * dit de Boileau qu'en le retrouveroit tout entier dans violence , les séduction«, les caresses, les fausseï promesses. Ils ont mis de nouveau en avant le prince François , et ils ont résolu d'obtenir de gré ou de force la déportation de la reine. Li roi, effrayé par les menaces et par la crainte d'une combustion générale, sest joint aux anglais pour faire renoncer la reine à employer les moyens de r«- > sistance. Enfin, cette princesse a été embarquée sur la'pola ere le 'Sainte-An»oine , et déportée à Cagliari , avec son fils le pïince L opold. Le roi a ete consigné dans la maison de campagne de Colli. Le prince héréditaire est resté entie les mains des anglais, qui, dans l'espoir de tromper le peuple par une apparence de réconciliation et par de» espérances dent il n'est plus la dupe, ont donné un repas d'v ti-quette où le prince François et les autres personnes de if» famille royale qui ne sont pas privées de leur liberté , ônt dîné avec les ministres et les généraux anglais, jfamais il ne fut donné de fête plus triste. La gaieté «e pouvait venir s'asseoir entre les opprimés et les oppresseurs-. Les troupes anglaises sont constamment sou* tes armes. ROYAUME DE NAPLES. Staples y le 4 avril* ï'i est arrivé ici, vers la fin du mois dernier, des compagnies p ovinciales , qui ont reçu le 25 mars les drapeaux qui leur étaient destinés. Les conscrits de l'armée de reserve de tîiz sont presque tous partis pour leurs régi mens respectifs. Les marins de la levée ordonnée par S» M. ne montrent pas moins d'tmpressement. S. M» a rendu un décret qui a pour objet le maintien de l'ordre public et de la sûreté intérieure dans '«ette capitale. En conséquence, d'après le rapport du Ministre de la police et k couseii-d'éut entendu x il «st ordoftlH? qu'une force armée soît établi? dans cett* résidence sous le nom de garde intérieure de la ville. Le corps des volontaires, qui fut formé en 1808, servira de modele pour l'organisation de cette garde. Du re-1 ste, elle sera composée, outre les fonctionnaires de chaque classe et de tout grade, des propriétaires, des possesseurs , des n. gocians et des principaux artistes ' patriotes. INTÉRIEUR. EMPIRE FRANÇAIS. Paris , le 22 avril. S. M. FImperatrice-rcgente, entourée des princes grands-dignitaires, des ministres, des grands-officiers , des grands aigles, de ses dames d honneur , des officiers et des dames de service prés de S. M. a reçu, le iS avant la messe au palais de Saint-Cloud , le Corps diplomatique qui a été conduit à cette audience par un maitre et un adjudant des cérémonies et introduit par S. E. le grand" maitre. Hier , Sa Majesté a tenu conseil des ministres 4 Saint-Cloud. — Par d'-cret du 14 de ce mois , S. M. l'Empereur a créé duc M. le comte Decrés ministre de la manne. Situation des armées françaises dans le ìUri au 15 avril. Le vice-roi était dans sej positions, la gauche 4 l'Elbe à l'embouchure de la Saale, le centre à Bern-bourg , Ja droite aux montagnes du Hartz, la réserve à Magdtbourg. Le prince d'Eckmul était en position à Celle. Le général Vandamme occupait Brème. Le 12 , l'ennemi voulut tàier Bernbourg avec plusieurs bataillons , ils furent vivement rrç-is et repousses avec perte. Il poussa aussi une patrouille swr Nord- Horace est presque Vraie â îà lettre, et l'ironie spirituelle gar laquelle Boileau rëpondoit à ce reproche , Avant moi Juvénal avoit dit en latin Qu'on est assis à l'aise aux sermons de Co tin. »e porte absolument que sur une simple variété de forme Vu de couleur qui est la plus petite partie de l'invention poétique«. Toutefois leurs imitations portaient le sceau d'un jjénie inventeur, et c*est ce qui les a fait passer au fan* des modèles. Ce grand désagrément des littératures modernes a tourné jusqu'à un certain- point 3, 'l'avantage des. sciences; «ar un grand nombre de bons esprits, qui ont senti l'inconvénient d'une littérature usée où il est défendu d'être neuf * au 20 avril. Dantžick , Thorn, Modlin, Zamosk , étaient dans le même état. Sîettin, Custrin, Glogau* Spacdau, n'étaient fU* faiblement bloqués. Magkbourg était le point de réserve du vice-roi» Vitterr.b;.rg et Torgau étaient en bon état. La garnison de Vittemberg avait repoussé l'attaque de vive force. Le général Vandarame était en avant de Brèmele général Sébastiani entre Celle et le "Wezer; le vice-roi dans la même position , la gauche sur l'Eibe , b. l'embouchure de la Saale , et la droite au Harz , occupait* Bernebourg ; sa réserve à Magdebourg. Le prince de la. Moskowa était k Erfurt : le due de Ëaguse à Gotha, occupant Langen-Saltza; le duc d'Istriç à Eisenack ; le comte Bertrand à Oobourg. Le géueral Souham était à "Veymar. La ville avait été occupée par 300 hussards prussiens , qui furent éparpillés dans la journée du 19 par un escadron du 10* de hussards , et un escadron badois, sous Jes ordres du général Laboissiere. On leur a pris 60 hussards er 4 cfE. Racine y d'un air d* Sacchini, d'une tite de Canova. Pour je prestige des écoles à la mode, il résulte- d'un« sensation toute différente. On admire cela pareeque l'on ne conçoit pas qu'on l'ait trouvé, et je me trompe fort li ce n'est pas là le signe de l'oubli du beau et de la dé* cadence des art». Tout ce fracas de situations fausses et de p, ssions exagérées qu'on a mis à la place de ta natur« est précisément aux chefs d'oeuvres des modeles ce que tes tours dcsSaltinbanques sont aux beaux exercices de la gymnastique. Les bras tomhent quand on. voit un histrion ha-zardeux pirouetter sur une corde d'un pouce de diamètre, mais il n'y a personne qui n'aimât mieux danser passablement l'angloise ou le menuet. Ces petites considérations m'ont conduit à croire qué certains" des grands hommes-que nous faisons tous les jours, ne sont peut-être: arrivés A ce point que parcequ'ils n "avoient pas assez de. facultés pour être médiocres. J'ai déjà eu l'occasion de dire une autre fois que le path tique des anciens toit extrêmement simple et sortoit des moyens le plus naturels , et c'est par cela même qu'il étoit éminemment poétique. 11 n'aveit rien , pour me seiw-*ir d'une expression de M. de Chateaubriand, qui fit gri- macer la nature de l'homme. Le» regrets d'Hécuhe,. la pieuse douleur d'Alceste-et d'Antigone, et toutes ces belles in»-ventions de la muse- grecque qui font depuis tant de siecle» le charme des coeurs sensibles,, ont quelque chose de caW me et de reposé qui est parfaitement conforme aux loix du beau idéal. Chez eux, tous les effets sortent nécessairement de la situation; maintenant, toutes les situations paroissent arrangées pour les effets. Quand Racine , qui ressemble tant aux anciens'que je le confonds avec eux , fait dire à Aga-meninoci ces simples mots : Vous y serexy il lui fait dire une chose qu'Ara m em non a du dire mot pour mot d'ans une circonstance pare il lev qu'il- lui auroit été impossible de dire autrement, et cela est déchirant et sublime.. On m'objectera, et je sais très bien , qu'Oreste n'est pas un personnage conforme aux principes que j'établis ici; et comme ce malheureux Oreste est-l'éternel patron, sur lequel on modela tous nos mannequins tragique», et romanesques , depuis Goethe et Schiller , cette- objection ne' ser» pas mal spécieuse ; mais Oreste a pour" lui l'excuse de la fatalité qui lravoit dévoué au cïiine et aux. furies.,, l'autorité de la tradition et presque celle de l'histoire. Le goût ex»-qui» des anciens u'abusoit pas d'ailleurs- d'uni moyen »i faci» / ders parmi lesquels se trouve ua aide-de-cewp dunéné-ral Blucher. ° PROVINCES ILLYRIENNES. Laybach , le 5 mai. Le grand homme qui a fait don au genre humain dune découverte salutaire a des droits incontestables à sa reconnoissance. C'est à lui que doivent sen rapporter les premiers témoignages; mais on en doit certainement quelques-uns aux magistrats éclairés qui protègent cette découverte, aux savants qui la propagent et même au peuple q.,i j'accueille. Tant qu'une vérité nest pas ancienne , il ne lui suffit pas d'être utile. Elle . besoin pour se répandre du zele des gens instruits et de 1 adhésion des gcns de bien. Nous nous f licitons de pouvoir annoncer que le nombre des enfans vaccin« dans la Caraiole s eleve a 7,202 pour l'année 1812. Trieste, 3 mai. I! est entré dans ce port, depuis le 16 au 30 avril 1*13, 294 bâtîmes I lyriens, Iraliensî et Napolitains, venant de ditîerens ports de Barbarie et du golphe Adriatique, et chargés de différentes marchandises. I/ en est sorti 2cy. PROVINCES ILLYRIENNES. ADMINISTRATION DE L'ENREGISTREMENT ET DES DOMAINES. AVIS. On fait savoir qûe le 31 mai prochain à dix heures du matin dans une des Salles de l'hôtel de l'Intendance de la Cannthie à Villach , il sera procédé a la diligence d'un Employé de l'Administration de 1' Enregistrement et des Domaines, par M. l'Intendant de !a dite Province, en fiveur des plus offrants et derniers enchérisseurs , par lofs ou en masse , suivant qie l'intérêt du domaine et des offrants paroîtra l'exiger, à l'adjudication à l'enchère de 3 à 4 mille quintaux de Plomb déposé à Villach appartenant au Domaine Impérial , provenant des mines de Bleiberg et R aibl en Ca<-rinthie. Ce plomb qui aux termes du décret Impérial du io fevrier dernier est le seul qui puisse être importé dans le Royaume d'Italie y ent rera sans payer aucun droit. Ceux qui desireront prendre connoiSsance de la qualité du métal ainsi que du cahier des charges, clauses et conditions sous lesquelles la dite adjudication sera faite, pourront s'addresser au .Receveur des Domaines à Villach, dépositaire de l'un et de l'autre j ils pourront s'adresser aussi pour connoître le dit cahier des chargés tant au Secrétariat de la dite Intendance qu'à ia direction des Domaines à Laybach. Laybach Je 15 Mars 1S13. tt Directeur de l'Enregistrement et du Domaine impér. P.elloc Apprettié par nous Auditeur au Conseil d'Etat Intendant de la Carinthie. Villach le 17 Mars 1813. A. de Charnage. AVVISO. Si fa noto che h 31 del p.ossine maggio alle n della mattina in una delle Sale dell Intendenza della Carinzia alla presenza del Sig Intendente della Provine a e coi l'assi sì «nza di un impiegato del Registro e Demanio si procederà alla licitazione a favore del miglior offerente di 3 à 4 mille centina/* di P.ombo ap partenenti al D ma,110 Imperiale e proveniente dali« mine di Bleiberg e Raibl. La vendita si farà per porzioni o in massa secondo che lo richiederà l'interesse del demanio e de'licitantì. Si crede opportuno d'avvertire che in virtù del decreto imperiale rfelli 10 f bbrajo ultimo scorso il piombo della Carinzia e il solo che pos sa essere introdotto nel Regno d'Italia, e ciò senza pagamento di dazio alcuno. Coloro chi desiderassero ottenere de'ragguagli tanto sulla qualità del metallo che relativamente alle clausole e condizioni della licitazione potranno procurarseli presso il Ricevidore del Demanio a Villaco. Si potrà pure avere notizia delle condizioni della "licitazione alla secretarla dell'Intendenza della Carinzia ed alia direzione del demanio in Lubiana. Lubiana li 15 Marzo 1813. 11 Direttore del Registro e del Demanio Imperiale BellOC. Visto ed appr ovato da Ko i Uditore al Consiglio di Stali Intendente della Carinzia. Villaco li 17 Marzo 1813. Firmato A. DE CharnagI. LAYBACH, de l'Imprimerie du Gouvebnèment. le-de terreur et de pitié. Ses convulsions étoient une mala« die épouvantable, mais qui lui laissoit des momens lucides pendant lesquels il agissoit à peu de chose près comme les autres hommes, car on n'avoit pas encore inventé l'art prodigieux de mettre un héros, durant un volume entier , aux prises avec la rage ou lVpilepsue. Je disois 'donc de ce malheureux Oreirtc ( et cette épithete de commisération lui est bien due, non seulement pour ce ^u'il a eu à souffrir des f.Hes d'enfer, mais surtout pour le fastidieux emploi qui a été fait de sa cairicature par tant de romanciers et de dramaturges ) qu'il est le type de presque toutes ces figures gigantesques et puériles, exagéré«« et triviales tout à la fois qui ont des passions si foi-Jes , des vertus si fausses, un çntousiasme si factice et si boursouffllé, une sensibilité si maniérée et si niaise. Charles Moor que Schiller se fîattoit d'avoir inventé n'est qj' Oreste déguisé en voleur ; Werther est Oreste amoureux , et toute la part d'invention de i'un et l'autre auteur se borne, à quelques modifications qui ne sont pas bien heureuses , des intrigues de village et des conspirations de granu-cherain, de» maniés au lieu dépassions, une route de Frajir conie pour le palais d'Atrée, et le frac bleu d'unpeMbour geois à la place de la tunique d'un Pélopide. C'est donc l'influence de Goethe et de Schiller sar Jej écoles actuelles de littérature que je me propose d'examiner influence trés^funeste sous le rapport des arts et même sous celui de la moral«; influence méconnue en France où elle est cependant plus sensible que partout ailleurs, et qui ait paroit digne d'occuper la critique dans un pays qui confine en quelque sorte avec les deux nations , ou par ses i«* jtitutions ou par ses limites. Je dois peut être ajouter, ef je prouverai dans un autre article, que j'ai d'ailleurs poui Jp talent de ces deux grands hommes beaucoup plus de cen* sidération que celui-ci n'en paroit annoncer. Ce qui in