Staats - Ober - Realschule in Laibach für (las Schuljahr 1879. Veröffentlicht durch die Direction. Laibach 1879. Jiuclirfnickorei von lg. v. Kleinnmyr & Fed. Uumborj Vorlag dor Stants-Obor-Eoalschulo. Staats - Ober - Realschule in Laibach für (las Schuljahr 1879. Veröffentlicht durch die Direction. Laibach 1879. Buchdruckoroi von lg. v. Kloinmayr & Fod. Hamberg. Verlag tlor Staats-Obor-Koalschuli' Inli alt. 1. Etude sur le roman frangais du 17' e! du 18* niedc, von Prof. Emanuel Ritter u. Stctuber. II. Schulnachrichten, vom Direktor. Etude sur le roman frangais du 17e et du 18e siecle. Dans le seizieme siecle les romans de la chevalerie etaient en France la lecture favorite. On en faisait de nombreuses imitations et on les trans-formait en prose. Mais ;i la inort de Francois 1 Tamom' pour la chevalerie s’eteignit et les deux reines Catherine et Marie de Medici facilitörent l’intro-duction et favorisöreut le goüt de la litterature italienne. Les recits des exploits des rüdes Chevaliers, ainsi que les fabliaux en vers, furent alors remplaces par la nouvelle en prose, qu’on ecrivait ii l’imitation du Bocace. Les j »remi tsres productions de ce genre de litterature sont les Cent Nouvelles nouvelles qui, pour ce qui est de la forme, se rapprochent en effet du Decameron, mais dont le contenu est pris en grande partie aux anciens fabliaux frangais. Ces nouvelles furent racontees ;i Genappe, en Flandre, oii le Dauphin, plus tard Louis XI, en guerre avec son pöre, s’etait refugie aupres du duc de Bourgogne. Les seigneurs de son entourage et les do-mestiques du duc avaient egaye l’exil du dauphin par des recits iinites du Bocace et du Pogge. Ces nouvelles furent cependant bientöt surpassees par Vlleptameron ou histoire des amants fortunes de la tr'cs-illustrc et trcs-cxcellcnte princcssc Marguerite de Valois, Heine de Navarre. Coimne ces nouvelles veuaient de la soeur du roi, et que la cour avait dejä commence ii donner le ton dans la litterature, elles eurent un accueil extraordinairement favo-rable. Ces charmants recits sont uue imitation encore plus directe du Bocace que les preeedents, mais ils sont lies les uns aux autres d’une maniere plus agreable, que ceux du maltre italien. Dans le mois de septembre une societe de messieurs et de dames se trouvent aux eaux de Caulderats et lorsqu’ils veulent faire retour cliez eux, la pluie, qui a gate les chemins, les oblige de se refugier dans 1111 couvent de Notre-Dame, ii Serrance, sur les l’yrenees. On est oblige de s’y arreter jusqu’ä ce qu’on eut jetö un pont sur un torrent. Cela dure dix jours, pendant lesquels les messieurs et les dames, au nombre de dix, se racontent des nouvelles sur une belle prairie, au bord du fleuve Gave. Le livre finit cependant ii la 73e nouvelle. Les entretiens qui 011t lieu au sujet de clnique nouvelle et qui occupent presque la moitie de l’oeuvre, servent de lien entre elles. Quant la finesse de la peinture, ii Tčlčgance du style et Ji la maniöre spirituelle de dövelopper Faction, ces nouvelles sont bien loin d’atteindre leur modele, mais elles pos-sedent le grand charine d’une naiveto naturelle et d’une franche grossiereto, qui est d’autant plus interessante pour l’historien, qu’elles portent le veritable cachet du temps. Le licencieux qu’on y trouve y est partout couvert sous le voile de la decence, sans pruderie, qui est le trait original et le charme des nouvelles de Marguerite de Valois. On s’y anmse saus embarras. L’exemple, que donnait la galante priucesse, ne pouvait, manquer de trouver de nombreux imitateurs. La nouvelle devint, des ce moment, le genre favori des Frangais. Quant ii la maničre de raconter 011 resta d’abord lidele au modele de la reine de Navarre, et ce ne fut que plus tard qu’on sopara dans ees recits les sujets comiques des tragiques. Mais lorsque la nouvelle espagnole, qui avait aussi trouvö accös en France, commenga ä exercer son influence sur ce genre de litterature, on la traita avec plus d’art, surtout ii l’egard de l’intrigue, oü los Espagnols excellaient. C’est alors qu’on commenga ä distinguer differentes especes de nouvelles, dont les principales sont la nouvelle galante, la tragique, la comique etc., qui furent toutes cultivees jusqu’ti la moitie du 18° siede. La nouvelle avait exercde une influence tres - lieureuse sur le roman moderne, ou pour mieux dire, sur le vöritable roman. On peut la considerer coinme son precurseur immediat, d’abord parce qu’elle introduisit dans un conte imaginaire le vrai et le naturel, puis aussi parce qu’elle peignait les moeurs veritables du temps. C’est de ce point de vue, (|ue la nouvelle est de la plus haute importance pour l’histoire, en tant qu’elle offre une riche source pour une juste appreciation des deux derniers siecles du moyen-äge et du commencement de l’öpoque moderne. Le premier vöritable roman des temps modernes c’est le roman espagnol LazariUos de Tormes de Don Diego Ilurtado de Mendoza, qui resta inacheve. Cet dcrivain peint l’indolence de la hasse classe dti peuple espagnol, qui prefere vivre d’escroquerie, que de inener une vie laborieuse; le sot orgueil des gentilshommes roduits ä la mendieite, pour avoir vecu avec trop d’ostentation; enfin nombre de mesquineries et de miseres des petits bourgeois. Ces consequences naturelles de la paresse et de l’ostentation, qui ont leurs racines dans le caractere espagnol, avaient depuis longtemps öveillo l’attention generale et excite l’indignation, mais personne n’avait au trouver lern* cote poetique, ui peindre ces defauts sous 1111 jour comique, qui cachät pourtant 1111 grand serieux. C’est pourquoi, lorsque ce roman parut (1553), il trouva un accueil tres-favorable, il fut traduit en frangais et il devint le fondateur du genre picaresque, auquel travaillerent depuis ce moment, avec succos, les liommes les plus capables de la France et de l’Espagne. Outre l’excellente exposition, ce qui caracterise ce roman, c’est la profonde connaissance du coeur humain, l’observation fine et pergante, beaucoup de vivacite et une gaiete qui frise la caricature. Les Frangais s’emparerent tont de suite de ce genre de ronian, saus cependant l’ennoblir; ils le nationaliserent en peiguant le peuple et la bour-geoisie du cote comique et en les reprfeentant dans tous les details. Le Sage fut le seul romancier frangais, qui, ä lYgard de l’exposition et de la vraisemblance du contenu, sut člever le roman picaresque ä un haut degre, mais il resta sur le sol espagnol coinme les auteurs qu’il prenait pour modöle. Ne en 1668 ä Sarzeau dans le döpartement du Morbiban, Le Sage fit ses čtudes dans le College des 1’. P. Jösuites ä Vannes; en 1ÜU2 il se rendit ä Paris, oü il entra au barrpau, mais il renonga bientot. ii cet etat pour se vouer entierement aux lettres. Ce ne fut que plus tard et npres beaucoup d’efforts qu’il parvint ži se faire un 110m. Ses deux pieces drainatiques: Crispin rival de son maitre, et Turcaret, qui est une satire contre les financiers de son temps, eurent un grand succes, mais ce qui le rendit encore plus cölöbre, ce furent ses romans: Le dioble boitcux et Gil Blas de Santillana, deux chefs- d’oeuvre de verve satirique, tres - enjouee et vraiment poetiquo. Ce dernier vornan est trop goneralenient counu, pour que nous ayons besoin de donner ici unc analyse de son contenu. L’originalitc de cet ouvrage amüsant, dans lequel toutes les conditions de la vie sont peintes avec beaucoup de fidelite et de vivacite, a ete opiniätreinent combattue, ii cause de la ressemblenee du Gil Blas avec le roman espagnol: Marcos de Obrcgon. Une quantite d’histoires, que nous trouvons dans le roman de Le Sage, sont puisees ii des pieces dramatiques espagnoles et elles ont ä leur tour otfert le sujet, ä beaucoup de pieces de theätre. L’idee fondamentale du Diable boitcux est aussi prise de l’espagnol, ainsi que l’auteur en convient lui-meine. Une partie nous paratt cependant puisee de l’ouvrage cabalistique: Vinculum spirituum. LesAsiates croyaient, que Ton pouvait forcer les inauvais esprits ;i l’obeissance, et qu’on pouvait les enfermer dans des fioles, par la continence et des priores particulieres. Dans l’ouvrage Vinculum spirituum, qui nous est parvenu de l’Orient, on nous raconte que Salomon, par le moyen d’un livre savant, etait parvenu ;i decouvrir le secret comme quoi l’on pouvait enfermer dans un fiacon noir, qu’il jeta plus tard dans un puits profond dans les environs de Babylone, trois millions d’esprits de l’enfer avec soixante - douze de leurs rois, parmi lesquels Beletli etait le premier, Beliar le second et Asmodeus le troisieme. Heureusement pour ses prisonniers, les Babyloniens, qui esporaient de trouver un tresor dans ce puits, y descendirent et briserent le fiacon, par suite de quoi les deinons dölivres firent retour ä leur element ordinaire. Cette idee d’esprits enferines dans un fiacon est passee dans l’ouvrage espagnol: El Diablo Cojuclo de Louis Vele/ de Guevara, qui parut en 1641. Dans ce roman un etudiant, Don Cleofas, entre par liasard dans l’habitation d’un astrologue et delivre d’une liole un diable appele: El Diablo Cojuelo (boiteux), qui est peu jtres de la meine nature que l’Asmodee de Le Sage et qui, pour remereier l’6tudiant du service qu’il lui avait rendu, lui fait voir l’iuterieur des maisons de Madrid. Beaucoup de portraits de Le Sage sont empruntes l’ouvrage de Guevara, comme p. e. celui de Donna Fabula et de son muri Don Torribio, puis celui de l’alcliimiste, qui chercbe la pierre pbilosophale ainsi que celui de l’hypocrite, qui s’apprete a assister une assemblee de magiciens qui doit avoir lieu entre Saint Sebastien et Fuentarabia. Ainsi que dans le roman de Le Sage, le diable boiteux moutre ä. Cleofas l’intth'ieur d’une maison de fous, mais ensuite il le conduit liors de Madrid et il lui fait voir les couvents et les academies, qui se trouvent dans les environs de la vilic. B le porte ensuite ä travers l’air dans les villes des proviuces de l’Espagne et dans les maisons de Campagne des grands seigiieurs. Quelques tableaux du Diable boitcux sollt aussi empruntčs au roman: Dia ij Noche de Madrid, de J. Sandos. Beaumarchais a pris evidemment ä son tour le sujet de sa comedie: Eugenic de l’histoire du Compte de BelHor. Le Bachelier de Salamanca, autre roman de Le Sage, possede ii peu prös le meine genre bumoristique, qui caracterise Gil Blas et le Diable boitcux, quoiqu’il soit bien inferieur ä ces deux ouvrages. Don Cherubim, bachelier de Salamanque, se trouve peu ä peu dans toutes les ditierentes situations de la vie, ce qui otlre i\ l’auteur un vaste cliamp pour la satire qui, par eonsequent, est tout aussi multiple que les classes d’hommes avec lesquelles le heros vient en rapport dans differentes circonstances. La premiere partie, dans laquelle il est insti-11110111', est celle qui surprend et qui intoresse le plus. Le Sage y peint de la maniöre la plus admirable les caprices les plus opiniatres des enfants, la sotte indulgence tles parents, ainsi que les peines, 1’esclavage et les mauvais traitements, qui sont le partage d’une classe d’hommes, auxquels dans tous les pays on ne refuse que trop souvent la reconnaissance qui leur est due. Si nou,s devons tout — dit Petrarque — ceux qui nous ont donne le corps, que ne devons nous pas ceux qui ont formč et 61eve notre esprit, car combien plus de merite ont pour nous ceux qui ont soigne les facultes dc notre äme, que ceux qui ont soignč notre corps! Le Sage est aussi l’auteur du EstcvanUlc Gonzales ou le 88 est passče en France pour y cliercher fortune. Le Doyen, qui estl’alne des trois freres, est d’abord contraire ä se voyage, ensuite il consent ä accom-pagner ses fröres et sa soeur pour les aider de sa sagesse et de ses conseils. Ce roman qui contient de nombreuses aventures, peint les embarras et les afflictions qui sont le partage de cette famille dans un pays ötranger, causes surtout par la beaute extraordinaire de la soeur, par l’ambition du second fröre et par la faiblesse de caractere du fröre cadet. Le Doyen, homme de religion et d’une vertu sövere, n’est occupe que du bien prösent et futur de ses parents. II leur tient des exhortations si frequentes et si ennuyeuses que, comme remarque Desfontaine, il devient aussi insupportable au lecteur qu’fi ses fröres et ä sa soeur. Le roman de Prevot qui porte le titre de Cleveland contient les aventures romanesques d’un fils naturel d’Olivier Cromwell. Eleve dans sa jeu-nesse par sa mere dans une profonde solitude et nögligö et meine persöcute par son pere, il čprouve pour ce dernier depuis son enfance, une aversion insurmontable. II se sauve enfin en France. Pr6v6t peint admirablement le manque de confiance en lui-meme ainsi que l’origine et les progres de la premiere passion du jeune homme qui suit l’objet de son amour en AnnSriquc oü la jeune fille avait accompagne son pöre. Cleveland aprös s’ßtre uni f\ eile devient le chef et le bienfaiteur d’un peuple sauvage. Dans cette Situation il trouve l’occasion de montrer toute l’energie de son esprit, mais la jalousie ii laquelle sa femme s’abandonne depuis quelque temps amene enfin de nou-velles aventures et de terribles catastrophes. Une des plus interessantes par-ties de ce roman c’est l’episode rčlatif ö, une Ile presque inaccessible dans le voisinage de Sainte-IIelene, oü s’ötait litablie une colonie de protestanta qui s’ütaient enfuis de la llochette et qui, aprös les affreuses souffrances, endurees pendant le siege de leur patrie, en desirant. ardemment de trouver un refuge sftr et tranquille, s’tftaient fix6s loin du reste du monde dans ce coin ecarte de la terre. Cette colonie est visitee par un second fils naturel de Cromwell qui rencontre son fröre et il lui raconte ce qu’il avait vu. Les evönements de ce roman sont incroyables et fantastiques, mais les caracteres passionnes et originaux sont bien dessines. Ce qui distingue Prevöt des autres romanciers de son temps ce sont la föconde richesse de sa fantaisie, la vive et puissante pönetration qui recherche les replis les plus cacbes et les plus profonds de la plus ardente passion, ainsi quo rexccllence de ses peintures. II tit faire au roman de son temps im progres remarquable: il 1’enricliit par rinvention d’čv6nements extraordi-naires, en verite, mais tout ä fait possibles, ainsi que par la peintuie des passions tout aussi extraordinaires, mais vraies, qui nous offrent le bon et le mauvais cote du caractere humain. On peut dire de Prdvöt qu’il vit dans ces cr&itions, qu’il se rejouit de leur joie, qu’il souft're de leurs douleurs. Toutes les situations, tous les caracteres qu’il peint vivent en lui, dans son arne et dans sa vie. „Cette impression de ressemblance — dit Villemain dans son cours de litterature frangaise — ne peut-elle pas se soupgonner aussi dans le chef-d’oeuvre de l’abbe Prčvot, son roman imperissable, oii un interet si touchant n alt de personnages en apparence si degrades, oii le vice meme se rachete et se transforme par la passion? Je ne voudrais pas faire tort ä la jeunesse de l’abbe Prevöt, ni supposer qu’il s’est jamais autant tkartu de 1’lionneur que le Chevalier üesgrieux; mais j’ai peine ä croire que plus d’une Situation si bien peinte dans ce roman n’ait pas ete sentie et čprouvee par 1’auteur. Cette passion inesistible du cbevalier, cette fuite de la maison paternelle, ces retours vers 1’čtude et la tlieologie, cette evasion de Saint-Lazare, tout cela me paratt bien ressembler aux noviciats interrompus de Prčvot et ä sa brusque sortie de Saint-Germain-des-Prös. L’homme vertueux du romau de Manon Lescaut, l’abbe Tbiberge, ce pretre indulgent, ce modele des amis genereux etait un personnage reel connu sous ce 110111, et dont Prevöt avait peut-etre eprouvč pour son compte la sagesse et l’amitiö.“ „Sans admettre en tout cette conjecture, on ne peut douter que, dans ce roman, bien des clioses ne soient peintes d’original, et que Prevöt, dans sa vie d’aventures, n’ait rencontrö cette femme si legöre, cette coquette charmante et pernicieuse que l’exces du malbeur rend si noble, si tendre. Par lä, ce livre, dont le döbut annongait une aventure vulgaire, dont les details offrent souvent des moeurs degradees, s’61eve en finissant au sublime de la passion. Cette jeune courtisane devint une epouse admirable et sa mort dans les solitudes d’Amörique n’est pas une scene moins Eloquente que la mort d’Atala.“ Au commencement du 18° siede le roman de famille perdaitpeu ä peu le terrain, la famille elle-möine n’existant döjä plus ä cette 6poque que seulement dans la petite bourgeoisie. C’est que les hautes classes de la soci6te etaient alors en France dans la plus complute dissolution. Nous ne sommes dčjži plus loin de la grande rövolution frangaise; la dissolution de la famille devait avoir pour consequence immediate et inevitable la destruction de toutes les institutions sociales du pays. Si l’on jette un coup d’oeil sur les conditions intčrieures de la France ii la mort de Louis XIV on est etl'rayö de voir le raffinement artiiiciel et factice qui tuait tout veritable sentiment. Les passions les plus basses deguisöes sous un exterieur brillant et des formes Elegantes exergaient l’autoritö incontestee et inebranlable qu’elles s’ötaient arrogöe. C’etait la convenance qui determinait tout en conciliant ensemble les plus grands contrastes et les plus fortes antitheses relatives la morale. Les personnes qui se trouvaient h la tete du pays sanctionnaient formellement 1’immoialite et ceux qui čtaient pres du tiöne les imitaient tidelement. Les dehors cbarmants etaient le seul but de la vie sociale. On traitait la maltresse recueillie sur la rue, avec plus de management et plus d’egard, on l’entourait de plus de luxe que la femme qui avait la meme naissiuiee et le meine rang social du inari. Les dames distingin5es se con-duisaient tout-a-fait de la meme maniere. Cet etat de ehoses etait tolert$ et meme favorise. Ajoutons a cela une philosophie facile i\ acquerir et fort ä la mode qui consistait dans des raisonnements legers et, frivoles assaisonnes de fines saillies et d’une grande dose d’incredulitö. Ce qui separe ordinaire-ment les liommes en les eloignant les uns des autres, avait atteint un trös-haut clegre de perfectioH, c’est-ii-dire 1’ögoi‘sme le plus raftiue, la sensualite la plus calculče et une teile assuranee dans les formes de la vie sociale que la varite, quand on 1’entendait, paraissait etre un mensonge. On se forme une juste idöe de 1’etat de la socidtö frangaise de ce temps en lisant les nombreux mčmoires du temps parmi lesquels ceux du Comte de Tilly et ceux de Casanova sont les plus importants pour la peinture des moeurs du 18° siecle. Le roman, ce miroir de la societö, otfrait une image si fidele de son temps qu’il pourrait nous servir de document historique. Or, comme il ne pouvait se tenir sur la base morale de la sociöte parce qu’il n’y en avait pas, il se basa sur l’immoralite et il devint un aiguillon de la sensualite. A ces romans immoraux appartiennent en premiöre ligne les oeuvres du mal fatne Donation Alpbonse Francois Marquis de Sade, 116 le 2 juiu Paris oü apres avoir frequente le College de Louis XIV, il entra dans un rögiment de Chevaulegers et fit en qualitt^ de capitaine la guerre de Sept-ans. Apres la conclusion de la paix de Sade prit son congö et se maria avec Mlle. de M011-treuil. Son pere ätant mort, il lui succčda dans l’emploi de lieutenant-genöral de la Bresse; mais il passa presque tout son temps ä Paris oü, associe aux libertins les plus dissolus, il se fit remarquer par sa mauvaise conduite ainsi que par les mauvais traitements qu’il faisait subir aux compagnes de ses döbauches. En 1772 condamnö ä mort pour ce motif, de Sade se sauva en Italie, mais ä son retour il fut arrete par une lettre de cachet et apres une tentative de fuite, qui ne reussit pas, on le jeta a la Bastille. C’est lä, qu’il öcrivit les plus detestables de ses romans. En 1790 un decret de l’Assemblöe Constituante rendit la libertč ii notre romancier et aux autres prisonniers d’Etat, mais de Sade ne se soucia aucunement de la rtSpublique et reprit sa vie antörieure. Un mauvais livre lui valut une nouvelle arresta-tion: ou l’enferma d’abord ä Sainte - Pelagie et plus tard a Charenton oü il mourut eii 1814. Claude Prospere Jolyot de Crdbillon, fils du c<516bre poete dramatique Prospere Crübillon, surnommo le terrible, öcrivit- des romans du meine genre, dont une partie sont de veritables romans de famille, imites des Anglais. Les autres sont des productions lögöres et frivoles dans lesquels Crebillon peint l’etat corrompu de la sociötö. Ses caracteres sont bien dessinös, ses situations le seraient aussi si ce romancier ne s’etait pas appliquö ii peindre la sen-sualitö de la maniere la plus lascive. Ses romans sont trös-importants pour la connaissance de son temps parce qu’ils nous donnent une idče de la fadeur de la sociötö qui trouvait plaisir aux choses vaines et frivoles, de l’aviditö des jouissances recherchöes ainsi que du scepticisme 616gant qui se jouait de tout. Ces moeurs etaient communes ii toute la baute soci6t(5 depuis le temps de la Rögence et les autres classes du peuple franyais en ötaient plus ou moins infeetöes. Entre les romans de Crčbillon pour la peinture de ces moeurs se distinguent surtout: La Nuit et le Moment, et, Le Hasard du coin du feu, deux portraits en miniature fins, nettement executös, mais <[ui furent bientot oubliös. L'Ecumoire, Ah quel contc! et Le tiopha 011t 6te im-primes et traduits plusieurs fois. L'Ecumoire on Tanzdi d Neadarne que l’auteur prötend avoir traduit de la langue japonaise, fut ecrit dans lc but de rendre risibles les querelles des Jansšnistes et des Mollinistes. Ce roman contient en inöme temps une histoire allögorique de la Bulle Unigenitus. II raconte aussi l’histoire d’un prince et d’une princesse de l’Orient dont l’amour et le bonheur mutuels sont entraves par des obstacles continuels amenes par des fčes malignes, contre lesquelles on se sert, de l’ustensile qui donne le titre au roman. Dans l’episode d’une taupe qui etait jadis une fee appelee Mourtacbe et qui raconte son histoire, l’auteur s’est moque du style affectö et des interminables reflexions de Marivaux. Ah qucl conte! contient l’liistoire d’un souverain oriental qui est aimče d’une f6e patronesse de son royaume. Poui se venger de son indifference eile lui inspire une passion pour une oie qu’il avait rencontree dans 1111 bal magnifique dans la societe de tous les oiseaux dont. Crčbillon donne une description dötaillöe. La plupart des oiseaux etaient originairement des princes, des princesses et des fčes et la plus grand partie du roman raconte les aventures qui ont amenö une teile motamorpliose. Dans le Soplia un esprit de Brama, qui y est banni, donne son nom au roman. II raconte qu’il a bien la pennission de changer son domicile, mais que celui-ci doit etre toujours de la meine espoce et qu’ä la fin il sera delivre par une singuliere combinaison de circonstances. Son meilleur livre qui est en meine temps le moins dangereux par rapport ii la morale: Les egarements du coeur et de Vesprit n’a pas <5te acheve. II excelle par une profonde analyse du coeur humain et par une excellente peinture des caracteres. Dans ce roman CrtSbillon peint les aventures de plusieurs personnages de la cour. II raconte la premiere entree dans la vie que fait un jeune homme, son inexperience, la maniere dont il est sikluit, ainsi que ses remords de conscience, de maniere qu’il y a il esperer qu’il fera retour au chemin de la vertu. L’auteur s’est borne decrire les effets de l’amour sans peindre l’influence des autres passions. Crubillon trouva. un imitateur dans Bastide qui redigea plus tard la „Bibliotheque des Jiomans“ ainsi que dans Dorat dans ses romans: „Malheurs d'Inconstance“ et „Les sacrifices de VainourLa maniere de Cröbillon ne se röjouit iiue d’une vogue passagöre. Elle tomba en discrödit lorsque les moeurs de la cour cesserent de faire parade d’une licence effrenee. Avec plus de rudesse et de cynisme, mais aussi avec plus de genie et d’honnetete derivit ses romans du meme genre, un autre auteur, qui nous offre le contraste le plus vif avec les romanciers žl^gants et frivoles qui l’ont precMö et qu’il appella lui-meme: „les vers luisants de la literature.“ C’^tait Nicolas Edme Rötif de la Bretonno (1734—1806). Ne ä Sacy prös d’Auxerre, apres avoir fait l’apprentissago d’imprimeur, il parvint en 1767 avoir sa propre imprimerie et il cominen^a en meine temps öcrire des romans si nombreux qui en 1791 il pouvait se vanter d’avoir ecrit depuis I7G7 plus de 1032 romans en 20Ü volumes. La grande admiration qu’il avait pour J. J. Rousseau lui tit donner le sobriquet de „Rousseau du ruisseau“. Ce romancier peint tout avec les couleurs les plus vives et presque toujours des choses qu’il avait eprouvčes lui-meme, dans le but — dit-il — d'etre utile ii l’humanite par la peinture du vice. Ayant perdu par des spöculations mal-lieureuses toute sa fortune, il reprit son metier d’imprimeur et parvint vers la fin de sa vio <\ obtenir un petit emploi public. Retif de la Bretonne mourut pauvre et oubliö ä Paris ä l’äge de soixante-douze ans. Lo style de ces ro-mans est incorrect, la langue eil est vulgaire et souvent cynique. Quant la peinture des nioeurs, Les Contemporames et Le Paysan perverti sont scs meilleurs ronians: La vie de mon pere est un ouvrage irrčprochable pour la morale et riebe en peintures excellentes des nioeurs de la Campagne. Les descriptions en sont tendres et aimables, les dčtails na'ifs et ebarmants, les sentiments vrais et forts, les caracteres parfaitement röussis. C’est le seul roman de cet auteur qui merite d’etre soustrait ü. l’oubli. 11 eontient le beau reve d’une äme egaree qui revit dans le temps beureux de la premiere innocence, qui se plouge dans les plus doux souvenirs, en oubliant l’horrible realite, amenee par sa faute. Cependant meine dans les temps les plus corrompus et lorsqu’on l’op-prime avec plus de violence, la morale ne devient pas muette; eile fait tou-jours valoir son bon droit. C’est justement dans sa plus mauvaise periode que ses döfenseurs font entendre leur voix. Le plus resolu d’entre eux fut J. J. Rousseau dont la grave sörieusetö et l’öloquence hat'die fit beaucoup d’effet. Mais les auteurs qui voulaient produire 1111 eft'et plus durable devaient paraltre frivoles eux-memes comme l’etait la soeiöte d’alors; ils de-vaient par une raillerie fine et spirituelle, par une člčgante satire et meine par une mordaute malice labourer le sol aplati et dur et le preparer ä rece-voir une autre semence. Voilä ce que fit surtout Voltaire dans ses romans philosopbiques, qui čtant destiucs £1 la classe plus intelligente du peuple franas avec les sentiments et les passions que hi romancier leur attribue dans d’autres endroits; elles repugnent meine ii la maniere ordinaire de sentir. lei appartient entre autre le niariage de Julie avec Mr. de Volmar, tandis qu’elle est amoureuse de St, Prioux, le si'jour de celui-ci cliez ln feinme qu’il aime et chez l’homme auquel eile s’est unie, ainsi que la confiance qne Mr. de Volnmr met en St. Prieux bien qu’il connaisse la relation qui existait, enterieurement entre eux. Apres avoir mis ces personnes (lans une teile Situation, Rousseau se tire de toutes les difficultes par la mort de l’Mroi'ne qui, selon l’expression d’un ecrivain frangais, meurt uniquement pour tirer Mr. Rousseau d’embamts. Malgi'6 ces defauts, ä l’apparition de ce roman 011 se l’arracha, on l’imita beaucoup et il donna ä son auteur une cölebrite europeenne. On peut l’envisager comme l’instrument dont le pbilosophe se servit pour exprimer ses id6es de röforme, il a surtout le haut merite de parier pour la premiere fois la langue de la passion veritable et profonde, ainsi que celui de ramener ä la nature le roman rčlegue jusque lä dans la region conventionnelle du salon. La NouveUe Heloise appartient aux livres qui ont exerce une influence extraordinaire sur la generation con-temporaine. Par un appel eloquent au sentiment, Rousseau communiqua le sentiment revolutiounaire du 18° siöcle meine aux personnes auxquelles la maniere railleuse et cynique de Voltaire et des autres öcrivains de ce temps n’avait inspire aucune Sympathie pour la revolution. On salua avec enthou-siasme l’energique protestation du pbilosophe de Geueve contre le raffinement outre et le manque de naturel däns la societö d’alors, parce que cette protestation s’appuyait sur le sentiment le plus profond. Par l'Helo'ise! et par VEmil Rousseau gagna les femmes pour le mouvement politique et social, en plaidant vivement pour leurs droits. „So berührte Rousseau’s Heloise — dit Lotheissen dans sa Literatur und Gesellschaft — ungeahnte Seiten des menschlichen Gemüthes, predigte die Rechte des Herzens gegenüber der Tyrannei der Con-venienz, predigte die Tugend der Leidenschaften, die Selbständigkeit und Freiheit des weiblichen Geschlechts.“ De cette maniere, ä l’aide d’un roman fort attrayant on apprit ä connaltre jusqu’ii quel point la sociötö s’ötait eloignde de la nature et 011 partagea avec l’eloquent orateur le vif dösir que l’etat social s’ameliorät et s’ennobltt. La Nouvelle Heimse est d’ailleurs le premier roman moderne: il contient l’analyse minutieuse du sentiment d’amour, qu’il expose dans toutes ses joies et dans toutes ses douleurs, avec la complaisance la plus voluptueuse; la peinture detaillee de toutes les circonstances les plus delicates, la langue passionnöe de l’egoisme satisfait, qui s’efforce de parattre dans le jour le plus favorable malgrö tous les ögarements et tous les vices. Trois ans plus tard parurent le Contrat social et VEmile. Le premier est la bible de la democratie, le systeme du radicalisme que le Couvent et surtout Robespierre et Saint-Just 011 fait de vains eft'orts de vnettre en pratique. L'Emile ne porte que le nom de roman, et il 11’est autre chose que la forme sous laquelle Rousseau expose son syst&me d’education et ses idees sur la religion et sur la societö. L’idee fondamentale du livre est contenue dans les paroles par lestpielles il commence: „Tout est bien sortant des mains de l’auteur des choses; tout degenöre entre les mains de l’homme. 11 force une terre ä nourrir les productions d’une autre, 1111 arbre i\ porter les fruits d’un autre; il mele et confond les climats, les Elements, les saisons; il mutile son chien, son cheval, son esclave; il bouleverse tout, il döfigure tout; il ahne la difformitö, les monstres; il ne veut rien tel que l’a fait la nature, pas meine l’homme: il le faut dresser pour lui, comme un chcval de manege; il le faut contourner ä sa mode, comme 1111 arbre de son jardin: Sans cela tout crolt plus mal encore, et notre espoce ne veut pas etre fnc;onii6e demi. Dans l’etat oü sont dšsormais les choses, un liomine abandonne de sa naissance ii Uli - meine, parmi les autres serait le plus dčfigurč de tous. Les pr&jugös, 1’autoritč, la nčcessitč, l’exemple, toutes les in-stitutions sociales dans lesquelles nous nous trouvons submerges, etoufferaient en lili la nature, et ne mettraient rien a la place. Elle y serait corame un arbris-seau que le basard fait n at tr o au milieu d’un cbernin, et que les passants font bientot perir, en le heurtant de toutes parts et en le pliant dans tous les sens.“ Pour etre heureux, d’aprös Rousseau, l’homme, gäte par la civilisation, doit faire retour ä l’ötat de nature. Ce principe contient evidemment la nögation de la societč; il annonce la guerre l’Etat et t\ l’Eglise. L'Emile fut brüle ii Paris par les mains du bourreau et son auteur s’enfuit ü. Göneve oü VEmile fut brüle aussi par les reformes, et le philosophe se refugia alors dans un petit village du Canton de Neufchatel. C’est la qu’il ecrivit sa Lettre ä Monseigneur de Beauviont et les Lettres ecrites de la montagne, dirigees contre le conseil de Geneve, dans lesquelles il döfend les maxhnes de son Emile. Cliassü aussi de cette retraite, Rousseau passa quelque temps en Angleterre chez l’čcrivain Hume, puis il revint en France pour se fixer en 1778 ä Er-menonville cbez Mr. de Girardin oü il mourut ;i Tage de 66 ans. Sa maniere d’envisager la vie trouva de nombreux imitateurs qui, n’ayant cependant pas atteint le modele, furent bientot oublies. Ce ne fut que Bernardin de Saint-Pierre (1737—1817) son successeur plutöt que son imitateur, qui excella dans le meine genre. Son roman Vani et Virginie est un veritable cbef-d’oeuvre par les caracteres parfaitement dessines, par le sentiment profond et noble, par l’exposition tendre cordiale et naive. Nu au Havre de Gräce, Saint-Pierre fit de 1749 ü. 1751 un voyage aux Indes Orientales, il entra au College des P. P. Jösuites ii Caen, il frdquenta plus tard le collčgc de Rouen et servit ensuite comme ingenieur et conime soldat, d’abord dans l’armöe frangaise en Allemagne, puis en Finlande an service de la Russie. Ayant quittö le Service, Bernardin fit des voyages, souvent ä l’aventure, il visita Malte, la Russie, la Ilollande, la Pologne, la Prusse et l’Autricbe. C’ötait une tete chimörique qui revait il une Ile dont il voulait faire le söjour de tous les hommes doutfs de nobles sentiments. Depuis 1771 s’ötant dedie seulement aux lettres, il obtint, apres la mort de Buffon (1778), la direction du Jardin des plantes et plus tard la ebaire de morale üi l’Ecole Normale. En 1796 il devint membre de l’Institut et il mourut sur sa terre d’Aragny prös de Paris en 1814. Dans les Etudes de la Nature, qui parurent en 1784, le romancier voulut, a l’exemple de Rousseau, ramener les liommes i\ la nature et par lä au bon-heur. II r^včla un grand talent descriptif, un don de pittoresque tout-iVfait nouveau, qui lui concilia un nombre immense d’admirateurs et de protecteurs. C’est dans le buitieme volume de ses Etudes qu’il publia la charmante pastorale dont nous parlons et qui fonda sa cölöbritö. Ce petit roman, oü le poete döcrit, d’une maniere si brillante et si chaude, la puissante nature des tropiques, l’a place au premier rang des poetes franQais. „Personne ne se souviendra — dit Scbeer dans son Allgemeine Geschichte der Literatur — sans une vive joie de l’impression rafrafchissante et ravissante, que la lecture de ce roman a fait sur lui. „Paul und Virginie — dit le grand naturaliste Ilumbold dans le Kosmos II, 67 — ein Werk, wie es kaum eine andere Literatur aufzuweisen hat, ist das einfache Naturbild einer Insel mitten im Meere, wo bald von der Milde des Himmels beschirmt, bald von dem mächtigen Kampf der Elemente bedroht, zwei anmutlisvolle Gestalten in der wilden Ptlanzenfülle des Waldes sich malerisch wie von einem blüthen-reichen Teppich abheben. Hier .... sind der Anblick des Meeres, die Grup-pirung der Wolken, das Rauschen der Lüfte in den Bambusgebiischen, das Wogen der hohen Palmengipfel mit unnachahmlicher Wahrheit geschildert. Bernardin de Saint-Pierre’s Meisterwerk Paul und Virginie hat mich in die Zone begleitet, der es seine Entstehung verdankt. Viele Jahre lang ist es von mir gelesen worden: dort nun in dem stillen Glanze des südlichen Himmels, oder wenn in der Regenzeit am Ufer des Orinoko der Blitz krachend den Wald erleuchtete, wurden mein Begleiter und Freund Bonpland und ich von der bewunderungswürdigen Wahrheit durchdrungen, mit der in jener kleinen Schrift die mächtige Tropennatur in ihrer Eigenthümlichkeit dargestellt ist.“ Nous ne pouvons resister ä l’envie qu’il nous prend de repro-duire ici le tableau d’une foret agitee par le vent, une des plus belles pro-ductions de la muse de Saint-Pierre: „Combien de fois, loin des villes, dans le fond d’un vallon solitaire couronn6 d’une foret, assis sur le bord d’une prairie agitče des vents, je me suis plu ä voir les mölitos dorčs, les tretles empourpres, et les verts graminčs, former des ondulations semblables ii des fiots, et präsenter ä mes yeux une naer agitee de fleurs et de verdure! Cependant les vents balangaient sur ma tete les cimes majestueuses des arbres. Le retroussis de leur feuillage faisait paraitre chaque espece de deux verts differents. Chacun a son mouvement. Le chene au tronc raide ne courbe que ses branches, l’ölastique sapin balance sa haute pyramide, le peuplier robuste agite son feuillage mobile, et le bouleau laisse flotter le sien dans les airs comme une longue chevelure. Ils semblent animös de passions. L’un s’incline profondement aupres de son voisin, comme devant un superieur; l’autre semble vouloir l’embrasser comme un ami; un autre s’agite en tous sens, comme aupres d’un ennemi. Le respect, l’amitiö, la colöre semblent passer tour ä tour de l’un a l’autre comme dans le coeur des hommes, et ces passions versatiles ne sont au fond que les yeux des vents. Quelquefois un vieux chene Br1 H C £ * a* S 2T O M F» P *3 B-’ p* p n c: *-* H®fc« >i ro ggp? Sfsjg M M. H O p P P* o 55- Bo S I g" s H ffi. a. c TO ., E. g B*« tr 2. a** s O O o" nllt Wp^ W • ' SfS b!? 3. Lehrbücher, welche im Schuljahre 1878/79 beim Unterrichte benützt wurden. 4. Deutsche Themen. V. Klasse. 1.) Ein Erntotag (Schilderung). — 2.) Eine Sage aus der Heimat. — 3.) Die Ursachen dor schnellon Begründung und dos Vorfalles dos persischen Reiches. — 4.) Dev Ackerbau als Grundlago menschlicher Gesittung und Kultur. (Nach Schillor „Das Elous. Pest“.) —5.) Inhalt eines vom Schüler golosenon Holdongodichtes. — 6.) Perikies. (Charakterbild.) — 7.) Erzählung einer Fabol über oino gegebono Moral. — 8.) Heimat und Vaterhaus. — 9.) Das Blut und soine Bodoutung für den Organismus. — 10.) Strassenbild am Morgen. — 11.) Dio Wolt-stellung dor italischen Halbinsel. — 12.) „Wir gehorchon dem Gosotze, unterworfen uns demselben , damit wir froio Männor soion.“ (Cicoro pr. Cluont. 53, 146); Chrie. — 13.) Der oitlo reiclio Emporkömmling (nach Thoophrast). — 14.) Dor Zaubor dor Musik. — 15.) Inhalt von Sophokles’ Antigone. — 16.) Der tragische Conflict und dio tragische Schuld in Sophoklos’ Antigone. — VI. Klasse. 1.) Dio Deutschen vor der Völkerwanderung. — 2.) Worauf berulito das grosso Ansohon der Goistlichkoit im Mittolaltor? — 3.) Schilderung eines höfischen Festes. — 4) Rüdigors Untorgang im Kampfe der Flüchten. — 5) Dio Goographio dos Nibelungenliedes. — 6.) „Dor fürchtet gar zu viol, der, was man ihm vorbiotot, auch alles lassen will (Nib. 2330).“ — 7.) Dor goistigo Gewinn aus den Krouzzügon. — 8.) „Die Zungo selber hat kein Bein und zerbricht doch Bein und Stein“ (Froidank von dor Zungo). Eino Erzählung. — 9.) Bau und Loben dor niedrigsten Pflanzon. — 10.) Deutschos Biirgortum und Städtelobon am Anfango dor Neuzoit. (Nach Hans Sachs „Ein Lobspruch dor Stadt Nürnberg“.) — 11.) Bodon- und Bewässerungsverhältnisso Frankreichs. — 12.) Allmähliche Entfaltung dor habsburgisclion Hausmacht und deren Bedeutung für dio ouropüische Politik. — 13.) Wort und Bedeutung der literarischen Kritik des XVII. Jahrhunderts. — 14.) Das Loben in Alt-England (nach Shakospoare’s „Heinrich IV.“) — 15.) Dor Messias (4. Gosang). — 16.) Das Ritterlich-romantische in Wiolands „Oberon“. — VII. Klasse. 1.) Aristipp an Kloonidas. — 2) Gedankongang dos 17. Literaturbriefes. — 3.) Exposition von „Minna von Barnholm“. — 4.) Die dramatischen Kunstgesetzo in „Emilia Galotti“. — 5.) Dasich erstirbt, damit das Ganz o sei . . . In allen Pflichten sei uns erste Pflicht, Vor-gossonheit sein selber (Hordor). — 6.) Dio Vertreter dor Nouzoit in „Götz von Borlichingon.“ — 7.) Politische Lage Europas um das Jahr 1700. — 8.) „Weh’, o woli’ derLügo! Sio bofroiet nicht, wio jodos and’ro wahrgosprochue Wort dio Brust.“ (Götho: Iphigenie auf Tauris, IV. Act, 1. Auftr.)—9.) Die chemischou und mechanischen Einwirkungen dos Wassers auf die Erdrindo. — 10.) Hamlet und Orostos. (Eino Parallole.) — 12.) Die wichtigsten Alpeniiborgiingo. — 12.) Die Habsburgor im Zeitalter der Aufklärung. — 13.) Uebor dio Borufswahl. — 14.) Veränderung dor Erdoberfläche durch Monschonliand. (Culturhistorischo Skizze, Matu-ritätsarboit.) 5. Slovenische Themen. V. Klasse. 1.) O vilah (po borilu).—2.) Kako važnost imajo Foničani za zgodovino? — 3.) Črto-mirov značaj. — 4.) Kako prednost ima zmorni pas prod vročim in mrzlim? — 5.) Staroslovenska pisava. — 6.) En den na kmetih. — 7.) Zapopadok XIX. spova Ilijado. — 8.) Kaj jo budilo in vzdrževalo pri Grkih čut vzajemnosti? — 9.) a) Slabi nasledki peloponeško vojsko za Atene, b) Kaj je sonet? Kaj jo zapopadek v „Cvetniku slov. slovosnosti“ natisnjenih Proširnovil» sonotov? — 10.) Goografične razmero balkanskega in apeninskega poluotoka. — 11.) Sprehod prvega pomladanskega dno (pismo prijatelju). — 12.) Bčola nam bodi učiteljica. — 13.) Prilizun (karakteristika). — 14.) Životopis starega konja. — 15.) Ženit-vansko šego pri Slovoncih. — 16.) Kaki vpliv so imolo punsko vojsko na značaj Rimljanov? 17.) „Kdor urno roko, sol v glavi ima, V nosroči si vsaki pomagati zna." VI. Klasse. 1.) Razvrstitov mislij in vsebina prologu k igri „Wallonstoin.“ — 2.) Kako jo to, da so so Germani na rimskih tleh ali pokatoličili ali pa izginili. — 3.) Podlaga državam jo nravnost, a ne gmotno blagostanjo. — 4.) Značaj stražnega glavarja v igri „Wallonstoinov ostrog.“ — 5) Pranarodjo Avstrijo, t j. kteri narodjo so bivali v teh doželah pred nastan- kom Avstrijo?) — 6.) Kako mesto v zgodovini imata Kastislav in Svotopolk? — 7.) Vsebina III. 3 — G igro „Oba Pikolomina.“ ■— 8.) Boj papoštva s cosarstvom.— 9.) No z oka mokroga, iz roke pridno nada cvoto. — 10.) Kaj nam koristijo in škodujejo roko? — 11.) Značaj Maksa Pikolomina. — 12.) Kako važnost ima m. Jan Hus? — 13.) Ali nam tujina moro biti domovina? — 14.) Zakaj spoštujojo Slovani lipo? — 15.) Bodi sam sobi mož bosoda. — 16.) Glagolita Clozianus. Njegova zgodovina in vsebina. — 17.) Romsko ovangolijo. VII. Klasse. 1.) Političen položaj francosko deželo in Jovanin značaj po „Predigri“ k Scliillorjevej „Devici Orleanski.“ — 2.) Strast in vihar. — 3.) Ktorim okoliščinam so ima oživljonje slov. slovstva v XVI. stoletji pripisovati? Ktori možjo imajo največjo zaslugo za-njo? Odkod prihaja prikazen, da so so prvo novoslovenske knjigo v Tibingu tiskalo? — 4.) Primerite XVII. stolotje s XVI. — 5.) Očiščonjo v žaloigri „Dovica Orloanska.“ — 6.) Vpliv goografično logo kake dožele na značaj njenih prebivalcev. — 7.) Vzroki francosko prokucijo. — 8.) Kako mosto zavzema Vodnik v slovonskom slovstvu? — 9.) Kako prednost imajo pomorsko dožolo prod notranjimi? — 10.) Poro, moč, plug (Naloga za dozrolno skušnjo.) 6. Freigegenstände. a) Turnen. Diesen Unterricht leiteto dor Turnlehrer an dor hiorortigon k. k. Lehrerbildungsanstalt, Herr Julius Schmidt. An domselbon bothoiligten sich im 1. Somostor 121, im 2. Somostor 102 Schiilor in fünf Abthoilungon mit wöchontlich jo 1 Stunde. I. Klasse. Durchbildung dor Roiho, Roihungen; Drohen, Schwenkon kleinoror Reihon; — Freiübungen: die einfachsten Formen dorsolbon; Taktlauf. — Goräthübungen; oinfacho Hang-und Stützübungon am Rock und Barren; Klettern, Schaukoln an don Ringon; Steigen auf dor schriigon und senkrechten, Hangoln auf dor wagrechton Leiter; Rundlauf, Bock und Frei-springon. II. a und II. b Klasse. Ordnungsübungen: Drohon im Gohon und Laufon; Roihungen; Schwenkon grössoror Roihon. — Froiübungon zusammengesetzter Art. — Goriithiibungon wio in dor I. Klasso. Sturmspringon. III. und IV. Klasse. Ordnungsübungon •• Roihungen in Vorbindung mit Schvvonkon. Doppolroihungon. — Stab- und Hantelturnon. Dauorlauf. — Reck: Folgon, Spoichon, Kniohängo, Knie-Auf- und Umschwünge, Hangdrohon, Durchzug. — Stangon: Klottorn gloichhandig und Dauorhaltungon. — Barren: Aufstemmen, Schwingon, Kroison, Koliro, Wende; Soitonspriingo. — Pford: Hocko, Kroiso, Flanke, Wondo; Hintorsprüngo. — Bock-, Sturm-, Frei- und Tiofsprung. — Allo Uobungon mit strongor Berücksichtigung oinor guten Haltung. V., vi., VII. Klasse. Stab- und Hantolturnon; Dauorlauf.— Rock; Aufstommon als Ruck-, Zug-und Schwungstemmen; Armwippen im Stütz rücklings und Folge rücklings, vorwärts; Sitzumschwung; Kreuzaufzug und -Aufschwung in verschiodonen Formen; Spaltsitzumschwünge. — Barron: Koliro am Endo dos Barrens mit und ohne Einspreizen; Grätschon; Knickstiitzübungon; Schooro; Soitonspriingo.—Pford: Kehre, Grätschsprung, Diobssprung; Hintorsprüngo; Springübungen. — An don übrigen Geräthon dio dor Altorsstufo angomossonen Uobungon. b) Analytische Chemie. Diesen Untorricht ertheilto Prof. Balth. Knapitsch im erston Somostor an 20, im zweiten an 17 Schüler der droi Oborklasson in 4 St. wöch. Davon übten sich 3 im Titriren, 1 in loichtoron quantitativen Analysen, ein Thoil in dor oinfachon, oin anderer in dor zusammengesetzten qualitativen Analyse. c) Modellieren. Auch zu diesem Unterrichte wurden nur die Schüler der drei Oberldasson zugelassen; donsolben ortheilte Prof. Franz Globočnik im ersten Somostor an 17, im zweiten Semester an 14 Schülor in 4 wöch. Stunden nach verschiedenen plastischen Modellen aus dor Ornamentik, Studion des menschlichen Kopfes und der Tliiere in Belief, mit bosondoror Rücksicht auf praktische Verwerthung. d) Stenographie. Der Unterricht wurde von dem k. k. Gymnasialprofessor Herrn Anton Hoinrieli an Schüler von der vierten Klasse aufwärts in zwei Jahrgängen mit je 2 Stunden wöch. ertheilt. I. Jahrgang: Die Korronspondenzschrift. Im ersten Somostor 27, im zweiten 19 Schüler. II. Jahrgang: Dio Debattonschrift. Im ersten Somoster 15, im zweiten 11 Schüler. In diesem Jalirgango wurde dor Unterricht gemeinschaftlich an die Boal- und Gymnasial-sclliilor orthoilt. Lehrbuch: Gabelsborger’s Stenographio nach Ahn-Ollendorffs Methodo von Prof. Anton Hei nrich. e) Gesang. Der Gesangsunterricht wurde von dem Cliordirigenton dor hiesigen Domkirche, Herrn Anton Förstor, in zwei Citrson durch 5 St. wöch. ertheilt; hiovon ontfiolon 2 St. auf den ersten Curs, jo 1 Stundo auf den zweiten Curs A (Knabenchor), B (Mannerchor) und A und B (gemischter Chor). Im ersten Curs wurde das Eiomentaro dor Gosangskunst nach oigonor Gosangsschule und nach 12 Wandtafeln von Jos. Bonner durchgonommon nobst dem vierten Hefte der „Liederquelle“ von Proscliko und Pammer und den üblichen Kirclionliedorn, und zwar ein- und mohrstimmig. Im zweiten Curse wurden verschiedene Lieder und Chöre weltlichen und geistlichen Inhaltes nebst Fr. Nitsche’s „Liedorbuch“ für österr. Mittelschulen unter Wiederholung dos theoretischen Theiles goübt. Bosuch: Im ersten Semoster 72, im zwoiton 58 Schüler. N CO <1 B HH < AI HH B HH HH er Ila HH In der Klasse CO 8 CO CO co 00 03 ■sj & kU. GO SS 03 05 O' to beim Beginne dos Schuljahres 0 cnS, g.51 CD ►—4 1 ►—* ►—1 ►-* 1 to 03 in und nach dem I. Somostor abgogangon CO CD CO CO CD 03 05 t “ £ CD beim Heginne des II. SomosterH C- co 1 1 CO Ui o« 03 h-4 im II. Semester abgogangen s CO 05 ■^1 CO H-4 CO -vj 03 t—k 03 CD 03 03 H4 03 03 ** CO öffentliche 05 1 i 1 H-1 1 1 1 CO Pri vatiston CO o IO H-» CO ^.1 03 H-* S ►K 03 03 I-4 03 03 t im ganzen c 0 CD 1 t—* ►—» h-4 1 CO 1 hiev. Zöglinge d. Wald-herr’schen Institutes p p. CD CD M ►—1 t—* o 03 H-4 O* H-4 o t—» OO t-4 05 CO H4 aus Laibach v_CQ 8 OS 05 H-4 05 H4 03 03 H4 IO <1 CO aussor Ijaibacli 3' so o B* * ü) Sa 03 GO 00 ►—* 4- CD H4 O a. Cisleithanien S ? Pi (0 B S 3 CO 03 »—» t—* H4 a. Transleitli. Ö: ? r < V a> "S 1 H-4 1 i to H4 i—* 1 1 aus Italien s » (/) >-*0 00 5* | 1 1 1 M 1 1 1 aus Egypten f0 ^ C: 268 CO H-4 CO •v! 03 H4 03 CD 4* CO 03 H-4 03 03 fc römisch-katholisch »g. z* ^ £ to 1 1 1 H-4 H-4 1 1 1 griechisch-Orient. s e: ?? 2 M 13 H-*- H-* t—* CO £ h-4 ü« >—1 05 03 t—* CO t—* ►f- H-4 Ü< deutsch P ß- w D f—‘ 8 GO K-* IO H-4 o< • M CO H-4 CD M ■<1 >—4 00 CO -v] slovenisch P* a 4^ 1 1 1 M CO 1 1 H4 kroatisch-serbisch S 8 03 1 1 1 r H4 CO 1 1 czoclioslaviscli 2 ►ö ►—* -v3 H* H-4 M *-> GO 1 H-» H-1 italienisch 0* £*■ to s o< 05 •<1 05 Cn CO II. Klasso •8 5 P “öd! 3 CO 03 ~ 1 H4 CO 03 CO 03 U< 1 0 Vorzugsklasso 5 lB CO s 3 (? CO CO CO o IO *— CO <1 co o co <1 o» !£ 34 1 24 03 ^1 (D I. Klasse D* 7 rt> p «VS o CP p •o !S ► 03 - 05 H4 CO rf- H4 1 1 03 03 B O II. Klasse »2 Sg S = g ^ ( I-Š s-n. to Ol (1) | 1 03 4^ 4*> 03 03 1 1 1 03 Cn % V) Q tr 111. Klasso CT <6 B ä H4 ** 1 1 M 1 1 1 M ! 1 j ungeprüft 340 | ro to —1 03 CO CD CO 10) 05 IO tO 05 CD CO »0 tf- jf* -vi 6t 6« (T ►s zusammen H!. ? 7B j 7. Zur Statistik der Oherrealschule im Schuljahre 1878/79. Ol 05 CD (N CD »O rH rH CD 00 CD rH W O W 05 00 *0 O rH r-H tH tH 03 rH (M WI>QOOrj1 GVI rH (M »O t> l> 00 H CO C0 H O 00 ^ H C0 »O 05 CD l> C0 T-» 04 D- Ol CD »O tH CO l> 03 00 CO CO CO CD CD t> I> L' HOlCO^iO^NCOOlO •»oin«l‘’8 I J TU 1 HjiuouoH uitt{fj •ll‘M J-51»*.ua,i 8. Unterstützungsverein. Dieser Verein hat die Unterstützung dürftiger, gesitteter und floissiger Roalschiiler durch Beischaffung von Schulbüchern, Zoichonrequisiton, Kleidungsstücken, Anweisung von Freitischen, Aushilfon in Krankheitsfällen u. s. w. zum Zwecke. Der Veroin zählt gogonwärtig 120 Mitglieder; soine Wirksamkeit ist aus dem nachstehenden, der Generalversammlung am 7. Jänner 1879 für das Jahr 1878 vorgelogton Rechnungsabschlüsse zu crsohen. Nr. Einnahmen fl. kr. 1 Geschenk der löbl. krainischen Sparkasse 200 2 = dos Herrn Waldhorr und seinos Institutes .... 62 — 3 dor Herren Klein & Kovač 2 — 4 der Schülor dor V. Klasse 1 20 5 * » »I.a Roalklasse — 15 C Mitgliodorbeiträge pro 1878 147 — 7 Coupon-Erlös 69 — 8 Kassorcst vom Jahre 1877 83 36 Summe 564 77 Nr. Ausgaben fl. kr. I 1 ' Für Lehrbücher und Scliulrequisiton 94 15 2 » Kleidungsstücke 166 95 3 * monatliche Unterstützungen und für Aushilfon zur Zahlung des Schulgeldos 115 4 = den Druck und Einband dor Veroins-Jahrosborichto pro 1877 11 25 5 * das Austragon dipsor Jahresberichte und für das Einkassieren der Mitgliederbeiträgo pro 1878 4 50 Gosammtausgabo 391 85 1 0 Kassorost für das Vereinsjahr 1878 172 92 Summo 564 77 Horr Albort Zeschko schenkte auch in diosom Jahro oino grössoro Quantität von Zeichen- und Schroibroquisiton. 9. Aufgaben für die schriftliche Maturitätsprüfung am Ende des Schuljahres 1878/9. Deutaohe Sprache. Veränderungen dor Erdoborflücho durch Monschonhand. Italienisch« Sprache. 1.) Ein doutschos Dictat: „Die Woibor von Weinsborg“, zu üborsetzon ins Italionischo. 2.) „Bonvonuto Collini, ud il libro scritto da osso dolla vita sua" (Barotti, „Ernsta lotteraria“) zu üborsotzon ins Doutscho. Französische Spraohe. 1.) Ein doutschos Dictat zu üborsotzon ins Französische. 2.) Lo comto do Flandro aux princes chrötions“ (Michaud), zu übersotzen ins Deutsche. Slovcnische Sprache. Pero, meč, plug. Mathematik. 1.) Zwei Lichtquellen A und B sind von oinander a = 40entfernt; A hat in der Entfernung 1 die Lichtstärke 1, J1 in derselben Entfernung die Lichtstärke 2. Man soll in den Goraden a den Punkt bestimmen, der von beiden Lichtquellen gleich stark bolouchtot wird. 2.) Drei Punkto auf der Erdoberfläche haben dio nachstehenden Lagen: Zu bestimmen ist dio Fläche des durch dioso drei Punkto gelegten spärischen Dreieckes. (Erdhalbmesser = 859 5 M.) 3.) An oine Ellipse, deren Gleichung 4.cä -(- qy- — 36 ist, wird im Punkto eine Tangento gezogon und auf diese von den boidon Brennpunkten Senkrechte gefällt. Zu berechnen ist die Fläche des auf dioso Art entstandenen Trapozos. 1.) Eine zu allen drei Projectionsebenen geneigto Ebene und ein Punkt ausserhalb dor letztoren sind gogebon. 2.) Es soll der goomotrische Ort allor Punkto in dor Ebeno bestimmt werden, welche von dom gegobenen Punkte einen bestimmten Abstand ab haben, der grüssor ist als soin Normalabstand. 3.) Es sind durch oino gogebono Gorade an oine foigolfläclie dio berührenden Ebenen zu führen. 4.) Dio Porspectivo oines gleichseitigen Dreieckes ist zu bestimmen, welchos in oiuor zur Bildflächo geneigten Ebeno liegt und oine Seite zur Bildebene parallel hat. Poriodische Schriften: Verordnungsblatt für don Dienstbereich dos Ministeriums für Cultus und Untorricht pro 1879; Kolbe, Zeitschrift für das Eoalsehulweson, 4. Jahrgang; Hoffmanu, Zeitschrift für mathematischen und naturwissenschaftlichen Unterricht, 10. Jahrgang; Sklarok, dor Naturforscher, 12. Jahrgang; Zeitschrift für analytische Chemie pro 1879; Journal für praktische Chemie pro 1879; Mittlioilungon clor geographischen Gesellschaft in Wien, 22. Band; 'Petermanns geographische Mittheilungen, 25. Band, Ergäuzungshofto 56 bis 57; Zarncke, literarisches Centralblatt pro 1879; Gottlieb, allgemeiner Literatur-Anzeiger, 1. Jahrgang; Zvon, V. loto; Marn, Jezičnik, 2.—16. loto. Als Mitgliod dor „Matica slovenska“ erhielt die Bibliothek: Lotopis za loto 1878, Potovanje okolo svota v 80. dnoli; als Mitglied der Hormagoras-Voroinos 6 Bändchon. Aussordom wurden angekauft: Darwin’s gesammolte Worke, 82. bis 85. Lioferung; Brom’s Thierleben, 2. Auflago, 74. bis 109. Lieferung; Koscoo-Scliorlommor, Lehrbuch dor Chomie, II. Band, 1. Abthoilung; Naturkräfte, 26. bis 28. Band; Wober’s Alpenpflanzen, 1. bis 25. Lioferung; Wobor, Woltgoschiclito, 13. Band; Kronos, Handbuch dor Goschichto Oosterroichs, 24. bis 28. Lieferung; Woiss, Woltgoschiclito; Bruck, Kirchongescliichto; Valvasor, dio Eliro dos Horzogthums Krain, 34. bis 59. Lieferung; Stahr, Lessing’s Loben und Worke; Pallosko, Schillor’s Lobon und Werko; Lowos, Götho’s Lobon und Werke; Schmid, pädagogisclios Handbuch; Wartig, Erläutorungsbibliothok, 74. bis 78. Bändchon; Rudolph, Stil Übungen, 3. und 4. Tlioil; Slovenska knjižnjica, 1. — 7. z vozok; Blanc, Grammatik dor italienischen Sprache, 2. Theil; Zamboni, italionischo Anthologio, Silvio Pollico, Lo mio pri-gioni, 4 Exemplare; Junghaus, das Nibelungenlied, 12 Exemplare; Freitag, die Ahnon, 5. Band; Höffer’s orzählonde Schriften; Julos Vorno’s sämmliclio Werko, 22. bis 26. Band; Hoffmanu, Jiigenbibliothok, 171. bis 175. Hoft; Kanitz, Katechismus der Ornamentik. , | 46“ 18' 12" n. Br. A (109° 4' 17” ö. L. Darstellende Geometrie. 10. Lehrmittel-Sammlungen. Die Bibliothek besitzt am Ende dioses Schuljahros 2152 Bände, 607 Hofto. Neu angeschaffte Werke: Geschenke: Vom hohen k. k. Ministerium für Cultus und Unterricht: Botanische Zeitschrift, 29. Jahrgang; Lomayer, die Verwaltung der österreichischen Hochschulen von 1868—1877; Boricht über österreichisches Untorrichtswesen 1873, 2 Exemplare; Movimento coinmerciale di Triosto nel 1877; Navigaziono austro-ungarica all’ ostoro nol 1877; Navigaziono e commercio in liorti austriaci nel 1877; Movimento della navigaziono in Triosto nol 1878; Berichte dor Handels- und Goworbekammorn: VVion 1877, Laibach 1875. Von dor krai-nisclien Sparkasse: Rechnungsabschluss dorsolbon am Schlusso des J ahres 1878. Von dor Handels- und Gowerbokammer in Laibach: 2 Exomplaro dos statistischen Berichtos dorsolbon pro 1875. Vom ovangolischon Gomeindovorstande in Laibach: Jahresbericht der evangelischen Gemeinde Laibach und ihror Filialgomeindo Cilli pro 1878. Von dor Handels- und Gowerbokammer in Roiehenborg: Statistischer Bericht derselben pro 1875, 1. Tlioil; die Sitzungsprotokollo pro 1879. Von dor Handels- und Goworbo-kammer in Pilsen: die Sitzungsprotokollo pro 1879. Von dor Buchhandlung Kloin-mayr & Bamborg in Laibach; Sucher, graphische Zoit-Darstellung zur Weltgeschichte; Fogarasi, Wörterbuch; Wittstein, Planimotrio; Hois, Goometrio und Aufgabensammlung; Spitz, Geometrie; Bremikor, fünfstellige Logarithmen; Heinrich, die Debattenschrift; Paul-mann’s stenographische Untorrichtsbriefe, Entwicklungsgeschichte dor Gabolsberger’sclien Stenographie und illustrirto Goscliiclito dor Schrift. Von dor Buchhandlung Klink-liardt inWien: Bechtel, Chrestomathio, 5 Exemplare; Bechtol, französische Scliulgrammatik, 1. Theil, 5 Exemplare. Von dor Frau Maria Seemann, Hausbesitzerin in Laibach: 4 Bände „Staats- und Kriegs-Theater“ von Bodenehr in Augsburg, 1706. Vom Horm Raimund Sehroy in Klagonfurt: Baustoino, gosammolt von demsolbon. Vom Herrn Profossor Lavtar in Marburg dessen Work: Občna aritmetika za učiteljišča. Vom Horrn Profossor Voss in Laibach dessen Work: Materialien zur Pilzkunde Krains. Vom Horrn Profossor Lovec in Laibach: Zvon 2. in 3. loto. Vom Horrn Techniker Alex. Dragič dessen Schrift: Rolloxioncn über unsero Mittelschulen. Von oinom Jugond-froundo: Koseskega Dela. Das Natnralienkabinet erhielt im abgelaufenon Scliuljahro folgondo Beroicliorungon: A. Zoologie. Myoxus glis L. und Podicops eristatus L. (Dio Rohoxomplaro wurdon geschonkt vom Prof. W. Linhart.) Pulica atra L. Corvus alpinus Vicill. (Rohoxomplaro goschonkt von M. Soitnor). Picus martius L., (Rohoxomplar von W. Friedrich). — Angokauft wurdon Mustolla erminoa L. im Wintorkleide, Kopf mit Gowoih von Corvus caproolus L., Goliörn von Ovis Arios L. und Antilopa dorcas Pall., Coccothraustos vulgaris Pall., Pordix dactylisonans L., Conurus sp., Sopia officinalis L. und Scyllium stellare L. B. Botanik. Stammsogmento von Oloa ouropaoa L. und Rhus Cotinus L. Conus von Pinus C'edrus L. und Stongelstüek von Saccharum officinarum L. Eino Suito von Samonprobon. Do Thuomon, Mycothoca univorsalis Cont. XI—XIII. G. Mineralogie und Geologie. Eino Suito Knochen von Ursus spelaous L. aus dor Höhlo boi Laas in Krain. Gosehenk dos hiesigen Landesmusoums. — Marmoro von Raibl, Carrara und Divacca (Hippu-ritenm.) D. Bücher und Abbildungen. Cohn, Beiträge zur Biologie dor Pflanzen, Band II. Verhandlungen dor k. k. goologischon Reichsanstalt und zoologisch-botanischen Gesellschaft in Wien pro 1878. — Kurz, Transpa-ronto Tafeln aus dom Gebiete der Mikroskopio (Hydra, Epistylis, Cyclops, Nai's, Plumatolla). Das löbliche Secrotariat dos siebonbürgischen Voreinos für Naturwissenschaften zu Hormann-stadt hatte dio Güto, dio dor Anstalt von Horrn F. Schmidt üborlassonon Vorcinsschrifton zu completiren. Der gegenwUrtige Stand der Sammlung Ist: Zoologie: Wirbelthioro 199; wirbelloso Thioro 17,030; Skelette und Skolott-Theilo, anatom. Präparate und Modelle 58. Botanik: Horbariumsblättor 700; sonstigo botan. Gogonständo 82. Mineralogie und Geologie: Naturstücke 610; Edolstoinimitationen 29; Krystall-modollo 120. Abbildungen 94; Apparato 7; tochnologischo Gogonständo 50; Büclior 430; Hefte 440. Das physikalische Kabinet. Durch Ankauf: 1.) Phonograph nach Edison, mit Solbstbewcgung. 2.) Mikrophon nach Hughes sanirat Telephon. 3.) Grosso Sammellinso. 4.) Feilkloben. 5.) Kleinor Tisch. 6.) 2 Wandtische. 7.) Motallmeisscl. Im ganzen zählt das Kabinet 336 Nummern mit 657 Stück. Das geographisch-historische Kabinet besitzt dorzoit 71 Wandkarten, 7 Atlanten, 3 Globon, 2 Tollurion, 11 plastische Karten, 2 Pläne, 5 geographische und 37 historischo Bilder; an Büchern geographisch-historischen Inhaltes 36 Bände und 2 Hofto. Im Laufe dos Schuljahres 1878/9 orhiolt es folgondo Boroicherungon: a) Durch Schenkung: Von der Buchhandlung Scliworella und Heick in Wion; Carl Freiherr von Czoornig, das Land Görz und Gradišča, 2 Bändo; vom Herrn Potor Kosler: Zomljovid Slovensko Dožolo in Pokrajin; vom Herrn Prof. Franz Lovoc: die Pläno von Wion und Laibach. b) Durch Kauf: Spruncr-Monko, Handatlas für die Geschichte dos Mittolaltors und dor nouorn Zeit, 19. und 20. Lioforung; Jos. Langl, Donkmälor dor Kunst, III. Oyklus, 2. und 3. Lio-forung; Jos. Langl, Text zum III. Cyklus dor Geschichtsbilder; E. Belim, Geographisches Jahrbuch, VII Band; Dr. Jos. Chavanno, Physikalische Wandkarte von Afrika sammt dessen Erläuterungen zur obigon Wandkarto und oinor Uobersichtskarte dor wichtigsten und nouöston Roisotouron; Mitthoilungen dor k. und k. geographischen Gesellschaft in Wion, XXI. Band. Chemisches Laboratorium. Angokauft wurdon: Zvvoi Brenner, ein Apparat nach Kipp, ein keilfürmigor Gassack, oin Gaslöthrolir, ein droischenkligos Rohr mit Hahn aus Messing, oino Kautschukblaso, eino cylindrischo Luftpumpe aus Kautschuk, zwei Thermomoter, ein Gasofen nach Bunson, zwei Haematinomoter, eino galvanische Battorio, oino Abdampfsclialo aus chomisch roinom Silbor, oin grossor Liobig’schor Kühlapparat, ein Wassorbad aus omaillirten Bossomor-Stahlbloch mit konstantem Niveau, 48 Roagonzflasclien und oino kloine pneumatische Wanne; 4 Stück technologische Wandtafeln: a) Bossemorstahl - Erzeugung, b) Bierbrauoroi, c) Salzsiiuro- condonsation, d) Zuckorfabrication. Für (lio Handbibliothok wurden angeschafft: Bolley, „Schiesspulvor“, Gmelin-Krauts Handbuch wurde fortgesetzt, Bolloy-Lunge „Soda-Iiulustrio“, Jahresbericht dor tochnologischon Chemie von Wagner, Probiorkundo von Dr. C. Balling. Dor Diroktor der Farbholzfabrik zu Kaltenbrunn, Herr A. Jamar, spondoto mehrere Kilo foinst gemahlenes Sandelholz zu oinor wissenschaftlichen Untersuchung dos Farbstoffos. Das Laboratorium bositzt gegenwärtig 87 grössoro Apparato. Freihandzeichnen nml Modellieren. Die Lehrmittelsammlung orhiolt folgonden Zuwachs: das polychrome Ornament, 1. bis 5. lieft, von Andel; dor llegolkopf von Grandauor. Dio Sammlung onthält gegenwärtig: 15 Apparato, 52 Draht-, 15 Pappo- und 45 Holz-modolle, mohroro Gypsmodollo, oino grössoro Anzahl von Vorlagoblättorn, u. s. w. 11. Gewerbliche Fortbildungsschule. Zur Aufnahme haben sich zu Anfang und im Vorlaufo dos Schuljahres 169 Züglingo gomcldet, von denen 138 aufgonommon und nach ihren Goworbon und Vorkonntnisson den verschiedenen Abtheilungen und Kurson zugowiesen wurden, und zwar: a) dem Vorborei-tungskurs46; b) dor Abtheilung für Ornamontzeichnen und Modollioron I. Kurs 23, II. Kurs 14; c) der Abtheilung für Mechanik I. Kurs 25, II. Kurs 14; der Abtheilung für Baugewerbe I. Kurs 9, II. Kurs 7. Von diesen Zöglingen bosucliten den Unterricht in der Chemio im I. Kurs 31, im II. Kurs 12; den Unterricht in der Physik 18, im Modellieren 5; 19 von ihnen waron Gesollon odor solbständigo Arboitor, wolcho nur an Sonntagen den Zeichenunterricht besuchten. Dom Alter nach standen die Zöglingo zwischen dom 13. und 31. Lebensjahre. Das Schuljahr wurde am 23. Soptembor eröffnet und am 12. Juli goschlosson. Der Untorricht dauerte an Sonntagen von 8 bis 12, an Wochentagen abonds von */2 8 bis 3U 9, letzterer bis Mitte April, und wurdo von don Mitgliedern des Lohrkörpors dor k. k. Obor-realschule ortboilt. Aufwand für die goworblicho Fortbildungsschule: a) Staatsuntorstützung.......................................... 2000 fl. b) Beitrag dor Stadtgomoindo Laibach.......................... 500 „ c) aus dem krainischon Landesfondo............................... 400 „ zusammon....................... 2900 fl. Von dioson Boiträgen wurden dio Remunerationen der Lehrer, Kanzleiorfordornisso u s. w. bestritten, für arme Zöglingo Lehrbücher und Schulrequisiten gokauft und folgendo Lehrmittol boigeschafft: Geographie: Wandkarte des Herzogthums Krain von C. F. Bauor. Abtheilung für Maschinenwesen: 1 Stück Vontilator -Feldschtniedo; 1 St. Uni- versal-Hobel- und Shapingmaschino, 1 Amboss, 1 Schraubstock, mohrero kleinere Work-zeugo, 12 Metorstäbo, mohrero Reisszougo und Roissbrotor. Abtheilung für Baugewerbe: 2 grössoro und 2 kloinoro Einsatzzirkol, 2 Nullen-zirkol, mohrero Iteissfedern und Roissbrotter. Freihandzeichnen: III., IV. und V. Hoft des Werkes „Ornamontalo Formenlehre, II. Theil“, das polychromo Flachornamont von Anton Andol; kunstgoworblicho Vorlagoblätter von Storck, 12. Lieferung. Chemie: 4 Rcibschalen, 1 Pistil, 1 Satz Koehbechor. Physik: 1 Libelle mit Oorroctionsschraubon, 1 Metronom nach Molzel, 12 Batterie-gliiser, 1 Element nach Meidingor, 1 Luftdrucktelegraph mit Kautschukballon und Signalvorrichtung, 1 Maximum- und Minimum-Motallthormomcter, 1 Anorthoskop nach Plateau, 1 Do-buskop, 1 Saugpumpo, 1 Druckpumpo von Glas. 12. Verordnungen der k. k. Untemchtslehörden. Bofroiungon vom ganzen odor halben Schulgoldo dürfen nur solchen Schiilorn zuorkannt werdon, welcho oinon günstigon Studienorfolg, besondors abor dio ersto oder zwoito Noto in Sitten und Fleiss (mustorhaft, lobenswert, ausdauernd, bofriodigend) auswoison, und dauern nur so lango, als dio Bodingungon fortdanorn, untor wolchon sie erlangt werdon konnton. Erl. des k. k. Unt.-Min. vom 4. Soptembor 1878, Z. 17,722. Dio dritto allgemeine Fortgangsklasso ist einem Schülor zu ortlioilen, wonn dorsolbo in dor Hiilfto odor Mehrzahl dor obligaton Lohrgogonstände dio Noton „nicht genügend“ odor ..ganz ungenügend“ erhält, wobei ein „ganz ungonügond“ gloichzuhalten ist mit zwei „nicht gonügond“. Erl. des k. k. Unt.-Min. vom 18. Jänner 1879, Z. 768. Die kirchliche Oberaufsicht iibor don ovangolisclien Religionsunterricht an allen Schul-anstalten in Krain stoht dom Superintendenten dorWionor ovangolisclien Suporintendonz, Pfafror Dr. E. Buschbeck in Triest, zu, welcher diesos Amt dom ovangolischon Pfarror Otto Schack in Laibach im Delogationswege übortragon hat. Erl. dos k. k. Min. f. C. u. U vom 28. Dozembor 1878, Z. 17,225; Erl. d. k. k. Landosschulrathos für Krain vom 14. Februar 1879, Z. 301. Dio k. k. Landesregierung als Stiftungsbohördo wurdo ermächtigt, Cumuliorungon von Studentenstipondien für Studiorondo dor Mittelschulen bis zum Maximalbotrago von 200 Gulden, für Hörer der Hochsclnilon bis 300 Gulden zu gonohmigon; iibor dioso Boträgo hinaus ist dio Zustimmung des Ministeriums einzuliolon. Staatsunterstützungen sind don Stipondion gleichzuhalten. Erl. des k. k. Min. f. C u. U. vom 1«. April 1879, Z. 5324. Maturitätsprüfungs-Canditaten, welcho als üffentlicho Schüler oinor Staats-Mittolschulo vom halben Schulgeldo bofroit sind, zahlon nur dio Hälfte der vorgeschriobonon Maturitäts-prüfungs-Taxo. Erl. des k. k. Min. f. C. u. ü. vom 8. Mai 1879, Z. 2177. Eino nicht genügende Noto aus dom obligaton Turnen ist boi dor Bestimmung dor Fortgangsklasso nicht oinzurochnen. (Min.-Erl. vom 30. April 1879, Z. 4714.) Dio Karto von Krain von C. F. Bauor wird zum Gobraucho an don Mittelschulen Krains zugelasson. (Min.-Erl vom 26. Mai 1879, Z. 7018.) 13. Chronik. Im Vorlaufe dos Schuljahres traten mehrere don regelmässigen Unterrichtsgang störende Veränderungen im Lehrkörper oin. Vor Schluss des Schuljahres 1877/78 wurde Prof. Andreas Senekovič zum Militärdienste einborufon und nach seiner Rückkehr aus Bosnion, Mitto Novombor, bohufs Horsteilung seiner Gesundheit bis zum Schlüsse des 1. Sem. beurlaubt (L.-Sch.-R.-Erl. vom 13. Dezember 1878, Z. 2703). Prof. Clemens Pro ft übernahm in dor Zwischenzeit don Unterricht in der Physik, und zur Suppliorung dor übrigen Lehrfächer wurdo für dio Dauer dos I. Semesters der gopriifto Lehramtskandidat Jakob Hafner berufen (L.-Sch.-R.-Erl. vom 6. Oktober 1878, Z. 1913). Am 11. Oktober erkrankto dor wirklicho Lohror Philipp Wilholm Stroitmann an dor hierorts herrschenden Diphthoritis und erlag diesor Krankhoit schon am viorton Tage. Ph. Wilhelm Stroitmann wurdo geboren am 19. April 1851 zu Altofon in Ungarn als der Sohn oinos technischen Beamten der k. k. a. priv. Donau-Dampfschiffahrts-Gesollschaft. Durch die Ueborsiedlung seines Vators kam er bald nach soiner Geburt nach Linz in Oboröstorreich, das er fortan als soine eigentliche Hoimat botrachten konnte; dort bosuchto er dio Volksschule, dann vom Jaliro 1863—1871 das k. k. Staats - Obergymnasium, an dem er im letztgenannten Jahre sich das Zeugnis dor Roifo zum Bosuche einor Universität erwarb; im Oktober desselben Jahros bezog or dio Univorsität in Wion, im Oktober 1874 jene zu Graz, an wolchon Hochschulon or durch sochs Somestor studierte und hauptsächlich Collogien über Geschichte und Goographio, dann iibor deutsche Sjirache und Literatur, über klassische Philologie und Philosophio hörte ; auch bothoiligto er sich sowol in Wion als auch in Graz an don Uobungen in don historischen Seminarien; während dos Studionjahros 1872—1873 loistoto er seinon Prä-sonzdionst im k. k. 3. Feldjägor-Bataillon , dem er auch nachher als k. k. Reserve-Lieutenant zugotheilt ward. Nach Beendigung seiner Universitätsstudien wurde or bereits im Oktober 1875 zum Supplonten für Goographio und Goscliichto an dor k. k. Lehrerbildungsanstalt in Linz ernannt, au welcher Anstalt or durch vollo zwei Jahre, bis Juli 1877, mit lobonsworthor Anerkennung wirkto und während diosor Zeit zugleich dio Lehramtsprüfung aus letztgenannten Fächern vor dor k. k. wissenschaftlichen Gymnasial-Prüfungscommission in Graz ablogto. Dor 24. August 1877 brachto ihm das Ernonuungsdokrot zum wirklichen Lohror an dor Staats - Oborroalschulo in Laibach, wo er bis zu soinom Lobensondo mit anerkennenswerthem Borufseifor deutscho Sprache, Goographio und Goscliichto lehrte. Leidor war os ihm nur oin Jahr gegönnt, das Glück seiner nouon Stellung zu gemessen; nach einem viertägigen Krankeniagor wurde er am 15. Oktober 1878, nach einjähriger glücklichster Ehe, gerade am Jahros-tago soiner Vermählung, in ein besseres Jonsoits abborufen, inmitten wissenschaftlichen Strobons und geistiger Arboit (lotztoro zunächst der Erlangung dor philosophischen Doktorwürde goltend), für dio or obon dio letzten Bogen einor eingehenden Studie; „Das Verhältnis Rudolfs von Habsburg zu Ottokar 11. von Böhmen“, schrieb. Mit ihm schied eiue edle, treue, biedere Soolo von hinnen, ein Mann, an dem alles auf oine lange Lebensdauer schliosson liess, in der Blüto und Vollkraft dos Mannosaltors. Gründlichkeit in soinom Fache mit Allseitigkoit dor Bildung, sittlicher Ernst mit weicliom Gomiithe, reinste Gerechtigkeit mit lauterstem Wohlwollon, eino durch nichts entwogbaro Pflichttrouo mit jener innern ungetrübten Froudigkoit dos Berufes, dio zu einem sogonsroichon Wirkon wol violloicht in koinoin Stande notlnvendigor ist als im Lohramte, sichorn dom Dahiugoschiedenon das besto Andenken in den Herzen dor Collegen und Schüler. Zur Suppliorung des doutschen und geographisch-goschichtliclion Unterrichtes w urdo der geprüfte Lehramtskandidat Adolf G s tirno r bestellt (L.-Sch.-Erl. vom 31. Oktober 1878, Z. 2291), aber schon am 1. Dezember an das liiorortige k. k Oborgymnasium in gleicher Eigenschaft versotzt. Auf dio erstattete Anzoigo von dom Ablobon des Lehrers Ph Stroitmann hat So. Ex-collcnz der Horr Minister für Cultus und Unterricht dio froigowordeno Lehrstelle dom Lohramtskandidaten Dr. Joseph Julius Binder verliehen, mit dor Bestimmung, dass or seinon Dienst erst zu Boginn des II. Sem. antreten sollto, zu wolchor Zoit auch soino Ernennung roelits-wirksam wurdo. Infolgo dor Vorsotzung dos suppl. Lehrers Adolf Gstirner an das hiorortigo k. k. Oborgymnasium wurdo Dr. Bindor veranlasst, seine Lohrstollo schon am 1. Dozombor (bis zum 1. März als Supplent) zu übernehmen. Mit Boginn dos II. Sein, nahm Prof. Andreas Senekovič seine Lolirthätigkeit wieder auf und besorgte den Unterricht in der Physik und Mathematik; der suppl. Lohror Jakab Hafner wurdo des Dionstos enthoben. Einen zwoiton horben Vorlust orlitt dio Anstalt durch den am 5. Mai d. J. in höchst tragischer Woise orfolgton Tod des Profossors Georg Kozina, dosson sterblicho Uoberresto am 7. Mai untor Begleitung dor Collogon und dor Lehrkörper dor hiosigon Anstalten, siiinmt- licher Realschüler und zahlreich erschienener Froundo und Bekannten dos Verstorbenen foierlieli zur letzten Iiuho bostattot wurden. Der Vorowigto wurde am 16. April 1838 zu Laibach goboron und bosuchto dio Normal-schulo (1849) und das Gymnasium (1857) soiner Vaterstadt; hierauf bozog or im Horbsto 1857 dio Univorsität Wion, an welcher or historische und philologische Studien mit bosonderm Eifer betrieb. Mit Anfang dos Schuljahres 1863/4 wurde or zum Supplonton an dor hiesigen k. k. Oborroalschule bestollt und, nachdom or die Lehramtsprüfung bestanden, an dorsolbon Anstalt am 5. Oktober 1864 zuorst zum provisorischen, dann am 20. April 1866 zum k. k. wirklichen Realschullohror ernannt und am 8. Juni 1869 definitiv im Lohramto bostätigt. Obwol dor Vorstorbono wiihrond s«iner nahezu 16jiihrigen Wirksamkeit an dor hiesigen Realschule soinon Pfiichton als Lehrer stots mit allor Pünktlichkeit und Gewissenhaftigkeit nachgokommen ist, und obwol aussordem auch an dor mit dor hiesigen Roalschulo verbundenen geworblichon Fortbildungsschule seine Tliätigkeit vielfach in Anspruch genommon wurde, beschäftigte or sich dennoch unausgesetzt mit der wissenschaftlichen Erforschung dor mittelalterlichen Geschichte von Krain; insbesondere dio Geschichto dor eliemaligon Klöster Landstrass, Pletcrjach, Sittich und Froudonthal sowie der Stadt Laibach bildoto den Haupt-gegonstand soiner oifrigon Forschungon. Als Frucht soinor eingolionden Studien voröifent-lichto or zahlreiche historischo Aufsätze von bleibendem Wortho, so z. B. in den Mitthoilungen dos historischen Vereines für Krain: „Rogesten, den dcutschon Ritterordon in Laibach betreffend (1860)“; „Zur Geschichto dos doutschon Rittorordons in Krain (1862 und 1863)“; „Mitthoilungon aus oinor Wioner Handschrift zur Go-schichto der Kartliause Froudonthal (1863)“; „Zur Goschichto dos Woison-hausfondos in Krain (1864)“; „Boitrügo zur Goschichto dos Klostors Landstrass (1865)“. — Dor Jahresbericht der k. k Oborrealschnlo in Laibach brachte aus seinor Feder folgondo, dio Landosgoschiehto botreffendo Aufsätzo: „Dio Landeshauptleute von Krain bis gogon Ende dos 15. Jahrhundorts (1864)“; „P. Paul Puzel’s Idio-graphia, sivo rorum momorabilium monastorii Sitticonsis doscriptio (1865)“; „Reihenfolgo dor Landosvicodomo von Krain im Mittelaltor (1869).“—Aussordom wurdo in soinom Nachlasso oin sehr reichhaltiges, meistens aus noch nicht vorüffontlichten Urkundon liechst mühsam geschöpftos Matorialo zu einer Goschichto dor oben erwähnten Klöster und der Stadt Laibach vorgofunden. Loidor sollto soin Lioblingswunsch, dieses mit einem wahren Bienenlleisse soit oinor langen Roiho von Jahron zusammengotragono, sehr werthvollo Matorialo wissenschaftlich zu vorwerthen und namentlich oino umfassondo Geschichte dor Stadt Laibach zu schreibon, unorfiillt bleiben. Durch angestrongto Thätigkoit waron seine geistigen Kräfto aufgerieben wordon, und in oinom Anfallo von Geistesstörung schnitt or in tragischor Woiso soinon Lobonsfadon solbst ab. — Der Vorstorbono wird wogen soinor llorzousgiito und seines Wohlwollens hoi den Schülern, wogon soinos ocht collegialen Bo-nehmens und Entgegenkommens bei dom Lohrkörpor in freundlichster Erinnerung bloibon. Friede soinor Ascho, Fhro soinom Andonkon! Don vom Prof. Kozina bosorgton Unterricht in dor Goschichto und Goographio übernahmen nun dio Collogon Anton Raič, Franz Lovoc und Dr. Bindor; dem nouerdings zur Supplierung borufonon Lehramtskandidaten Jakob Hafner wurden dio übrigen Lehrgogon-stiindo anvertraut. Das Schuljahr wurde am 16. Soptombor mit dom hoil. Goistamto oröffnot. Dio Aufnahms-, Wiedorlioluugs- und Nachprüfungen wurden am 14. Soptombor und don folgondon Tagen vorgenommen; am 21. unterzogon sich dio im Julitormin auf zwei Monato roprobiorton Abiturienten dor Wiederholungsprüfung. Am 4. Oktobor feiorton dor Lohrkörpor und dio Schülor das Allorhöchsto Namonsfost Sr. kais. und königl. Apost. Majestät Franz Josef I. durch oinon solonnon Gottesdienst und das Absingen dor Volkshymno. Der Lohrkörpor wolmto an diesem Tage auch dem in dor Dom-kircho colobriorten Hochainto bei und war boi don für dio Mitgliodor des Allorhöchston Kaiserhauses abgehaltonon Soelonämtoru vertreten. Vom 13. bis 20. Novembor inspiciorto dor k. k. Landos-Schulinspektor für dio roalistischon Fächer, Uorr Dr. Johann Zindlor, dio Lohranstalt und dio mit ihr vorbundono goworblicho Fortbildungsschule. Mit dom hohon Erlasso Sr. Excellonz dos Herrn Ministors für Cultus und Unterricht vom 9. Jänner 1879, Z. 386, wurde dor k. k. Landos-Schulinspoktor Horr Johann Solar in gleicher Eigenschaft nach Zara versetzt; dio von ihm besorgto lnspoction dor Mittolschulen in Krain bezüglich der humanistischon Fächor wurde dom k. k. Landos-Schulinspoktor Dr. Ernst G n a d in Triest übortragon. Das 25jährige Jubiläum dor Vermählung Ihrer kais. und königl. Majestäten wurdo vom Lehrkörper und don Schülern festlich bogangon. Am Vorabondo des Fosttagos wurdo das Realschulgohäudo olektrisoh bolouclitot, und um den humanen Intentionen Sr. Majestät zu entsprechen, eine Sammlung von Boitrügen für dio durch Ueborschwemmung verunglückten Bewohner von Ungarn im Lehrkörper veranstaltet. Am 24. April liiolt Professor Friedrich Križnar oino dom Feste angemessone, dio Bedeutung des Tages bolcuchtendo Ansprache, in welcher ganz bosondors dio vätorliche Fürsorge Sr. Majestät für dio studioreude Jugond und Allerhöchst dosson Regentonthätigkeit zur Förderung der Kunst und Wissenschaft liorvor-geliobon und die Schüler zur Dankbarkeit, unerschütterlichen Anhänglichkeit und Liebo zum Monarchon und dom durchlauchtigsten Kaiserhauso aufgefordort wurden. Hierauf wurde in der festlich geschmückten Florianikircho oin feierlicher Gottesdienst abgohalton, boi welchem die Schülor raehroro aus diosor Veranlassung einstudiorto Lieder vortrugen; mit dem Absingen der Volksliynmo schloss dio orhobonde Feier. Am Abende dessolbon Tages wirkton dio Realschüler boi dor Aufführung dos Fostkonzertes im landschaftlichen Theater mit. Am 23. und 24. Mai wohnte dor k. k. Landos-Schulinspoktor für dio humanistischen Fächer, Herr Dr. Ernst Gnad, dem Unterrichte bei; am 11. und 12. Juni untorzog dor k. k. Ministerial-Commissär Schulrath Josef Grandauor dio Realschule und dio mit ihr verbundene gewerblicho Fortbildungsschule inbetroff dos Zeichenunterrichtes einer Inspection. Vom 9. bis 14. Juni wurde dio schriftliche Maturitätsprüfung abgehalten; die mündliche begann am 7. Juli. Derselben unterzogon sich 19 Schüler dor obersten Klasse, ein Externer und zwei Abiturienten, welche im Julitermin 1878 auf oin Jahr reprobiert wurden. An Sonn- und Feiertagen wolmton die Schüler dom gemeinschaftlichen Gottesdienste boi, gingen im Verlaufo dos Jahres droimal zur heil. Beichto und Communion und bothei-ligton sich an dom Frohnleichnamsumgango. Am 22. Oktober starb nach einer kaum 24stündigon Krankheit der Schüler der II. a Kl. Schnidorschitz Anton. Der Schluss dos Schuljahres orfolgt am 15. Juli mit eiuoni feierlichen Gottesdionsto und der Zougnisvorthoilung. 14. Aufnahme der Schüler für das Schuljahr 1879/80. Das Schuljahr 1879/80 wird am 16. September eröffnot werden. Die Aufnahme der Schüler findot am 13., 14. und 15. Septombor statt; an diesen und den nächstfolgenden Tagen werdon auch sämmtlicho Aufnalims-, Wioderliolungs- und Nachprüfungen abgohalton worden. In dio I. Klasso eintrotondo Schülor haben mittelst oinos Goburts- odor Taufscheines nachzuweisen, dass sie das 10. Lobensjahr ontwoder schon vollendet haben odor es im orston Quartale dessolbon Schuljahres vollenden worden. Zugleich wird von ihnon bei dor Aufnahme ein Froquontationszeugnis der Volksschule, welcher sie im lotztverflossonen Schuljahre angehört haben, gofordert werden, wolches dio ausdrückliche Bezeichnung, dass os zum Zwocko des Eintrittes in eine Mittolscluilo ausgostollt wurde, ferner dio Noten aus dor Religionslehre, der Unterrichtssprache und dom Rechnen zu onthalton hat. (Unt.-Min.-Erl. v. 7. April 1878, Z. 5410.) Boi dor Aufnahmsprüfung in dio 1. Klasso werdon folgondo Anforderungen gostollt: Jenes Mass von Wissen in dor Religion, wolches in don erston vier Jahroskursen der Volks-schulo erworben worden kann; Fertigkeit im Losen und Schroiben dor Unterrichtssprache, Kenntnis dor Elomonte aus dor Formenlehre der Unterrichtssprache, Fertigkeit im Analysioren einfacher bekleideter Sätzo, Bekanntschaft mit don Regeln der Orthographie und Intorpnnction und richtigo Anwendung derselben boim Dictandoschroibon; Uobung in den vier Grundrechnungsarten in ganzen Zahlen. Von anderen Lehranstalten konnnendo Schüler müsson das Studienzeugnis vom lotzton Somostor mit dor Entlassungsklausol, sowio auch otwaigo Schulgoldbofroiungs- oder Stipen-diondokreto vorweisen. Jedor neu eintrotondo Schülor zahlt oino Aufnahmstaxe von 2 11. 10 kr. und einon Beitrag von 35. kr. für dio Scliiilorbibliothok; dioson Beitrag ontrichton aucli alle dor Lehranstalt boroits angohürondo Schüler. Da das Slovonischo an dieser Lohranstalt zufolge dos hohen Miuistorial-Erlassos vom 23. Oktobor 1875, Z. 13,741, nur für jono Schülor ein obligater Lehrgogenstand ist, doren Eltern odor Eltornstollvortroter es ausdrücklich verlangon, so ergibt sieh für letztere dio Nothwondigkeit, ihre Kinder oder Mündel persönlich zur Aufnahme vorzufiihrou und im Verhinderungsfälle ihre diesbozüglieho Erklärung der Diroction schriftlich zukommon zu lassen. Sclnilor, wolcho das Slovonischo in don Unterklassen ohno Unterbrechung besucht habon, können, wenn sie diosen Besuch in don Oborklassen fortsotzen, von der Verpflichtung zum Besucho des Französischen entbunden werdon. Laibach, im Juli 1879. Dr. Mrhal. Rangordnung der Schüler am Schlüsse des Schuljahres 1879.* I. Klasse. 1. Kordin Adolf aus Laibach. 2. Hudovernig Josef aus Laibach. 3 Pongou Johann aus Cilli. 4. Krenner Heinrich aus Marburg. 5. Punzengrubor Karl aus Fiume. 6. Hribar Johann aus Veliki Vorli boi Obor-gurk. 7. Kalistor Franz aus Triest. 8. Petričič Vaso aus Laibach. 9. Simon Karl aus Oberlaibach. 10. Mesner Johann aus St. Kanzian. 11. Raktelj Theodor aus Laibach. 12. Kratoclnvill Eduard aus Reifniz. 13. Gvaiz Anton aus Laibach. 14 Hubat Johann aus Laibach. 15. Pogačnik Franz aus Laibach. 16. Končar Paul aus Laibach. 17. Petek Anton aus Laibach. 18. Bohringer Johann aus Fürstonfeld. 19. Fridrich Wilhelm aus Laibach. 20. Helmich Wenzol aus Seisonborg. 21. Bräu Theodor aus Laibach. 22. Gostinčar Franz aus Josefsthal. 23. Bokau Franz aus Marburg. 24. Noubergor August aus Prostranok. 25. Pospiäil Ernest aus Selo boi Laibach. 2f>. Kinliofor Karl aus Triost, 27. Tuma Wilhelm aus Laibach. 28. Potscho Franz aus Altenmarkt. 29. Bajoc Viktor ans Aich, 11. 30. Štrukelj Josef aus Laibach. 31. Voroväok Michael aus Laibach. 32. Hron Thoodor aus Feldkirchon. 33. Fenzl Johann aus Muno im Küstonlande. 34. Koch Cirili aus Krainburg. 35. Matajc Franz aus Laibach. 3(i. Joinec Franz aus Laibach. 37. Lauter Josof aus Laibach. Nicht lodert blieben: Frölilich Philipp aus Laibach. Hörmann Emil aus Laibach. Premk Franz aus Laibach. Rudolf Otto aus Laibach. Taudos Loronz aus St. Goorgon in Kärnton. II. a Klasse. 1. Kiišnci' J oliann aus Hrastnik, Steiermark. 2. Bučar Alois aus Adelsborg. 3. Krnlc August aus Untorschischka. 4. Mastnak Florian aus Hrastnik, Stoiormark. 5. Kurzthaler August aus Wels in Oberöster-reich, ö. Schassel Arthur aus Fiume. 7. Lassnik Albort aus Laibach. 8. Stofin Franz aus Laibach. 9. Robitsch Emil aus Laibach. 10. Obormann Josof aus Badmannsdorf. 11. Nicolich Konstantin aus Lussin piecolo, Istrion. 12. Rudholzor Karl aus Laibach. 13. Brandt Karl aus Villach in Kiirnten. 14. Rudholzor Wilholm aus Laibach. 15. Eberlo Alois aus Laibach. 1(>. Justin Raimund aus Laibach. 17. Lindtner Robert aus Laibach. 18. Schiffrer Wilholm aus Laibacli. 19. Šustoriiič Kaspor aus Waitsch. 20. Heyszl Eugon aus Penzing in Niodorüstorr. 21. Flosch Ludwig aus Roifniz. 22. Zalaznik Viktor aus Laibach. 23. Kozjak Franz aus Laibach. 24. Podzimok Heinrich aus Laibach. 25. Vičič Richard aus Radkorsburg. 2(5. Skorbinz Silvoster aus Laibach. 27. Turk Josof aus Laibach. 28. Pečnik Oskar aus Rann in Stoiormark. Nicht lodert blieben: v. Garzarolli Anton aus Adolsborg. Kokail Ferdinand aus Laibach. Schobor Bonodict aus Wolfsborg in Kärnton. Tauzhor Johann aus Laibach. Trost Karl aus Wippach. * Fotto Sclirift hozmcluiot Schillor mit ulltfnm. Vor/.UtfHklaaHO. II. b Klasse. 1. Potuček Adalbert aus Kolin, Böhmen. 2. Schann Arthur aus Laibach. 3. Šešek Eduard aus Laibach. 4. Krisper Johann aus Laibach. 5. Modrijan Franz aus Planina. G. Potokar Alois aus Laibach. 7. Vottor Adolf aus Szatlimar in Ungarn. 8. Tambornino Adolf aus Laibach. 9. Sopčič Johann aus Müttling. 10. Siogl Emorich aus Altmannsdorf bei Wien. 11. Borovsky Alois aus Laibach. 12. Bauer Konrad aus Prasslau, Stoiormark. 13. Globočnik Anton aus Eisnorn. 14. Kloin Adolf aus Laibach. 15. Stuchly Eduard aus Gutonfold. 16. Zellich Leopold aus Solo bei Laibach. 17. Kovač Viktor aus Laas. 18. Hubor Eduard aus Laibach. 19. Storniäa Josef aus Laibach. 20. Major Josef aus Kramburg. 21. Zajoc Alois aus Laibach. 22. Dolenc Franz aus Goräuth. 23. Spellak Josef aus Laibach. 24. Rus Johann aus St. Marein. 25. Lauor Ludwig Froiherr von, aus Vonodig. 26. Saraec Johann aus Stein. 27. Forte Josof aus Trifail in Steiermark. 28. Tomšič Franz aus lllyr.-Foistriz. 29. Frisch Johann aus Laibach. 30. Planinc Hugo aus Grosslaschiz. Nicht ludert Mich: Gabor Wilhelm aus Laibach. III. Klasse. 1- Scliluhan Karl ausWitkoviz in Mähren. 2- Kordin Josef aus Laibach. 3- Mačok Franz aus Planina. 4- Mahnitsch Hudolf aus Venodig. 5. Kolonz Johann aus Laibach. 6. Fabiani aus Kobdil im Kiistonlande. 7. Vio Julius aus Moufalcone. 8. Walland Franz aus Košana. 9. Possiak Alfons aus Rudolfswerth. 10. Detter Eduard aus Troffen. 11. Thaler Franz aus Eisnorn. 12. Baraga Androas aus Adolsborg. 13. Rizzoli Silvestor aus Laibach. 14. Hartmann Alfred aus Hofoviz, Bölimon. 15. Kozlovčar Anton aus Sittich. 16. Russiani Georg aus Gormons, Küstenland. 17. Pavanello Anton aus Pola. 18. Zaccaria Franz aus Muggia in Istrien. 19. Schollmayr Franz aus Laibach. 20. Boschok Richard aus Radmannsdorf. 21. Sproitzor Johann aus Laibach. 22. Bolar Albin aus Laibach. 23. Risbeck Peter aus Innsbruck. 24- Rotcli Josef aus Laibach. 25. Armbrustor Ludwig aus Wien. 26. Bostolak Eduard aus Krapina-Töpliz. 27- Toniolli Johann aus Maria am See, Kärnten. 28. Protner Anton aus Laibach. 29- Hauptmann Josof aus Laibach. 30. Lonassi Gustav aus Görz. 31. Vonutti Georg aus Volosca in Istrien. 32. v. Bock Alois aus Laibach. 33. Lončo Josof aus Laverca. 34. Witschl Franz aus Gottschoo. 35. lfiiblor Friedrich aus Bischoilack. 36. Nobonfuhrer Gustav aus Wion. 37. Potočnik Franz aus Kropp. 38. Vencaiz Johann aus Adolsborg. Nicht lodert blieben: Aviroviü Stofan aus Virjo in Kroazion. Czorny Heinrich aus Potragy in Ungarn. Gütz Bertram aus Mohalla l’Cibir in Egypton. Malavrh Emorich aus Sissok in Kroazion. Novollo Anton aus Muggia in Istrien. IV. Klasse. 1. .1 eršinovec Johann aus Oberlaibach. 13. 2. Plaliota Franz aus Komorn in Ungarn. 14. 3. Yojvodiö Andreas aus Sorb in d. Militärgr. 15. 4. Homanu Max aus Radmannsdorf. 16. 5. Ottavi Robort aus Rapallo in Italien 17. 6. Milčinski Josof aus Tschornombl. 18. 7. Elsner Ignaz aus Bischoilack. 19. 8. Balon Johann aus Wisoll in Stoiormark. 20. 9. Urbantschitsch Franz aus St. Loonhardt in Stoiormark. 21. 10. Stodry Gustav aus Laibach. 22. 11. Jolič Thoodor aus Sissok in Kroazion. 23. 12. Svoboda Franz aus Čatež. 24. Križman Anton aus Roifniz. Richter Valentin aus Laibach. Josin Emanuel aus Laibach. Korošič Fortunat aus Mannsburg, li. Dobeljak Richard aus Laas. Rögor Johann aus Laibach. Zazula Gottfried aus Idria. Baron Loeatolli Georg aus Cormons im Küstenlando. Valonta Edmund aus Laibach, Pogačnik Matthäus aus Laibach. Dovč Josef aus Laibach. Angelo do Bornardo aus Cadoro in Italien. 25, 26. 27. 28. 29, 30, 31, 32, 33, 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. 10. 11. 12. 13. 14. 15. 16. 17. Turnay Eduard aus Rakok, Podboj Alois aus lleifniz. Formeglia Octavius aus Rozzo in Istrien. Terpin Edmund aus Laibach. Edlinger Emil aus Trifail in Stoiormark. Janežič Alois aus Laibach. Hiogorsperger Wilhelm aus Marburg. Marinschek Johann aus Laibach. Zužok Karl aus Laibach. Nicht lodert blichen: Armiß Josof aus Laibach. Bohutinsky Franz aus Waldstoin, Stoiormark. Oigoj Ernst aus Laibach. Jevnikar Eduard aus Rudolfsworth Mally Franz aus Laibach. Roindl Josof ans Laibach. V. Klasse. Soitnor Moriz aus Sava boi Assling. Kollenz Vincenz aus Hasolbach in Krain. Sehassel Rudolf aus Fiunio. Drolz Hugo aus Markt Tüifer. Siegl Franz aus Bartfeld in Ungarn. Hirschal Alois aus Triest. Moschok Franz aus Planina in Krain. Parnmer Robert aus Fiumo. Logar Josef aus Hrastnik in Stoiormark. Mihalič Wilhelm aus Triost. Scliustorschitz Franz aus Divača im Kü-stenlande. Simäok Johann aus Savenstein in Krain. Kuschlan Josef aus IU.-Feistriz. Saurau Franz aus Kronau. Hoinrich Franz aus Raibl in Karnton. Kovač Johann aus Laibach. Tschada Ludwig aus Post. 18. Guzelj August aus Bischoflack. 19. Lackner Gustav aus Stein. 20. Mossetig Thomas aus Triost. 21. Jočminok Victor aus Hühnordorf boi Laibach. 22. Mechlo Johann aus Laibach. 23. Faber Albort aus Stoinwand boi Töpliz, 24. Počnik Ignaz aus Jožica. 25. Košak Josof aus Stroindorf in Krain. 26. Lisoc Josof aus Laibach. 27. Slapničar Michael aus Solo boi Laibach. Nicht lodert bUehen: Gorup Jakob aus Slavina. Lavrončič Ferdinand aus Kresniz. Lohmann Julius aus Triest. Pirz Karl aus Noumarktl. VI. Klasse. 1. Klinar Anton aus Sava boi Assling. 2. Vončina Fran/, aus Sagor. 14- 3. Gusell Matthäus aus Sostranskavas bei 15. Bischoflack. 16. 4. Dotela Karl aus Moravčo. 17- 5. lliomer Otto aus Moor in Ungarn. 18. 6. Borznor Loonhard aus Laibach. 19. 7. Vesel Rudolf aus Laibach. 20. 8. Zhubor von Okrog Anton a. Rudolfsworth. 21. 9. Lassnik Peter aus Laibach. 22. 10. Zoschko Ludwig aus Agram. 23. 11. Flore Josef aus Laibach. 24. 12. Schwontnor Johann aus Laibach. 25, 13. Sajovic Karl aus Mauniz. 26. Krisper Josof ans Laibach. Schollmayr Iithbin aus Althofon, Kärnton. Eicholter Franz aus Trifail, Stoiormark, Žužek Anton aus Laibach. Di Conta Johann aus Cilli in Stoiormark. Tonollo v. Stralnaro Josof aus Triest, li. Kraupp Moriz aus Graz. Rosmann Goorg aus Canalo, Küstenland. Dolenc Alois aus Vonodig. Rizzoli Camillo aus Laibach. Lodes Anton aus Laibach. Gale Franz aus Laibach. Proitlachnor Maximilian aus Wion. VII. Klasse. 1. Gerstner Karl aus Suditz in Böhmen. 2. Pirker Franz Xaver aus Laibach. 3. Toman Karl aus Laibacli. 4. v. .labornegg Eugen aus Noumarktl. 5. Smukavec Emil aus Laibach. 6. v. Fladung August aus Laibach. 7. Kraschna Johann aus Laibacli. 8. Falosehini Gustav aus Krapina, Kroatien. 9. Fasan Rudolf aus Karlshütten in Krain. 10. Fuk Jakob aus Mautersdorf. 11. Candolini Vladimir aus Landstrass. 12. Kraigher Goorg aus Adolsberg. 13. Svetek Fordinand aus Laibach, li. 14. Oblak Valontin aus Rudolfsworth. 15. Edler v. Kleinmayr Fordin. aus Laibach. 16. Spintre Nikolaus aus Laibacli. 17. Saniassa Max aus Laibach. 18. Prlickor Amand aus Laibach. 19. Kalin Eduard aus Laibach. 20. Starčich Kasimir aus Lussinpiccolo, Istrien. 21. Devetak Anton aus Tobneiu.