telegraphe officiel. Laybac'h, dimanche 28 ™ars 181J. FRANÇAIS. INTERIEUR. EMPIRE Paris, 16 Mars. L'Empereur est venu hier de Trianon au champ de ftlars , où il a passé en revue une nombreuse division d'infanterie , de cavalerie et d'artillerie. S. M. a ,parcouru les rargç au milieu des cris de vive l'Empereur. On a admiré la belle tenue des divers régimens qui se trouvoient à cette revue, après laquelle S. M. a daigné agréer une collation dans le palais de l'école militaire, où elle lui a été offerte par le maréchal duc d'Istrie. Ensuite elle est partie pour Trianon. Jamais S. M. n'a ioui d'une meilleure santé. Le séjour de Trianon paroit extrêmement favorable à la santé de l'Erapereur et à celle du roi de Rome. MINISTÈRE DE LA GUERRE. Armée de Portugal. Suite des Extraits des différentes dépêches adressées II S. Exc. le ministre de la guerre, par M. le général comte Reiile, commandant l'armée de Portugal. valladolid le 21 février 1813. ■ * 4. t \ ' • Monseigneur, Les troupes que j'ai envoyées du côté d'Astorga et de Benavente ont poussé les troupes de l'armée de Galice jusque sur les cols qui mènent dans cette province. L avant-garde du général Sarrut , en arrivant à Astorga , n'a pu joindre que huit hussards ennemis , qui ont été faits prisonniers. Le colonel Laverdo , détaché de Pennafiel , sachant que la bande de Bourbon lèloit autour de son cantonnement , se mit en marche , dans la nuit du 15 au 16 , avec un détachement du 65.e et 250 chevaux du 13.e de chasseurs; après avoir f à raison de 5 pour a00 du prix des «entes. Les créanciers qui auroient dés hypothèques sur les biens fendus, les conserveront sur les biens qui resteront aux «emmunes, et en cas d'insuffisance , ou s'il ne reste pas aoéme k cause de leur multiplicité , car il n'y a rien qui »'oppose plus efficacement au perfectionnement de toutes those: que la facilité des succès. Nos mauvaises bibliographies m'ont menò bien loin de l'excellente bibliographie de M. G. Celle-ci est une histoire spéciale des bonnes éditions de tous les écrivains distingués d'Italie qui ont fourni des exemples ou des autorités 4 Paeadémie de Ja Crusca pour Ja composition de son dictionnaire. Cette siarpk énonciation la distingue déjià de tou-s, noi catalogues oh le chois des auteurs, est infiniment a,ubor4on.né k cinq ou sis genees d'avantages raatésiels , «orarne la beauté du papier, le fcuxe des estampes,, et fuelqut&is mêro^ la richesse de Ja r h&re. 31 n'y a personne qui ne soit bien, aise de connoitre les classiques de littérature et d'en distinguer éditions, les pfus correctes., C'est le go&t d'un bibliophile instruit> d\in amateur (délicat ; tandisq_ue la fantaisie de l'homme entêté de libres rares y de papier choisis, de tafeis et de maroquins , «a* maladie' de l'esprit, qu'il, ne &ul cependant pas d'autres biens aux communes, ils auront hypothèque sur les inscriptions du grand-livre. Le projet a été renvoyé à l'examen de la commission des finances.. La disscussion en est fixée au 20 de c» mois. Séance levée. PROVINCES ILLYRIENNES. Laybach y le 25 mars. Monsieur le chevalier Seguier, Consul de France k Trieste , a fait offre d'un cheval. Suite de /'arrêté du Gouverneur général relatif * U confection des poudres. Art. 34. Les Salpêfriers commissionnés pourront prendre les terres et autres matériaux salpêfrés, qui se trouvent dans les granges, écuries, bergeries, remises, hangards , bûchers, colombiers, celliers, pressoirs, allées, grottes, souterrains, et autres lieux couverts exceptés ceux servant d'habitation personells et de caves et celliers contenant du vin, des boissons et des marchandises dont la fouille sera ajournée jusqu'au moment de leur évacuation de laquelle le propriétaire sera tenu de prevenir le salpêtrier; enfin des aires de granges en argile ou glaise. Art. 35. Les salpêtriers en faisant des iouilles ne pourront creuser k plus de it. centimetres ( environ 4 pouces de profondeur ) contre les seuils , poteaux et autres ouvrages en bois et à plus de 22 centimetres contre les murs. Dans le cas où il trouveront des terres salpêtrées plus bas, ils seront obligés de se retirer de 67 centimètres (deux pieds 9 ligne) tant desdiis seuils et poteaux que des fondations des murs. Art. 36. Les salpetriers sont autorisés à lessiver sur place les terres salpêtrées dans les lieux soumis k la fouille et à transporter seulement les eaux salpêtrées dans les lieu* où sont établis leurs chaudieres. Art. 37. S oit qu'ils enlèvent les terres, soit qu'ils lei lessivent sur les lieux mêmes, les salpêtriers seront tenus de les remettre en place après les avoir lessivées, de les remplacer par d'autres terres de même nature et propres k se nitrifier ; ils seront responsables des dégradations qu'ils auraient occasionnes. Art. 38. Ceux qui s'opposeraient h ce que le salpêtrier put exercer la fouille conformément k la loi , ou qui ils.' tourneraient les terres salpêtrées encourue! une araendt qui ne pourra excéder 100 francs. tourner trop fort en ridicule. Les défauts du coeur sont si commuas qu'on doit de l'indulgence et presque du res* pecî aux manies. L'éxécution de l'ouvrage de M. G. n'est pas moins par* faite qae sou plan. Il seroit réellement malheureux quC cette idée ingénieuse de restreindre ia partie descriptif de la bibliographie aux éditions des classiques, et ù'appli* quer à cette etude , autant que cela est possible , la enti* que littéraire , soit k ia manière de Fabricius , soit à célie de Bayle , ne re^&t pas d'application en France . ïl® bibliographe, tel. que M. Charles Weiss, par exemple* qui réunit ru go&t s&r, a*i tact éprouvé que celte entreprise exige, le talent d'exprimer d'une maniere agréais des choses qui paraissent peu susceptibles d'ornemens , seroit tré«, capable d'élever un monument a nos écrivans célèbres.* et l'immense- oihliothèque qui est confiée k ses sain* lui assureroit la libre disposition de tous les matériau* nécessaires, tl auroit même sur M. G. une espe.ee d'ava«" tage,*, c'est que celui-ci a trouve saaamenclause Art. 39. Lorsque les saîp*triers enlèveront des matériaux jjlpêtrés , sur les édifices tt clôtures non soumis k la démolition , cet enlevement et déplacement desdits matériaux aura lieu de gré à gré avec ies propriétaires. Art. 40. Les salpêtriers qui seraient convaincus d'avoir reçti de l'argent ou une rétribution quelconque pour affranchir de la recherche et enlevement des matériaux salpê-irés seront condamnes à une amende de 200 francs. Art. 41. L'époque des fouilles et l'ordre à suivre entre Jes communes où elles doivent être fiites sera déterminée par le commissionaire en chef avec l'attache de l'Intendant de la province, et k l'égard des maisons d'une même commune avec l'attache des maires. Ces autorit s protégeront le service des salpêtriers, en leur fusant fournir gratuitement s'il est possible , ou k un prix convenablement fixé , le local nécessaire à l'établissement de leurs ateliers et ustensiles et le bois necessaire à leur travail. Le local pour les salpêtriers ambulans sera composé de i pièces au moins dont une k feu. Le local pour les salpêtriers à résidence fixe ou st'dentai- > re sera proportionné à l'importance de leur exploitation et fabrication. Art. 42. Le propriétaire et locataire cher lequel se fera la fouille pourra avant tout faire examiner et constater l'état dçs lieux en présence du salpêtrier par des hommes d'art ; le salpêtrier aura la même faculté. Art. 43. Les salpêtrier qui ne serait pas domicilié dans la commune où il travaille ne pourra transporter ailleurs ses ustensiles sans avoir préalablement obtenu le certificat de l'autorité locale, constatant qu'il n'y à aucune réclamation contre lui. Art. 44. Si celui chez lequel on a fouillé a quelque plainte à porter contre le salpêtrier pour cause de dégradation ou autre abus, il s'adressera au iuge de paix qui ordonnera les réparations et indemnités convenables sauf le recours de droit aux tribunaux supérieurs. Dans ce cas , le salpêtrier fournira une caution suffisante k défaut de laquelle les meubles et ustensiles pourront êî/e saisis pour lépondre de sa solvabilité , et au besoin il sera fait opposition au paiement de ce qui lui serait du par l'admini. »tration générale des poudres. Art. 45. Il ne pourra être fait aucune feuille ,.. prwe de terre ou autres travaux relatifs k la fabrication du salpêtre dans les edifices r "serves pour l'txcrcice des cultes les anciens edifices considérés comme monumens soumis k toute faite dan-s le dictionnaire de la Crusca , et q^e le bibliographe fran^ois,. prenant l'initiative du «iboix y pr.d-senterort au contraire aux lexicographe* à vrni* le tableau neuf et unique des richesses où, ils ont a puiser peur donner à leur nation un vocabulaire digne d'elle ; ce que ié ne pense pas qu'ont fasse jamais si l'on n'appuyé la définition et ies acceptions diverses d'autant d'autorités classiques. Il est vrai, qne l'académie fran^oise promet de nous donner son dictionnaire dans, deux ans, et si elle le rs fa i t tout de nouveau, comme cela paroît bten nécessaire,, il faut avouer que ce n'est pas trop tard; mais si,elle n'a nien changé à son système et q Ve.le ne'nous offre qu'une nouvelle édition*, augmentée sur le même plan ,, il faut avouer qj'.ie ce sera) ro purs trop tôt. Quel 1 que soit l'exactitude de M.-G. , je ne crois pas qu'il an eu 1 espérance da ne rien- avancer qui fût susceptible de contradiction; ce seroit un phénom ne dans une science comme celle-ci oit toutes les propositions sont très difficiles À. vérifier, parce qu'elles sont ordinairement éta- la presente exception seront designés par M.r l'InUadart. énéragl. Titre 6. Dépositions transitoires. Ari. 46. Tout atelier de salpêtre établi dans les Provinces Illyriennes cessera d'être en activité si dans l'in-tervaie de deux mois les salpêtriers ne se sont pas procuré onc commission de la part du commissaire en chef de l'administration générale des poudres. Ait. 47. Tout propriétaire d'atelier^ de fabrication dfe salpêtre en Illyrie sera tenu dans le raois de la publicar tion du présent arrêté de faire devant le maire de sa commune la déclaration exacte de sa qualité de fabricant, des, moyens qu'il employe , du nombre et de la situation des. nitrieres qu'il exploite, du volume d« terre qu'elles contiennent , de sa quantité de salpêtre qu'il a en magasin-et des produits annuels qu'il s'oblige de fournir dans leSt magasins du gouvernement. Art. 48. Les maires de chaque commune formeront de.-ces déclarations un état général accompagné de leurs ob* servations sur les localités où l'exploitation des matériaux salpêtres est négligée, et où il serait possible n'établir avantageusement de nouveaux ateliers de salpêtriers : ils. adresseront cet état k l'intendant dans l'Arrondissement da quel ils sont placés. 11 sera dressé par chaque intendant un tableau général des ateliers de salpêtre formés dans son arrondissement.. Ces états généraux seront adresses a M. r l Intendant généra! qui en £*a remettre une expédition certifiée au com" missaire en chef des poudres k Laybach. Art. 49. Le maires constateront les quantités déclarées,, s'assureront de leur existence dans les lieux de fabrication^ ils les mettront k la garde des chefs d'ateliers qui ne pourront ni les distraire ai en disposer sans les ordres du comi-missaire en chef. Art. 50. Il sera dressé procès-veibal des opérations cir-dessus en double minute, l'une sera laissée au pouvoir dit salpêtrier ou du chef d'atelier, l'autre Séra adressée parle; maire à l'intendant de la province et transmis par la voie de 1 Intendant général au commissaire des poudres en chef à Laybach. Art. 51, Tout particulier même non fabricant qui aura» en sa possession, du salpêtre de quelque nature et en telle quantité que ce soit sera tenu d'en faire de suite la décla^ ration au maire de sa commune qui en fera effectuer le; versement dans les magasins de l'administration générale des poudres établie à Laybach. biies sur des livres qu'on ne rencontre pas aisément , et „ daru*, ces livres mêmes, sur des observations de détail qui ne frappent pas tous les yeux. Ainsi , contre L'opinion de M. G. qui a reconnu cinq exemplaires de différentes espèces da la fameuse édition de Machiavel ,. t^u'en- appelle communément dalla. testina, pa.rceque le frontispice est chargé d'un grossier portrait de l'auteur,, on a pre tendu q,u'i*li n'en existoit réellement que trois éditions à. la. date de 1550 , et M. G. réclame avec justice contre le critique: haz mieux qui a substitué son hypothèse k des faits. J'ai posséd les cinq éditions de Machiavel que M. G. a d'écrites avec sa. clarté ordinaire, et j''ai encore eii.tre lts-main» celle dont il doit parler sous le n.* 4; mais c'est une particularité bien étrange-que parmi les caractères qm lia distinguent de celle décrite au n.* 3; et qui comptent dan», de rares inadvertances du contrefacteur,, il et* a;it oublié' une qie p «e saurois croire exclusive k mon exerapJaaeew Le frontispice général porte par erreur M. DC. L» ai» lieu de Mu D. Lt que l'on Ut sur tous ks- autres-. A cet- ico Le montant en sera ptyê aux propriétaires par le commissaire en chef d'après cette déclaration faite au maire. Les pharmaciens et droguistes pourront conserver le saldile qu'ils auront en magasin pourvu que la quantité n'excède pas 5 kilogrammes. Cet approvisionnement sera maintenu. Les déclarations devront en outre mentioner la consommation annuelle. ^ Art. 52. Après l'éxpiration du d^Iai d'un mois accordé pour les dites déclarations tout salpêtre non déclaré pourra être saisi et confisqué comme salpêtre de contrebande. ( La suite au numéro prochain, ) AVIS Aux créanciers communaux de la ville de Laybach. Nous-Maire de la ville de Laybach déclarons en conformité de l'arrêté de S. E. Mons. le Gouverneur général des Provinces Illyriennes en date du 30 janvier 1813. Que le i.er avril prochain le Conseil municipal de Laybach s'assemblera extraordinairement et ouvrira ses séances k l'effet de procéder au classement , à l'examen, et à la discussion de > dette de cette cammune, des titres justificatifs des créances qui la composent et à la formation des tableaux de cette même dette. 2.» Jusqu'au i.er juillet 1813 les titres originaux des créances, et autres pieces justificatives devront être présentés , sous peine pour les créanciers qui ne se conformeront pas au présent art. dela décheaBce absolue de leurs droits. 3." La dette communale sera divisée en dette ancienne et dette nouvelle. Sera considérée come dette Ancienne la dette communale contractée et reconnue par titres légaux d'une date antérieure au i.er janvier 1809. La dette nouvelle s'entendra de celle contractée par la Commune depuis le i.er janvier 1809 pendant la durée de la derniere guerre. Art, 4. Les Créanciers présenteront les titres originaux de leur créances eux mêmes ou les feront présenter par /des fondés de pouvoir qui seront tenus de justifier de leur pouvoir. te bizarrerie près, la conformité est compiette, mais je n'ose penser qu'elle ait pu échapper à un observateur aus-51 exercé que M- G. Mon opinion est toutefois que, dans l'édition que j'examine, l'imprimeur dirigé p r une pratique machinale a inscrit au titre le véritable militaire de sa contrefaçon, car il ne faut pas beaucoup d'habitude des livres anciens pour recormoitre ai x caractères et au papier de celui ci que l'impression en est postérieure acx dermtres années du 16.e siede, et doit beaucoup se rapprocher par sa date de celle qu'on a port e â son titie. En général, les caractères soat maigres , comme le dit M. G. j lé papier très mauvais et l'exécution dénuée de toute élégance; mais elle est correcte , et ce qui est d'un plus grand mérite «ncore" dans une édition de Machiavel, elle n'a point été mutilée comme tant d'autres. Elle est done assez précieuse p#ur mériter la pet ne observation q'.s je lui consacre et qui ne sera pas dédaignée des bibliographes. Cette multiplicité d'éditions du même livre sous la ména- date .n'est pas au rçste., sans exemple, pour les auteurs Art. 5. Les créanciers communaux ? qui sont domici liés dans cette commune, seront tenus d'assister à l'examen et à la discussion de leur créances et des titres sur les quels elles reposent. Les non-domiciliés dans cette commune devront de même assister à l'examen -et à la discussion de leur crcances et titres. Art. 6. Attendu que les affaires particulières des membres municipaux ne leur permettent pas de se réuni r tous les jours, on fixe les lundi, mardi et jeudi de chaque semaine, ou l'on pourra présenter les créances communales, moyennant une petite pétition accompagnée des titres originaux et de leurs copies séparées. C'est l'ordre qui aura lieu dans la prochaine liquidation , et dont on prévient le public pour s'y conformer. Fait à l'hôtel de ville de Laybach le 25 mars 1813. Administration des hospices de la ville de Laybach; intendance de la carriole. MAIRIE CE LAYBACH. Avis On prévient de la part de la Commission administrative des hospices le public, que le 16 avril 1813 il sera procédé à la mise en ferme de la Seigneurie de Landprehs situé« dans la Subdé légation de Neustadt appartenant au fonds des hospices de Laybach. Les personnes qui desireront y concourir sont invitées à se trouver le 16 avril , jour ci dessus indiqué à 9 heu-res du matin à l'hôtel de ville de Laybach. On peut prendre connoissance du cahier dans le secrétariat de la Mairie. à Laybach le 24 Mars 1813. Le Maire Président de la Commission administrative des hospices Signé CoDELLJ. très connus et dont les ouvrages devoient se débiter avec une grande facilité comme ceux du secretaire florentin dont la réputation datoit déjà de trente ans en 1550. j a eu l'occasion de faire en France la meme remarque sur I fameuse traduction de Spinosa par Saint-Gla.n , dont ) ai reconnu trois éditions qui étoient dans ce c*s, et «ailleurs assez analogues au titre près; petite supercherie de bibîiopoles qui adonné lieu à de lourdes erreurs de bibi.ogra phComme, je n'aurai probablement jamais l'occasion de revenir sui la science des catalogues, j'en veux dire encore uo mot. C'est qu'elle n'est pas tout à fait si à plaigne q..'on le croit généralement. A la maniere dont les livre se m Iti plient , il sera bientôt impossible de les connoitr autrement , et le plus grand nombre de nos auteurs ne -v < vra plus que dans ces compilations de titres aujourd M s, méprisées. La mémoire sera dans ce Temps-là le mèri essentiel d'un homme lettré, et l'on aura de I par ordre alphabétique. C'est déjà celle de bien des gens LAYBACH, 9E j/iMPtuMEtRe »e Goyv*:KHtMW,