J J. Séme sire provinces illyriennes. N.9 8r. TELEGRAPHE OFFICIEL, Laybach , jeudi exterieur. ÉTATS-UNIS D'AMERIQUE. Nerp-Ycrk , 8 août. r Le vaisseau anglais le Royal-Georges, ne u canons, a été cgPturé sur le lac Ontario, par notre brick l'Onéide, cîe 18 canons» après un combat qui a duré quatre heures. ( Journal de Paris. ) Du 16 août. Nous venons de recevoir des nouvelles intéressantes de Quito. Un officier anglais, nommé Charles Elphmstone-fléroing , a été chargé par le gouvernement britannique de négocier une alliance avec le gouvernement du Pérou. Celui-ci a rejeté ses offres, et a défendu aux habitans d'avoir aucune communication avec les Anglais. Ceux-ci se sont alors adressés â don Fernsado de Abascal , gouverneur du Chili, et lui ont fait les mêmes propositions qui sont été également rejetées. Malgré les divisions qui existent 'dans ces deux provinces, il puroit que les deux partis sont également décidés à ne pas se livrer aux agens anglais. Cet te disposition des esprits est d'autant plus importante dans les circonstances actuelles que le gouvernement des Etats-Unis fait passer des envoyés dans toutes les provinces de l'Amérique espagnole, et que nous pouvons nous fhtter que leur mission aura d'hetireux résultats (Moniteur.) AMÉRIQUE ESPAGNOLE. i; Caraccas, 17 juillet. Le journal espagnol, intitulé l'Argus américain, s'exprime en ces termes: Notre ville n'est pins qu'un monceau de ruine. On n'avoit jamais éprouvé dans la province de Vénézuela un tremblement de terre aussi violent. On ignore encore le nombre d'individus qui ont péri dans cette malheureuse catastrophe. C'étoit Un spectacle déchirant de voir sur les débris des maisons des mères appellent à grands cris leurs enfans , des veillards mutilés soutenus par leurs fils, des filles éplorées cherchant de tous côtés des parens ou des protecteurs. Le gouverneur - général Miranda a déployé dans cette occasion l'activité et l'humanité la plus remarquable. On s'occupe dans ce moment - ci à déblayer les décombres. Nous donnerons de plus amples détails sur ce funeste événement qui ne sortira pas de notre mémoire. „ ( Moni. Univers. ) ANGLETERRE. i Londres , 14 septembre. ( The Sun. ) Nous avons reçu ce matin des journaux de Lisbonne, à la date du 30 août. Le marécbal Soult a concentré tontes » ses forces, et a pris la direction de Cordoue. Le général Hill étoit encore le 2^ à Zafra. Son armée étoit sur le qui vive, et prête à partir aussitôt qu'on auroit appris que le maréchal Soult se seroit mis en mouvement. 8 octobre 1812. ( The Courier. ) Une lettre de Saint-Ander , en date du ao*t, annonce que les Français ayant attaqué de nouveau Bilbao avec 8000 hommes, ont réussi à s'en emparer. Les Fra cais ont une garnison de 3ooo hommes à Santona. Le« £ agnoIs non sur ce point que ,o,ooo hommes ma, / c nt divisées et répandues dans les montagnes ; r - ——- « léunir. X The Times. ) Nous ignorons toujours 1« plans do Welling- ton Nous ne savons où il «loi. 1= >5, après son entré J p ocher du Guadalquivir e. arriver à Cordoue, pût sapproc direction. Nous avons de t.. — » -nr:•JzrtrčZ- —- - - mée de Portugal. ( The Statesman. ) i» riti 16 juillet, annonce Une lettre de Constantinople , ou «6 Jinie , qu'avant .'arrivée du général Andréossi, a.^adeu de , o„ r craignoit que la Porte ne se la, s - „er à une alliance avec la Grande.-iBreUgm, eU ^ A niiiccances avoient été întatigaoïc!» Les .... stres de ces pu » Andréa, a dans leurs efforts; mais 1 arr.vee au ge fait évanouir tout espoir de sucrés. „„„1,. . Des lettres deFrance continuent h annoncer la marche de nombreux renforts en Espagne. Les corsaires français recommencent à se montrer pen da nt* les nuits obscurs. Le „ septembre, «s,gn, o annoncé , » Douvres, la présence de . ennem, , ta. moment qn'une flotte de transport, ayant des pnso » bord , se rendoit k Leith. ( ^ „ Fra„„. ) Du 16 septembre. ( The Statesman. ) Nous sommes fichés d'annoncer que S. M. a eu, depuis le dernier rapport du conse.l de la reine, une nouvelle a, tàque de paro*,sme qui a duré plus de 3« heures. 1 ' K , . ri\ we jitjton a ete - Nous venons d'appr.ndre que lord dans l'embarras d'argent le plus pressant, et ,u on recours à des négociations ruineuses pour lu, envoyer espèces. Du 17 septembre. (The Statesman) D'après des lettres de FIsle-de-France , la situation des habitans de cette colonie n'a point été améliorée depuis qu'elle est entre les mains des Anglais, ainsi qu on le verra par la lettre suivante: Isle-de-France, 3 mai* „ Les misères que cette île souffre depuis la possession par les Anglais sont inconcevables. On publie de nombreuses proclamations ; on fait de belles promesses, le tout sans résultat et sans effet. „ Les privilèges exclusifs des Anglais doivent être surtout comptés parmi nos calamités , et la conséquence en test que les habitans opulens ont émigré , ou sont sur les point de le fiire aussitôt qu'ils le pourront. Par cette émigration , las richesses de la colonie doivent peu-à-peu liis-paroitre, et il ne restera que le sol à ses nouveaux maî-' très. Nous devons tous taire nos efforts pour quitter notre situation actuelle, pour chercher à aller revivre sous les lois françaises , et nous soustraire aux maux dont la tyrannie anglaise nous a jusqu'ici accabie's. „ Du 19 septembre, ( The Statesman. ) II n'est pas encore arrivé hier soir de nouvelles directes de loi d "Wellington. On a reçu seulement une lettre d'un officier datée de Larena le 18 août; elle porte que • l'armée de Soult étoit a sept Jieues de celle de Hill , et qu'on s'attendoit à une bataille ; on a vu depuis que Soult, après avoir réuni ses forces, a marché sur Cordoue. ( Moniteur. ) -- Le gouvernement emploie toute la promptitude qu'on peut attendre de lui, et fait les derniers efforts pour envoyer des renforts dans Ja péninsule. Le 91.e regiment, fort de i too hommes, s'embarque en ce moment pour la Corogne. — Les cotsaires français vont bientôt renouveJler leurs excursions dans le canal , en profitant de l'obscurité des nnits; il y an a dans ce momant dix-huit dans le port de Calais, quinze à Gravelines, et une quantité à Boulogne et dans les ports adjacens. Us sont prêts à mettre en mer aussitôt que la saison favorable à la croisière sera commencée. (Journ. de Paris.) — La Martinique est entourée de corsaires américains: on doit y lever la milice; des dragons font déjà montés et font le service. L'objet de cet armement et d'empêcher le pillage que ponrroient faire les corsaires. Ces hôtes incommodes ont déjà détruit un grand nombre de nos caboteurs. — Nous apprenons par une lettre de Liverpool , en date du 14. septambre , que les corsaires américains prenneut en mer les bàtimens américains qui sont munis de licences anglaises. Le eongrès a porté le désir de nuire à notre commerce , et de nous oter tout moyen de communication, toute facilité, jasqu'à déclarer bonnes de telles prises par une loi nouvellemenr rendue. Cette loi interdit le commerce avec la Grande-Bretagne et ses dépendances , par licences , sous peine de confiscation et d'empnson-men( Jour, de ïEmpire. ) P R U S S E. BerLn} 11 septembre. On envoie beaucoup de troupes pour compléter le corps prussien qui est auprès de Riga. Un chasseur prussien , quoiqu'il fut déjà blessé, a tué le major de Piede man , transfuge ptussien qui commandoit les Russes à leur dernière sortie de Biga. Cet officier avoi t été comblé des boutés du roi. 11 a perdn à jamais l'estime des honnêtes gens, ainsi que quelques autres ofliciers prussiens, membres de la Société de la Vertu, qui. s0nt entrjs au sei vice de Russie. ( Jour. de l'impire. ) POLOGNE. Varsovie , 5 septembre. On mande de Smoiensk que S. M. l'Empereur Nop le'on y a passé eu revue, le 22 août, le 5.e corps soi les ordres du prince Joseph Poniatowski , et lui a :. moingè sa satisfaction pour sa bravoure et sa bonne et» duite depuis le commencement de la campagne, a aeco:;; à beaucoup de militaires la décoration de la légion d'h■ neur ; et en a promu un grani nombre d'autres ài grades supérieurs. Les individus qui ont reçu de l'£a pereur. Napoléon ces récompenses rte sont p £l Billig lui-même ne revint à la vie que quelques hf'!rei apiès. Le maire de Btiihl a montré beaneoup de zèt-f ainsi que le prineipal du collège. La veuve Schulier rec«vl des secours, et Billig une gratification. ( Monit. Univers. ) Rome , 12 septembre. Depuis quelque temps il arrive journellement à Ron% das voitures chargées de caisses contenant des meuble5^ autres objets pour le palais impérial de Monte-Cava!'0 les travaux ordonnés pour mettre ce palais en état hrî habité, se poursuivent avec beaucoup d'acti vi té. Le no^" " des ouvriers de tout genre qui sont employés, fait es?c;e que ces travaux seront entièrement terminés dans q ques mois, et qne tout ce qu'on y fait, sera digne de ^ destination. Les ateliers des meilleurs peintres et des®- leurs scnlpteurs de Rom? sont remplis de tableaux de fresqve et de bas-reliefs destinés pour le palais impérial, et qul y seront transportés avant peu. ( Jcnr. de Parij. ) Gtaes , le 16 septe rbre. Le débordement du torrent Lemma , arrivé pendant la pUit du 28 au 19 août cernier , a donné lieu à trois actts du plus généreux dévouement,. A la vue «l'un muletier nommé , Cervetto de Larvego, q.ii éîoit entraîné par les eaux avec sept mulets chargés, jis nommés Jean-Bapi iste Carretta et Jacques Carrega, de ),; commune de Gavi , se précipitèrent dans le torrent pour sauver !e muletier Cervetto; mais la force des eaux les emporta également , et il alloier.l périr infailliblement comme Je malheureux qu'ils vouloient sauver , lorsqu'un jeune homme de la même commune, appelé Thomas Mattino , sourd aux prières et aux larmes de son pèse qui vouloit le retenir , s'élance tout habillé dans le gotffVe , suit à la nage ses deux compatriotes , les atteint à la distance d'un tiers de jieae . et les arrache à la mort. Retirés des eaux , Ciwretia et Carrega reçurent tous les secours de l'art et furent rappelés à la vie; mais le brave et généreux Mattino refuse toute espèce de secours-, en disant que le meilleur remède qu'on pourroit lui donner ne valoit pas le plaisir qu'il éprouvoit d'avoir sauvé la vie à deux de ses conci loyens. 11 est à remarquer que dans un autre débordement du même terrent, Mattino avoit deja sauvé la vie à deux autres individus. (Moniteur.) Paris, 22 Septembre. On a pu juger par les deux pièces russes annexées au 17.e Bulletin , quelle fidélité le général Wittgenstein nul dans ses rapports. Avec de tels rédacteurs il n'est pas étonnant que les églises innombrables de Russie retentissent de Te Deum ; mais il est fàcfeeux que l'armée française arrive toujours à tems pour les interrompre , et que le lecteur, la carte a la main, suivant l'ordre des dates et les marches des corps, soit toujours obligé, avec son épingle , de placer le quartier - général français quelques lieues en avant de la place où les Russes ont écrasé notre armée. Cette guerre confond ainsi toutes les notions acquises jusqu'à ce jour sur le but , les principes et les résultats des cornbioaisons militaires: les Russes ayant constamment et complettement battu les Fiançais sur tous les points d'attaqee ( aux termes de leurs bulletins et des journaux anglais ) , il semble qu'ils auroient du raisonnablement en profiter, marcher sur la Vistule, au lieu d'abandonner le Niémen , prendre Dantzick: au lieu de laisser menacer Riga, et b'ùler Varsovie au lieu de Smolensk la forte. Tel n'est point leur plan militaire. Ils commencent par exterminer les Français, et ensuite ils se retirent devant ce qui reste de leurs bataillons ; et si leurs tambours bittent la charge pour le combat, e'est pour battre la retraite après la victoire. Dans ce système , si le? Françris eussent été vainqueurs , les Russes seroient à Berlin, mais ils ont été battus, et ils sont devant Moscou. C'est une nouvelle tactique ; ce n'est pas là précisément l'école de guerre de César , de Frédéric ou de Napoléon , mais c'est un système nouveau qui peut avoir des avantages, riolîtement celni de se réserver à soi-même le plaisir de dévaster son propre piys. Les mémoires et les commentaires sur de tHs plans de campagne, mériteront sans doute d'être médités. Ce système et les proclamations de son auteur. M. Barclay-Jp-Tolli,, doiveut à'ap- 3-3 puyer mutuellement , "et lui établir une réputation à la-fois militaire et politique; qui n'appartiendra qu à lui: ( Gaz. de Erancc. ) Du 25 On écrit de Cette, qu un enfant, âgé de c ans, appartenant au sieur Lavigne , marchand poissonnier, tomba, le 3 du courant , dans le bassin du port sans que personne s'en fut apperçu. Jean Maillac , habitant de ladite ville, voyant flotter sur l'eau quelque chose prêt à passer sous un bâtiment, crut reconnoîtrc un enfant; malgré tous les dangers où il alloit s'exposer, il n'écoute que la voix de l'himanité, se précipite dans l'eau, tourne long-temps autour de la quille du bâtiment, et lui-même prêt à succomber à la fatigue , ranime sor» coarage, préférant la mort plutôt que de laisser périr son semblable; il est enfin assez heureux de saisir l'entant sans, connoissance ; de prompts secours furent administrés, et il a joui de la douce satisfaction de l'avoir lendu a la vie et à une famille éplorée , à laquelle il ne reste que le regret de n'être pas fortunée pour récompenser un si noble dévouement. ( Jour, de Paris. ) PROVINCES ILLYRIENNES. Laybach, le 7 octobre. Un courrier extraordinaire expédié de Moscou, annonce que l'armée Française a fait son entrée dans cette capitale le 14 à midi 5 la ville de Moscou est aussi grande que Paris; les principaux de l'empire y ont des Palais, le gouverneur russe Rotopschin a voulu ruiner cette belle vi île ; pour cela il a armé 3000 malfaitenrs quii a fait sortir des cachots et 6000 satellites; le roi de Naples a dissipé cette canaille avec quelques coups de oanon et s'est emparé du Kremlin ; Des forcenés ivres couroient dans les quartiers et met-toient le ùa partout ; pour empêcher de rétablir l'ordre, le gouverneur avoit fait ariêter les principaux négociants et marchands et enlever les pompiers avec les pempes, de sone que les flammes ont consumé une partie de cette grande et belle ville. L'Empereur est loge dans le Kremlin qui est une espèce de citadelle placée au centre de la ville. On a trouvé à l'arsenal 60,eoo fusils neufs et 120 pièce de canon , et dans les hôpitaux 30,000 blessés ou malades Russes. Le prince Bagration a été blessé à mort; le nombre des généraux Russes t^és ou blessés à la bataille de la Moskwa s'élève de 45 a 50 , d'après le relevé qui en a été fait; les Russes conviennent qu'ils ont perdu 50,000 hommes dans cette journée à jamais mémorable. ( Le Bulletin donnera les Détails. ) Trieste le i.es octobre Etat des bâtimens et barques qui sont entrés et sortis chargés, du port de T'iste pour différentes autres du gofphe Adriatique à prendre du ió au 30 du mois de Septembre 1812. ENTRÉS. Qualité. • c CD K"» s Italien j Napolitains I Totaux B:ick . . 2 --- — 2 Pieleghi . 9 11 — 20 Paranze . 1 — — i Brazzere . 49 — 49 Bragozzi . — 3 3 Balteanx . 19 22 4i 80 36 — 116 Lieu d'oii ils viennent. Z iara Zeib: Molfet ta Ancóne . . Venise . . Chiozza . . Rovigno. . Parenzo. . Cittanova. Pirano . . Isola . . . Capo d 'istrie Monfalcone. Sdoba . . . Nature des Chargemens. Sel , Raisins secs , Amandes , Jus de Citrons, Safran s , Carence , Citrons , Huile d olive , Chanvre , Lin, Codages, Papier, l'eaux Jus de Rc— glise, Avoine, eaude Vin, Eccrces de Citrons, Verreries , Tox-i les , SORTIS. Qualité. Pieleghi. Paranze. Brazzere Bragozzi . Batteaux C 11 C a K Leur r". 1—( Jre ô O. 'À a 0 H destination IO 9 m__ 19 Ancóne . . Venise . . — I i Chiozza. . 46 — --- 46 Moffetta • C111 a n 0 v a. 2 —- 2 Rovigno . . 23 12 --- «35 Parenzo . . Pirano. Isola. , . . Capo d'Istria Moggia . . Sdoba ... i Duino . . 79 23 ! 1 103 Nature des Changemens. Fer , Acier, Cloux , Plombs, Cire vierge , Goudron, Tabac, Savon, Ver? reries , Colle forte . Terles, Planî ches, Peaux de di-vese qualités, Biscuit, AVIS. Pour la 2.me fois» . Administration de l'Enregistrement et des Domaines. Location des impots sur le y in et la musique du distrili d'A del s ber g, II sera procédé le 19 octobre prochain à 9 heures du matin devant M. le Subdélégué à Adelsberg, en présence du vérificateur des Domaines soussigné , à la location par enchère des impots sur le vin et la musique <^ui sont per* çus dans les diverses communes dépendantes de l'arrondissement d'Adelsbergj» Les adjudications auront lieu pour un an à partir du i.er novembre 1812. Les impots ne seront plus affermés par paroisse comme ils l'étoient autrefois; ils seront présentés en ferme pour une ou plusieurs communes d'après la nouvelle division des mairies et suivant qu'il sera jugé le plus avantageux. Les fermiers adjudicataires seront tenus de fournir bonne et solvable caution au moment même de l'adjudication , ils la fourniront en immeubles si les prix de baux excédent 300 francs. Les amateurs pourront prendre connaissance du cahier des charges au Secrétariat de la Subdélegation d'AdeKberg ainsi qu'aux bureaux des Domaines d'Adelsderg, d'oberjay-bach et de Feistriz. Adelsberg le 30 septembre 1812. Le Vérificateur de l'Enregistrement et des Domaines. signé P E L Z E R. b*ins pendant l'Automne, ou l'Hiver, sont priées de le commander un jour d'avance , et d'en fixer 1 heure pou le lendemain ou surlendemain. Le prix est comme l'an passé j c'est-à-dire, pour cha que bain chaud , y compris le chauffage de la chambre e le linge, un Florin ou trois Francs, que l'on aura la.boni de payer en donnant l'ordre pour éviter au propriétairi les frais et des peines inutiles, car plusieurs personnes ont bien commandé le bain à différentes époques , mais n'étar,t pas venues, ont occasionné des pertes au propriétaire Laybach, le 30 septembre 1812. sigué Jaques Tschurn, AVIS pour la 2.me fois. Le propriétai re des bains de cette ville, a l'honneur de prévenir le Public que, depuis la saint Michel 1812 jusqu'à la saint George 1813 , les bains ne se prépareront pas sans ordre préalable des Amateurs. Toutes les personnes qui souhaitent de prendre les CASA DA VENDERS I Al pubblico incanto, Questa è a Zara capo-luogo della Dalmazia contradi S. Michele al n.° 472 quattrocento settantadue, ed è affi 11 a t a alli signori Michole Saiie benestante, e Sebastiani Lalcin muratore. È stata pignorata in pregiudizio del sig. Marco Bor< tolazzi possidente domiciliato a Zara contrada santa Maril al n." 469 con atto di Salvatore Bernardi usciere li gior-no ventiotto agosto 1812 ad istanza del signor Giuseppi Messa possidente domiciliato a Zara ir, contrada di san« Marta al n.* 384. Una copia dell'atto di pignoramento è stata rime«« al cancelliere del giudice di pace di Zara, ed un'altra copia al signor cavalier Andrea Borelh de \7iana , membro) della Legione d'onore, podestà della comune di Zara. Questo pignoramentq è stato trascritto all'uffizio dei la conservazione delle ipoteche a Zara il giorno 31 agodo 1812 volume primo, articolo quarto. Una simile trascrizione è stata fatta alla cancellerà del ttib male di prirria istanza di Zara il giorno due settembre 1812. La prima pubblicazione avrà luogo all' udienza > cht il medesimo tribunale terra il giorno venti ottobre prò* simo venturo. Il signor avvocato Francesco Giovanni Polis de P»P|J patrocinatore domiciliato a Zara contrada santa Catterin» al n." 9<5 è incaricato di pracedere per I' opignorante. Il presente estratto è stato esposto nella tabella, nel la sala delle udienze del tribunale il giorno cinque sette®1 bre 1812., . Fatto a Zara il giorno sedici settembre 1812. MascELLINI Cancell» LOTERIE IMPÉRIALE D'ILLYRIE Roue de,Laybach. Tirage du 4 octobre .1812. 84 - 22 - 53 23 29