/j. Sémestnt provinces illyriennes. n.n 53- TELEGRAPHE OFFICIEL. Laybach y mercredi E X T É R I E U R. ANGLETERRE. Londres y 6 juin. I] paroît qu* nous touchons enfin au Jénoû nsnt de la grande comédie jouée par nos hommes d'Lta'. Peut-être n'a-t-elle duré si long-temps que parce que tous vonloient y remplir le premier rôle, mais enfin, après tant d'intrigues et de pourparlers, de correspondance et de négociation , nous en restons à peu de près au point d'où nous étions partis. Toutes les démarches de lord Moira auprès du marquis de Wellesley et des lords Grey et Gren-vilie , ont complètement échoué ; et S. S. a renoncé à la commission difficile dont l'avoit chargé le prince Régent. Celui-ci ne pouvant pas trouver de nouveaux ministres qui pussent s'accorder entr'eux, paraît s'être déterminé â garder les anciens, c'est-à-dire ceux que le parlement a proclamés infignes de la confimee de la nation. Aujourd'hui, lord Liverpool a déclaré à la chambre des pairs que S. A» R. l'avoit de nouveau nommé premier lord de la ti ésorerie > et qu'elle l'avoit chorgé de former une admimst rat 1 ;a. Reste à savoir comment une telle déclaration sera accueillie dans la chambre des communes. Elle ne peut qu'y exciter de violens orages; mais dans le cas oii ce foible ministère par-riendroit à se soutenir eneore quelques instans , on ne sait comment il résistera au choc de deux partis pujssans qui divisés sur plusieurs points, seront certainement d'accord pour renverser leurs antagonistes. Tous les esprits sont occupés de ette circonstance extraordinaire; mais ce qu'il y a de plus affligeant , c'est que le temps se pas*e , que les évènemens s'accumulent, et que nos hommes d'Etat, occupés de leurs débat« particuliers, ne donnent qu'une foible attention aux intérêts de la patrie. Lord Moira va, dit-on , publier le résultat de ses négociations. Ce sera, à coup siir , une pièce fort intéressante. Elle nous fera sans doute connoître un fait q>:i n'a pas encore été publié, m.is qui n'en paroît pas moins certain» c'est que les lords Grey et Grenville et leurs amis s'étant consta m »cent prononcés contie la gueire de la péninsule, ex i g-oient , pour entrer dans l'adminrttration , qu'oirrenoncât à ce système qui détruit nos ressources, exténue nos armées, et ne peut avoir pour la suite que 1 es plus sinistrrs résultats. On ne peut, à ce icjt , se défendre d'une réfle" xion bien affligeante ; c'est que le sort des peuples qui se laissent séduire par nos prom-esses, et qui se dévouent à nos intérêts, dépend t1e la politique incertaine de notre cabinet , et que le changement d'un seul homme d'Etat peut faire qu'on abandonne les Espagnols et les Portugais que nous avons nous-nêmes plongés dani l'abîme. Or , dans la situation actuelle des choses, les révolutions ministérielles p croissent devoir être 11 ès- fréq uen tes : Jes peuples, tour à tour encouragés et soutenus, ei ensuite livrés a leurs propres forets, peuvent-ils, à moins d'un aveuglement extrême nous accorder quelque espèce de confiance ? Au milieu de cette lutte des partis politiques, la popu- Ier juillet 1812. lace continue à commettre des excès. Les luddistes, dans l'Yorcksh re, ont commencé à faire des visites domiciliai res nocturnes pour enlever toutes les armes à feu qu'ils trouvent. Ct nouveau genre de déprédation semble présager des troubles encore plus violens. Du 9 Le roi est toujours dans le rrême état que le mois dem er. Le navir« le Spedwen , arrivé à Guernesty , venant de Gij >n, a apporté la nouvelle de la rentrée des Français dans la provinc« des Asturies. L'ennemi est entré à Oviedo le 17 du mois dernier. Dans la première quinzaine de mai, les Français ont recommencé le bombardement de Cadix. Ils menaçent de nouveau Tanfa et Algesiras. Un fait historique singulier, c'est qu'un des ancêtres de M. Perceval a, comme lui, péri de la main d'un assassin. E» 1657, Robert Perceval, second fils de sir Philippe Perceval, rêva qu'il voyoit son propre spectre défiguré, et il fut tellement frappé de et t te vision qu'il s'évanouit. Peu de temps après, il fut trouvé assassiné dans le Strand. Du 10. Le bruit court aujourd'hui qt;e Iss Etats-Unis notas ont f >rmelltment déclaré la guerre. Nous saurons sans doute b.entôt â quoi nous en tenir sur cette nouvelle. — Le chantier de Plymout vient d'être entèrement incendié (Jonm. de ÏE p.) RUSSIE. Wilnay 15 mai. Le comte Kotschubsy, conseiller intime «t ministre àe la police, est arrivé ici du 9 au 10. (Gaz. de Frane e.) TURQUIE. Constantinople, 1 mai. Des nouvelles particulières de Semblin font connoître que la majeure partie des troupes turques stationnées à Nissa, et que l'on croyoit destinées à l'attaque de la Servie, a reçu une autre destination ; 011 assure qu'elles se sont portées sur N'copolis. Le corps qui s'étoit rassemblé aux environs de S-îphia, s'est aussi mis en marche vers le Danube. Les troupes ottorames qui ort débarqué à ^arna se sont portées de là sur Scburria, et ©nt joint l'armée du grand-visir. La communication entre Se hum la et NParna est entièrement rétablie; il n'y a plus de russes aux environs de "^arna. L'armée de Bosnie n a encore rien entrepris. On dit qu'elle ne doit se porter sur la Drina que lorsque Jes circonstances permettront aussi au corps d'armée de N'issa ds s'avancer dans la Servit. (jeurn. de Paris.) AUTRICHE. Vienne, 3 juin. Le cojrs sur A»ig«bourg a été coté aujourd'hui à 22Ó à usance , et à 213 îfi à 2 mois. L'argent de convention est à 230 ifi pour cent, (journ. de Pa,ii.) Du 6. — On disoi.t , depuis quelque tems , que le ministre des finances, M. le comte de Wallis, avoit off.it sa démission On assure aujourd'hui que S. M. l'a acceptée et qu'elle a nommé M. le comte de Cohary , président de la chambre aulique des finances, et M. Xahl , vice-président de ce département. (Moniteur.) SAXE. Dresde, Je 2 juin. L'I m fil atrice de France s'est rendue avant hier, vers midi, à l'église catholique , où S. M. a entendu la messe. Le soir , il y a eu concert dans ses appartement. La veille , S. M. I. était allée , avec la reine de "Westphalie, à Tharand , pour voir ce village remarquable par sa situation romantique et ses environs pittoresques, ainsi qu'un beau bois de hêtres connu sous le nom de Bosquet sucré. L'I mpératrice»est partie aujourd'hui avec toute la famille roy de et le grand-duc de "Wurtz-feourg pour PilniU, d «ù elle doit revenir ce soir. ( Moniteur. ) Leijxick, te 5 juin. Av3nt-hier , S. M. l'Impératrice de France a passé une partie de 1« journée au beau château de Pilnitz , avec la famille royale de Saxe et l«s princes et princesses qui sont encore a Dresde. S. M- profite du beau tems pour free armée, stationnée le l®ng du rivage, répondit que l'ennemi vouloit î'ecnparsr fie ces bânmens , il devait mettre pied à terre, et essayer d'effectuer ce dessein. Sur ces entrefaites, d'autres légionnaires accoururent se joindre à la force armée qui se trouvoit déjà sur le rivage. Plusieurs bâtimens chargés de troupes tentèrent alors, sous la protection de l'artiìlerie de la corvette , de s'approcher de la côte i mais par tout où l'enn jmi se presenta , il fut si bien reçu qu'il fut contraint de prendre le large. La Paul'Ate, frégate de S. M. ('EMPEREUR ET Foi , qui étoit restée deux mois dans le port de Brinda , en est sortie le 9 du mois dernier. On vient d'apprende qu'elle est arrivée à Gênes dans les premiers jours de ce mois, après une navigation des plus heureuses. (Jcum. de l'Emf>.) INTÉRIEUR. EMPIRE FRANÇAIS. Amsterdam, 12 j rein. Il y a plusieurs mois qu'il a été offert a deux chefs des bureaux de M. le directeur-général de la police en Hollande, une somme considérable pour les engager à trahir leurs devoirs dans une circonstance délicate. La conduite de ces Messieurs n'a po ^euk ont un chargerccot de papier , cuir, fer, clous, chapeaux, etc. (Moniteur ) L'Argus avait c«pturé ua autre navire chargé de blè ; te ravire vient également d'arriver ca ce port. Le nombre des prisonniers faits sur ces trois prises est trente-neuf, dont 2 midshipmen. (Moniteur.) Civi**'iecckia, itf juin. Le 38 du mois dernier , à 5 heures du matin , les anglais, au nombre de cent hommes environ , ont tenté un débarquement entre Santa-Ssvera st la tour Flavia , à l'eff-t de faire des vivres dont la flotte anglaise paraît très-pressée -, mais les employés des douanes, réunis à quelques canonniers , ont suffi pour Us forcer à se reirbaïquer précipitamment , sans qu'ils aient eu le temps de commettre aucvn dommage. (/. de Paris) Perio-Ercole , 2 juin• Les bricks de S- M- , /'Alacrity et Y Alali* , cemraan.lés par MM. de Mackau et Lejeunc , ont capturé hier tî conduit auj utrd'hui en ce port , un che-b.ck corsaire mahonais , ayant 50 hommes d'équipage. (Moniteur.) Tenie» , 5 juin. Une division composée des vaisseaux le Bcrét, le 7 rident , ie Sccptre, le Magnanime et la f ègste l'Amélie a sppaitilîé de cette rade le 2 juin sous les ordres du capitaine Seacz ; cette division a été bieniôt suivis par neuf autres vaisseaux et sept frégates, commandés par Je vice-amiral Eouriau. L'rscadre a tenu la mer, le 2 et le 3, en présence «ie l'escadre anglaise, composée de 17 vaisseaux et plusieurs frégates. L'araitai , pendant ces de»>x jours, conservant toujours l'avantage du vent, est airivé plusieurs fois sur l'ennemi, de reunièic à le ttnir eenstamment en échec, mais sans se lamer engager dans une affaire qui aurait été trop inégale. L? vent ayant f»ibli le 3 au soir, l'escadre est revenue au mouillage. (Moniteur. ) Bordeaux. 6 juin. Les Anglais viennent de capturer encore trois nouvea1 x vajsseau américains; savoir: l'ifiron-dtlle, venant de N'ew-Yorck : le Général-Gates , sortant Oc la rivière de Bordeaux, et la Yoring-Connecticut , allant a Bayonne. (Jeurn. de l'Emp.) Paris, 19 juin. On a, du 13, des nouvelles de Sa JVlajfcslé. L'i ropereur jouissoit de la meilleure santé j il mone souvent à cheval et p?ssc de fréquentes revues. L s troupes sont magnifiques, d'une tenue admirable, pleines de ga!;é et de cenfiance dans l'auguste chef qui vit au milieu d'elles comme un pere au milieu de ses enfans. La pre'cision touj®urs croissante des manœuvres an-ronce avec quel soin le soldat français est exerce* Une harmonie parfaite s'est établie d'elle-même entre nos troupes et les troupes étrangères, parmi lesquelles les Polonais se f>nt remarquer, en rivalisant avec nous de tlisc:pl ine d'ardeur et d'activité. On ne peut pas voir les troupes allemandes sans re-connoitre l'influence de nos exemples sur le militaire de cettï nation. La forme des hab.ts des soldats français, leur équipement , leurs armes, s'iatroduissent chaque jour çhez nos voisins. Partout où fasse Sa Majesté, elle est accueillie par des acclamations de jcie. Elle entend sur - tout bénir l'ordre qui règne autour de l'armée, et qui, en assurant ses ap- provisionnemens de tout« espèce, évite soigneusement de fouler L s pc'opl vs. Les dernières nouvelles d'Angleterre annoncent que es pays est en proie à une grande fermentation. L'espèce d'opiniâtreté avec laquelle Ks hommes d'état les plus marquas« ont refusé de se ch.wger du fardeau des affaires a fait une profonde impression dans tout le royaume." on a çru y remarquer le peu d\spoir qu'ils avoient d o-pe'rer • le bien au milieu d'une crise dont il n'y a pis d'exemple ou plutôt la crainte de perdre à la fois leur popularité, leur crédit, et leur réputation. Les jaurnarx français ont souvent parié des Ludaistes d'aptes ks gaz.-zettes'de Londres, ces rassemblement prennent de jour en jour un caractere plus imposant 3 Voici sor lei-.r origina d<_s détails dont nous pouvons garantir l'authenticité, Ils ont pus leur nom de celui d • leur chef qui s'appelle Ludd. Cet homme travaille avec ardeur a organiser son parti ; il jéve des rterues , solde des troupes <.1 augmente chaqn. jour le nombre de ses partisans ; il répand oes proclamarions dont le bit et l'effet sont d'*tfrjyer taus ceux qui pourroient être ttntés de s'opposer a sts desseins j il cherche en même temps â rassurer les esprits, en annonçant qu'il puniroit sévèrement sf's soldats dans le cas où ils manqueroient a la discipline ou se livreraient au pillage: U a même fut publier q-.M j voit fait pendre un dt-s siens qui s'etoit lendu coupable de vol et il a déclaré qu'il traiteroit ainsi tous ceux qut seroient convaincu du même. e et de désorganisation de ce pays, c'est une pièce horrible que-nous avons sous les yeux et qui est intitulée: Inscription peur le monument du défunt Ministre. Nous ne la donnerons point ici par respect pour ks mânes d'un homme d'Etat tombé sous le poignard d'un assassin , quoiqne cette plaisanterie à la fois basse et cruelle ait été imprimée dans 1rs journaux anglais. Sans docte l'homme qu'or» attaque avec cette férocité fut un de nos plus farieux adversaires, mais il est du caractère françiis d'être généreux envers les ennemis qni ne sont plus , et en f:it de noblesse et de sentimens délicats , nous donnerons aussi des ltç->ns à ce peuple qui se croit supérieur à tous 1rs autres. L'èp.-taphç dont nous parlons circule dans toute l'Angleterre avec une profusion scandalose ; Insérée d'abord dans l'Indépendant, elle en a été extraite et imprimés sur un carton en style lapidaire. Elle se trouve dan« les moindres boutiques et on la distiibue dans tous les Carrefaors. (Jouur. de lEmpire.) On a des nouvelles de l armée , du u de ce mois. S. M. l'Empereur était encore à Dantzick , ie it au matin. ~ Le 6 juin au matin , l'Empereur étoit encore à Tb >rn. S. M. jouit toujours de sa bonne santé; elle a paru cxtiêaiem. nt continte de tout ce qj'clle a vu h -en armée, ef de l'état des approvisinunjmens qui ont été rassemblés. Le 6 au soir, S. M. est partie pour Dantziclc : elle devoit arriver le y, et on croyoït quelle y rcsteroit le 8 et le 9. Partout l'Empereur est accueilli avec le plus vif enthousiasme : les peuples font hautement éclater la joie qu'ils ont de le revoir dans des lieux remplis du souvenir r!s sa gloire et de ses bienfaits. —x Le roi Charles IV, qui se trouvoit depuis quelques années à Marseille avec sa famille, a exprimé le désir d'habiter un pays d'une température plus conf>rm; à etile du climat auquel il étoit habitué. S. M. a pensé que le séjour de l'Italie seroit favorable à sa santé et à celle de la reine. En conséquence , LL. MM. ont quitté Marseille le 25 mai pour se rendre à Rome , où elles doivent habiter le palais de la Villa - Borghese , que S. M. l'Empereur a mis à leor disposition. A Aix , à Avignon , à Valence, à Chambéry et dans toutes les villes qu'elles ont traversées , LL. MM. ont reçu les plus grandi honneurs , et ont été accompagnées par MM. les généraux Composant les divisions militaires. Au mont Cénis , elles r,nt été reçues par li préfet du Pò, qui les a accompagnées j ;squ'au pala-s impénal deStupmis, ou elles étaient attendues par le prince gouverneur-général. Pendant leur séjour. S. A. leur a donné des parties de chasse, qui ,sont les plaisirs ordinaires du roi. De S'tupinis, LL. MM. soni parties pour Plaisance, oh elles ont séjourné. Elles sont descendues au palais Mandi. L- 8 , elles sont arrivées a Parais, et ont logé au p dais impérial. A cinq heures, la reine a reçu la princesse Antoinette de Parme , sa mèce , religieuse dans le couvent des Orphelines; et ensuite elle a vu sa nourrice , qui vit encore. Ensuite il y a eu un concert, i e 9, LL. MM. ont continué kur route. S. A- !'« grande-duchesse de Toscane est v t. nue pass»!- pl'jsi-'jrs jours à Florence, et les a reçues dans son palais, i)^ là elles ont continué leur route pour Kome, où tilts ont du arriver le 17 de ce mois. — On apprend d'Ajaccio, 1 *T j un , que lei habitans du village de Carghèse ont vigoureusement repoussé une frégate anglaise qui avait voulu opérer un débarquement. L-s anglais ont eu deux hommes tués et deux autres blessés. (Jour. «î Paris.) — Il est mort il y a quelques jours, à Berlin, un m lire de langue qui peut être cité comme un modèle d'avarice. Il a habité, pendant 47 1» mêm; Pel,te chambre garnie du mobilier le plus exigu, jamais il n'y a fait de feu , jamais il n'y a eu de lumière. Quand il faisait fî oïd ou qu'il étoit nun, il se couchoit. Il vivoit dans la plus c. hit i ve des atfcerges et au meilleur marché ; j ! rapçrortoit à sa nr, viagère le pain qu'il ne maogeoit pas. A sa mort , on a découvert , sous le plancher de sa ch»i»bre, zo rallié écut. en espèc-s, dont ii fait plusieurs ci^Msitionç. Il a uri «fière pauvre et malheureux dont il lu fit a.;cupe roent ion, parce que et frère avoit tu le grand tot T de li., i écrire uni fois de Dreide sans affranchir la jt « 1 e . (Caz. de Fmace.) PROVINCES I L. L Y RIEN N E S. Les officiers de la flottile liîyrienne n'a voient encore , rr.nl y'i que comme Enseignes Aukiliares ; S. M. a voulu encourager ses Marins d'Illyrie ; elle vient de eoa-férer le grade d'enseignes de vaisseaux aux^officiers ci-aprèt nommés. Savoir: Pugliesi Antoine, Pedemdli Jean , BerUngeri Antoine, Romano Antoine , Thoman Benoixt Philippe, Kiggen Matthieu, Villenech Vincent, Pavazzo Jean. Ces avancements que l'Empereur s'est plu à donner aux Marins des Provinces Ulyrierynes , feront connoitr« l ses nouveaux sejets que ses grâces se répandront sur tom ceux qui s'en rendront dignes par leur zele , leur courage et leur dévouement au service de S. M. Commission de liquidation. Avis aux Créanciers dt la dette domesticale. Tout porteur de Mandats de remboursement , ou cîî reicriptions du Trésorier général , aura à se présenter pour è »t délai y avant le quinze Juillet prochain, aoit à 11 Caisse de ce dernier, pour y faire l'échange des mandats contre des rescriptions, soit au Bureau du Directeur des Domaines pour y recevoir en payement , des rentes fonciers et emphytéotiques , par la voie du Transfert. L-.ybich le 26 juin 1S12. Le Comte de l Empire y maître des requêtes Intendant général. Président de la Ccmmissiou de Liquidation. S:gné : Chabkol. A V I S. MM. les souscripteurs, dont l'abonnement finit au 3» de juin, sont invités 1.9 à le renouveller à la Direction du Télégraphe officiel, établie à Laybach N.°i8o, ou aui bureaux des Directeurs des postes de leur résidence ou leur arrondissement j 2.* à y joindre ce qu'ils peuvent rc devoir sur le quatrième trimesîre de 1S11 et le premier semestre de cette année i la Duection ayant btsom J« ^ rentrer dans ses avances pour assurer son service. On réi tère 1 observation déjà faite dans plusieurs numéros, quî MM. les abonnés qui n'ont pas donné avis au Directeur de leur intention de cesser leurs souscriptions à la fin d'un 1 trimestre, ou qui n'ont pas renvoyé les journaux au co«' mencement de l'autre , sont débiteurs des 6 mois écoules-Us sont priés de faire connoìtre desuite leur intentio» pour le second sérsestre. A N N O N Ç E. Manuel juditiaire, ou Kecuï'l général des lois, décret! et règlenuns sur l'organisât i